L'ECHANGE DES CLÉS épisodes 1 à 3 / 3

L'ECHANGE DES CLES



En fait on ne s'était jamais vu. Ça faisait quelques mois, depuis le début de l'hiver qu'on avait commencé à discuter mais par clavier interposé uniquement. Un commentaire laissé sur un film porno, une réponse posée quelques jours plus tard, quelques fantasmes communs et finalement on discutait régulièrement. Je portais une PK par intermittence, c'est une réédition du modèle prototype, il est très confortable et très joli, en métal argenté brillant comme un miroir.

Comment ça, vous ne connaissez pas ? Bon je vous le fait court. C'est un dispositif de chasteté masculin distribué par la PK Compagnie. Une nouvelle mode et pour moi un fantasme de longue date. J'en porte un depuis l'an dernier, je m’entraîne à le garder de plus en plus longtemps, le but est de découvrir et d'explorer de nouvelles sensations. Ça marche bien, ça me change de mes branlettes quotidiennes. Ouai là ça fait vraiment de nouvelles sensations. J'aime bien !

J'avais donc commencé en vous disant … '' En fait on ne s'était jamais vu '' … Lui c'est Alain ! Moi c'est Charly. Je commence à bien le connaître, même si je n'ai jamais vu sa photo ni entendu sa voix ! Je sais qu'il est plus jeune que moi, mais je ne connais pas son âge, je sais dans quelle ville il habite mais c'est une grande ville … Timidité farouche doublée d'une certaine prudence, souvent justifiée à notre époque, mais bon c'est une autre histoire. C'est vrai quoi ! Moi je ne suis pas un satyre et puis de toutes façons, c'est trop petit chez moi pour que je puisse séquestrer quelqu'un … ( bon là je rigole ) …

lui aussi il partage ce même fantasme et il a aussi acheté une dispositif de ce genre, c'est un modèle en résine, couleur ambré et transparent, j'en ai vu en photo, c'est très joli également !

On échange beaucoup, souvent des soirée entières. Il est amusant, et finalement, de phrases en suggestions, puis de suggestions en propositions, puis de propositions en défis puis … Finalement on s'est échangé nos clés en se les envoyant en porte restante. ( toujours le prudence, un peu la trouille de se faire peur en échangeant nos adresses ).

J'ai donc ses clés depuis maintenant quatre semaines, et il a les miennes depuis le même moment. Le moment ou tu glisses la lettre dans la boite au lettres est un moment très fort. À la seconde ou l'enveloppe tombe, tu pers le contrôle sur une partie de ton corps. J'ai passé cinquante jours avec ce dispositif sur moi mais je dois avouer que à ce moment j'avais comme un nœud à l'estomac. Bien sûr, on n'est pas vraiment prisonnier, enfin pas vraiment … Bon le dispositif est bien foutu, c'est des petits jeunes qui l'ont inventé, ils se dirigent vers une carrière d'ingénieurs ou de sportif professionnels, là je n'ai pas tout compris. Enfin bref, c'est pas le problème … Je voulais dire, le dispositif est très solide et il n'est pas donné, si je veux vraiment le retirer sans la clé il faut que je le découpe. Vu le prix que je l'ai payé … J'ai pas vraiment envie de faire ça … C'est la solution ultime !

Pour lui c'est pareil remarquez, sauf que le sien coûte moins cher, il est en résine.

Ça fait donc un mois que j'ai perdu le contrôle de ma queue, et je ne sais plus combien de fois je me suis demandé : '' Mais pourquoi j'ai fait ça moi ? '' …

Je ne vous dis pas, c'est pas facile tous les jours, surtout le matin. Enfin dans le corps, physiquement, le plus dur c'est le matin. Je bande souvent très dur, mon dispositif se relève, sinon il pendouille mollement dans la journée, sauf quand j'ai une pulsion. Vous avez peut être vu ces photos ou on voit un mec bander avec un dispositif de chasteté. Sa queue bande fermement et repousse le dispositif, dans un même temps l’anneau tire sur la peau des couilles qui suivent alors le mouvement. La moitié de la bite est en fait ressortie du dispositif, seul l'extrémité est encore dedans, ça ne semble ni confortable ni très efficace. En fait le mec peut parfaitement retirer sa queue du dispositif, seules les couilles restent coincées, ne pouvant pas passer entre la cage et l'anneau cock-ring de maintient.

Et bien là c'est pas du tout pareil, l'entrée de la cage est d'un diamètre intérieur plus  petit que le reste de la cage, la longueur est parfaitement adaptée aussi quand on bande avec ce genre de truc sur soi la queue reste parfaitement coincée dans la cage, elle repousse bien un peu le dispositif qui se relève, mais elles ne peut pas ressortir du dispositif et ne parvient à le repousser que vraiment très peu. Tout le matos reste bien confiné sans pour autant devenir inconfortable … Enfin un peu quand même mais à peine !

Oui il ne faut pas rêver, si ce n'est pas douloureux mais alors pas du tout, c'est tout de même bien présent dans la tête, on le sent tout le temps le truc … Le matin ou quand on bande ferme on ne sent que ça mais dans le reste de la journée, c'est dans la tête que ça se passe et là, à moins d'avoir à se concentrer c'est dans la tête à chaque seconde !

Quatre semaines pendant lesquelles j'avais une cage à bite dans la tête. J'avais surtout envie de me branler. On doit se dire que plus le temps avance plus c'est dur. En fait je ne sais pas si c'est vrai, enfin complètement vrai. Au bout de quatre semaines par moment je ne dis pas ! Mais par moment, pas tout le temps. En fait le moment le plus dur pour moi c'est quelques jours après avoir verrouille le truc. La dernière fois c'est une heure après que je commençais à regretter, que j'avais vraiment envie de me faire plaisir, pourtant je m’étais fait plaisir juste avant. Le lendemain j’étais en manque et je surlendemain c'était pire. C'est deux matinées ont été très difficiles.

Vous connaissez le proverbe : '' Érection du matin … '' ? Non ? C'est normal c'est moi qui l'ai inventé ce matin là et j'ai pas encore trouvé la suite …

Alain me dit souvent la même chose quand on parle. Je dis '' quand on parle '' en fait on ne parle pas, on écrit. On a fini par se mettre d'accord, j'habite au bord de la mer et il aimerait bien passer un petit séjour à la mer. Il y a plusieurs plages naturistes dans le coin, j'ai jamais osé porter mon truc à la plage, j'ai vu personne qui en portait jusqu' là, si on me pousse un peu, je ne sais pas si je vais oser …

On est presque en été, il fait un temps magnifique et il fait chaud tous les jours, je ne travaille pas et Alain sera en vacances à partir du week-end prochain … On a finalement décidé de faire un pas en avant … Il vient passer ses trois semaines de vacances chez moi. Je vais enfin savoir à quoi il ressemble le lascar. Et ça fera cinq semaines sous clés samedi matin.

Le jour annoncé, on sonnait à la porte, j'avais fait le ménage vous vous imaginez bien et c'est tout guilleret que j'allais ouvrir.

Lui : Salut, moi c'est Alain.
Moi : Charly. Entre.

Il entrait, on se faisait la bise. Il était plus jeune que moi, une génération pas plus, il avait une bonne tête, il était plus grand que moi, il était mince et avait une silhouette élancée. Il était imberbe, c'est pas comme moi, je suis du genre nounours …

On était tous les deux un peu intimidés, on ne savait pas quoi dire …

Moi : Je te propose un café, un thé, un chocolat, une bière ?
Alain : Euh oui !

Je le regardais en rigolant doucement …

Alain : Un café, ça sera parfait. Je m'installe …
Moi : Fais comme chez toi. Met toi à l'aise !

On prenait un café tout en faisant connaissance, cette fois ci c'était avec la voix et le regard. Il avait l'air un peu intimidé, je l'étais aussi, mais …

Moi : On n'a pas décidé de la manière dont on allait procéder.
Alain : Procéder ?
Moi : Oui procéder ! Qui retire le dispositif ? Les deux ? Pour combien de temps ? Sous quelles conditions ? …
Alain : Ah ouai ! Ça !

Je le regardais, l'air interrogateur !

Alain : Ouai ! Bein là il y a un problème ! Tu vas pas gueuler j'espère !
Moi : Pourquoi tu m'as raconté des conneries, tu ne le portes pas ?
Alain : Si je le porte, comme je t'ai dit mais …
Moi : Mais … ?
Alain : J'ai oublié d'emporter tes clés ! Je les avais posées sur ma table basse, dans mon salon et … Elles y sont encore ! Remarque, personne ne va y toucher, elles y seront toujours quand je rentrerai à la maison !

Je le regardais incrédule !

Moi : T'es un marrant toi ?
Alain : Ça me fait plaisir que tu le prennes bien !
Moi : Parce que en plus c'est pas des conneries ?
Alain : Bein non !
Moi : Mais tu est vraiment un enfoiré toi ! Donc je vais devoir garder mon dispositif encore combien de temps moi ?
Alain : Bein …
Moi : Mais je vais me venger moi tu vas voir …
Alain : Tu vas faire quoi ?
Moi : Bein toi aussi tu vas garder ton truc !

Je le regardais dans les yeux.

Moi : Tu le portes bien au moins ?
Alain : Oh ça oui je le porte … Mais tu vas me le faire porter … Longtemps …
Moi : En plus tu en rajoutes.
Alain : Je ne l'ai jamais porté aussi longtemps moi !
Moi : Moi non plus !
Alain : Aaaaaah !
Moi : Il fallait y penser avant !

En fait cette annonce n'avait pas jeté un froid comme on aurait pu y penser, elle avait brisé la glace.

Moi : Baisse ton pantalon, je voudrais voir un truc …

En rigolant il s'exécutait …

Alain : Tu me montreras aussi !

Je prenais les clés dans un tiroir juste à côté de moi et les faisais jouer dans le cadenas, la première ouvrait bien le dispositif … La seconde aussi … Ouf !

Alain : Mais tu fais quoi là ?
Moi : Je vérifie que tu ne m'a pas truandé ! Ces cadenas spéciaux sont livrés avec deux clés et il n'y a aucun moyen d'en obtenir d'autres … Je vérifie !
Alain : Je vois que la confiance règne !
Moi : Normal, tu es un marrant toi !
Alain : Fais voir toi maintenant !

Je baissais mon pantalon a mon tour. Plus personne ne parlait. Il regardait mon dispositif, il passait une main sur ma poitrine, me caressait doucement les tétons. Il avait le sourire, c'est vrai qu'il m'avait prévenu qu'il aimait bien la fourrure et la mienne est bien fournie. Sa main descendait sur mon ventre passait sur le côté de mon corps, s'attardait sur mes hanches, frôlait mes reins pour continuer à descendre enfin vers mon dispositif de chasteté qui se relevait alors avec force. Ma queue poussait de toutes ses forces mais restait confinée, bien en place, obligée à rester sage. C'était inconfortable.

A mon tour, je posais une main sur ses hanches, je lui caressais le ventre, passais ma main sur son dispositif de chasteté, je prenais ses couilles dans ma main et serrais un peu. Il relevais la tête et faisais une grimace, un peu comme s'il poussait un cri, mais au ralenti. Je serrais ses couilles dans ma main mais je sais que je ne lui faisais pas mal, j'y allais doucement. Je le tirais vers moi et le prenais dans mes bras. Il ne résistait pas me serrait également dans ses bras. On échangeait alors un baiser, tout doucement au début puis passionné.

On se serrait l'un contre l'autre, il y avait de la tendresse. J'avais envie de le libérer mais … Il allait me libérer lui peut être, l'enfoiré ! Je sentais sa peau contre la mienne, elle était douce et lisse. Il passait sa main dans ma fourrure ( je donne dans le genre nounours je vous ai dit ).

Je l’entraînais dans ma chambre, nous avions de toutes façons décidé de dormir ensemble. Je le repoussais sur le lit et me laissais tomber sur lui et là ce n'était plus que caresses, douceur, baisers. J'avais une envie folle qu'il me suce la queue et à voir la manière dont sa langue s'attardait sur mes couilles il devait aussi en avoir envie.

Voilà il est puni, il n'aura pas droit à ma quéquette ! Mais enfin qu'est-ce que je raconte moi ! C'est moi qui suis puni je n'aurai pas droit à ma quéquette et c'était pas prévu ça. J'étais en manque et je me frottais encore plus fort contre lui, ou c'est lui qui faisait ça peut être.

Il n'y avait pas de sexe entre nous à ce moment ( Bein oui on était tous les deux sous clé, dans un dispositif de chasteté ) Il faut suivre un peu !

Bon excusez moi, je sais bien que vous suivez mon histoire mais c'est vrai ça , j'étais un peu agacé à ce moment. J'étais en manque, mon dispositif devenait difficile à supporter à ce moment et je sentais cette pression infernale du cock-ring sous mes couilles, les ouvertures sur les côtés qui me coupaient la peau, c'était presque douloureux et vraiment désagréable.

Contre ma peau il y avait la douceur de la sienne, la finesses de sa silhouette, ses mains, sa bouche, c'était doux. Contre ma peau il y avait aussi son dispositif de chasteté qui appuyait contre mon ventre, ce n'était pas très agréable, j'avais envie de le lui retirer mais je n'en faisais rien, ça lui apprendra, c'est lui qui a commencé après tout. Contre ma peau il y avait enfin ma cage, ma PK, cette pression épouvantable autour de ma queue, à la base de mon sexe. C'était l’horreur, je voulais le retirer mon truc, je voulais pouvoir me branler, l'obliger à me sucer et pour finir l'enculer sans ménagement, sans lui demander, de force, bien à fond. Je voulais l'entendre hurler même si ce n'était pas de plaisir.

Je le couvrais de baiser avec toute la tendresse que je pouvais manifester et je le sentais vibrer dans mes bras. Son souffle était fort, le mien aussi. Cent fois ma main passait sur ses fesses, cent fois un doigt se glissait entre ses fesses, cent fois mon doigt s'est attardé sur l'ouverture de son petit trou du cul, il me regardait alors avec des yeux tristes avec le souffle court. Il voulait dire : '' Vas y !'' mais je n'en faisais rien, je faisais monter le désir et à voir la tristesse dans son regard il montait, il montait très haut même.

Il en faisait de même, il faisait comme moi, il me copiait le bonhomme ! Longuement il me suçait les couilles tout en me massant le trou du cul, il me laissait l'impression qu'il allait franchir cette frontière de l'intimité plus sérieuse, plus délectable, plus jouissive encore que tout ce qu'on pouvait se faire à ce moment, mais lui non plus n'en faisait rien !

Je ne me faisait pas prier pour lui sucer les couilles, pour lui mordiller la peau un peu partout et en particulier sur les tétons, je lui arrachait alors de petits gémissements, de petites plaintes. Il passait alors un bras derrière ma tête et me serrait contre lui.

Je le sentais trembler, je le sentais vibrer, je tremblais et vibrais également, nous avions le souffle fort et court, nos cœurs battaient à tout rompre et peu à peu nos caresses redevenaient plus lentes, moins fortes, plus douces …

J'étais allongé sur le dos, il était allongé sur moi, d'une main je lui caressais les fesses, d'une main il me caressais les couilles. On échangeait un baiser et pendant un long moment on ne bougeait plus. Son souffle redevenait plus lent, je le sentais se détendre. Un instant j'ai même cru qu'il dormait, c'était un instant agréable.

Ma queue me faisait presque mal, mais je me calmais également, je respirait plus lentement mais je sentais ma queue qui se contractait à chaque battement de mon cœur, mon sexe qui se balançait au même rythme.

Il relevais la tête, me donnait un baiser sur le torse.

Alain : C'est galère !
Moi : Ce truc, c'est une recherche de nouvelles sensations ?
Alain : Oui !
Moi : Et là, ce ne sont pas de nouvelles sensations qu'on explore là ?

Il pouffait de rire.

Alain : C'est pas ce que j'avais prévu !

Je rigolais à mon tour.

Alain : Mais toi tu as ma clé ?
Moi : Oui !
Alain : Et tu me libère quand ?
Moi : Quand tu m'auras libéré !
Alain : Oui mais … Non … C'est pas ce que j'avais prévu ça !
Moi : Moi non plus ! Mais c'est comme ça ! C'est toi qui l'a cherché !
Alain : Pffff ! Je n'ai jamais porté ce truc aussi longtemps.
Moi : Moi non plus !
Alain : Ça fait déjà cinq semaines, trois à venir avant la fin des vacances …
Moi : Et combien encore après ?
Alain : Tu déconnes !
Moi : Je pense que je vais t'infliger une pénalité mais je ne sais pas comment je vais la calculer. Déjà une semaine de plus, ensuite … Disons une journée de plus par semaine à partir de maintenant.
Alain : Tu abuses !
Moi : Chaque semaine entamée sous clés sera terminée sous clés
Alain : Tu abuses !
Moi : En plus les clés je ne te les enverrai pas par la poste.

Il relevait la tête comme s'il n'avait pas compris la phrase.

Moi : Je te la remettrais en main propre.
Alain : On fera comment ?
Moi : Soit tu viendras les chercher, soit j'irais te les porter !

Il ne disait plus rien et me serrait dans ses bras avec force.



L'ECHANGE DES CLES 2



Épisode improbable qui n'était pas
prévu mais j'ai eu des réclamations !



On avait dit que le but était de découvrir de nouvelles sensations. On était bien parti je vous le confirme, je prenais l'initiative et décidait de pousser plus loin, je verrai bien plus tard jusqu’où ça ira cette histoire.

On était allongé sur mon lit, presque à poil ( je dis presque à cause de ces petits trucs qu'on avait sur la bite ), à part ça on était à poil. Je me relevais rapidement en regardant l'heure.

Moi : Bon on ne va pas passer la soirée comme ça, on prend une douche et on sort. Je t'invite au restau. Histoire de te prouver que je ne suis pas fâché !

Je voyais un éclair de panique dans ses yeux, il était chaud, son dispositif se relevait pas secousses, au rythme des battements de son cœur. Si le programme avait été suivi comme prévu, en ce moment j'aurais du être en train de lui défoncer le cul avec ma queue, ou alors c'est lui que devait me le faire. Enfin peu importe !

Il avait oublié ma clé et il sera donc puni il n'aura pas droit à mon cul. Ouai bon là je suis puni aussi, j'aurai pas droit à sa quéquette. Déjà je me demandais si une journée de pénalité par semaine ne serait pas, finalement, presque une récompense … '' Il faudra que je trouve plus sévère ''.

Pendant la douche on continuait à se chauffer mutuellement.

Moi : Tu n'as pas envie de m'enculer toi ?

Ses yeux pétillaient et s'allumaient.

Moi : Bein tu vas devoir t'en passer !
Alain : Alors Charly tu abuses, tu me tortures, tu sais que tu est un vrai sadique.

Il avait dit ces derniers mots avec un son dans la voix qui se voulait allumeur. Je le serrais alors fortement dans mes bras, je passais mes mains sur ses fesses, je les écartais et appuyais fortement contre son cul fortement avec le tranchant de la main. Je prenais toujours le plus grand soin de ne pas le pénétrer .

Il gémissait.

On parvenait quand même à terminer notre douche, et je ne vous dis pas comment on était allumé l'un comme l'autre. On se séchait comme on pouvait … Nos dispositifs ne se faisaient pas oublier, ils s'étaient fièrement relevé devant nous.

Alain : Tu abuses Charly, tu abuses !
Moi : C'est moi qui abuse ? Sans ta distraction je serais normalement en train de te défoncer le cul pour la deuxième fois là … Et c'est moi qui abuse. Je me demande si une journée de pénalité par semaine de retard c'est suffisant ?

Il me regardait de travers en fronçant les sourcils. On s'habillait. Je l’entraînais dans le boulevard, pas très loin de chez moi, il y a un fast-food. Et finalement on s'est vengé sur la bouffe !

Il retrouvait le sourire, moi je l'avais toujours mais le miens devenait moins coincé.

Alain : On va faire quoi alors ?
Moi : Découvrir de nouvelles sensations !
Alain : Ça veut dire quoi ça ?
Moi : Frustration !
Alain : Tu sais que je dois rester trois semaines ?
Moi : Je te promets trois semaines de frustration.
Alain : Sadique !
Moi : Tête en l'air !
Alain : Je reprends un hamburger !
Moi : Avec des frites ?

La tension interne ne baissait pas mais on avait retrouvé une allure détendue. Tout semblait normal vu de l'extérieur mais dans mon corps, dans mon torse j'avais l'impression que j'allais exploser.

On traînait longuement sur le bord du fleuve, on regardait les péniches. La lumière qui se reflétait dans le sillon laissés par les bateaux rendait le décor féerique.

Moi : Là juste sous les quais, c'est un lieux de drague très réputés.
Alain : Je suppose que tu y vas souvent.
Moi : J'ai jamais osé depuis que je porte mon dispositif.
Alain : On y va !
Moi : Oui d'accord !
Alain : Tu es fou, je déconnais là. Moi c'est pareil je n'oserais pas !

On finissait par rentrer, on se couchait, on s'est fait un câlin. Juste un câlin. Puis … on a essayé de dormir. On s'est encore fait un câlin puis …

A trois heures du matin on ne dormait toujours pas.

Alain : Mais c'est pas ce qui était prévu ça !
Moi : Oui je sais mais c'est de la faute à qui ?
Alain : Et si on découpait ton truc, tu m'ouvrirais le mien ?
Moi : Oui d'accord mais tu me rembourse !
Alain : Ouai !
Moi : Ouai !

On a fini par s'endormir. Il faisait bien jour quand on s'est réveillé le lendemain. On se levait rapidement. Les câlins c'est bien mais c'est rapidement limité. On ne pouvait pas se branler, se sucer, s'enculer … Oui je sais il n'y a pas que le sexe et le cul dans la vie mais … Mais ça compte quand même un peu ! Non ? Et puis c'est ce qui était prévu. Pendant trois semaines on devait s'envoyer en l'air, j'avais prévu trois boîtes de préservatifs, format familial, cent quarante par boîtes plus dix capotes gratuites … Ça devait au moins tenir une semaine … ( bon là  je déconne …  ).

Il ne disait rien, il me regardait avec un regard rieur, il gardait un sourire de travers, on passait sous la douche, on prenait notre petit déjeuner …

Moi : Bon tu as envie de dire quelque chose … Mais parles donc !
Alain : Tu n'as pas des godes ?
Alain : Même pas un tout petit ?
Alain : Alors là tu m'étonnes !

Je rigolais, je n'arrivais même pas à lui répondre. Il rigolait à son tour. Un peu plus tard on décidait d'aller à la plage. Vous remarquerez que je n'avais pas répondu à sa question. On préparait rapidement un pique-nique, une glacière, des boissons fraîches, enfin tout ce qu'il fallait pour passer la journée à la plage.

On arrivait donc en fin de matinée sur la plage, je lui faisais faire la promenade longue par la forêt, les grands chemins, les chemins moyens, les petits chemins et … J'arrivais à me perdre.

Bon pas longtemps, la forêt n'est pas si grande que ça, mais là il se foutait de ma gueule, un court instant j'ai pensé le perdre en me disant qu'avec un peu de chance quelqu'un le ramènerait à la SPA. Cette idée me faisait rigoler mais on arrivait enfin à la plage.

Il était encore tôt, il n'y avait personne ou presque. On se trouvait un coin tranquille on installait les serviettes, les parasols. Je creusais un trou pour y loger la glacière, elle est isolée mais dans le sable humide c'est toujours mieux. Quand je me retournais je pouvais admirer Alain dans sa quasi nudité, je dis quasi à cause de ce truc qu'il avait sur la bite et qu' il ne cachait pas.

Moi : Tu l'avait déjà monté en publique ton truc ?
Alain : Non, jamais mais si tu n'étais pas là je n'aurais pas osé.

J'hésitais, je regardais à droite et à gauche et finalement je faisais comme lui. J'avais prévu un maillot de bain mais je m'en passais.

On portait tous les deux le dispositif depuis un moment, c'était pour nous une sensation normale, on l'oubliait rapidement. Un peu plus tard on marchait jusqu'au bord de l'eau, les pieds dans l'eau, on marchait et on croisait quelques personnes, des hommes dont les regards allaient tous dans la même direction. Je ne réagissais pas tout de suite, ensuite je m'en amusait.

Seul je n'aurais pas osé mais avec un copain pour me soutenir c'était moins gênant. On se baignait, on s'arrosait, on était déjà mouillé mais on s'arrosait quand même. Ça fait partie des plaisirs de la plage … On nageait un peu avant de venir s'allonger sur la serviette, sous le parasol.

J'ai passé un moment de détente comme jamais. Nos dispositifs faisaient les fiers et se relevaient, il y avait de la pression par moment mais c'était pas désagréable.

Un nudiste s'approchait, il voulait discuter … J'ai dit un nudiste, s'il n'avait pas été nudiste il n'aurait pas été là … Donc, un mec s'approchait de nous pour discuter, il était à poil …

Le mec : Salut, ça va ?

On le saluait en réponse.

Le mec : C'est un truc de fou que vous portez là !
Alain : Tu aimes ?
Le mec : Ouai c'est pas mal. Vous avez trouvé ça ou ?

Il n'avait pas encore entendu parler de la PK, c'est vrai cette société n'était pas encore très connue. On discutait un long moment . Au moment ou il voulait repartir il bandait. Ça nous faisait rire, finalement il se faufilait sur les dunes pour passer plus inaperçu.

Alain le regardait partir puis finalement le se levait et le suivait. Je n'ai pas réagi tout de suite, je finissais par me décider. Ils n'étaient pas allé bien loin, je voyais une tête qui dépassait juste derrière une touffe d'herbe sauvage, vous savez ces herbes piquantes qui poussent dans le sable. Je m'approchais, c'était bien Alain, il me faisait signe, j'approchais. Je voyais apparaître une autre tête, c'était le mec qu'on avait vu peu avant.

Je les rejoignais sen quelques instants et j'entendais Alain pousser un cris, un gémissement de plaisir. Le mec qu'on avait vu venait de lui enfoncer la queue dans le cul.

Il a l'esprit pratique Alain et il n'avait pas traîné pour trouver le moyen de se faire plaisir. L'autre gars me faisait signe de la main. Mon dispositif PK se relevait avec force. Ma queue protestait, elle se révoltait. Après des semaines d'abstinences totale. J'avais bien un peu joué avec des godes mais c'est tout. Lui en une journée il avait trouvé une bite tout à fait convenable pour se faire enculer. J'étais en manque, plus que jamais en manque.

Ma cage de chasteté semblait écraser ma queue, bien fixée avec un anneau indestructible autour de mes couilles, elle ne me laissait aucune chance, aucun espoir de prendre la place du mec qui était là, tranquillement il défonçait le cul de mon nouveau copain Alain. Sa queue rentrait et ressortait avec vitesse, violence et force. Alain se penchait en avant et de plus loin on ne voyait plus que la tête de l'autre.

Moi j'admirais le spectacle, le mec enfonçait sa queue bien à fond, il terminait par un violent mouvement du bassin et faisait claquer son ventre contre les fesses de mon ami. Il ressortait ensuite rapidement, avant de recommencer. Il se cramponnait fermement à Alain en le retenant fermement par les hanches et au moment ou sa queue s'enfonçait il le tirait vers lui avec force. Son ventre claquait contre les fesses d'Alain. Il reprenait encore et encore.

Alain gémissait de plaisir, mais pas que, et ne tentait pas de résister, il encaissait, il me regardait et faisait une grimace de plaisir.

J'avais le souffle fort, la queue presque douloureuse mais même dans ce genre de situation le dispositif PK reste relativement confortable. Attention confortable ça ne veut pas dire agréable. C'est pas le confort qu'on a dans un sous vêtement en coton. Mais la pression de ma queue qui ne baissait pas ne provoquait pas pour autant de douleur.

J'avalais ma salive. J'avais moi aussi envie de défoncer le cul d'Alain. C'est ce qui était prévu au départ sans cette … Sans cette étourderie. Je me disais alors qu'il faudrait que je me venge. Une journée de gage par semaine me semblait alors ridicule.

Les coups de bassin devenaient maintenant violents et je voyais Alain trembler, il était tombé sur ses genoux mais le gars avait suivi le mouvement et lui aussi avait presque posé ses genoux sur le sable. Il tirait encore plus fort sur les hanche d'Alain avant de râler, de pousser quelques cris de plaisir et de se retirer.

Il essuyait son front du revers de son bras, il avait le sourire, il venait de jouir. Il nous saluait alors et repartait en nous lançant un '' A un de ces jours, je suis souvent dans le coin en cette saison. ''.

Alain se relevait, je pouvais deviné à sa mine ravie qu'il avait joui, il avait juté aussi. Rapidement il retrouvait un sourire béat.

Alain : Ça va toi Charly ?
Moi : Tu sais on avait parlé d'un gage, pour ton oublie.
Alain : Tout ce que tu voudras.
Moi : Un jour de gage par semaine c'est court.
Alain : C'est sûr ça ne nous conduirait pas bien loin.
Moi : Je vais y penser …
Alain : J'accepte ta sentence mon gars.

Il prenait la direction des serviettes, je le suivais, quelques goûte de sperme coulaient entre ses fesses. Je pensais aux trois petites boites de capotes que j'avais acheté. Je réfléchissais aussi à une nouvelle sanction. Car pendant que je suis là comme un con sou clé, monsieur trouve le moyen de s'amuser …

Je vais lui apprendre moi à avoir des mœurs un peu moins légères.

On s'installait sur la serviette, on s'était fait remarqué.

Un peu plus tard dans la journée, c'est un homme qui portait lui aussi un dispositif comme le mien qui venait discuter avec nous.

Le gars : Ça fait plaisir de voir quelqu'un qui porte un truc comme moi. Il n'y en pas beaucoup dans le coin.
Moi : Tu en a déjà rencontré ?
Le gars : Oui, la semaine dernière il y en avait un qui à passé un moment dans le coin, il était chaud du cul je ne vous dis pas. Il a du se faire enculer au moins deux ou trois fois par jour.
Alain : Oui mais nous on n'est pas comme ça !

Je le regardais … '' Pfff ''

Le gars : Au début j'ai cru voir un couple ou un seul d'entre vous portait le dispositif, ton truc en métal se voit à des kilomètres, il brille ( en parlant du mien ) alors que toi ton dispositif en résine est invisible de loin …

Il continuait à discuter avec nous pendant un moment …



L'ECHANGE DES CLES 3



Épisode toujours improbable qui n'était pas
prévu avant les réclamations !


Le lendemain nous retrouvions le mec qui avait défoncé le cul à Alain le premier jour. Il n'était pas venu seul, un gros black était avec lui. Attention quand je dis gros, pas le genre gras du bide … Il mesurait pas loin de vingt cinq centimètres c'est tout. Pas de la tête aux pieds mais vous aviez rectifié juste la queue en érection et justement quand on arrivait il bandait.

Nos yeux tombaient sur la chose et ne pouvaient plus s'en détacher. Alain me glissait à l'oreille … '' Alors là c'est pas pour moi ça, là c'est un peu trop ''.

Moi : Bon il va falloir que je me dévoue alors !

Je ne vous cacherai pas que ça me faisait un peu peur, mais la queue était magnifique et son propriétaire tout autant. On installait les serviettes , on prenait place … Plus tard, on se promenait les pieds dans l'eau, Joe ( c'est le premier homme que nous avions rencontré ) ne s'éloignait plus d'Alain, moi je restais très proche de Phil, (  bein oui, lui c'était le black ). On discutait, il était très intrigué par mon dispositif, il en avait entendu parlé bien sûr, on voyait régulièrement des articles qui parlaient de cette nouvelle mode dans la presse. Mais c'était la première fois qu'il se trouvait directement en contact avec ce ' truc ' .

Nous nous étions installé dans un recoin discret entre deux dunes. Quand je m'allongeais sur la serviette Phil en faisait de même. Il s'installait sur le côté et me faisait face. Il bandait et c'était toujours impressionnant. Je ne pouvais plus détacher mes yeux de sa bite.

Phil : Je peux toucher ?
Moi : Euh ? Hein ? Quoi ? Tu disais ?

Il n'avait pas attendu ma réponse et déjà me caressait les couilles avec douceur et fermeté. Je lui caressais la bite sans prendre la peine de lui demander si je pouvais mais il ne s'en offusquait pas. Il me tirait vers lui et me prenait dans ses bras, je refermais les miens autour de lui.

Son corps était grand, fort, large, épais et je me sentais tout de suite en sécurité, un peu comme un gamin dans les bras de son père. Là je ne parle que de la taille et de la force, il avait mon âge ! Il se retrouvais sur le dos, je me retrouvais sur le ventre, sur son ventre. Ma cage se relevait contre son ventre, sa queue se relevait entre mes cuisses. Il me serrait contre lui et on partageait un moment intense de câlins et de douceur.

Au bout d'un moment qui avait pu durer des heures je me relevais, je jetais un regard circulaire, on ne pouvait pas nous voir depuis la plage. Je me penchais alors sur sa queue et commençais à le sucer et à le caresser doucement.

C'est jamais facile à avaler un machin pareil, le gland passait sans trop de mal pour moi. Je passais ma langue tout autour, il gémissait de plaisir. Il me caressait les cheveux sans essayer d'appuyer sur ma tête. Il savait que ça ne passerait pas. Il me laissait faire. Ce jeux devait durer un moment et si j'y prenais du plaisir, lui, je ne vous dis pas.

Il relevait la tête.

Phil : Tu ne veux pas t'asseoir ?
Moi : M'asseoir ?
Phil : Dessus !

Je regardais sa queue, elle était belle et ferme. J'en avais envie, j'en avais peur mais j'en avait trop envie.

Je vous rappelle que si l'autre andouille n'avait pas oublié mes clés, je me serais défoulé depuis un bon moment là et grâce à sa distraction ça ne risquait pas pour encore un long moment !

Ma queue me disais ' Oh oui, oh oui, oh oui ! ', mon estomac me disait ' Ou làlà ' et mon cul me disait ' Au secours '. Finalement c'est la tête qui décidait, et la tête elle se disait ' J'en ai envie, j'en ai besoin, ça devrait passer, ça va passer !'.

Je prenais place, on avait bien lubrifié sa bite et mon cul et je prenais place. Je le chevauchais, un genou de chaque côté de son corps, sa queue qui appuyait contre mon anus. On n'avait même pas travaillé mon cul, un doigt ou deux pour me préparer, je me lançais à froid. Je poussais, sa queue était ferme, c'était étonnant un engin de cette taille aussi ferme, j'en menais pas large.

Il tirait mon visage vers le sien et m'embrassait sur la bouche avec passion. Sa queue appuyait toujours fortement contre mon anus.

Phil : Respires bien à fond !

Je respirais bien à fond, j'appuyais, et là ! C'était à la fois l'angoisse et l'extase. L'angoisse de sentir mon anus se dilater de la sorte, se dilater comme jamais, se dilater sans que je sache si ça passerait, si j'avais atteint la largeur suffisante. C'était l'extase car c'était autant bon qu'effrayant, bon terriblement bon. Ça ne me faisait pas vraiment mal, ce n'était pas vraiment de la douleur, c'était pas vraiment du plaisir, c'était une sensation intense, puissante, indéfinie mais c'était bon. Vraiment bon.

Ensuite sa queue s'enfonçait lentement de plus en plus profondément et là encore c'était la terreur. J'en étais ou ? Il en était ou ? A la moitié, plus ? Pas encore ? Je ne savais pas et les sensation que je ressentais ne m'informaient pas. J'avais l'impression que mon cul allait exploser, se déchirer mais c'était bon, j'avais l'impression que sa queue allait m'écraser l'estomac, je ne savais pas ou il en était. Mais je sentais une masse m'envahir tout l'intérieur de mon ventre. C'était affolant mais terriblement bon.

J'en redemandais, j'en voulais plus, il me rendais fou … Puis j'ai senti son ventre qui écrasait mes fesses. La c'était le fond de mon corps qui se révoltait, j'étais envahi jusqu'à la gorge.

Il me caressait, il était impressionné lui aussi et ça se voyait. Je me redressais et me retrouvais à genoux, assis sur son ventre, sa queue bien plantée au fond de moi. Je reprenais mon souffle, me calais bien en place. Il se relevais et me prenait dans ses bras. Il repliait ses jambes en tailleur.
Je m'accrochais à son cou et croisais mes jambes dans son dos. Il passais ses mains sous mes fesses et jouait à me soulever légèrement et à me laisser retomber. Je respirais fort, je gémissais, je tremblais, j'étais toujours terrifié, j'avais peur de dépasser la limite de résistance, j'avais peur que ça casse.

Ça passe ou ça casse, quelquefois ça passe et ça casse. Là ça ne cassait pas. Je me retrouvais empalé sur lui. À cet instant j'ai joui. J'ai joui du cul, c'était un truc de dingue, tout mon corps à tremblé, je manquais d'air, je ne contrôlais plus mes gestes aussi je me contentais de le serrer contre moi.

C'est à ce moment que Alain et Joe arrivaient, ils avaient le sourire, on ne leur demandait pas ce qu'ils venaient de faire. D'ailleurs on ne leur demandait rien, on ne s'occupait même pas d'eux.

Alain : Alors les filles vous faites un câlin ?
Joe : Pas que j'ai l'impression !

Phil se balançait d'avant en arrière sur ses fesses m'entraînait avec lui et à chaque mouvement sa queue m'écrasait la prostate et m'arrachait des gémissements, à chaque mouvement je sentais mon anus dilater se dilater encore plus, et je tremblais à la fois d'angoisse et de plaisir.

Puis c'était quelques contractions dans mon cul, elles venaient de Phil et étaient accompagnée de gémissements de sa part, d'un petit tremblement de tout son corps. Il venait de jouir à son tour. Il se laissait retomber sur le dos, il me faisait un sourire, sa queue était toujours bien implantée dans mon cul, je lui souriais.

On ne bougeait plus, puis je me relevais toujours en gémissant. Au moment ou sa queue ressortait totalement de mon cul je jutais, je jutais sans fin, un long filet de sperme coulait de mon dispositif de chasteté, là par contre c'était sans aucune sensation, ni plaisir ni … Rien !

Alain : La vache il se l'était prise jusqu'à la garde ! J'y crois pas !

Phil me laissait le temps de récupérer, sans me toucher. Rapidement il débandait. Un peu plus tard on reprenait les activités de plage, on allait se baigner, on tapait le ballon, on prenait le soleil. On oubliait nos dispositifs …

Finalement ces trois semaines ne se sont pas si mal passée que je ne le craignais au début. On a passé beaucoup de temps avec nos deux nouveaux amis, on a fait des sorties ensemble, boîtes de nuit, restaurants, promenade en forêt …

La fin des vacances arrivait. Alain ne se plaignait plus de garder son dispositif. J'avais réfléchi à la sanction.

Moi : Bon on avait dit que tu aurais un gage pour avoir oublié ma clé.
Alain : Tu ne vas pas être trop sévère !
Moi : Pas du tout, j'ai pensé à une sanction équilibrée.
Alain : Je t'écoute.
Moi : Tu m'enverras ma clé quand tu voudras !
Alain : Comprends pas !
Moi : Mais c'est toi qui décide bonhomme, c'est quand tu voudras.
Alain : Cool ! Tu n'as pas peur que je te fasse attendre ?
Moi : Mais non, mais non !
Alain : Je suis ému par toute cette confiance que tu me donnes … Snif , ému !
Moi : Bon ça va, n'en fait pas trop non plus ! Au moment ou je recevrai ma clé, je ferait le compte de tous les jours passé sous clé, depuis le début, j'arrondirai alors à la semaine complète et je rajouterai ce temps à ta période de chasteté .

Il ne disait plus rien, il réfléchissait.

Alain : Donc tu vas doubler ma période de chasteté passée au moment ou tu auras la clé ?
Moi : C'est ça !
Alain : Alors tu abuses là.
Moi : Je ne trouve pas !
Alain : Bein si quand même !
Moi : Pas du tout.
Alain : Pfff. Tu es dur là !
Moi : Sévère mais juste. Alors tu acceptes ma sanction ?
Alain : ( il hésitait un peu avant de répondre ) Ok, j'accepte !

C'était entendu, à la fin des vacances nous serions dans notre neuvième semaine, s'il respectait les délais, j'aurais passé plus de huit semaines, j'en compte neuf, il en passerait donc encore neuf soit dix huit. Si ça c'est pas de la vengeance ça …

On passait donc les derniers jours de ces vacances tranquillement, Joe était reparti mais son pote Phil était resté lui, il était de la région en fait. Remarquez, moi, ça m'arrangeait. J'y avais pris goût à sa bite. J'avais toujours comme une appréhension, une angoisse au fond de la gorge quand il prenait position pour me défoncer le cul, et à chaque fois c'était cette panique tellement jouissive. J'en redemandais.

Nous étions deux pour accompagner Alain à la gare. On l'avait condamné à une abstinence totale pendant les trois derniers jours, toujours cet esprit de vengeance …

Malgré la sanction, Alain est et reste un garçon distrait !

Il ne m'a fait parvenir la clé que pendant le dixième semaine, il en passera donc dis de plus pour un total de vingt. Ça lui apprendra ! La prochaine fois il sera mieux organisé.

Maintenant on se connaissait, on était devenu ami. On s'est bien sûr revu avant la fin de cette période de dix semaines, on s'est revu régulièrement depuis. Un jour ou je passais une semaine chez lui il me confiait.

Alain : Tu sais Charly j'apprécie beaucoup ton tact, à chaque fois qu'on se voit tu portes ton dispositif de chasteté, et tout ça pour ne pas trop me faire envie.
Moi : C'est mon tact naturel, c'est tout à fait normal je trouve.
Alain : Oui mais tu ne t'es jamais dit que, précisément je pouvais avoir envie de ta queue …
Moi : Tant que tu auras la quéquette sous clé, quand je te verrai j'aurai la quéquette sous clé. C'est comme ça.

Il semblait n'apprécier que très moyennement ma réponse. Mais bon je n'allais pas lui dire la vérité .

La vérité était plus simple !

Le jour ou j'ai reçu la clé, Phil était avec moi, on avait prévu le coup. Alain avait envoyé la clé en recommandé pour être sûr qu'elle ne se perde pas. J'ai signé le reçu mais c'est Phil qui a récupéré la lettre, c'est lui qui a vérifié le contenu, il a vérifié que les deux clés étaient identiques et de retour à la maison il s'est assuré que les deux clés ouvraient mon dispositif, sachant qu'il n'y a que deux clés de livrées avec la PK, il savait qu'il n'y en avait pas d'autre, il les a gardée. Il m'a gardé comme j'étais, au moment ou il m'a rencontré. Frustré, en manque, toujours demandeur de sa queue.

Il en profite l'enfoiré, il en profite. Aussi devant Alain je préfère jouer le bon rôle, celui du copain compatissant qui se couvre pour ne pas le frustrer d'avantage. C'est vrai que Alain ça le laisse dubitatif cette histoire.

Et puis il finira bien pas l'apprendre, il finira bien par revenir me voir et la présence de Phil devrait lui donner quelques doutes. Surtout que Phil lui ça le fait rigoler quand je lui dit de ne pas trop aborder le sujet avec Alain. Je crois que je ne pourrai pas trop compter sur sa discrétion.

Voilà j'ai repris ma vie, mon quotidien, je garde la clé de mon copain Alain mais je vais bientôt la lui envoyer. Phil conserve ma clé et sur ce sujet la seule clé dont il veut bien entendre parler c'est sa queue et la seule serrure c'est mon cul ...

Il abuse tout de même. Je l'aurais bien viré, jeté, éjecté mais bon … Il a une grosse queue et me fait gueuler de plaisir à chaque fois qu'on se voit alors …

Vous feriez quoi à ma place vous ?

C'est facile de critiquer !



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast


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