Il vient d'Amérique Ep01

 

Il vient d'Amérique Ep01


Il m'avait remarqué dans les toilette d'un bar. Il était plus grand que moi, et avait l'œil agile. Enfin moi je ne l'avais pas remarqué mais lui m'avait repéré, il avait vu ma cage.


De retour au bar je l'ai revu il discutait avec un ami, ils se retournaient vers moi et me proposaient un verre en me faisant signe de les rejoindre.


C'étaient des américains, au début j'ai cru que c'étaient des anglais car je ne comprenais pas ce qu'ils disaient. Mais en fait je ne comprends ni les uns ni les autres.


On a discuter comme ça pendant un long moment sans se comprendre. On a picolé aussi, ils venaient de l'Est des états unis ou bien peut être de l'Ouest, ou alors c'était entre les deux …


Vous voyez ou on en était. Au niveau linguistique ça cafouillait pas mal.


Ils étaient plutôt bien foutus, bien sexy comme on pouvait en rêver. C'étaient des américains et je ne m'étais jamais fait des américains.


Ils déliraient et la situation devenait très amusante. On est sorti, on est allé se promener sur la plage, j'habite une ville balnéaire. Dick sortait son téléphone, j'ai d'abord pensé qu'il voulait prendre une photo, puis prononçait une phrase. Dick c'est celui que j'avais rencontré en premier.


Il me posait alors son téléphone sur l'oreille et j'entendais distinctement …


– C'est quelle taille ?

– Qué ! Répondais-je ?

– La cage de ta bite ? C'est quelle taille ? Me répondait le téléphone.


C'est pas vrai, pensais-je. Ce sont vraiment des américains, ils ont un traducteur vocal !


Ça devenait brusquement bien plus facile pour discuter à partir de ce moment. Je me suis repassé dans ma tête les derniers moment depuis que j'avais rencontré ces deux loustics. Je me souvenais rapidement le moment ou … C'était dans les toilettes. Ensuite on avait discuté difficilement alors qu' le guignol avait tout ce qu'il fallait pour … Enfin !


Ils avaient loué une maison juste au dessus le la petite plage, il y en avait une grande et plusieurs petites, on s'y retrouvait pour prendre un dernier verre. Depuis leur jardin ils voyaient la mer et par dessus le petit mur du fond de leur jardin on voyait la petite plage.


C'est bien installé que la terrasse qu'on continuait à discuter. Dick se mettait à poil, il faisait ça tout naturellement, son pote Cole n'y prêtait même pas attention.


Il était bien foutu, il avait un corps mince et musclé, et surtout il avait une grosse bite. Je ne pouvais pas en détacher le regard.


SUCE ! Me disait la voix synthétique du téléphone à l'oreille.


Je me retournais, c'était Cole qui m'envoyait ce conseil par notre traducteur officiel … Je ne le faisais pas répéter et quelques secondes plus tard j'étais à genoux, la queue de Dick prenait lentement un peu de volume dans ma bouche avant de prendre toute la place. Il en avait une belle, une comme j'aime, un peu grosse mais ça, c'est pas grave.


Cole regardait la scène, paisiblement installé sa chaise de plage, il regardait en sirotant une boisson bien fraîche. Quand je tournais les yeux vers lui, il me souriait. Je me disais, '' après ce sera son tour, il doit y penser '' .


Je prenais la queue de Dick en entier au début, puis elle prenait plus de place et je ne n'en prenais plus qu'une partie, pour finir, je me concentrais sur son gland.


Il avait un gland magnifique, bien large, bien épais, lisse et brillant, comme je les aimes. Je pensais déjà au moment ou j'allais me le prendre dans le cul. Je me disais qu'on devait la sentir celle là. Elle était large, pas seulement longue mais bien large.


Je faisais comme je pouvais, je m'appliquais sur son gland, je passais ma langue en appuyant fort, très fort, avec la langue on ne peut pas faire mal et ses gémissements de plaisir me le prouvaient.


Cole ne manifestait aucun impatience, il restait calme, il ne baissait même pas son pantalon pour se branler. Il nous regardait, c'est tout.


Au bout d'un moment Dick me faisait signe de me lever. J'en profitais pour me réajuster la mâchoire.


Tu aimes ça on dirait, en tout cas tu suce super bien ! Me disait-il …


Enfin c'est son téléphone qui me disait ça mais on va faire comme si on parlait normalement, ce sera plus simple.


Tu as aimé ? Puis me retournant vers Cole. Tu en veux toi aussi ?


Il pouffait de rire.


Met toi à poil ! Me demandait-il. On verra après.


Je retirais mes vêtements, chaussures légères, c'était rapide. Un polo pour le haut, toujours très rapide. En quelques instants il ne restait plus que le pantalon , mais comme je faisait du free-balling actif, là encore c'était rapide.


Je me retrouvais alors entièrement nu devant ces deux gaillards que je ne connaissais pas quelques heures plus tôt. Elle est pas belle la vie.


Dick se retournait alors vers son camarade qui était le seul encore habillé. Il n'était pas nécessaire de en dire plus, il comprenait que c'était à son tour de nous suivre. Il me copiait l'animal, il me copiait en rigolant et retirait tous ses vêtements.


Il me tournait le dos au moment ou il baissait son pantalon, et tout comme moi il faisait du free-balling. Puis il se retournait avec un petit sourire coquin, il portait lui aussi une cage à bite. J'éclatais de rire.


Il la porte en permanence ! Me déclarait Dick.

C'est lui qui a la clé, c'est lui qui décide quand je peux le retirer … Et il ne veux pas ! Rajoutait Cole.

Mais tu es très bien comme ça. Lui répondait Dick.


Cole s'approchait de moi, et me tripotait les couilles, je le laissais faire avant de lui rendre la politesse. Tout comme moi, il avait une belle paire de couilles, bien épaisse, bien fermes, et une toute petite cage au dessus.


Mon dispositif était un dispositif fait maison, à cause de la taille. J'ai en effet une bite bien large, je suis trapu de la bite comme j'aime le dire … Enfin j'étais. Maintenant j'en suis moins sûr. Avec le temps tout peut changer.


Bref, il me tripotait les couilles lui aussi.

C'est un modèle artisanal ? Me demandait-il.

Oui c'est moi qui l'ai fait. Je ne trouvais pas de modèle assez large.


Ils étaient amusés par ma réponse.


Tu as une grosse bite et tu veux la mettre en cage ! Cole lui en a une toute petite, donc pour lui c'est normal. Me faisait remarquer Dick.


Tranquillement il me caressait le cul, j'étais penché sur Cole et on se faisait des câlin. Sans prévenir Dick me glissait un doigt dans le cul. J'ai un peu sursauté mais Cole me caressait le dos et m'embrassait.


Dick glissait un deuxième doigt, et les agitait avec vigueur. Je me redressais et gémissais de plaisir.


C'est bon ? Me demandait Cole

Ooooh ! Que oui .


En fait Dick me lubrifiait généreusement le cul. Cole surveillait et s'en amusait. Puis au moment ou Dick le décidait, ils me prenaient par les bras et m'entraînaient vers un coussin, un de ces trucs ou on s'allonge pour bronzer.


Je me laissais faire et me retrouvais allongé sur le dos, les cuisses en l'air. Cole se plaçait au dessus de moi, me retenait les chevilles. Ses couilles retombaient sur mes yeux et sur mon nez. Il trouvait ça amusant.


Dick me saisissait les chevilles à son tour, il appuyait et me repliait presque. Il plaçait sa queue dans l'axe de mon cul et poussait.


Il avait bien lubrifié, il poussait fort, je ne résistais pas et je sentais mon anus se dilater. Cole se décalait et m'embrassait. Dick continuait à pousser et je sentais mon anus s'ouvrir totalement, la queue de Dick s'enfoncer en moi.


C'était bon, je gémissait fort à ce moment, j'ouvrais les yeux et je voyais le visage de Cole, il me souriait. Le ventre de Dick s'écrasait sur mes fesses, je sentais sa queue bien à fond dans mes entrailles, il ressortait et revenait bien à fond d'un mouvement rapide et violent.


J'encaissais et je râlais, ce n'était que du plaisir. Je fermais les yeux et me donnais à mon plaisir, enfin celui qu'on me donnait. Je caressais les couilles de Cole et jouais avec sa cage. Il bandais, enfin il essayais, il ne devais pas être tout à fait à son aise. Il devais se sentir à l'étroit.


Moi, ça allait, avec la grosse bite de Dick dans le cul qui me ramonait les entrailles, ça allait. Ma queue ne se faisait pas remarquer ou au moins on ne faisait pas attention à elle, surtout moi.


Cole me rendait la politesse et en même temps qu'il me tripotait les couilles je lui malaxais les siennes. Il m'embrassait et me caressait le corps. Je respirais fort, je tremblais de plaisir.


Dick se lâchait, ses coups de bassin contre mon cul devenaient forts, puissants, insistants et sans retenue. Il se reculait lentement puis revenait à la charge bien à fond, faisant claquer son ventre contre mes fesses. Je poussais un cris étouffé à chaque coup que je recevais.


Cole semblait toujours parfaitement calme, il caressait aussi le corps de Dick mais semblait garder quelques distances vis à vis de lui. Il s'intéressait à moi, surtout à moi. Je continuais à lui tripoter les couilles et par les trous d'aération je sentais que sa bite devait être bien dure, bien ferme. Je savais par expérience que ce n'était pas là une situation très confortable mais surtout frustrante.


Il m'avait vu sucer son ami et avait regardé. Il participait de loin à nos ébats. Il n'avait pas reçu tous les câlins que Dick et moi avion partagé, il avait regardé. Et même arrivé à ce moment, j'étais le seul à le caresser, à le toucher.


Dick ne se consacrait qu'à moi. Il me donnait du plaisir mais m'utilisait aussi et surtout comme un objet de plaisir, un objet qui lui donnait du plaisir.


Je le regardais, je voyais tous ses effort, du plaisir il devait en prendre. Je le voyais, ses efforts se voyaient sur son front. Je sentais ses muscles qui se crispaient, il me tirait vers lui quand avançait son bassin vers moi. C'était violent, de plus en plus rapide et les coups résonnaient avec régularité. Nous gémissions tous les deux puis brusquement il poussait un cri plus fort, un coup plus fort suivait dans mon cul. Quelques instants plus tard il me burinait le cul de toutes ses forces, il jutais et semblait vouloir que ça se sache.


Cole se retirait, il s'asseyait un peu en retrait et nous regardait.


A cet instant j'ai joui, j'ai joui comme une bête, j'ai joui comme jamais. Même si je dis ça à chaque fois, je vous jure que c'est vrai … a chaque fois !


Dick me retenait contre lui. Il finissait par se retirer, sa queue ramollissait, c'est normal, et ressortait naturellement de mon cul. Je me sentais plus léger.


Je regardais vers Cole, il avait toujours ce sourire, ce sourire figé qui semblait vouloir cacher quelque chose, sa frustration peut être.


Dick se relevait, me saisissait les couilles et me les secouait vigoureusement. Il m'avait fait jouir, là il me faisait éjaculer, éjaculer et jouir aussi, de nouveau.


A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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