Lionel Ep08 Et le lendemain

 

Lionel Ep08

Et le lendemain




Vous imaginez bien que dès le lendemain, au boulot, je racontais tout ça à Lionel. Il s'en amusait !


Mais voilà que le petit puritain est en train de se dévergonder.

Ouai c'est cool ! Répondais-je.

Il était plus gros que moi ? Me demandait Lio.

Personne n'est plus gros que toi ! Lui répondais-je.


Il me répondait avec un sourire satisfait. C'est vrai qu'il en avait une grosse, bien grosse même, et depuis la veille je me demandais si je serais capable de me la prendre dans le cul.


Et en le voyant là, j'en avais envie.


Le désir montait en moi, je le sentais, c'était presque un besoin. Un besoin terrifiant mais un besoin plus qu'un simple désir. Il en avait une encore plus grosse que Sam, et déjà, si ça avait passé je l'avais senti. Avec Lionel, ce ne serait que plus intense. Ce serait trop, beaucoup trop large.


Mais voilà, je ne pensais plus qu'à la queue de Lio pendant le reste de la journée. Et je voulais savoir si j'en étais capable. Lio était beau, très beau son corps était magnifique, musclé et fort, fort et doux, doux et viril, viril et …


Mais ça ne devait pas être doux que de se le prendre dans le cul !


Je n'avais plus du tout mal au cul, j'apprenais vite. Je m'adaptais vite. J'avais un cul fait pour donner du plaisir à un homme. C'est vrai qu'on m'avait privé du plaisir de ma bite mais personne ne m'avait dit que je pourrais me venger sur mon cul. A tort peut être !


Lio m'avait fait découvrir un nouveau plaisir et j'avais envie d'en profiter. Dans la journée nous étions entre collègues, sur notre lieu de travail, en extérieur, je me demandait comment trouver un coin tranquille ou je pourrais m'amuser avec la bite à Lio. Il n'y en avait pas !


A la fin de la journée, tout le groupe décidait d'aller manger dans un restaurant rapide, un Fast Bocal il me semble ! Vous connaissez ?


C'est pas si mal, on peut manger des hamburger, des frites, des truc bien lourds, pour le régime c'est loupé, mais c'est rapide et même pas mauvais ( comme aurait dit un célèbre chroniqueur gastronomique ).


Comme on faisait presque tous partie de la même équipe, on se retrouvait ensuite sur le terrain de sport. Je faisais comme d'habitude et parvenais à me cacher, enfin à cacher à tous que je portais une cage à bite. Seul Lionel le savait.


Ensuite on est tous descendu sur le terrain en hurlant, histoire de paraître plus méchants que nous l'étions. On a bien transpiré, on s'est bien défoulé et on est finalement remonté pour prendre une douche. Je passais rapidement sous la douche, dans une cabine. Quand j'en ressortais, j'étais le premier, j'étais le premier rhabillé également. J'ai surpris tout le monde, d'habitude je suis le dernier mais bon, personne n'a vraiment tiqué.


La moitié de mes camarades étaient à poil, Lionel faisait le con, tout le monde avait fini par remarquer qu'il était super bien monté et voulait comparer avec lui. C'est vrai qu'il n'est pas timide mon Lionel, il n'est pas seulement bien monté.


Un instant je pensais à sa femme, elle en avait de la chance. J'espère qu'elle s'en rendait bien compte. Non mais c'est vrai quoi, une grosse bite ça compte, c'est important, et ça fait envie et …


Oui enfin il parait que ça ne compte que pour les mecs. Les filles s'en moquent un peu !


Oui mais moi je suis un mec !


Je ne m'en moque pas moi et comme je ne peux plus trop m'amuser avec la mienne, j'aime de plus en plus m'amuser avec celle des autres.


Une fois de plus je pouvais regarder mes camarades se changer, prendre leur douche. J'aime bien ça moi, en plus comme il ne font pas attention à moi … Heureusement remarquez sinon ça fait déjà un moment qu'ils m'auraient viré des vestiaires. Je ne traînais pas trop quand même.


Je rentrais chez moi, Lio me saluait de la main et je disparaissais. A la maison, je soupais rapidement et passais devant la télé. Il était encore tôt quand on sonnait à la porte.


C'était Lionel, il était passé me voir, comme ça, sans raison. Il avait emmené avec lui un ami. Un gars que je ne connaissais pas. Il nous présentait, Régis, un très vieux pote de la maternelle. Ils se connaissaient depuis toujours.


Alors c'est toi le puritain ? Me demandait Régis.

Mais qui t'a parlé de moi ? Répondais-je sur un ton idiot.

Allez tout le monde à poil ! Lançait Lio. Tu vas voir Régis est bien monté aussi, pas autant que moi mais bien monté.

Ça je ne m'y attendais pas. En fait Lionel m'avait emmené un pote à lui, juste pour s'amuser avec moi. C'est vrai que sa femme n'était toujours pas revenue.


Aussi il semblaient se venger sur moi, enfin, sur mon cul.


Mais c'est vrai aussi que je commençais à y prendre goût.


Sans attendre d'avantage, Régis retirait ses vêtements, j'allais chercher quelques bière, je le regardais faire. Il avait un corps doux, presque pas de poils et des formes douces.


Quand je revenais avec les bière, quelques instants plus tard seulement, je retrouvais mes deux loustics entièrement à poil, et tranquillement installés sur le canapé.


Alors tu me montres ? Me demandait Régis.


Lionel rigolait.


Depuis que je lui ai parlé de toi, il ne pense plus qu'à une chose.

Me défoncer le cul ?

Exactement ! Répondait Régis . Mais avant je veux voir ta cage à bite.


Il commençait à bander, Lio était plus lent, pour lui ça ne se voyait pas encore. Lio était plus gros mais lentement je voyais sa bite prendre du volume. Régis bandait rapidement, il était bien monté lui aussi mais pas autant. Un peu plus modeste de Sam même.


Je me plaçais devant eux, au milieu de mon salon, j'avalais une gorgée de bière et je leur donnais ce qu'ils voulaient. Je retirais mes vêtements en prenant bien mon temps.


Régis commentait. '' Pas mal ! '' au moment ou je me retrouvais torse nue.


J'ai jamais vu une cage à bite ! Faisait remarquer Régis.

C'est pas mal tu va voir.

Et il la garde toujours ?

Toujours et pour toujours !

La vache ! S'exclamait alors Régis.


Mon pantalon tombait, je n'avais pas de sous vêtements. Régis me regardait avec un regard qui n'avait plus rien de normal. Je le voyais ouvrir la bouche avec cette expression incrédule.


J'y crois pas ! Parvenait-il à déclarer.


Je m'approchais de lui et sans aucune hésitation il allongeait la main et me tripotait les couilles. Il rigolait en même temps, Lionel bandait bien fermement à ce moment.


Et en plus tu vas voir, il suce bien. Bon avec moi, il a du mal mais déjà il s'en sort bien.


A ce commentaire Richard se laissait tomber en arrière sur le canapé et écartait bien les cuisses.


Je te laisse faire, tu me montres maintenant.


J'avalais une nouvelle gorgée de bière et me penchais sur Richard. Il avait comme je le disais une belle bite, bien droite, grosse mais pas difforme. Je parvenais à me la prendre dans la bouche puis dans la gorge. Il me caressait les cheveus.


Tu avais raison Lionel, il fait ça bien, vraiment bien même.


Puis il gémissait de plaisir en me caressant les cheveux pour m'encourager.


C'était une nouvelle bite à découvrir, elle me plaisait, avec ma langue je la découvrais avec un grand plaisir. Je glissais ma langue en dessous, au dessus. Je m'attardais longuement sur son gland. Il avait un gland plus gros que le reste de sa queue, un peu comme un couronne. Je sentais la douceur de ce gland, je sentais sa fragilité, il réagissait rapidement. Le moindre contacte, la moindre caresse le faisait trembler ou sursauter. Par moment Richard appuyait sur ma tête. Je n'avais alors plus que le choix que de me prendre sa queue bien à fond dans ma gorge, c'était un régal !


Et si on passait aux choses sérieuses ? Demandait Richard.


Il se relevait me faisait signe de me retourner, je me retournais contre un fauteuil et me penchais en avant. Je voyais son sourire satisfait.


Mais c'est que tu l'as bien dressé ! Faisait-il remarquer à Richard.

En fait il est juste en début de dressage. Répondait Lio.


Lio me relevais, s'installait sur le fauteuil. J'ai compris le message. Je me penchais sur lui et commençait à m'amuser avec sa queue. C'est vrai que c'était du lourd. J'avais presque oublié à quel point elle était grosse. Je me souvenais du mal que j'avais à me la prendre dans la bouche.


Mon cul frissonnait, c'était Richard qui me caressait les fesses. Là c'est moi qui frissonnait, il me glissait un doigt dans le cul puis il passait aux choses sérieuses.


Une pression forte sur mon cul. Je ne voulais pas m'inquiéter, je ne réagissais pas. Puis brusquement la pression devenait intense et mon cul s'ouvrait. Il m'a fait mal, juste sur le coup, ensuite je sentais mon anus se refermer tout autour de sa queue. Elle glissait lentement en moi, entrait lentement.


J'ai voulu hurler, il me poussait en avant et je suis tombé sur la très grosse bite de Lio. Elle est entrée, elle aussi mais pas du même côté. Je me retrouvais à sucer Lio, d'une manière pas très confortable. C'est à lui que je pensais, il fallait faire un effort pour que ce soit confortable et agréable … Pour lui.


Je sentais mon cul qui était prêt à exploser ou à se déchirer. Étonnement ce n'était pas vraiment douloureux, c'était une sensation étrange. Je voyais dans ma tête ce que je ressentais dans mon corps. J'aurais du paniquer, mais étrangement je me sentais bien.


Richard écrasait son ventre sur mes fesses. J'aurais crié de plaisir mais là j'étais comme bâillonné. Seuls des sons bizarres pouvaient sortir de ma gorge. Je continuais à sucer comme je le pouvais. Une grosse queue me pénétrait les entrailles jusqu'au nombril, ou plus loin encore. Là j'étais dépassé.


Je ne savais même plus ce que je ressentais, un me limait le cul avec détermination, l'autre s'étonnait de me voir lui prendre le gland dans ma bouche. Ils appréciaient, c'était évident, ils ne pensait plus à moi, ils me regardaient que comme un objet de plaisir.


C'est un moment ou l'homme ne s'inquiète plus vraiment de la femme, enfin quand je dis femme … c'était un moment ou les deux ne me voyaient plus que comme un objet de plaisir.


Je ne vous dirais pas que je trouvait cette situation désagréable mais la question était toujours le même. Lionel avait une très grosse queue et je ne savais toujours pas si je pourrais me la prendre dans le cul. C'était trop tôt.


Je sentais bien qu'il me faudrait encore un peu d'entraînement. C'est pas facile tous les jours.



Fin de l'épisode




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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