David saison 2 ( épisodes 15 à 21 )

Ep 15 : EN VOITURE



C'était sympa ces sorties, mais David finissait par trouver agaçant de ne pouvoir se déplacer librement, il n'avait pas son permis de conduire … Une sortie au resto, un déplacement le week-end …

Un soir au resto …

David : Il me faut une voiture, on ne peut pas bouger comme on veut …
Peter : Tu n'as qu'à en acheter une … 
Matthieu : Si tu es aussi riche que tu dis ça ne devrait pas être un problème …
David : Je viens juste d'avoir dix huit ans …
Peter : Et tu n'as pas ton permis ? 
Matthieu : Évidemment sans permis c'est moins pratique …
Peter : Tu n'as plus qu'à le passer …

David faisait ma moue …

David : Il faut un certain temps pour obtenir le permis. Je vais m'inscrire bien sûr mais en attendant. J'ai une autre idée ! Mon grand père m'a dit qu'ils ne me refuseront pas grand chose !

Dès le lendemain il prenait rendez vous avec son banquier. Le banquier trouvait le moyen de se libérer rapidement et recevait David le jour même. 

Le banquier : Alors jeune homme, tu voulais me voir …
David : Il me faudrait une petit crédit supplémentaire de rien du tout !
Le banquier : Un besoin particulier ?
David : Il me faut une voiture et je n'ai pas le permis …
Le banquier : Ton crédit actuel devrait largement te permettre de te payer ton permis …
David : C'est pas le permis, bien sûr, pour ça je vais m'inscrire … C'est pour la voiture … 
Le banquier : Dès que tu as ton permis je te valide ton crédit et tu achète la voiture que tu veux !
David : Je voudrais en fait acheter une voiture dès aujourd'hui, une voiture sans permis …
Le banquier : Et tu as besoin d'un crédit pour une voiture sans permis ? ! Ces véhicules ne sont pas si cher …
David : Il me faut seulement neuf cent cinquante mille DI …
Le banquier : Presque un million pour une voiture sans permis ! Si c'est le prix qu'on veut te la vendre, c'est du vol, et ton crédit te sera refusé, ça c'est sûr !
David : On a son standing quand on est dans ma position … Je voudrais la XE301 … 

La XE301, le dernier bijoux de chez Rolls Royce, une voiture entièrement automatique, elle n'a pas besoin de chauffeur, elle est même capable de se rendre toute seule au garage pour son entretient ou d'appeler les secours en cas de panne, même si comme tout le monde le sait … Une Rolls Royce ne tombe jamais en panne … Enfin bref … !

Le banquier : La version longue ou la version courte ?
David : La version longue, il y a huit places et pour se balader à plusieurs … 
Le banquier : Évidemment ... Ça change tout ! Je vais en parler au conseil d'administration et je te donne la réponse … Mais dis moi David … C'est un caprice ?
David : Euh … Oui ! ( en baissant un peu les yeux tout de même ).

Le banquier rigolait de cette réponse … En fait David ne savait pas si le conseil allait accepter, mais son grand père lui avait dit qu'ils ne lui refuseraient pas grand chose alors … David reprenait tranquillement le fil de sa vie en attendant la réponse … Au début de la semaine suivante le banquier téléphonait à David … Le crédit était accepté ! 

David se disait que … En effet ils ne lui refuseraient pas grand chose … Le jour même il passait commande ! Les stocks sont toujours très limités pour ce genre de véhicules mais fort heureusement il y en avait plusieurs disponibles … La société proposait donc à David de la lui livrer dès la semaine suivante. David se renseignait et très vite il apprenait qu'il profitait là encore d'un régime particulier. Nombre de millionnaires attendent plus de six mois … Lui, on ne le faisait pas attendre plus d'une semaine … 

On arrivait vite au week-end et le vendredi soir c'était la fête. Peter avait invité Gus à souper à l'appartement Damien devait venir aussi. Matthieu serait là bien sûr, sa copine de l'autre jour lui avait fait faux bond …

Peter : Dis moi David il faudrait un peu organiser la soirée, passer faire des courses.
David : On sera combien au juste ?
Peter : Je sais pas, au moins cinq !
David : On a deux solutions, soit on cuisine, soit on fait appel à un traiteur !
Peter : Un traiteur, je veux bien mais c'est pas donné. Enfin si c'est toi qui paye !
David : J'ai pas l'intention de payer un traiteur mais on va quand même faire appel à un traiteur …
Peter : Là, moi, j'ai pas compris !
David : Fait moi confiance ! Toi c'est ton boulot, tu sais comment on organise une bon repas. Je te laisses carte blanche. Fais-toi plaisir. 

Amusé par la réponse Peter se lâchait. Il préparait un menu de prince, pour huit personnes … Histoire d'avoir de la marge …

Peter revenait voir David.

Peter : J'ai préparé le menu. Tu vas voir c'est princier ! J'ai dit au traiteur que la facture était pour toi, tu m'as dit de me lâcher … Je me suis lâché, et tu vas voir la facture est salée !
David : C'est parfait, tu as fait ce qu'il fallait !

Peter savait que David était plein au as aussi il ne s'inquiétait pas davantage.

Suffisamment tôt en fin d'après midi, le service du traiteur livrait le repas … Peter s'occupait de le recevoir …

Le traiteur : Bien, donc comme vous nous avez dit vous ferez le service vous même. Il ne me manque donc plus qu'une petite signature sur le reçu … 
Pete : Bien, je vais signé !
Le traiteur : Il y a aussi la facture mais, elle, elle devra être signée par Mr Brosso en personne … 

David arrivait à ce moment !

Peter : David c'est pour toi !
Le traiteur : Mr Brosso, s'il vous plaît !

David signait la facture …

Le traiteur : Je vous remercie Mr Brosso, la facture sera transmise à votre banque. Vous n'aurez à vous occuper de rien. Et je vous remercie de nous avoir choisi comme traiteur … Vous savez nous avons l'habitude de travailler avec la PK … 

Peter regardait sans comprendre tout … Le traiteur repartait !

Peter : Bein dis donc c'est encore pire que ce que j'imaginais … Et pourtant j'ai vu comment mon boss te traitait !
David : Eh oui, je ne paye même pas le traiteur !
Peter : Il va transmettre la facture à ta banque et tu va payer par virement !
David : Non, c'est la PK qui va payer … Un traiteur ça fait partie des frais de présentation ! C'est cool non ?
Peter : J'y crois pas ! Il y a encore des trucs que tu ne payes pas …
David : Non. Pas grand chose … La voiture, le chauffeur si besoin … Enfin que des bricoles … Au fait j'ai acheté une voiture …
Peter : Mais tu nous as dit que tu n'avais pas le permis … Tu viens juste d'avoir dix huit ans !
David : Mais je n'ai pas le permis !
Peter : … ?

Il lui fallait un temps de réactions puis …

Peter : NON ! Ne me dis pas que tu auras un chauffeur ?
David : Non ce serait trop compliqué à gérer ! Non, non je n'aurais pas de chauffeur !
Peter : ???

Un peu plus tard David et Peter installaient la table, c'est Peter qui dirigeait les opérations, c'était son boulot et il voulait montrer qu'il maîtrisait son affaire. David était un peu dépassé par les règles de présentation mais au final, ça en valait la peine, c'était une merveille, on se serait cru dans un grand restaurant !

Matthieu était le premier à arriver, il terminait sa journée et ne cachait pas son admiration …

Matthieu : Alors là les gars ! Vous vous êtes surpassés ! J'y croix pas, on se croirait dans un grand restaurant !
David : C'est Peter qui a tout dirigé, moi, j'ai suivi les consignes !
Peter : Et on ne touche à rien avant que tout le monde ne soit arrivé !

Matthieu partait prendre une douche. On sonnait à l'interphone, c'était Gus et Damien qui arrivaient. On les faisait entrer …

Gus : Wouah les gars c'est encore mieux qu'au restaurant de l’hôtel  … Je sais qui a mis la table !
David : C'est moi !
Damien : Toi ?
David : Bon d'accord Peter m'a un peu aidé … Bon d'accord c'est lui qui a dirigé les opérations moi j'ai suivi !

David avait prévu du champagne … Un souper au champagne ça plaît toujours à tout le monde. On passait enfin à table, l'interphone sonnait Matthieu allait ouvrir … Il revenait à la table … 

Matthieu : C'est le bibliothécaire !
Peter : Qui ?
Matthieu : Je sais pas moi ! J'ai entendu : '' C'est le bibliothécaire je viens voir si  David … ''. J'ai laissé la porte ouverte, il monte …

François arrivait.

François : Oh excusez-moi, je ne voulais pas vous déranger. J'étais juste venus te voir David, pour te proposer une pizza ou un truc comme ça. Mais bon, je vais vous laisser.
David : Non François, reste, tu ne déranges pas au contraire, plus on est de fous …
Peter : Ne t'inquiètes pas on est cinq et j'ai prévu pour huit alors …

Il ne fallait que quelques instants pour installer un nouveau couvert et François trouvait naturellement sa place. David le présentait à ceux qui ne le connaissait pas. 

Peter s'était lâché, le menu était digne d'un grand restaurant ! David ne payait rien mais s'il avait du payer il ne se serait pas inquiété davantage … La discussion était détendue, tous les regards se retournaient régulièrement vers François, il faut dire qu'il était beau, mais vraiment très beau. Un black magnifique qui s'était bien habillé pour sortir, un sourire à tomber, une élégance naturelle, une silhouette de sportif … Il était beau et en plus … Il le savait !

Terminé la sixième bouteille, l'ambiance était beaucoup plus décontractée …

François : Mais alors ici, qui est porteur d'un dispositif de chasteté ici ?

Tout le monde levait la main.

François : Quoi ? Mais alors je suis le seul à … 
Gus : Il ne faut pas nous croire, on est à moitié saouls !
Matthieu : En tout cas pas moi …
Damien : Ils sont tous fous, ne fait pas gaffe !
Peter : Il reste encore à boire, la bouteille est vide ?
Gus : Lui il est porteur ! (Montrant Peter) 
Peter : Ya pu rien à boir .. ( Hips ! ) … ( puis réagissant) … Non ne l'écoute pas je ne suis pas porteur … Mais il n'y a plus rien à boire !

David rigolait à voire la scène, chacun avait en effet bu une bouteille de champagne et ça se voyait …

François : Et toi David … ? 
David : Moi, je suis d'accord avec Peter … Yapu rien aboir …

Il se levais et allait chercher une bouteille de champagne ! Tout le monde éclatait de rire !

Peter : Je suis avec toi camarade ! Mais je pense que ce n'est pas ce qu'il voulait dire !
David : Mais il est déjà au courant !

David revenait avec trois bouteilles …

David : Tu es avec moi Peter, alors c'est toi qui ira chercher les bouteilles suivantes !

Peter se levait et allait en chercher trois autres, histoire de prendre de l'avance … 

A la fin du repas, il n'avaient plus faim … Ils étaient six, le repas était prévus pour huit … Ils n'avaient rien laissé … Dans un coin douze bouteille de champagne vides … 

Matthieu : Bein , j'ai plus faim moi ! On remet ça quand tu veux David …
François : Maintenant il faudrait faire un peu d’exercice … Pour digérer … 

Il se penchait en arrière pour se mettre à l'aise et en profitait pour caresser doucement la main de David sous la table … David lui prenait la main, et tout en parcourant du regard tous les convives il se disait que finalement … Il les connaissait tous très bien … Il se penchait alors vers François qui était le plus près et l'embrassait avec beaucoup de tendresse .

Les quatre autres garçons regardaient sans broncher mais ne loupait rien. David et François s'étaient rapprochés, ils s'étaient pris dans les bras. Leurs camarades s'amusaient de les voir ainsi enlacés et se disaient que si ça continuait comme ça il y en bien un qui allait tomber de sa chaise …

Et bien non ! Avant que cela n'arrive David et François s'étaient levés et s'étaient presque emmêles tant ils se tenaient serrés l'un contre l'autre. 

David tournait la tête vers ses camarade de table.

David : Ouai c'est bon, ne restez pas comme ça à nous regarder. Faites quelque chose !

Damien était le premier à réagir, il posait doucement sa main sur l'avant bras de Matthieu. Ces deux là ne se connaissaient pas, c'était la première fois qu'ils se rencontraient. Matthieu ne le repoussait pas, loin de là, quelques instants plus tard ils se tenaient eux aussi debout, serrés l'un contre l'autre à se faire des câlins.

Peter se retrouvait dans les bras de Gus, ces deux là par contre se connaissaient très bien.

Rapidement François se retrouvait torse nue, les autres ne le lâchait plus du regard. Les mains de David se promenaient rapidement et avec douceur sur tout son corps. David l'embrassait, sur les tétons, dans le cou, il le caressait partout ou ses mains pouvaient aller. François lui retirait la chemise et c'étaient deux corps fins et musclés qui se frôlaient, se serraient l'un contre l'autre. Contraste de couleur même si David était bronzé, les deux corps étaient minces et musclés. 

David passait longuement sa main du bas en haut du dos de François, il y rencontrait une autre mains puis encore une autre qui n'était pas à la même personne. Une petite grappe de quatre garçons s'était formée autour de François … 

David s'accroupissait, baissait le pantalon de François et sans rien dire, sans rien demander se penchait et avalait la queue de François qui lui répondait par un long gémissement de plaisir … Doucement François dirigeait David en lui caressant doucement les deux joues. François n'exerçait aucune pression sur David mais rapidement une puis deux autres mains venaient appuyer sur sa tête l'obligeant à avaler la queue de François sur toute sa longueur. David suffoquait par moment. Les garçons s'amusaient et n'avaient aucune pitié, ils lui laissait le temps de reprendre son souffle et reprenaient … François par moment intervenait en écartant les mains de ses camarades, et David savait le remercier par des caresses sur sa queue … 

Les garçons revenaient à la charge puis les mains descendaient sur les épaules, ils le caressaient sur tout le reste de son corps. Une main lui caressait le torse, le ventre, un lui pinçait doucement les tétons … La Pk de David se relevait entre ses cuisses, elle était sous pression ! D'autres mains lui massaient les bras, une partait de ses épaules, remontait les bras, les avants bras …

David était à genoux, dans son dos un de ses camarades lui glissait un baiser dans le cou, passait une main doucement le long de sa colonne vertébrale, arrivait à son pantalon et glissait alors sa main dans le pantalon, continuait les doigts entre les fesses et dans le même mouvement glissait un doigt dans l'anus … David semblait gémir de plaisir ou alors c'est qu'il commençait à fatiguer, la queue de François lui rentrait toujours jusqu'au fond de la gorge. Une autre main lui caressait le ventre en prenant bien le temps de palper tous les muscles, faisait sauter les boutons de son pantalon, se glissait alors jusqu'à la PK sur laquelle elle s'attardait avant de lui masser doucement mais fermement les couilles.

On baissait le pantalon de David, il tombait sur ses genoux, de ses deux mains François le guidait toujours, quatre autres mains se promenaient sur son corps. Un instant il regardait autour de lui, Matthieu était installé sur le canapé, nu, les jambes écartées Damien, nu également, s'était installé entre ses jambes et lui suçait la queue aussi activement que David avec François. David sentait un de ses camarade se placer juste à côté de François, c'était Gus qui lui proposait sa queue à son tour … Sans hésiter David passait au suivant, et se mettait à sucer Gus toujours aussi vigoureusement. Peter s'était retiré et regardait la scène de plus loin confortablement installé sur le fauteuil. Gus s'asseyait sur un autre fauteuil, David le suivait et François suivait le mouvement se positionnait juste derrière David … 

François s'amusait à frotter le bout de sa queue entre les deux fesses de David qui n'arrêtait pas de sucer Gus, Peter s'était approché et Gus le suçait en même temps que David avalait sa queue il avalait lui aussi la queue de Peter  … François plaçait son gland juste sur l'anus de David, il l'avait bien lubrifié et sans prévenir poussait, David poussait un cri qui n'était qu'à moitié étouffé, le pénis de François s'enfonçait entièrement, Français marquait une courte pause et vivement commençait à limer le cul de David. Il tentait de retourner la tête mais Gus le retenait des deux mains et le tirait vers lui sans pour autant arrêter de sucer Peter.

François se lâchait sur le cul à David, Gus aussi. L'un le tirait vers lui en le tenant par les hanches, l'autre le tirait vers lui en lui tenant fermement la tête. Les deux lui balançaient des coup de bassin … Pris par derrière, gavé par devant, David se contentait d'encaisser, il fermait les yeux, il pleurait, il bavait … François respirait fort et vite juste avant de jouir … Il balançait alors plusieurs coups de reins vraiment très violents, David voulait gueuler mais Gus lui bourrait aussi quelques coups de bassin pour le faire taire … David encaissait !

Quand François se retirait Gus qui était bien chaud le remplaçait et sans plus de formalités se lâchait sur le cul à David qui soufflait fort lui aussi, était tout rouge, pleurait et bavait toujours … Peter prenait position et enfonçait sa bite dans la bouche de David sans lui demander son avis … Il n'était pas rejeté et David le suçait également, il se retirait, Peter voulait le retenir mais de la main David lui faisait un signe qui voulait dire … '' On se calme, je récupère un peu ! '' … Quelques instants plus tard David reprenait …

Sur le canapé, Matthieu et Damien s'étaient calmés. Ils regardaient la scène de plus loin. Damien était dans les bras de Matthieu, ils partageaient un moment de tendresse. Gus limait de plus en plus vite, il gémissait, il râlait de plaisir … David se laissait aller, il ne tentais même plus de contrôler il se laissait faire, il se laissait aller … Le plaisir était à son sommet il vibrait, il tremblait, il ne pleurait plus mais il bavait toujours et de sa PK coulait un long filet de liquide blanc en continue. Gus gémissait de plaisir, il gémissait de plus en plus fort avant de pousser une cri '' OUI ! OUI ! AAAAh ! '' au moment ou il éjaculait. 

Peter : Oui vas-y encore, après je t'encule … Oui , C'est bon … Non ! Pas déjà !

 Peter se retirait et perdait tout contrôle et balançait deux giclées de sperme sur la figure de David qui recevait ça avec surprise mais toujours avec le sourire et avec plaisir. 

Gus se laissait tomber sur le canapé à côté de François, Peter s'effondrait sur le fauteuil, David s'écroulait sur le tapis les bras écartés, plus personne ne bougeait !



Ep 16 :  CA ROULE



Le lendemain de cette fête le réveil était laborieux, chacun se réveillait là ou il s'était endormi. David était dans son lit, il y avait quelqu'un à côté de lui qui dormait et lui tournait le dos, il ne savait pas vraiment qui c'était. David caressait doucement ce corps tout en se blottissant contre lui. Il n'ouvrait même pas les yeux, il ne savait pas qui c'était mais il avait un petit doute. Il se concentrait sur ses sensations tactiles, la peau était douce, chaude. David passait son bras par dessus son camarade et lui caressait le torse et les tétons.

Rapidement son partenaire réagissait en lui caressant la main et en poussant quelques petit grondements ? Il se réveillait ! David lui donnait un baiser dans le cou et ressentait en réponse un frémissement qui parcourait le corps qu'il tenait maintenant bien serré contre lui.

David caressait son partenaire et quant sa main arrivait au niveau de ses parties intimes, il sentait cette réaction normale, la queue de son camarade se gonflait rapidement, durcissait et se relevais, David la caressait, et souriait, son visage bien caché contre le dos de son amant.

Celui-ci lui caressait la main et remontait ses caresses jusqu'à son bras. Doucement se retournait et faisant face à David l’embrassait tendrement sur les lèvres, passait une main derrière ma tête de David et rapidement les baisers devenaient passionnés. Les deux garçons s'enlaçaient maintenant avec force et se caressaient avec fougue.

David n'avait toujours pas ouvert les yeux mais il avait reconnu François, un court instant il ouvrait un œil, comme pour s'assurer qu'il ne se trompait pas. Son camarade gardait lui aussi les yeux fermés.

François : Retourne toi !

David se retournait, toujours en gardant les yeux fermés. Il sentais les baisers de François dans son cou, ses caresses sur sa poitrines. Il sentait une main qui lui caressait les couilles, il sentait la pression monter dans sa cage de chasteté, il sentait ce dispositif se relever, sa queue qui voulait grossir, durcir et se redresser mais qui ne le pouvait pas et ne le pourrait plus. Il sentais ce désir monter en lui, cette frustration, cette douce frustration le submerger, il sentait la pression de la queue de François contre son anus, il se relâchait, se détendait … Il sentait alors la grosse queue de François s'enfoncer en lui provoquant un plaisir immense, chaque centimètre le remplissait un peu plus puis c'était la pression du ventre de François qui appuyait contre ses fesses et là David se sentait rempli. Son anus était bien dilaté, son cul était plein et une douce pression contre sa prostate provoquait déjà une envie d'éjaculer.

François se blottissait contre David et le serrait bien fort contre lui, il lui mordillait la base du cou dans le dos, David frissonnait de plaisir, il gardait toujours les yeux fermés, il respirait fort, et gémissait doucement. Ses mouvements devenaient plus lents … François ne bougeait plus … Un moment David se demandait si en fait François ne s'était pas rendormi, il sentait sa respiration douce et régulière dans son oreille. Mais en tous cas il bandait toujours !

David n'avait aucune idée du temps qui s'était passé, les caresses de François l'avait réveillé de nouveau. François bandait toujours, toujours aussi ferme et commençait bouger lentement son bassin d'avant en arrière, lentement puis il accélérait le mouvement. David en avait presque le souffle coupé mais rapidement se détendait totalement et se laissait faire. François le poussait fermement pour qu'il s'allonge sur le ventre, David ne résistait pas. Sans ressortir sa queue François suivait le mouvement qu'il provoquait et se retrouvait allongé sur son petit camarade, le forçait à serrer les cuisses … '' … Comme ça  ton cul sera plus serré, tu va voir tu vas aimer !'' … Et rapidement autant que violemment commençait à se lâcher sur le cul de David avec des mouvements de vas et vient, amples, rapide et violents … Il le chevauchait, il avait placé ses genoux à l’extérieur des cuisses de David.

David râlait de plaisir et se cramponnait à ce qu'il trouvait, un drap, c'était pas efficace mais il n'avait rien d'autre. François s'était allongé sur David et le chevauchait de tout son poids. Ses fesses étaient serrées et l'accès n'en était que plus étroit. David la sentait bien la bite de François, la position ne facilitait pas la pénétration mais en amplifiait la sensation chaque mouvements lui dilatait l'anus, François ne retenait pas ses mouvements, il y allait de bon cœur. David avait le réflexe d'écarter les cuisses mais François l'en empêchait avec ses genoux. David sentait le plaisir monter, la veille l'avait bien dilater, et son plaisir n'en était que plus intense. Il jouissait, il gueulait de plaisir, il sentait sa prostate qui lui donnait l'impression que son anus allait exploser, il éjaculait, il tremblait.

C'est à ce moment que la respiration de François devenait plus forte, moins régulière, il râlait lui aussi, serrait fort dans ses bras David. François poussait un cri de plaisir au moment ou il éjaculait dans le cul de David puis se laissait tomber sur le dos de son amant.

Les deux garçons ne bougeaient plus, François s'était laissé tombé sur David et lui donnait régulièrement des baisers dans le cou et sur le haut du dos. Il ne s'était pas retiré et commençait à débander lentement. David avait encore quelques petites convulsions par intermittence.

Plus tard les deux garçons se levaient pour se diriger vers la salle de bain, David remarquait alors qu'il n'avait pas éjaculé, il avait jouit mais à sec ! Il se disait qu'il s'habituerait bien à ce genre de réveil et réfléchissait à organiser ce genre de soirées plus régulièrement.

Sous la douche ils ne disaient rien, chacun prenait soin de l'autre, toujours des caresses, toujours des câlins, toujours beaucoup de tendresse, François Bandait mou et montrait fièrement à David une grosse molle, il y avait encore de la pression dans le dispositif de chasteté de David mais de ce côté aussi le calme revenait et le dispositif commençait à pendouiller mollement entre ses cuisses …

C'est sans prendre la peine de s'habiller que les deux garçons passait à la cuisine, il y avait déjà ( enfin déjà … ! C'était … déjà … la fin de la matinée ) Matthieu le second colocataire de David qui prenait son petit déjeuner …

Matthieu : Bien dormi les filles ?
David : Super bien dormi !
François : Et le réveil … Je te dis pas !
David : Tu es tout seul ?
Matthieu : Oui les autres sont partis, mais tu as vu il ont fait du rangement avant de partir …
David : Ils sont adorables.
Matthieu : C'était une bonne soirée !
David : Il faudra remettre ça …

François restait tout le reste du week-end. Le soir David invitait tous le monde au restaurant, et la soirée se prolongeait tard en boite de nuit … François et David devenaient inséparables par la suite …

Dans la semaine qui suivait David recevait sa voiture … Il n'y pensait plus à sa voiture, il ne pensait plus qu'à François … Mais quand il l'a vu, devant sa maison, il y avait deux représentant du garage qui l'attendait … Elle était magnifique, jusque dans le moindre détail, les portières se relevaient complètement, deux marches sortaient pour permettre un accès simplifié, on y montait debout et on y était un peu comme dans un salon … Il n'y avait aucun dispositif pour conduire le véhicule, il était entièrement automatique et obéissait à la parole … David devait enregistrer tout une série de phrases pour permettre à sa voiture de le reconnaître, il prenait également la pause devant pour que sa voiture puisse photographier son nouveau propriétaire et le reconnaître plus tard , prise des empreintes digitales, palmaires ainsi que l'empreinte des yeux … La voiture était désormais la sienne, désormais elle lui lui obéirait !

Bien sûr, on ne demandait pas d'argent à David !

Rapidement un attroupement se faisait autour de la voiture, le voisin du rez de chaussée arrivait pour voir. David entendait une voix qu'il ne reconnaissait pas … '' Je vois Mr Brosso que vous suivez la tradition des directeurs du groupe … '' . David se retournait, c'était son voisin du rez de chaussée, ils se connaissaient bien sûr mais ils ne se voyaient pas souvent.

David : Que voulez-vous dire par là José ?
José : Il y a bien longtemps que les directeurs ont choisi cette marque ! Vous ne les avez pas vue dans le garage ?
David : Le garage ! Quel garage ?
José : Mais le sous sol ! Vous n'y êtes jamais allé ? … Venez je vais vous montrer.

En effet, au rez de chaussée, à côté de l'appartement de José, le gestionnaire du patrimoine de la PK dans la région, il y avait une grande porte de garage. David était passé devant des centaines de fois sans y prêté attention, José le faisait passer par l'entrée principale de l'immeuble. Quand ils arrivaient au sous sol c'était le choc !

D'abord une surface gigantesque, il y avait près de cinq cent mètres carrés de parking et déjà un grand nombre de voitures sous des bâches qui faisaient penser à David à un parking fantôme.

José : Alors vous n'êtes jamais venu ici ?

David faisait non de la tête, il n'en revenait pas … José soulevait une bâche …

José : Celle là, c'est ma préférée … Elle est belle non ! Elle a presque un siècle d'âge et est en parfait état … Il suffirait de prendre les clés et de prendre la route, le plein est fait … Bien sûr …

David était émerveillé, elle était vraiment très belle mais ne ressemblait à aucun modèle connu de ce fabriquant.

José : Elle a appartenu à un de vos ancêtre, ou presque, le frère de votre aïeul Jérémy, Luc était passionné par les voitures de cette marque, il en a possédé plusieurs mais … Celle là est un modèle spécial … Faites sur commande, c'est un modèle unique. A elle toute seule, elle vaut beaucoup plus chère que l'immeuble … Et de très loin …

David restait là à admirer ce véhicule, José soulevait une autre bâche, Une autre Rolls … Puis encore une autre …

José : Il doit y en avoir un demie douzaine, qui ont appartenu à Votre grand oncle Luc Brosso … Une à Jérémy Brosso, eh oui une seule pour lui … Et pour finir une autre étonnante également, plus ancienne mais tout aussi magnifique … Il soulevait encore une bâche et découvrait une autre merveille …

José : Celle-ci appartenait au derniers des Le Conte, elle ne roule plus que pour assurer sa maintenance !
David : Parce qu'elles roulent encore ?
José : Mais bien sûr, régulièrement des techniciens viennent et s'assurent que tous ces véhicules sont en parfait état, et ils les font rouler …
David : J'aimerais bien en conduire une un jour.
José : Mais il suffira de demander aux techniciens quand ils passeront.
David : … Quand j'aurais mon permis ! …

David parcourait des yeux le reste du garage, il y avait encore des bâches …

José : Le deuxième sous sol est réservé à des voitures un peu différentes … Il y a même une Bugatti ! On va vous réserver une place dans le premier sous sol, on l'a enregistrer  dans l'ordinateur de la voiture et  ainsi elle pourra rentrer toute seule pour dormir le soir …
David : Je ne savais pas qu'il y avait un parking comme ça sous mes pieds …
José : Étonnant non ! Mais il va bientôt se vider, ces voitures attendent en fait d'être transférées au musée.
David : Au musée ?
José : Oui on prévoit depuis déjà un moment la création d'un musée des automobiles ayant appartenu à votre famille.

Ils finissaient par remonter du garage, David avait un peu le tournis. Le soir même sa nouvelle voiture entrait toute seule dans le garage, le lendemain matin, elle l'attendait devant l'immeuble pour le conduire à l'université …

A l'université c'était la surprise et un attroupement se faisait autour de lui au moment ou il sortait de sa voiture, l'année avaient commencée depuis peu mais David, avec sa gentillesse naturelle, s'était fait de nombreux amis qui arrivaient tous pour admirer le véhicule, et tout le monde avait les yeux rivés sur la voiture quand elle partait seule se garer sur le parking de l'université, il y avait quelque chose de magique dans son déplacement !

Rapidement tout le monde s'habituait à ce spectacle tous les matins, il faut dire qu'il y avait de nombreux cadres de la PK qui soit vivaient à l'année soit passaient dans cette ville et un certain nombre d'entre eux utilisaient une voiture de cette marque, on en voyait donc régulièrement, même si celle de David était de loin la plus extraordinaire … Après ce serait lui le big boss … un jour … c'était donc normal !

Dans l'esprit des gens il serait le prochain directeur ! Lui ne s'était pas encore décidé mais les cours qu'il suivait le menaient directement à ce poste ! En plus, même s'il n'était pas en tête des étudiants, il était tout de même cité parmi les étudiants les plus sérieux ! On avait trouvé une place pour sa voiture, juste à côté de celle du directeur de l'université, ça faisait deux voitures de la même marque côte à côte …

La vie étudiante prenait son rythme de croisière, le matin c'était surtout les cours l'après midi était principalement réservé aux études, recherches et sport … Depuis toujours cette école donnait une grande place au sport, son fondateur et ancien élève Jérémy Brosso l'ancêtre de David en avait été l'un des plus grands champions … On allait bientôt fêter son arriver dans cette école un siècle plus tôt, comme étudiant …

Pour être plus claire … Jérémy n'avait pas vraiment fondé cette école, il y avait été étudiant un siècle plus tôt, au moment ou la direction de PK C '' Purity Keeper Companie '' la société qui ( entre autre ) fabrique et diffuse ces dispositifs de chasteté, avait décidé de prendre le contrôle de l'école et d'en doubler la taille, l'école était déjà vieille de plus d'un siècle. Par la suite, sous la direction de Jérémy Brosso, elle s'en encore agrandie pour doubler en développant un nouveau bâtiment pour filles de l'autre côté du parc qui courait devant toute la façade principale. Désormais ce sont deux immenses bâtiments de plus de huit cent mètres de large qui se font face … Depuis peu un autre bâtiments est en construction derrière le campus de l'école réservée au garçons … C'est la ville qui est en train de se transformer en école, on a l'impression que si on continue il y aura bientôt plus d'étudiants que d'habitants non étudiants …

La PK possède désormais une très grande partie de la ville, mais comme il n'y a ni problème de chaumage, ni insécurité, que tout fonctionne bien, personne n'y trouve rien à redire, on y est comme dans un fief don David serait le seigneur … Et tout le monde l'aime !

Il vit comme tout le monde, si on ne tient pas compte de son logement ou de son véhicule … Il se donne à fond, tous les après midi c'est entraînement sportif dans le stade … Un petite installation que la PK s'est offert et qui peut recevoir quatre vingt mille spectateurs … ! Eh oui, dans une ville qui contenait quinze mille habitants ( avec ses faubourgs ) et presque autant d'étudiants … C'était un projet de fou mais tous les ans depuis un siècle il y avait ici une compétitions sportive qui réunissait les meilleures équipes des meilleures universités de la planète. Les sportifs, quand ils ne participaient pas, se retrouvaient dans les gradins à soutenir leurs copains, il fallait donc leur prévoir  aussi des places de spectateurs … Des logements annexes étaient aussi prévus et ouverts principalement pendant les deux semaines de la compétition !

Ce jour là François était passé encourager David. La course, c'est là que David était le meilleur, il devenait même très bon et s'il continuait à progresser comme il le faisait on pouvait même espérer le voir monter sur le podium … Les entraîneurs lui en parlaient souvent, et ne lui cachaient pas que s'il ne parvenait pas au niveau, ils souhaitaient qu'il ne participe pas à la compétition et se contente de la présider …

François : Alors bonhomme ! Tu nous rapportes combien de médaille d'or à la fin de l'année !
David : Peuuuu … Les entraîneurs ne veulent pas que je participe !
François : Mais pourquoi ?
David : Je suis le descendant directe du grand champion … Et si je ne suis pas sûr et je dirais même absolument sûr d'avoir une médaille d'or, ils ne veulent pas … C'est ce qu'on va voir !

David continuait à s'entraîner sous le regard de son copain dont les yeux commençaient à pétiller …

David : Tiens tu viens avec moi, je vais te montrer comment c'est à l'intérieur.

David vivait comme tout le monde ( ou presque ) mais il avait toutefois dans l'installation sportive une loge particulière. Le plus souvent il ne s'en servait pas mais ce jour là …

Il faisait entrer François. Lui faisait visiter les installations … Normalement l'entrée était interdite aux non membres, c'est à dire aux non porteurs mais dans la mesure ou François accompagnait David, personne ne lui demandait rien. François connaissait les lieux mais il ne connaissait pas les vestiaires privés.

David : Tu as vu ça ! J'ai droit à des vestiaires personnels, c'est une véritable loge !

C'était un peu comme un petit appartement, il y avait un téléphone, une télévision,  un grand canapé sur lequel on pouvait dormir sans problème, un tout petit coin cuisine et une belle salle de bain avec douche et baignoire.

François : Je ne savais pas qu'il y avait des vestiaires privés !

David lui caressait alors la joue, passait sa main derrière sa nuque et tirait son vissage vers lui pour l'embrasser … François ne résistait pas et lui rendait ses baisers. Ils savaient que personne ne viendrait les déranger et rapidement ils se retrouvaient nus …

David : Mais pourquoi te te déshabilles toi, tu n'as pas besoin de prendre de douche ?
François : Mais uniquement pour te frotter le dos sans risquer de me mouiller !
David : Bon dans ces cas là … D'accord !
François : Et puis je te ferais remarquer que c'est toi qui m'a retiré mes vêtements.
David : C'était … pour que tu puisse me frotter le dos.
François : Je préfère ça, tu sais je ne suis pas un  garçon comme …

Un baiser de David le faisait taire …

David : Un garçon comment ?
François : Un garçon facile …
David : Mais j'espère bien !

David le tirais sous la douche, dans la baignoire on ne tenait pas à deux. Rapidement les deux corps se recouvraient l'un l'autre de savon qui moussait et rappelait à David des moments délicieux, la mousse blanche sur la peau sombre de son camarade, le ramenait quelques mois en arrière, chez son grand père. Dans sa cage de chasteté la pression montait, le désir de se faire défoncer le cul aussi.

David  se penchait en avant et caressait quelques instants la belle queue de son amant qui se redressait avec vigueur, bien dure, bien droite, bien … grosse. François le guidait avec douceur avec ses deux mains posées sur les tempes de David. Il avançait doucement le bassin d'avant en arrière poussant sa queue entière bien à fond dans la gorge de David qui manifestait sa satisfaction par des sons gutturaux des plus étranges.

François passait ensuite une main derrière la tête de David et exerçait alors une pression plus forte, par réflexe David résistait mais François n'en tenait pas compte et forçait plus fort à la moindre résistance. Par moment David semblait suffoquer, un court instant François lâchait alors la tête de son partenaire, le laissait reprendre son souffle puis revenait à la charge et enfonçait de nouveau sa queue sur toute sa longueur.

Avec les deux mains il retenait la tête de David fermement, David ne pouvait alors plus bouger, ne pouvait plus respirer non plus et c'est quand il tentait vraiment de se dégager que François le relâchait … David regardait alors François en bavant et en retrouvant son souffle, le visage rouge qui donnait l'impression qu'il pleurait avant d'y retourner et d'avaler la bite de son amant qui le laissait libre de ses mouvement avant de recommencer et de retenir son visage contre son ventre.

Le jeu durait un long moment et François répondait aux sons gutturaux de David par des râles de plaisir et des gémissements de plaisir de plus en plus fort. Sa respiration devenait plus forte, un cri, un mouvement du bassin plus violent que les autres, une pression des mains plus forte qui plaquait le visage de David contre son ventre et il jouissait dans la bouche de David qui n'avait plus que le choix d'avaler et qui le faisait avec plaisir. La tension retombait, sauf pour David qui en redemandait encore et qui sentait son dispositif de chasteté se balancer avec des saccades qui suivaient les battements de son cœur.

David se relevait et continuait à embrasser et à caresser son partenaire...

David : ( sursautant ) Mais tu as vu l'heure ?
François : Et alors …
David : Je vais être en retard, le directeur m'a demander de passer le voir, il y aura le maire il m'a dit …

David attrapait son téléphone …

David : Oui c'est bien moi, tu pourrais m'attendre devant la sortie du stade ?
François : Tu téléphone à qui ?
David : Mais à ma voiture voyons !

Les deux garçons s'habillaient rapidement, la voiture attendait en effet devant la sortie et au moment ou David sortait, elle s'avançait pour accueillir son propriétaire. François regardait la voiture approcher ...

François : Je crois que je ne m'y ferai jamais ! Tu peux me déposer  quelque part ?
David : Bien sûr monte, elle te conduira ou tu veux pendant que je serai à mon rendez-vous.



Ep 17 :  LE  RETOUR DE PHILIPPE



David arrivait juste à l'heure. C'était comme avec un vrai chauffeur qu'il donnait des consignes à sa voiture, lui demandant le venir l'attendre après avoir conduit François et de l'informer par SMS s'il y avait un contre temps …

François écoutait comme pétrifier.

François : C'est fou ça, tu lui parles comme on parle à quelqu'un … Tu crois que je peux en faire autant.
David : Bien sûr, simplement mes ordres auront priorité sur les tiens et tant que tu ne contredis pas les consignes que je lui donne elle est à ton service maintenant !
François : Et si je lui demandais de m'emmener faire … Je sais pas moi … Le tour du monde ?
David : Tu es un marrant toi ! Elle doit m'attendre à la sortie de ma réunion, donc si tu lui demande de t'emmener trop loin elle ne pourrait pas revenir à temps … Elle m'informerait donc de ta demande avant de l'exécuter !
François : C'est vraiment étonnant ! Je crois que je ne m'y ferai jamais !

David s'éloignait en regardant son camarade qui semblait émerveillé de se retrouver là à commander un tel engin !

François : Voiture … Toi pouvoir me conduire à la bibliothèque de ville !

David éclatait de rire … Et pendant que la porte se rabaissait doucement une voix douce lui répondait …

'' … Si j'ai bien compris votre requête vous souhaitez que je vous conduise à la bibliothèque de la ville ? … '

David : Parle lui normalement, elle nous comprend !
François : Euh … Oui … C'est ça …

La voiture démarrait et François avait l'air d'un gamin avec un grand sourire béat dans cette étonnante voiture ! 

Sans plus attendre David entrait dans la fac en courant et se rendait au bureau du directeur, le concierge le laissait passer sans poser de questions. Arrivé au bureau de son directeur la secrétaire lui ouvrait la porte en lui disant qu'on n'attendait plus que lui.

David entrait.

Le directeur : Ah David ! On n'attendait plus que toi !
Le maire : Mr Brosso, c'est toujours un plaisir de vous rencontrer …

Quelques autres personne moins connus étaient présents, il y avait le voisin du rez de chaussée de David, José, qui assurait la gestion du patrimoine de la PK dans la région …

Le maire : Bien nous pouvons commencer … Nous allons bientôt fêter le centenaire … comme vous le savez il y a cent ans le jeune Jérémy Brosso, un aïeul de notre directeur Mr David Brosso, arrivait dans notre ville, il était étudiant et il s'inscrivait à notre université … La suite nous la connaissons tous et c'est cet événement que nous allons fêter … 

'' Mais il y va un peu vite lui … Se disait David … Je ne suis pas encore le directeur, pour le moment je ne suis qu'un étudiant en première année … en début de première année '' 

David apprenait ensuite que la construction d'un immense local venait d'être terminée, au fond de la galerie marchande qui s'ouvrait juste à coté de la banque. Il était prévu d'en faire un musée automobile, on devrait y exposer les véhicules ayant appartenu à la famille des dirigeants de la PK depuis un siècle.

José sortait Les photos des voitures et David reconnaissait l'endroit ou elles étaient prises. C'était dans son sous sol. La discussion continuait on placerait à l'entrée la très belle Rolls qui avait appartenu à Mr Le Conte un siècle plus tôt, C'était un véhicule d’exception que nombre de musées de ce genre allait envier, David l'avait vu quelques jours plus tôt et en effet il s'en souvenait, elle était magnifique … 

Juste après on pensait mettre la première voiture que Jérémy Brosso s'était payé, une très belle voiture Allemande, elle paraissait presque banale à côté de la première même si elle avait tout de même, elle aussi, beaucoup de classe …

Viendraient ensuite les voitures qui avaient appartenu à Luc Brosso, celui là il avait craqué sur la voiture de Mr Le Conte quand il était monté à bord et il était passionné par ces voitures Anglaises de très grands luxe , et rien que dans le sous sol de David on trouvait une demie douzaine de ses Rolls-Royce, il y en avait encore autant et même plus dans d'autres abris …

David prenait le temps de regarder les photos puis s'arrêtait brusquement sur une voiture qui lui était familière … 

David : Cette voiture me rappelle quelque chose …

José regardait le dos de la photo …

José : C'est une voiture qui appartenait à votre père il y a quelques années.
David : C'est vrai ! Mais j'ai tendance à oublier que mon père aussi est un héritier de la PK … C'est sans doute parce qu’il ne m'a jamais parlé de cette société … 
José : Vos parents on été invité pour l’inauguration, Toute la famille aura une place d'honneur. 
David : Une voiture qui a appartenu à mon père, je m'en souviens j'étais encore enfant … Même les voitures de mon père …
José : Mais votre père aussi est un Brosso … Il reçoit une rente, tout comme vous … Et tout comme vous il ne paye pas ses voitures … 

La réunion se prolongeait encore un long moment, on lui montrait une maquette, des plans … Le musée présenterait bien sûr des voitures d'exception, mais ce qui comptait surtout ici, c'est que c'étaient les véhicules ayant appartenu à la famille Brosso, il y aurait un espace pour les motos, quelques scooters, pas de vélos, bons là il ne faut pas exagérer …

David se disait : '' Grand père avait raison, ici on nous voue un véritable culte … C'est un peu trop quand même … Je finirai peut être par faire comme lui et ne plus revenir ici que rarement !

Quand la réunion se terminait enfin, David retrouvait sa voiture qui l'attendait devant le bâtiment. Le toit se relevait et la portière de la voiture s'ouvrait à l'approche de son passager. 

'' Je suis heureuse de vous revoir Mr Brosso, j'ai conduit votre ami comme vous me l'avez demandé. Rentrons nous à la maison maintenant ? ''

David : A la maison oui, la réunion a durée plus longtemps que je ne le pensais, et je suis fatigué ! 

La voiture faisait route, sans personne pour la conduire, sa manière de se déplacer était à la fois rapide, fluide et précise. David se laissait aller à se détendre et à fermer les yeux, s'amusant de la situation … De retour à la maison, David et ses camarades se commandaient une pizza.

François venait de plus en plus souvent à l'appartement, il n'était pas rare qu'il y passe la nuit. David organisait une soirée repas tous les vendredi soir pour marquer le début du week-end, plus raisonnable que la dernière fois mais en se faisant plaisir tout de même, le habitués y étaient conviés, parmi eux on retrouvait Linda, ses amours avec Mathieu étaient turbulentes, mais le plus souvent ces deux là étaient réconciliés. On voyait aussi François ses amours          avec David devenaient quasiment exclusives … David lui avait même donné le numéro de téléphone de sa voiture … 


Ce jour là David avait emmené son ami visiter le sous sol, François n'en revenait pas, ce sous sol était un véritable musée automobile ! Des voitures de luxe partout, les clés étaient dessus et elles étaient toutes en état de rouler … 

François en choisissait une de belle taille, très confortable … Il ouvrait la portière, attrapait David et l’entraînait à l'intérieur. Il le jetait sur la banquette, elle était large spacieuse et terriblement moelleuse … David ne résistait pas, même pas un tout petit peu !

David se retrouvait allongé sur le dos sur le siège arrière d'une voiture centenaire, François s’allongeait sur lui, le prenait dans ses bras et l'embrassait tendrement. David le serrait fort contre lui, il aimait de plus en plus la douceur de cette peau qui lui rappelait tant de souvenirs chez son grand père. Rapidement il ouvrait la chemise de son camarade qui se relevait alors pour la jeter sur la moquette. 

François se penchait de nouveau vers David et lui glissait les mains sous sa chemise, il relevait les bras en arrière pour laisser son camarade faire il était  en toute confiance et aimait tellement ces caresses contre son ventre  puis contre son torse. Déjà il gémissait de plaisir, et déjà la pression dans sa cage de chasteté se faisait sentir, une fois encore elle devenait trop petite mais toujours elle retenait sans difficultés ce qu'elle était destiner à contenir … 

David caressait les bras de son amant, il avait ouvert la chemise et embrassait le torse de David alors que ses mains s'étaient glissées derrière ses épaules et le soulevait avec force et douceur. David enlaçait son amant et ne résistait pas. Sa chemise tombait à son tour sur la moquette. Il faisait frais dans ce sous sol mais dans la voiture il faisait chaud !

Les deux amants s'embrassaient en se tenant l'un l'autre fermement. David glissait une main vers la ceinture de François, l'ouvrait et glissait une main dans le pantalon de son camarade. Lui aussi avait beaucoup de pression, mais cette pression là pouvait s'exprimer librement. François bandait ferme, il se relevait et quand son pantalon tombait sa queue se relevait fièrement. David n'attendait pas pour la prendre dans sa bouche, la lécher, la sucer et l'avaler sur toute sa longueur. C'est François qui gémissait alors de plaisir …

François caressait les cheveux de David, appuyant doucement sur la tête tout en donnant de légers coups de bassin. David avait maintenant l'habitude d'avaler cette queue et de toutes évidences il aimait ça. Il tirait son camarade vers lui quand celui-ci appuyait sur sa tête et avançait le bassin. Les mouvements devenaient plus puissants, plus rapides … Les râles de plaisir de François devenaient plus sonores, il ne se retenait pas de gueuler de plaisir, d'encourager son camarade … Mais il est vrai que ces voitures sont insonorisées …

François était nu allongé sur le dos, David nu également allongé sur son camarade le caressait avec tout son corps, l'embrassait, le caressait, revenait sur son sexe qu'il gobait avec plaisir et expertise puis sur ses lèvre qu'il embrassait avec avidité. Toujours cette pression dans sa PK, toujours cette tension … Il respirait fort et râlait lui aussi de désir.

La queue de François se relevait, David prenait position, il s'asseyait dessus, doucement pour commencer … La queue de François appuyait sur l'anus de David … Plus fermement David sentait la pression qu'il provoquait . Il sentait son cul se détendre et s'ouvrir. Il se sentait pénétré puis remplis … Il s'appuyait complètement et il sentait la queue de son camarade s'enfoncer complètement et presser sur sa prostate … Puis sans que rien ne prévienne il sentait du sperme couler de sa cage de chasteté. Il baissait les yeux, il jutait.

Le plaisir qu'il ressentait venait de sa prostate pas de sa queue. Il jutait sans jouir … Sans jouir mais pas sans plaisir … C'est toujours une sensation étrange que de voir couler son sperme et d’éprouver du plaisir par une autre partie de son corps que de sa queue … Pour finir David se laissait tomber de tout son poids sur la queue de son camarade et se retrouvait empalé pour le plaisir.

François se relevait et prenait David dans ces bras. Ils se retrouvaient enlacés, François assis en tailleur sur la moquette, David empalé sur son ami, les jambes croisées dans son dos. François se balançait doucement d'avant en arrière et David gémissait fort à chacun de ses mouvements, il jutait toujours mais moins que tout à l'heure … 

François repoussait son ami en arrière, sa queue toujours très dure lui appuyait alors plus fortement sur la prostate … David gémissait, il poussait de vrais cris de plaisir. François lui relevait les jambes en lui posant les chevilles sur ses épaules et commençait à lui pilonner le cul, doucement pour commencer puis plus fortement et pour finir sans aucune retenue. 

David se retenait aux bras de son amant, il râlait de plaisir, il respirait fort, il gueulait en redemandait. Il se retrouvait dans une position ou il ne pouvait que subir, il subissait avec plaisir. La pression dans sa PK ne diminuait pas et ses gémissements se transformaient en plaintes … Des plaintes qui par moment ressemblaient à des sanglots. Il jouissait, maintenant il jouissait même s'il ne jutait plus !

D'un geste vif François le retournait et David se retrouvait à quatre pattes, les mains appuyées sur la portière. François continuait à lui défoncer le cul dans les règles, c'est à dire sans aucune retenue, il y allait de bon cœur et terminait chaque mouvement par un violent coup de reins qui arrachait un cri de  plaisir à David, un cri de plaisir, un gémissement, une plainte. 

Il faisait maintenant très chaut dans la voiture et les vitres étaient recouvertes de buée. On ne pouvait plus voir ce qui se passait dehors, mais de l'extérieur on devait facilement deviner qu'il se passait quelque chose dedans … De l’extérieur on pouvait voir la voiture bouger et on voyait aussi, et c'était la seule chose qu'on voyait d'ailleurs, la paume d'une main appuyée contre la vitre recouverte de buée à l'intérieur de la voiture.

David s’appuyait contre la vitre quand François se lâchait et jouissant dans son cul … 

Les deux amants restaient là un moment, encore mélangés, sans rien dire sans bouger... Des bruits venaient de l'extérieur … Rapidement ils se rhabillaient, se rendaient présentables et allaient sortir au moment ou la portière s'ouvrait … 

David voyait alors apparaître son grand père Philippe …

Philippe : Ah tu es là toi ! Ça fait un moment que je te cherche partout .. Tu me présentes ?
David faisait les présentations. Finalement les deux garçons sortaient de la voiture …

David : Je faisais visiter le garage à mon camarade …

David et François réajustaient leurs pantalons …

Philippe : Tu sais David … Je suis loin de pouvoir imaginer ou supposer ce que vous faisiez tous les deux mais … Comment dire … J'ai l'impression que vous vous êtes trompé de chemise quand vous vous êtes rhabillé …

David se retournait vers son camarade et … En effet ils avaient inversé leurs chemises … David devenait tout rouge et son camarade probablement aussi mais, lui, ça se remarquait beaucoup moins … 

Ils échangeaient à nouveau leurs chemises rapidement sous le regard rieur de Philippe …

François : Je suis confus Monsieur, Je vous jure que ne ce n'est pas ce que vous croyez …

David le regardait l'air incrédule et se demandait … '' Comment va-t-il terminer son explication celui là ? En général quand on commence comme ça on s'enlise … ''

Philippe : Que ce n'est pas ce que je crois ! Mince alors moi qui croyais que vous étiez seulement en train de visiter un garage rempli de magnifiques voitures … 

Philippe prenait alors la direction de la sortie en rigolant …

François regardait David l’air incrédule. David lui répondait en hochant les épaules et en lui faisant un sourire béat et idiot … 

Philippe : J'ai vu que tu avais acheté une voiture … Tu exagères tout de même … Ton banquier à même pris ta défense en m’expliquant que tu n'avais pas le choix puisque tu n'as pas ton permis … Quand je t’ai dit qu'ils ne te refuseraient pas grand chose … Je ne pensai pas qu'ils iraient jusque là … Une voiture à près d'un million !
David : Je ne savais pas que tu devais revenir …
Philippe : Mais c'est à cause de l'exposition, le directeur de la PK m'a demandé si je voulais bien superviser son organisation …
David : Et tu es repassé en Afrique ?
Philippe : Oui entre autre.
David : Tout le monde va bien ?
Philippe : Tout le monde va très bien ! Tu aurais vu ça, quand je suis arrivé ils m'ont presque sauté dessus pour avoir de tes nouvelles. Ils t’ont adopté tu sais … 
David : Moi aussi, et j'ai passé deux mois absolument merveilleux là bas.
Philippe : Mais je vois qu'ici aussi ça se passe bien. ( en jetant un œil vers François )

François avait l'air confus, il suivait sans oser rien dire et à cette dernière réflexion il regardait ses chaussures, il était visiblement embarrassé, ce qui amusait beaucoup Philippe …  David lui prenait la main pour le réconforter, dans un premier réflexe François tentait de se dégager mais comme David insistait il finissait par laisser faire.

Philippe : J'ai vu Matthieu à l'appartement, tu as suivi mon conseil finalement …
David : Bein oui !
Philippe : Laisse moi deviner … Matthieu il ne porte pas ?
David : Bein non !
Philippe : C'est aussi pour cela que tu l'as choisi ?
David : Bein oui !
Philippe : Et ton copain François … Il ne porte pas non plus  ?
David : Bein non !
Philippe : Et c'est aussi ce qui t'attire chez lui ?
David : Bein oui !
François : David … S'il te plaît …
Philippe : Ne soit pas gêné mon garçon. On est en famille !
David : Au fait qui va venir exactement ?
Philippe : Ton père m'a fait savoir qu'il ne viendrait pas !
David : Et pourquoi ?
Philippe : Tu sais que je suis contre et même formellement contre le fait de faire porter de force notre dispositif de chasteté … Ton père a refusé ! C'est pour cela qu'il n'est pas sur la liste des héritiers … Il n'est d'ailleurs pas allé dans cette université … Il préfère rester en retrait vis à vis de la PK … 
David : C'est dommage ! J'airais bien aimé le voir, lui montrer ou j'habite …
Philippe : Il viendra mais à titre privé et un peu plus tard quand les festivités seront terminées …

Les trois hommes remontaient et s'arrêtaient au premier étage …

Philippe : Au fait mon valet de chambre qui s'assure que mon appartement est toujours en état de me recevoir m'a signalé qu'il devait régulièrement renouveler le stock de champagne … 
David : Du champagne ? Il y en a … ! Je ne te dis pas ... ! Qui sont sans gêne … 
Philippe : C'est bien vrai ça ! Surtout si c'est quelqu'un qui est trop jeune pour en acheter lui même … Il faut avoir vingt et un ans comme tu le sais …
David : Mais moi grand père je n'en ai que dix huit … Tu le sais bien ! 
Philippe : Bourrique ! 

François rigolait doucement en les écoutant …

Philippe : Bon tu manges avec moi ce soir, je compte sur toi aussi François ! Je vous laisse il faut que j'aille acheter du champagne … 

David et François remontaient au second étage …

François : Ça ne va pas faire de problème ça ? 
David : Quoi ?
François : Les bouteilles de champagne ?
David : Non, si grand père avait vraiment voulu m'engueuler il l'aurait fait ! La c'était juste une manière gentille de me dire de ne pas trop exagérer … 

Le reste de l'après midi David racontait à son copain ses vacances en Afrique chez son grand père, François comprenait rapidement la complicité qu'il y avait entre ces deux personnages. Histoire de rigoler et de surprendre son grand père, David proposait de s'habiller, costume, cravate et tout …

C'est donc tout beaux qu'ils sonnaient à la porte de l'appartement du premier. Philippe ouvrait … Lui était resté en tenue décontractée, jeans t-shirt pantoufle …

Philippe : Oui je vois ! Là David tu me cherches. Bon installez vous là les jeunes je reviens …

Ça ne durait pas longtemps, Philippe revenait quelques instants plus tard en tenue de sortie lui aussi, costume de grande marque, souliers, gourmette en or et montre de grande marque en platine … 

Philippe : Comme ça, ça ira ?
David : Tu es superbe Grand Père !

François aussi avait le sourire.

Philippe : Bien ! Puisque c'est comme ça … On ne va pas manger une pizza comme j'avais prévu … On est obligé de sortit maintenant. Tu nous conduit dans ta nouvelle voiture David ?
David : C'est parti !

Il décrochait son téléphone …

Philippe : Il fait quoi là ? ( à l'intention de François )
François : Il téléphone à sa voiture.
Philippe : A sa voiture ?
François : Oui je sais au début ça surprend … Après on s'y fait !

Quand ils arrivaient à la porte de l'immeuble, la voiture les attendait, au moment ou ils en approchaient  le toit se soulevait et deux marches sortaient du bas de caisse. Philippe connaissait bien la marque mais là il ne cachait pas sa surprise …

Philippe : Décidément cette marque me surprendra toujours !

Au début François restait intimidé par le Grand Père de David, mais Philippe était très sympathique et savait détendre le jeune homme. Ils allaient finalement dans un restaurant très chic et très cher … François était un peu embarrassé de la situation mais David lui rappelait que c'était son grand père qui invitait … 

Philippe : Il y a longtemps que vous êtes ensemble ?
David : Quelques semaines, tu sais très bien que je ne suis pas là depuis bien longtemps …
Philippe : Et tu fais quoi dans la vie François ?  … Ta as fait tes études dans cette ville ? … 

Philippe en profitait pour mieux connaître le nouveau petit copain de son petit fils … En fin de soirée …

Philippe : J'espère que tu pourras venir à l'inauguration du musée, c'est dans quelques semaines …



Ep 18 :  PANIQUE AU MUSEE



Dans le quartier il y avait de l'animation, dans la ville pas vraiment mais dans le quartier ou habitait David … Oui ! Le stationnement était interdit dans la rue et on avait prié la magnifique voiture de David d'aller voir à se garer ailleurs ou de ne plus sortir du garage pendant les opérations … Elle avait obtempéré et se garait un pâté de maison plus loin dans la journée … 

Après de nombreuses discussions il avait finalement été décidé que les voitures qui étaient dans le garage se rendraient au musée par leurs propres moyens … Elles étaient toutes en état de rouler. La route serait sous haute surveillance, des agents assureraient la circulation pour éliminer tout risque d'accident. Les voitures étaient déplacées par groupes de cinq à la fois … Compte tenu de leurs valeurs il n'y avait que cinq chauffeurs autorisés à en prendre les commandes … Il ne faudrait pas oublier que seule la nouvelle voiture de David pouvait de passer de pilote, pour les autres il fallait les sortir du garage avec le plus grand soin, ensuite c'était un mini défilé de voitures d'exception à travers la ville … Arrivé à destination il n'était pas question de les laisser sur un parking les voitures étaient installées à leur place définitive dans le musée … Toutes ces manœuvres prenaient du temps et il fallait donc la semaine ou presque pour vider le garage. 

La télévision locale était là, la presse aussi et les trottoirs se remplissaient au passage des cortèges. David avait fait plusieurs fois le voyage à la place passager bien sûr. Sa préférée était une magnifique décapotable, capote relevée, il jouait à la star à la place arrière et les spectateurs le reconnaissant l'acclamaient comme un chef d'état, c'est son grand père qui était au volant … Eh oui cette voiture là lui avait appartenu …

Après cette semaine un peu folle le calme revenait dans son quartier mais pas vraiment dans le quartier du musée … D'autres voitures arrivaient tous les jours dans des camions fermés …

Quand David venait visiter la salle d'exposition quelques jours plus tard. Il n'en croyait pas ses yeux. La première voiture qu'on voyait en entrant était la vieille Rolls de Mr Le Conte … Un petit écriteau racontait … 

'' … C'est en montant dans cette voiture que Mr Luc Brosso s'est pris de passion pour cette marque automobile. En en sortant il aurait déclaré (hurlé plus que déclaré) : … J'adore cette voiture ! J'en veux une pareil !  … Cette passion ne l'a jamais quitté ce qui explique la présence des trente six voitures de cette marque lui ayant appartenu ! ''.

La seconde voitures, juste derrière la première était hors norme également, sur un petit écriteau on pouvait lire … '' Cette voiture est un modèle unique construit sur mesure, elle a demandé trois ans de préparation dans le plus grand secret et a été offerte par Mr Jérémy Brosso à son frère pour ses cinquante ans. Elle a coûté, à l'époque, plus de dix huit millions de DI ( Dolars Internationaux ) … Nul ne sait à combien elle pourrait trouver acheteur aujourd'hui … ''

David déambulait dans la salle d'exposition et se disait que dans l'avenir sa propre voiture trouverait tout naturellement sa place juste derrière celle de son arrière grand oncle Luc. Il commençait aussi à comprendre un peu mieux le délais d'une semaine pour obtenir sa voiture alors qu'en général il faut six mois, entre sa famille et cette marque prestigieuse c'était une longue histoire d'amour. Seul son père n'en avait pas eu … 

David avait le vertige … Des voitures de sport, des limousines, des berlines, des 4X4 qui avaient appartenu à Antoine ( le fils de Djé ) Philippe ( son grand père ) et même quelques voitures qu'il reconnaissait ( il était monté dedans quand il était enfant ) elles avaient appartenu à son père ou à sa mère … 

Quand David ressortait de la salle du musée, il avait le tournis. Ces ancêtres sur seulement quelques générations avaient vécu dans une grande richesse, il était l'héritier. C'est à ces moment qu'il parvenait à ressentir à quel point il était riche, quelle était l'importance, la taille de son héritage … 

David prenait les escaliers, il était perdu dans ses pensées, arrivé au palier inférieur il tournait sur sa droite et prenait les escaliers qui suivait et descendait encore un palier … Un autre palier, encore un palier … Il tournait enfin sur sa droite et … Un mur !

Là le pauvre il ne savait plus vraiment ou il était … A quel sous sol était-il rendu ? Il y avait un couloir très large et sombre. David était un peu effrayé mais il se disait qu'il n'avait rien à craindre, la ville était sûre et au pire les gardiens le retrouveraient le lendemain. Il regardait son téléphone, pas de ligne, il était en sous sol … Il se disait que s'il ne trouvait pas de sortie, il pourrait toujours déclencher une alarme ... '' on est dans un musée après tout, il doit bien y avoir des alarmes en cas d'effraction … ''.

David continuait à avancer et là … Là il était complètement perdu … 

En passant devant une ouverture il entendait des bruits, des voix humaines … 

David : ( dans sa tête ) Ça y est je suis sauvé !

Il avançait  vers ces bruits et finissait par entendre clairement …

'' Oui vas y c'est bon ce que tu me fais là … Ooooo Ouiiiiii !

David se disait alors toujours dans sa tête …

David : A mon avis ils ne sont pas en inventaire ces deux là !

Une autre voix ...

'' Tu fais ça vraiment bien, vas y continue, il a a raison … ''

David : … Ces trois là … 

Il faisait sombre, à  peine une lumière sur trois était allumée. Une réserve, la nuit, l'éclairage était suffisant  … David approchait doucement, sans faire de bruit, il apercevait d'abord sur le sol une veste d'uniforme comme celui que porte le personnel  du musée … Il penchait discrètement la tête, il était dans l'ombre et ne pouvait pas être vu. 

Trois hommes, un était à genoux, il était torse nue. L'uniforme devait être le sien. Juste devant lui il  avait un second personnage de grande taille, son pantalon était baissé et il tenait la tête du premier avec les deux mains. Il guidait le premier qui lui suçait la queue tout en gémissant de plaisir. Le troisième personnage, plus petit et trapu, avait lui aussi le pantalon baissé, il ne portait pas lui non plus de dispositif de chasteté et sa bite se relevait avec vigueur. Il se masturbait doucement sans vouloir conclure, il attendait son tour.

Le personnage à genoux se tournait vers le petit homme et le suçait à son tour, celui-ci tirait la tête de son partenaire avec force et avançait son bassin à chaque mouvement. Il revenait au premier puis au second. Il alternait ainsi à chaque fois qu'un de ses partenaires le réclamait. Il avait l'air d'aimer le gars. David sentait une pression dans son dispositif de chasteté. Les deux hommes debout étaient sexy et il se disait qu'il en aurait bien pris un. Pour le plaisir, c'est vrai quoi ça fait envie … 

Vous feriez quoi vous dans une telle situation ? Si il y en a un qui me répond … : '' Oh moi rien bien sûr voyons ! Moi je reviens sur mes pas sans faire de bruit et détourne mes yeux chastes pour ne pas voir une telle scène … '' … Je ne le crois pas !

David n'osait pas intervenir, mais il ne loupait rien. Il s'était installé et regardait avec intérêt. Sur le sol le gars changeait de partenaire plus vite. Il se retournait vers un de ses partenaires qui lui tendait sa queue, il l'avalait rapidement pendant qu'on lui appuyait sur la tête. Il se faisait limer la bouche un moment puis passait à son autre camarade qui faisait de même. David devait reconnaître que le gars, il maîtrisait bien … Il connaissait son affaire …  

Il n'y avait pas de violence, pas de contrainte, c'était évident. On pouvait deviner que c'était un employé du musée qui profitait d'une occasion qui s'était présentée. Un des deux hommes debout rappelait à son camarade qu'ils ne devaient pas traîner trop longtemps …

Pour toute réponse le second se retournait  vers celui qui était à genoux … '' Relève-toi et vient te pencher contre ces caisses toi ! ''. L'employé du musée s’exécutait, aussitôt un des deux hommes se plaçait juste derrière lui, lui baissait son pantalon puis sans plus de formalité se lubrifiait la queue et l'enfonçait dans le cul du garçon qui était volontaire … Très volontaire même !

La scène était chaude et David sentait cette pression dans son dispositif PK, il le sentait bien son truc. 

Le troisième personnage se masturbait en regardant le spectacle … '' Il a l'air d'aimer ça ! Ouai vas y défonce lui le cul ! ''. L'employé du musée qui était penché sur la caisse râlait de plaisir alors qu'il recevait de véritables coups de burin dans le cul. Il se cramponnait a la caisse … 

'' Tiens pendant ce temps là, tourne la tête vers moi, tu vas me sucer … ''

Il continuait à obtempérer, et se prenait une queue par la bouche et une par le cul … Il ne pouvait plus que pousser des sons gutturaux bizarres. Les deux autres continuaient à gémir en enfonçant bien à fond leur queue dans le corps de leur copain … Celui qui était derrière se contractait, ne bougeait plus, il était bien à fond et retenait sa respiration, il se retenait … Il se retirait peu après et proposait à son camarade d'inverser les positions. 

Un instant plus tard l'employé du musée se retrouvait toujours dans la même position, seuls ses partenaires avaient bougé. Il semblait apprécier ça le gars, une bite dans le cul, une autre dans la bouche qui lui rentrait jusque dans la gorge, il se tenait fermement à la caisse. Ses deux camarades ne se retenaient pas, surtout celui qui lui défonçait le cul. Celui là il y allait de bon cœur, ses mouvements étaient violents, rapides, amples et violents.

Les respirations devenaient plus fortes, les deux hommes gémissaient de plaisir, le troisième poussait des bruits étouffés. Celui qui lui entrait sa bite dans la gorge gémissait plus fort … '' Oh Oui ! Je vais jouir …'' . Il se retirait et éjaculait à la figure de son camarade qui semblait en redemander. Il en avait partout sur la figure. 

'' Ça y est tu as joui ? Moi je ne vais pas tarder … ''

Celui qui était derrière continuait à se lâcher, il accélérait le mouvement, il voulait éjaculer, il ne se retenait plus … Les mouvements de son bassin devenaient vraiment rapides et vraiment violents, il respirait fort. Il s'enfonçait bien à fond et poussait contre les fesses du pauvre gars toujours cramponné à la caisse et qui râlait de plaisir … Il continuait comme ça un bon moment …

'' Alors ça vient, c'est pour aujourd'hui ou pour demain ?''
'' Ça vient mais bon laisse moi, ne me stresse pas … ''

Il continuait à buriner le cul de gars qui à la longue semblait apprécier de moins en moins et lui criait …

'' Arrête, là tu me fait mal ''

Pour toute réponse …

'' Attend ça vient ''

Il continuait sans faiblir en retenant bien son partenaire qui semblait vouloir se dégager … Ça durait encore un moment puis on l'entendait jouir, il hurlait de plaisir avec quelques dernier mouvements du bassin …

Cramponné sur la caisse le troisième gémissait de soulagement au moment ou son partenaire se retirait de son cul et restait là sans bouger encore un bon moment.

C'est aussi ça la PK se disait David en réajustant son dispositif de chasteté dans son pantalon. Si mon ancêtre Jérémy voyait ça … Je ne suis pas sûr qu'il soit fier de ce qu'est devenu la PK … Moi j'aime bien mais … Il y avait de la pression dans son dispositif de chasteté, il était retourné le pauvre David avec ce spectacle. Il regrettait bien un peu de ne pas y être allé mais, c'était peut être préférable … Et puis il se disait qu'il avait un copain régulier … 

Les deux hommes debout remontaient leurs  pantalons et réajustaient leurs vêtements, rapidement ils étaient présentables. Le troisième mettait du temps avant de se relever, il avait son pantalon sur les chevilles et était torse nue. Il réajustait son pantalon, puis son T-shirt et enfin son uniforme. C'était bien un employé du musée, l'uniforme qu'il enfilait en était la preuve.

Les trois hommes se préparaient pour ressortir. Voyant qu'ils venaient dans sa direction David s'éloignait rapidement sur la pointe des pieds, faisait demis tour et revenait en appelant …

David : Il y a quelqu'un, je suis perdu … 

C'était pour ne pas les embarrasser en fait … David était à quatre ou cinq mètre de l'ouverture de la salle quand les trois hommes ressortaient et David venait dans leur direction.

'' Attention toi tu ne bouges pas ! J'ai une arme !''

David : Je ne suis pas un voleur ! Je suis David Brosso, j'étais venu pour l'installation et je me suis perdu en cherchant la sortie pour repartir …
L'employé du musée : Tu ne bouges pas avant que je t'ai identifié ! 

David ne bougeait pas, l'autre le regardait et finissait par le reconnaître.

L'employé : Ah c'est vous Monsieur Brosso … Excusez moi mais j'ai des consignes et normalement il ne devrait y avoir personne ici à l'heure qu'il est …
David : Bein oui je sais bien et puis … Quand le chat dort les souries …

Les trois hommes semblaient devenir livides.

L'employé : Oui … Monsieur Brosso … En fait …
David : Mais je dis ça comme ça … Pourquoi il y a un problème ?
L'employé : Non tout va bien, on est seulement surpris de voir quelqu'un ici. 

Il semblaient reprendre leurs couleurs !

David : Je me suis perdu comme je vous disais, et je crois que sans vous je passais la nuit ici, là j'ai surtout envie de sortir et de rentrer chez moi.
L'employé : On va vous accompagné à la sortie. 
David : Vous étiez d'inventaire ?
Un des deux hommes : On peut le voir comme ça !

Ils parlaient entre eux tout doucement mais David comprenait parfaitement une phrase … '' A cinq minutes près on était mal '' …

David suivait le groupe.

David : Vous êtes sûrs que la sortie c'est par là ? 
L'employé : Vous n'êtes pas entré par là mais à l'heure qu'il est c'est la seule sortie encore utilisable …

Ce n'était pas la grande porte de l'entrée principale. C'était une porte dérobée mais c'était bien la sortie … Aussitôt dans la rue une lumière violente les éblouissait tout les quatre …

'' Police ! Plus personne ne bouge ! Mr Brosso ne restez pas là sil vous plaît ! Vous allez bien ? Vous n'avez pas été brutalisés ? ''

Sans que personne n'ai le temps de réagir, Philippe s'était rapproché et avait attrapé David dans l'idée de l'arracher aux mains de ses ravisseurs. Voyant  le grand père de David s'exposer ainsi quatre policiers se sentaient obligés d'intervenir, et attrapaient à leur tour David et Philippe pendant que leurs collègues sautaient sur tout ce qui bougeait c'est à dire les trois malheureux qui ne bougeaient pas d'ailleurs …

En quelques secondes, avant que David n'ait le temps de réagir il se retrouvait derrière un mur de policiers qui faisait obstacle de leurs corps alors que les trois hommes du musée se retrouvaient plaqués au sol un pistolet sur la tête … Ils étaient tétanisés et ne bougeaient même pas une oreille … 

( On dit bouger une oreille … vous savez qu'il y en a qui y arrivent ? Enfin moi j'y arrive ! Euh … bon … Ok … Je suis hors sujet là ? … Je continue mon histoire ... ). 

C'était la panique, donc plus personne ne bougeait même pas les oreilles … Euh … Enfin … Bon … Il n'y avait plus un bruit et on entendait clairement un voix … '' Vous pouvez dire au maire que tout va bien, Mr Brosso a été retrouvé sain et sauf et que trois suspects ont été neutralisés ! ''

Il était tard, David était resté un long moment à déambuler dans le musée puis dans son sous-sol puis … Bon passons ! La voiture voyant les portes du musée se fermer puis les lumières s'éteindre puis n'obtenant pas de réponse sur le téléphone avait averti la police redoutant un enlèvement … 

David : ( gueulant ) Mais c'est quoi cette histoire ? Je sors du musée, je m'étais perdu dans les réserves et là ce sont des employés du musée qui me montraient la sortie ! Mais ça va pas là ! Il faut se calmer !

Les policiers sursautaient à cette intervention, il n'avaient pas pensé une seconde à une situation aussi simple et commençaient à se détendre, ils laissaient se relever les trois hommes qu'ils avaient plaqué au sol … Rapidement une vérification d'identité calmait tout le monde et mettait fin à l'incident …

L'inspecteur : Mais je croyais que le téléphone marchait parfaitement dans le sous sol du musée moi !
L'employé : En temps normal oui ! Mais nous avons eu un petit problème électrique dans la journée, la maintenance est rapide mais ne peut pas intervenir avant demain matin … 

Le maire arrivait complètement affolé …

Le maire : Mr Brosso … Mr Brosso ( avec Philippe il y avait deux Brosso ) Vous allez bien David, J'ai le gouverneur en ligne il voulait envoyer l'armée …
Philippe : Oui tout va bien on va t'expliquer … L'armée ? Mais il est pas un peu fou lui ? … 

David se disait que décidément ça ne rigole pas. Ils ne s'étaient pas un peu affolés pour rien là ? Chacun retrouvait son calme, surtout les policiers et le maire. Philippe se retournait vers la voiture à David et lui lançait en la montrant du doigt … '' Toi tu rentres au garage moi je ramène le petit à la maison … '' . La voiture de David prenait la direction de son garage sans personne à ses commandes. 

Un peu plus tard sur la route du retour …

Philippe : Tu sais que tout le monde s'est affolé ?
David : Je ne comprends pas vraiment pourquoi !
Philippe : C'est ta voiture … L'endroit ou tu était entré était fermé … Les lumières étaient éteintes … Tu ne répondais plus au téléphone … Son programme à déclenché l'alerte … Les policiers on un peu paniqué … Voilà !
David : J'ai eu une de ces frousse quand je suis sorti, je ne te dis pas ! … Je ne savais pas que ces voitures …
Philippe : Elle garde un œil sur toi … Et elle n'est pas la seule dans cette ville !

Quand David entrait finalement dans son appartement ses camarades Mathieu et François arrivaient comme des fous à la porte et le prenaient dans leurs bras.

François : On à eu peur ! Tu ne peux pas t'imaginer !
Matthieu : Tu n'as pas été brutalisé ?
François : La police n'a pas eu trop de mal à te libérer ?
David : Mais enfin quoi vous n'allez pas vous y mettre vous aussi … Je m'étais perdu dans les réserves du musée ! C'est tout ! 

David leur racontait toute l'histoire et ses deux camarades rassurés finissaient par en rire …

François : C'était la journée des mauvaises nouvelles …
David : Allons bon ! Et qu'est-ce qu'il se passe encore ?
Matthieu : C'est Linda … 
David : Mais qu'est-ce qui lui arrive à cette petite ?
Matthieu : Cette petite ! … Cette garce oui !

Ses camarades le regardaient sans rien dire …

Matthieu : Elle m'a largué … La garce … Toutes les mêmes …
David : Surtout certaines … 
Matthieu : Et toi ça te fait rigoler ! 
David : Mais non mais …
Matthieu : Et en plus il est moche !
David : Alors que toi tu es si mignon !
Matthieu : Je veux un câlin ! … 
David : Moi aussi je veux un câlin !
François : Tu as eu des émotions aussi il faut dire !
Matthieu : Non c'est pas lui qui a eu des émotions … C'est nous !
François : Câlin !

Les trois garçons se serraient dans les bras, François embrassait David et Matthieu voyant ça réussissait à s'incruster et à embrasser David puis François … Pendant que David embrassait amoureusement son ami sur la bouche, Matthieu en profitait pour leur donner des baisers dans le cou, quand deux lèvres se libéraient il prenait la place … David avait été échauffé par ce qu'il avait vu plus d'une heure plus tôt et c'est frénétiquement qu'il retirait ses vêtements et retrouvait à poil entre les bras de ses camarades …

Pendant que Matthieu retirait ses vêtements à son tour François prenait son amant dans ses bras et le caressait amoureusement, David ressentait comme une émotion particulière. Une heure plus tôt ils avaient cru que David avait été kidnappé, c'était peut être ça … François avait l'air particulièrement amoureux ce soir là … 

David sentait les bras de Matthieu qui se refermait sur lui et sa queue qui se redressait entre ses cuisses. Il retournait la tête pour l'embrasser. François se retirait pour se déshabiller à son tour avant de prendre à nouveau David dans ses bras. A ce moment David s'agenouillait et prenait la queue de François dans sa bouche avec douceur. David sentait les deux mains de François qui lui caressait la tête et une main de Matthieu qui le poussait en avant pour lui faire bien avaler la bite à François. David le tenait fermement par les cuisses et ne résistait pas !

Un moment plus tard, ils inversaient les rôle, seul David gardait la même position … Pour lui c'était définitif, ce serait toujours la même position, toujours la même frustration. Il sentait la pression dans sa cage de chasteté, elle se relevait devant lui, entre ses cuisses, et se balançait au rythme de ses battements cardiaques.

Il aimait bien sucer les queues David … Matthieu le soulevait en passant une main sous son bras, il suivait le mouvement sans résister. Matthieu le guidait vers la table et lui faisait signe de se pencher en avant. David revoyait l'employé du musée, deux heures plus tôt, penché sur la caisse dans la réserve. Il revoyait les deux autres hommes qui savaient bien en profiter. Il portait aussi un dispositif de chasteté l'employé du musée mais David n'avait pas vu le modèle, la lumière était trop faible. 

Matthieu guidait la tête de David vers sa queue et David savait quoi faire, sans rien demander il l'avalait jusqu'à la garde. À cet instant il sentait une pression sur son anus, il ne résistait pas, il sentait alors la queue de François s'enfoncer en lui. Il revoyait ces trois hommes dans la pénombre de la réserve. Ils étaient dans la même position … Le ventre de François frappait violemment contre ses fesses et avec la bite de Matthieu dans la bouche en guise de bâillon il ne pouvait que pousser des gémissements incompréhensibles … Comme l'employé du musée deux heures plus tôt.

François frappait les fesses de David avec force, il savait que David aimait ça ! David se demandait quel modèle devait porter l'employé du musée, son modèle à lui était brillant, c'était pas ça. François accélérait le mouvement. Matthieu lui aussi prenait toute la place. David se cramponnait à la table et ne résistait pas, il se laissait faire. Balancé comme il était sa PK frappait la table à chaque coup de rein qu'il prenait et rythmait le mouvement plus fort, plus vite, moins fort, moins vite … Le modèle du gars dans le musée était sombre mais il existe des modèles en métal sombre et mat …

François se retirait sans prévenir, perdu dans ses pensées David ne l'avait pas vu venir, pourtant sa respiration était devenue plus forte … Il continuait à se masturber pendant que Matthieu prenait sa place et se plaçait juste devant le visage de David. David regardait en tirant la langue pour essayer de le sucer quand il recevait une giclée de sperme dans la figure puis une autre aussi forte et enfin deux autres plus faibles …

Matthieu se lâchait à son tour sur les fesses de son camarades, David gémissait, on lui avait enfin laissé la bouche vide … Matthieu aussi râlait et gémissait de plaisir, sa respiration devenait plus forte et laissait deviner que … Un violent coup de rein, David gueulait de plaisir. Matthieu gueulait aussi avant de donner un second coup de rein bien violent, il continuait à appuyer de toutes ses forces contre les fesses de son ami. Il jouissaient, il tremblait.

David était envahi d'une sensation de plaisir, de bien être, il sentait que son sperme fuitait de sa cage de chasteté, il gémissaient également, il jouissait …

Le plaisir était partagé. Ils jouissaient … François s'était laissé tombé sur le canapé, David se laissait tomber sur la table et Matthieu s'effondrait sur David. Pendant un long moment plus personne ne bougeait …

Quand les trois garçons se relevaient un peu plus tard ils se rappelaient qu'ils n'avait pas mangé. Il était tard, rien n'était prêt … Il faut dire que David avait disparu et ses camarades pensaient à autre chose qu'à manger ! Il était très tard et tous les restaurants étaient fermés. Il ne restaient plus qu'un restaurant fast-food, un truc américain, vous connaissez peut être … C'était pas dans leurs habitudes mais finalement c'est pas mauvais du tout … Ce soir là ils se sont bâfré de hamburgers, de frites, de glaces et de soda ...



Ep 19 :  LES PREPARATIFS



La télévision avait fait un reportage, les journalistes avaient longuement filmé dans le musée ( dans la salle d'exposition seulement … Enfin … C'est à espérer, parce que dans les réserves … Je préfère ne pas vous raconter ce qu'il s'y passe … Bon je déconne je vous ai déjà raconté dans l'épisode précédent ). Ils voulaient que David soit là pour pouvoir l'interviewer. C'est finalement son grand père Philippe qui s'y collait … L'enregistrement avec Philippe ne durait pas longtemps mais l'équipe télé passait la journée dans la salle d'exposition sous le regard inquisiteur des gardiens qui veillaient à ce que personne ne touche une voiture … 

… Votre petit fils, David sera-t-il le prochain PDG de la PK ? 
… Votre famille revient à la direction de la PK ? …
… Pourquoi n'avez vous pas pris la direction de l'entreprise familiale ? … 

Les questions tournaient toutes autour de la PK, c'était le sujet qui intéressait le plus les journalistes. L'exposition ça les faisait rêver mais pour celui qui donnerait en premier le nom du prochain directeur … Là ce serait le jackpot ! Ils avaient reçu l'ordre de ne pas importuner David et … Ils obéissaient ! Étonnant ? Non ? La PK était suffisamment puissante pour que les journalistes suivent ses consignes … David ainsi que ses compagnons pouvaient donc continuer à vivre normalement sans s'inquiéter de rien, en attendant de choisir s'il allait devenir le prochain directeur. La PK veillait sur lui et lui garantissait une certaine tranquillité, une certaine insouciance …  

En fait pour choisir de devenir directeur il fallait vraiment le vouloir, il fallait qu'il y ait de la passion … David pouvait parfaitement faire comme son grand père et vivre d'une rente confortable … Bon, dans ce cas là il ne faudrait pas qu'il demande une nouvelle voiture tous les ans, surtout une comme celle qu'on lui avait accordé généreusement … Mais il aurait une rente plus que confortable à ne rien faire. 

S'il choisissait de devenir directeur, il y aurait les responsabilités … Il y aurait aussi le pouvoir … Les responsabilités sont à la hauteur de la taille de l'entreprise … Le pouvoir aussi et le budget aussi, lui il serait illimité. David pourrait décider du développement de l'entreprise. Il pourrait laisser une trace de son passage … Luc avait laissé en héritage un empire médiatique composé de nombreuses chaînes de télévisions, Bob une entreprise de production et d'éditions gigantesque. Ils n'avaient pas eu d'héritier aussi à leur mort c'est la PK et Antoine le fils de Djé qui en prenait le contrôle. Djé avait développé l'entreprise dans le domaine de la construction, du transport, de l'énergie et tant d'autres domaines par la suite … 

C'était un choix qui méritait une longue réflexion, on laissait à David le temps qu'il lui faudrait … En attendant il vivait librement, personne ne le jugerait, la PK y veillait.

François dormait plus souvent chez David que chez lui. Chez David, c'est à dire avec David, ( la précision me semble nécessaire, des fois qu'il y aurait parmi les lecteurs des esprits prudes qui n'auraient pas tout à fait compris de quoi on parle … LOL … Note du narrateur ). Leur relation devenait sérieuse … 

La fidélité est un concept particulier, ils étaient fidèles bien sûr mais à leur manière … En groupe ils savaient être très partageurs. Matthieu ramenait enfin une nouvelle conquête … Une fille ! Il en faut pour tous les goûts ! Ce soir là ils avaient organisé un repas. David et François étaient là Matthieu avec sa nouvelle copine Tania. 

Le repas se passait bien, Peter travaillait ce soir là, ils avaient fait appel à un traiteur … Pourquoi se priver ? Surtout quand on sait qu'aucune facture ne leur serait présentée … Tania montrait une curiosité incroyable, elle avait les yeux grand ouverts et riait à chaque plaisanterie de David. Elle était reçue chez le prochain directeur de la PK, une entreprise énorme, ce gamin un peu plus jeune qu'elle serait un des hommes les plus puissants du monde … Seul David ne remarquait rien mais Matthieu se rendait rapidement compte qu'elle ne s'occupait pas vraiment de lui et François lui, remarquait qu'elle regardait son amant d'un peu trop près … Lui, il ne la lâchait pas des yeux et la regardait de travers !

Matthieu tentait à plusieurs reprises de prendre la main de sa copine, mais à chaque fois elle la retirait, elle ne regardait que David. A la fin du repas Tania mettait de la musique et langoureusement commençait à danser devant David. Matthieu n'en pouvant plus se levait et allait danser avec sa copine, se frôlait à elle, elle n'osait pas le repousser. François dans un mouvement élégant se levait et prenait David par la main, il l'entraînait avec lui, le prenait dans ses bras et ils commençaient à danser également.

David prenait lui aussi son amant dans ses bras, et ne se privait pas du plaisir de l'embrasser … Tania semblait surprise mais seul Matthieu le remarquait. Elle semblait décidée, on ne savait pas vraiment à quoi mais elle semblait décidée, rapidement elle se montrait plus provocante. Matthieu en profitait, elle ouvrait son corsage, Matthieu répondait sans attendre à l'invitation et glissait ses mains sur la peau de sa copine. C'est en regardant David et François qu'elle le laissait faire, elle en rajoutait même. 

David s'amusait de cette situation, le corsage était tombé, là elle provoquait ! Matthieu répondait sur le même ton et se mettait torse nue. François s'amusait aussi du spectacle. La dentelle tombait et Tania se retrouvait seins nus et devenait très entreprenante. François glissait quelques mots à l'oreille de David.

François : Si on faisait pareil ?

Pour seule réponse David glissait ses mains sous la chemise de François qui était déjà bien chaud, ils se serraient dans leurs bras et David sentait aussitôt que son camarade bandait. Les mains remontaient jusqu'aux épaules et David s'amusait à faire tomber la chemise de son amant. Il se serrait alors fort contre lui et embrassait son torse. La peau sombre de François accrochait bien la lumière, sur le blanc de la chemise elle faisait un contraste magnifique mais même sans la chemise elle ne perdait rien en reflet et restait toujours aussi belle, jusqu'au bout des doigts … François lui rendait la politesse et à son tour lui faisait tomber la chemise. 

Leurs bras se mélangeaient et Tania semblait hypnotisée par ces deux corps doux, lisses et musclés qui se collaient l'un contre l'autre. Le contraste ne rendait le spectacle que plus beau, un corps blanc, un corps ébène et ce mouvement qui les entraînait dans cette valse de caresses et de douceur. Tania  passait à l'étape suivante. Elle dansait alors seule, se caressait le corps, semblait provoquer … Elle faisait un strip-tease … Son pantalon tombait, rapidement suivi de sa culotte. Matthieu ne se faisait pas prier, il n'attendait même pas qu'on le lui demande, son pantalon se retrouvait à l'autre bout de l'appartement, les chaussures, les chaussettes et tout le reste pareil ! David et François étaient surpris, ils ne bougeaient plus et regardaient le spectacle.

Tania s'approchait de Matthieu, il bandait, elle le caressait avec tout son corps, l'embrassait. Les deux corps s'attrapaient, se retenaient, se serraient fort l'un contre l'autre. David ne retenait plus ce geste maladroit et le pantalon de François atterrissait sur ses chevilles, David tombait à genoux devant son camarade et sans prévenir lui suçait la queue. François bandait déjà bien, après tout ça le contraire aurait été étonnant ! David aussi bandit bien ferme mais lui, savait ne rien montrer … 

Tania, du coin de l’œil, voyait toute la scène et montrait qu'elle aussi savait faire. Avec expertise elle suçait la queue de Matthieu, il la guidait avec les mains doucement posée autour de sa tête, avançait doucement le bassin et se retirait.

Quand Tania se relevait quelques instants plus tard, c'était pour aller se coller contre François qui n'avait rien demandé et dont les yeux ne cachaient pas la surprise de voir une fille s'accrocher comme ça dans son dos … ( Sans vouloir être désagréable avec François mais, lui et les filles ça fait deux … Il ne sait probablement même pas comment ça s'écrit ! ). David continuait, il n'avait rien remarqué. Tania caressait un long moment le torse de François, là on la comprend, il a un grain de peau particulièrement fin et doux. C'est aussi ce qui a séduit David …

Tania s'approchait ensuite de David qui était penché en avant, François lui retenait la tête et enfonçait sa queue dans sa gorge avec facilité . Matthieu était resté sur place, de loin il regardait la scène, il s'était assis sur le fauteuil  et se masturbait doucement. Toujours en  bougeant avec élégance Tania se penchait sur David lui compressant ses seins sur son dos, l'étreignant avec force tout en l'embrassant partout sur les épaules et sur le dos.

David arrêtait tout mouvement, il se demandait ce qui se passait. Il relevait alors la tête, regardait François qui levait alors les épaules d'un air de dire : '' il ne faut pas chercher … '', à cet instant Tania lui donnait un baiser particulièrement tendre dans le cou. David tournait la tête vers elles pour voir ce  qui se passait, elle l'embrassait alors sur la bouche par surprise. François fronçait les sourcils, la tournure des événements ne lui plaisait pas trop.

Elle tenait fermement David dans ses bras et le caressait, ses mains se promenaient sur son ventre depuis les épaules jusqu'à la ceinture, quelques doigts se glissait dans le pantalon, David était le seul à ne pas l'avoir retiré. Par réflexe David lui retenait les mains et voyant le regard que lui lançait François elle n'insistait pas, elle donnait un dernier baiser à David, juste entre les deux omoplates … Juste là ou ça fait guili guili quand on … ( si, si vous  pouvez essayer vous verrez … NDN ). Elle se relevait et avec élégance, elle allait rejoindre Matthieu qui n'attendait que cela. François lui lançait un regard noir.

Tania embrassait Matthieu, elle se penchait sur lui et le chatouillait avec l'extrémité de ses seins, il était aux anges, le spectacle qu'elle avait donné était amusant mais là c'était mieux. Elle le chevauchait, lui suçait rapidement la queue et s'empalait dessus. Matthieu l'attrapait dans ses bras et balançait son bassin, elle passait les jambes dans son dos pendant qu'il se relevait, ensuite ce n'était plus que câlins, caresses, douceur, et quelques gémissement de plaisir également …

François jetais les coussins du canapé derrière le canapé, il entraînait David sur ce nid douillet qu'il venait de confectionner, de là ni Tania ni Matthieu ne pourraient plus les voir. Cette comédie avec Tania ne lui avait pas plu, mais pas plu du tout ! La aussi ce n'était plus que tendresse et câlins. Il retirait le pantalon à David et les deux corps pouvaient alors se toucher et se caresser l'un l'autre sans entrave. Sans entrave ou presque … Toujours ce petit presque … Pour les porteurs de ces dispositifs, ce presque qui fait que jamais ils ne sont nus, toujours presque ...

François bandait toujours depuis le début, David toujours aussi mais dans son cas il est vrai que rien ne dépassait. Son dispositif de chasteté inamovible retenait bien l'ensemble. On pouvait voir qu'il y avait de la pression, et le dispositif se relevait mais la réaction restait minime.

David s'allongeait sur son camarade, le caressait, l'embrassait, ses lèvres se promenaient sur tous son corps, s'arrêtaient et s'attardaient sur son pénis. François se retournait et avec lui David suivait le mouvement et se retrouvait sous son camarade, à son tour il caressait son amant, il lui caressait les couilles, puis le retournait sur le ventre. David se laissait faire. François s'allongeait sur le dos de David qui écartait les cuisses, prenait position et enfonçait sa queue dans le cul de son jeune ami. Il l'enfonçait doucement mais fermement, sur toute la longueur. David le laissait faire et gémissait de plaisir. Sa queue se révoltait dans sa cage ! 

D'autres gémissements venaient de l'autre canapé, une voix féminine, une voix masculine, des gémissements qui devenaient plus puissants à un rythme plus rapide, de plus en plus rapide. On devinait que l'un devait jouir et que l'autre aussi peut être … De légers gémissements continuait, c'étaient des réponses aux câlins, aux caresse … Des murmures …

David gémissait fort, il avait attendu ce moment et le trouble qu'avait provoqué Tania était désormais loin. C'est de leur côté qu'il y avait le plus de bruit maintenant, le ventre de François frappait contre les fesses de David et lui arrachait à chaque fois un cris, une plainte qui devenait par moment une véritable supplique. David jouissait, il passait sa main sur son dispositif de chasteté, il jutait, il jouissait et il jutait. François accélérait le mouvement, son souffle devenait plus fort, il poussait des râles de plaisir, de plus en plus fort. Il finissait par crier, par hurler au moment ou il jouissait dans le cul de David … 

François restait encore un moment là, planté dans cul de David. 

David se cramponnait aux coussins qui jonchaient le sol, il jutait encore un peu.

Les deux garçons tremblaient un peu comme s'ils avaient froid. Finalement François se laissait tomber sur le dos de David, plus personne ne bougeait. Quelques gémissements se faisaient encore entendre du côté de Tania et de Matthieu. François se retirait.

David finissait par relever la tête par dessus le dossier du canapé. Il jetais un œil vers Matthieu et Tania … Ils étaient toujours enlacés, Matthieu était toujours allongé sur le dos, Tania toujours sur lui à le chevaucher, ils échangeaient toujours quelques gestes de tendresse, quelques caresses.
David et François se retrouvaient sous la douche, dans la chambre à David …

François : Elle voulait quoi la fille là ?
David : Je sais pas, j'ai pas tout compris !
François : Un moment j'ai vraiment pensé que c'est toi qui l'intéressait !
David : Moi ! J'ai rien fait moi !
François : Je sais bien et je ne te reproche rien ! ( il l'embrassait )
David : Mais pourquoi moi ?
François : Tu en a d'autres, des questions à la con … ?
David : Bé !
François : Mais regarde toi, tu es beau comme un dieu ! Tu as vu ta voiture ? Tu as vu comment on te traite ici ? Même moi j'ai droit à un traitement de faveur du seul fait que nous sommes amis ! Tu as vu ou tu habites ? Tu sais que tu seras un jour l'homme le plus riche de la planète … 
David : Oué ! Je sais tout cela !
François : Tu as raison je me demande vraiment ce qu'une femme qui ne cherche qu'une position sociale et un certain confort financier peut te trouver !
David : Tu te moques !

François embrassait tendrement David …

François : Ne t'étonnes pas si tu es courtisé … Tu le seras encore plus dans l'avenir …
David : Et toi ?
François : Je t'aime !

David prenait son ami dans ses bras …

David : Moi aussi je t'aime !

Ils se couchaient sans plus attendre et passaient une bonne nuit. Le lendemain matin tout le monde était réveillé par une bonne odeur de café. David et François enfilait une pantalon de sport et répondait à l'appel du matin.

Peter : En voilà deux qui se réveillent, c'est pas comme les autres !

Du regard il montrait les deux autres. Ils n'avaient pas bougé depuis la veille. Matthieu était toujours allongé sur le dos et Tania allongée sur lui le chevauchait toujours. Ils dormaient toujours et la bonne odeur du café ne semblait pas suffisante pour les réveiller, ils avaient du s'endormir très tard …

David : Ta nuit s'est bien passée ?
Peter : C'est la folie à l'hôtel, toutes les chambres sont réservées. On refuse des clients … Je peux te garantir qu'il y en a qui le prennent mal ! Pour les clients les plus importants, les hauts cadres de la PK on réserve les chambres sous l'intitulé … Chambres flottantes … Si quelqu'un voulait bien m'expliquer ce que ça veut dire … Il y en a mille cinq cent ! Je ne sais pas ou ils vont les prendre ces chambres … Flottantes ou pas !
François : Et ça gueule ?
Peter : Ou là là que oui, ils gueulent ! Tu te souviens de Will ?
David : Mais comment oublier cet abruti, je le vois tous les jours à l'école, il me fait toujours la gueule pour l'avoir obligé à l'internat.

Pour ceux qui ne connaissent pas. Will est le fils d'un gros cadre de la PK ( le numéro deux pour être précis sachant qu'il n'y a pas de numéro un car cette place est réservée à David), il est particulièrement pénible ( pour rester poli ) et David a refusé de partager sont appartement avec lui, il est donc interne. Par contre David partage son appartement avec un plâtrier et  un employé de l'hôtel qui ne portent même pas de dispositif de chasteté … Je vous laisse imaginer comment ce Will a pris la chose … Il a parait-il un vocabulaire très riche à l'encontre de David.

Peter : Et bien ses parents sont arrivés aujourd'hui !
David : Et ils sont comment avec vous à l'hôtel ?
Peter : Tu ne les connais pas ?
David : Si je les connais mais je ne sais pas comment ils sont avec le personnel de l'hôtel …
Peter : Correctes, ils sont très correctes. Exigeants mais courtois, ça va, j'ai vu pire !
David : Le fils par exemple …

Peter éclatait de rire.

Peter : Oui, le fils ! Lui c'est un cas ! Mais à ce propos tu vas rire …
David : Vas y ! Raconte !
Peter : Hier soir il soupaient à l'hôtel … Will est venu souper avec ses parents … Gus m'a raconté. Il assurait le service à la table de cette charmante famille. En s'approchant il a clairement entendu Will qui était en train de se plaindre à son père … '' Mais papa tu as vu la voiture qu'il a ?'' … '' A la PK il lui mangent dans la main, c'est pas normal c'est toi qui dirige le groupe. '' … '' Moi aussi je veux une voiture de grand luxe ! '' .
David : Et le père il disait quoi ?
Peter : Oh le père, il lui disait qu'il exagérait, qu'il avait déjà une très belle voiture … Non c'est sa mère qui a fait rire Gus.

David et François écoutaient, très intéressés !

Peter : Sa mère à Will s'est énervée. Et sur un ton très sec … '' D'abord, David est notre prochain directeur et toi on ne sait même pas si tu seras capable de travailler un jour à voir tes résultats dans tes études ! ''… '' Mais maman … Il n'est même pas le meilleur de son cours '' … '' Ecoute Will, tu m'énerves ! David est le cinquième de son cours, ce qui est déjà très bien quand à toi tu es en troisième place mais en commençant par la fin ! C'est minable !''.
David : Elle est directe sa mère !
Peter : Et elle a rajouté … '' Si tu arrives à te placer ne serais-ce qu'une place devant David … Je t'achète la voiture que tu veux dans les mêmes prix que la sienne et même plus chère si tu veux ! ''
François : Et Will, il disait quoi ?
Peter : Là, il n'a plus rien dit de tout le reste du repas !

Les trois garçons rigolaient de bon cœur.

David : C'est vraiment un abruti !

Tania se réveillait, elle se relevait. Matthieu, toujours allongé nu sur le dos, ronchonnait un peu dans le genre … '' C'est trop tôt pour se lever … ''. Tania arrivait finalement dans la cuisine, elle était nue et se déplaçait avec élégance à la manière d'un félin. 

Tania : Salut les garçons ! Bien dormi ? Tu es qui toi ? ( en voyant Peter )
David : Lui c'est Peter mon autre colocataire.
Peter : Tu veux un café ?
Tania : Avec plaisir, tu fait aussi partie de la PK, comme David !
Peter : Non ! Moi je travaille dans l’hôtellerie !
Tania : Je vois ! Je veux bien un café quand même ! 

Elle s'installait à la table juste à côté de David et prenait son café en prenant soin, par distraction, de laisser son sein lui caresser le bras. François voyait la scène et ses yeux lui ressortaient de la tête. Il se glissait entre David et Tania …

François : Je peux avoir du sucre ?

Peter regardait tout ça avec un sourire amusé … 

Quelques jours passaient. Nous étions à moins d'une semaine de l’inauguration et ce mot était dans toutes les bouches. François racontait qu'à la bibliothèque on ressortait toutes les archives de la PK, la transformation de la ville depuis un siècle. Dans les librairies les vitrines se remplissaient de livre sur l'histoire des fondateurs, leurs vies, leurs travail … Mr Le Conte avait une place de choix a côté de sa nièce Sophie Ducran-Brosso, mais la place d'honneur était occupée par Jérémy Brosso … David se faisait tout petit, on ne parlait plus que de sa famille … Jérémy était tout de même son ancêtre et pas si éloigné que ça, quatre générations seulement … 

Ses parents venaient d'arriver ! Ils allaient loger chez son grand père … Juste à l'étage en dessous du sien … Philippe le grand père de David venait le voir …

Philippe : Tu en as de la chance mon petit bonhomme tes parent sont en train de s'installer chez moi !
David : Non !
Philippe : Si !
David : Galère, je vais les avoir sur le dos ! Il ne faudrait pas qu'ils apprennent avec qui je vis !
Philippe : Mais ils le savent déjà !
David : ??
Philippe : Mais tu t'imagines peut être que personne n'allait les avertir. Tu es encore très jeune et ce sont tes parents …
David : Matthieu ... François … Peter … Ils savent … Ils savent quoi ?
Philippe : Ils savent comment tu vis, avec qui, et la relation que tu entretiens avec chacun …
David : La vache ! Et qui a cafté ?
Philippe : Là on ne sait pas trop. Mais ne t'imagine pas que personne ne s'occupe de toi. Tu es surveillé de très prêt ! Surtout depuis l'affaire du musée. Ils ont tous eu vraiment peur ce soir là, le conseil d'administration était en crise … 
David : Et ça doit m'inquiéter ?
Philippe : Non ! Ils savent être très discrets, tu peux vivre comme tu le veux, aucune information ne filtrera … On considère que pour tout ce qui concerne ta vie privée tu n'as de compte à rendre à personne ! 
David : Oui mais mes parents, eux ils en pensent quoi de tout ça ?
Philippe : C'est ton choix ! Tu sais ils étaient préparés à cette situation depuis longtemps.
David : Ils sont chez toi ? Je vais aller les voir !

Ça faisait quelques mois que David n'avait pas vu ses parents, et c'étaient de grandes retrouvailles. 

Le père : Alors voilà notre prochain directeur … 
La mère : Mais laisse le avec cette histoire … Il a encore le temps …

Ils y avait avec eux un cadre de la PK, Lucien qui leur expliquait la procédure … Il avait réussi à négocié leur présence aux festivités, ils seraient présents dans la tribune présidentielle avec leur fils … 

La discussion avançait, dehors il faisait un temps magnifique mais brusquement le ciel se couvrait, en quelques instants il faisait très sombre dans la pièce. C'était pas un nuage ! 

Lucien : Ça y est ils arrivent !
David : Mais de quoi vous parlez ?

David allait jusqu'à la fenêtre, regardait le ciel. Un gigantesque dirigeable à basse altitude cachait complètement le ciel, c'était à la fois magnifique et inquiétant …

David : Mais c'est quoi ce truc ?



Ep 20 :  LES BALLONS



C'était gigantesque, il volait a basse altitude, sans aucun bruit, il était tellement long et large que David avait l'impression qu'il recouvrait la ville tout entière … 

David : Mais c'est quoi ce truc ?

Le cadre de la PK prenait la parole .

'' Ce doit être le B.O.B 01 . Un vieux projet qui se préparait dans le plus grand secret. Un dirigeable géant. Un paquebot des airs, mille passagers, l'équipage, et des réserves pour une semaine... Un rêve que Monsieur Bob avait fait, il a passé les dernières années de sa vie à travailler sur ce projet … Des hôtels volants … Des paquebots des airs … Des cargos à la fois économiques et écologiques … Ça ne consomme presque rien pour rester en l'air ce genre de truc … ''

David : On verra mieux sur la terrasse !

Il se précipitait chez lui à l'étage du dessus, tout le monde le suivait et se retrouvait sur la terrasse … Le ballon était tellement grand qu'il couvrait presque tout le ciel … Au bout de quelques instants tous les regards se portaient vers Lucien, il semblait savoir de quoi il s'agissait . Il finissait par s'en rendre compte et reprenait ses explications .

Lucien : Huit cent mètres de long, une charge considérable, cinq pistes d’atterrissage pour recevoir les navettes avec le sol … Il y a des ballons plus petits qui assurent les retransmissions télé ou téléphoniques, ces appareils ne consomment presque rien pour rester en vol, aussi ces derniers restent en position au dessus d'une ville à plus de trente kilomètres pendant plus d'un an. 

Le gros ballon avançait et on voyait le ciel réapparaître derrière lui …

Lucien : Ah ! Non, je me suis trompé celui là c'est le B.O.B 03, regardez là bas on voit le 01 il y a aussi le 02 de l'autre côté qui arrive … Pas de problème … Ils sont là tous les trois. 

Ils regardaient ces appareils qui se dirigeaient vers la périphérie de la ville, et se plaçaient en vol circulaire autour de la ville  à environ trois cent mètres d'altitude. Ils n'avaient pas passé inaperçu, c'était voulu. La télévision n'allait pas louper l'événement. 

Philippe : Mais ils sont devenus fous au conseil d'administration, c'était pas prévu ça !
Lucien : La présence de Mr David Brosso non plus !
Philippe : C'est à cause lui ?
Lucien : Oui ! Quand on a appris la présence de notre prochain directeur, la décision a été prise, les ballons étaient en vol d'essais, un en Afrique, un autre  traversait l’Antarctique, et le troisième faisait un vol d’endurance, autour de la planète.  J'ai pas compris tout de suite pourquoi on avait reçu pour consigne de ne pas faire de pub pour ces vols ni pour ces appareil, les médiats n'en ont presque pas parlé … On les gardait pour le grand jour … Le gratin de la PK sera logé dans ces appareils … 
David : C'est donc ça les chambres flottantes ? 
Lucien : Monsieur Brosso, vous êtes déjà au courant ? Bravo ! Il sera difficile de vous cacher quelque chose quand vous dirigerez le groupe !

Avant la fin de la journée les trois dirigeables tournaient, comme en orbite autour des limites de la ville. Les navettes, de tout petits hélicoptères, ne cessaient de monter et de descendre. Les restaurants des ballons avait ouvert. Peter avait été recruté, pas le choix, il assurait le service à bord d'un de ces appareils. Philippe arrivait chez David.

Philippe : Dis moi David ! Tu es seul là ou quoi ?
David : Non ! François est là !
Philippe : Bien alors je vous propose une soirée dans un des dirigeables … Resto et une nuit dans la suite présidentielle avec petit déjeuner … Ça vous tente les jeunes ?
François : Alors là, moi oui, je suis partant !
David : Il faut faire quoi ?
Philippe : Vous vous habillez bien, c'est une sortie mondaine, un taxi viendra vous chercher dans une heure.
David : Un taxi ? Mais j'ai ma voiture !
Philippe : Sur la terrasse dans une heure !
François : Sur la terrasse ?

Les deux garçons allaient se préparer, une demie heure plus ils débarquaient chez Philippe. C'est le père de David qui ouvrait !

Le père : David ! Mais vous allez ou comme ça ? Vous vous êtes fait tout beau ! Vous sortez ?
David : On va au resto dans le ciel, grand père est là ?
Le père : Dans le salon ! Alors c'est donc toi François ? …

François était un peu embarrassé, il commençait à connaître Philippe mais il ne connaissait pas les parents de David. Il suivait David dans le salon !

Philippe : Vous êtes superbes les jeunes. Prêts à faire un tour dans les étoiles ? Il vont manger au restaurant d'un des ballons ! ( à l'intention des parents de David ) …

Il ne fallait par traîner le taxi ne pourrait pas attendre, il y avait plusieurs services et ils ne pouvaient donc pas être en retard. Les deux garçons montaient donc sur le toit ... 

David : Monter sur le toit pour attendre un taxi. C'est un monde fou !
François : Moi j'ai pas tout compris, le taxi il nous conduit ou ? J'aurais pensé attendre le taxi dans la rue pour qu'il nous conduise à un héliport ou un truc comme ça … 

Quelques instants plus tard un bruit de turbine se faisait entendre, ça ne faisait pas trop de bruit finalement. Un tout petit hélicoptère électrique se posait sur le toit à proximité des deux garçons, pas de pilote … Un voix les invitait à prendre place et à verrouiller leur ceinture de sécurité. Aussitôt l'appareil décollait et se dirigeait vers un des ballons géants. 

C'était magique, avec une extrême légèreté le petit appareil se déplaçait rapidement, prenait de l'altitude. Ils avaient l'impression d'être suspendus dans le vide. Plus ils s'approchaient du ballon plus celui-ci semblait énorme, il n'était pas énorme, il était gigantesque. Tout un tas de sas avaient été installé pour recevoir ces taxis et débarquer les passagers confortablement. Des dames en descendaient en robe de soirée, des messieurs en costume … On y voyait le maire, le gouverneur qui s'était déplacé pour l'occasion, le chef de la police, enfin toutes les personnes les plus importantes de la ville … Tous ces gens venaient saluer le couple directeur , David et François, très chaleureusement … Même s'ils ne connaissaient pas François, ni le type de relation qu'ils avaient ensemble. 

François y croisait même son patron. Mais pour qui est-ce que c'était le plus embarrassant ? Pour François ou pour son patron … François était en compagnie du big-big boss … Enfin on y venait pour voir et être vu et tout ce joli monde se saluait et se souriait ! C'était la règle !

La salle ne ressemblait en rien à ces salles de banquer, elle était d'assez petite taille, et on recherchait les tables qui donnaient directement vers la baie vitrée, la vue était tout simplement époustouflante … David avait une table d'honneur, on le plaçait avec Mr et Mme Marthe avec le gouverneur le maire et quelques autres personnalités de la PK. Will n'était pas là ! Leur table était complètement à l’arrière de la structure et leur champ de vision était de près de cent quatre vingt degrés sur la ville et ses alentour. C'était la meilleur table, ils pouvaient également voir toute la salle du restaurant ! Pendant le repas le soleil tombait, la nuit montait, ils pouvaient profiter d'un magnifique lever de lune alors que les lumières de la ville s'allumaient les unes après les autres. Le ballon avait le temps de faire deux fois le tour de la ville. Puis on passait au service suivant. Seuls quelques invités étaient conviés à passer la nuit dans une chambre qui leur avait été réservée. 

La suite présidentielle surprenait David. Elle faisait à peine quinze mètres carré ( au total ), le plafond était bas à peine plus de deux mètres. En fait pour les autres chambre on parlait plus de cabine que de chambres. Mais bon on était dans le ciel et dans la journée il n'était pas rare de voir passer des oiseaux par les fenêtres, ce n'était pas des hublots mais de vraies fenêtres et même par endroit de vraies baies vitrées.

Allongés sur le lit, les deux garçons n'en croyaient pas leurs yeux, la tête du lit semblait posée dans le vide, la vue était incroyable, on voyait ce qui se passait juste en dessous, à trois cent mètres plus bas, sur un angle de cent quatre vingt degrés la encore. C'était petit mais d'un grand confort. 

Ils restaient un long moment à regarder le paysage défiler lentement, reconnaissaient la forêt, le lac et la rivière ou ils s'étaient rencontrés, les installations sportives en périphérie de la ville et ce gigantesque campus au milieu de la ville.

David : Il n'y a pas à dire, la PK fait toujours les choses en grand !
François : Ça te fait peur ?
David : Pourquoi ça devrait me faire peur !
François : C'est un groupe très puissant.
David : Et … ?
François : Tu en seras le maître !

David ne répondait rien, il restait là, pensif à admirer le spectacle. François se glissait contre David, tout contre … Il le regardait avec un grand sourire, glissait une main dans son dos puis, tendrement lui donnait un baiser. La lune avait disparue, la queue du dirigeable la cachait mais sa lumière donnait au paysage une beauté irréelle, magique … David se retournait sur le dos et prenait son amant dans ses bras. C'est dans les yeux de François qu'il regardait le paysage.

François prenait bien son temps pour déboutonner la chemise de David, un bouton, un baiser puis … Encore un baiser. Il faisait rire David, il le chatouillait un peu … Un autre bouton … Encore un baiser. Quand il arrivait au dernier bouton, il remontait en embrassant le corps de David partout ou il l'avait déjà embrassé et un peu plus même. Il caressait le corps de David avec l'extrémité de son nez en s'attardant bien longuement sur les tétons, rajoutait une très douce caresse du bout de la langue. David ne résistait pas, il préférait capituler. Quand leurs lèvres se retrouvaient les bras de chacun enlaçaient l'autre. 

Les chemises s'empilaient sur le sol, suivaient les pantalons et tout le reste. Le pénis de François se relevait avec force, la queue de David poussait fort, très fort contre son dispositif de chasteté. La douceur de la peau de … La douceur de leurs peaux ne risquait pas de calmer David. Ils roulaient l'un sur l'autre, chacun caressait le corps de l'autre avec son propre corps. 

Quand par moment ils se calmaient, ne bougeaient plus, c'était pour regarder le décor de rêve dans les yeux de l'autre. Le vertige qu'ils éprouvaient venait-il du paysage, de l'altitude, du léger balancement qui se laissait à peine sentir ou tout simplement de leurs caresses. Le calme était particulier dans cette cabine, les dirigeables ont toujours été d'un grand confort et d'une tranquillité totale mais là, avec la propulsion électrique ces nouveaux modèles  l'étaient encore plus que les modèles des temps passés. Ils avaient vraiment l'impression de flotter, de flotter très agréablement.

François tenait David dans ses bras, il le serrait contre lui en le caressant, ils s'embrassaient, David se retournait  puis se retournait encore. François s'allongeait sur le dos et David profitait de la position pour se pencher sur son amant et lui sucer doucement et longuement la queue. François bandait ferme, David avalait sa queue avec aisance, sur toute la longueur puis lui gobait les couilles. Il prenait de nouveau cette queue dans la bouche, passait la langue tout autour du gland. Il relevait la tête et lui caressait la bite avec la main, avec beaucoup de douceur puis il recommençait. François respirait fort, de la main il caressait les cheveux de David, appuyait doucement sur sa tête. Sa queue pénétrait jusqu'au fond de la gorge de son camarade. 

Ils semblaient s'agiter, gigoter avec lenteur. Ils se retournaient l'un sur l'autre pour se retourner encore. Dans la célèbre position du soixante neuf, David suçait toujours la queue de François, il bandait fort … Je voulais dire David bandait fort même si presque rien ne se voyait il y avait une grosse pression dans sa cage de chasteté. François lui caressait les couilles et David appréciait, ils se gobaient les couilles l'un l'autre, c'était un petit plaisir que David pouvait encore recevoir malgré son dispositif PK. 

François glissait un doigt entre les fesses de David, il lubrifiait avec de la salive, David suçait avec plus de force à ce moment et François lui glissait un doigt dans le cul, il en glissait rapidement un second puis les agitait. David n'arrêtait pas de sucer, il avalait la queue sur toute sa longueur, François respirait fort de nouveau, il tentait de se retenir, de faire durer le plaisir … Il sentait David vibrer contre lui quand il agitait les doigts, il sentait le plaisir monter, se retenait … Puis il lâchait tout, il ne pouvait plus se retenir et éjaculait dans la bouche de David, il agitait les doigts de plus en plus vite. David continuait à sucer la queue de François. Et finissait lui aussi par juter et se cramponnait à François, sa queue bien enfoncée dans sa gorge, il tremblait, gémissait puis se détendait, il retirait son visage pour reprendre son souffle et se laissait tomber, allongé à côté de François. 

Ils ne bougeaient plus, il reprenaient leur souffle. Ils se sentaient bien, le paysage toujours éclairé par la lumière magique de la lune continuait à défiler doucement trois cent mètres plus bas …

La douche était petite, il n'y avait pas de baignoire. C'était peut être la suite présidentielle mais on n'était pas au sol … Ils s'allongeaient sur le ventre l'un contre l'autre, ils laissaient leurs yeux dépasser du lit et ils s'endormaient en regardant le sol défiler sans fin …  

Le matin on frappait à leur porte, François allait ouvrir, c'était le steward qui réveillait les passagers. On leur laissait le temps de s'habiller en prenant un petit déjeuner dans leur chambre … C'était tout de même la suite présidentielle ! 

En fait la salle à manger était transformée en pont promenade, un bar y était installé, des tables hautes et pas de chaises. C'est dans cette configuration que les passagers pourraient assister aux festivités. Aucune place n'était réservée pour David qui était attendu à la tribune d'honneur, au sol !

Avec son compagnon David faisait le tour du pont promenade, enfin des deux ponts promenade, la nacelle du ballon s'étendait sur plusieurs niveaux … un moment David s'isolait de son ami François sous prétexte de téléphoner à ses parents, en fait il appelait son voisin José.

David : José, il faut que je vous demande un quelques chose, si c'est possible !
José : Mais bien sûr Mr Brosso, tout ce que vous voulez.
David : Voilà il me faudrait quelques places dans une nacelle pendant l'inauguration …
José : Mais vous savez qu'on vous attend à la tribune officielle ! Au sol ! 
David : Oui mais ce n'est pas pour moi, je voudrait faire ce petit cadeau à quelques amis !
José : Dans ce cas là ça ne pose aucun problème, je vous en réserve combien ?

David en réservait deux pour chacun de ses colocataires et quelques autres amis … Ça sert à ça, d'être le numéro un dans un groupe comme la PK … Il savait pourtant que les places seraient convoitées … 

José : S'il y a des annulations, pas de problème, il suffira de m'avertir … Même au dernier moment ! Les places seront convoitées, il y aura toujours quelqu'un pour prendre une place qui viendrait à se libérer !

Le pont promenade se vidait lentement, les navettes faisaient le va et vient entre les ballons et le domicile des visiteurs. Ces appareils minuscules, moins gros qu'une voiture, et je ne parle pas de celle de David qui était de taille XXL, pouvaient se poser dans un parking, une place de stationnement, ou sur la terrasse de l'appartement à David. Avec François ils n'avaient plus qu'à descendre ils étaient à la maison … 



Ep 21 :  UN DEFILE DE VOITURES



Les jours qui suivaient il n'y avait pas de cours à l'université, c'était portes ouvertes. Chaque ballon géant était équipé d'un ballon plus petit qui était accroché au dessus, invisible depuis le sol. C'était des ballons de déchargement qui pouvaient soulever des tonnes, ils servaient à approvisionner en matériel, et le matériel en ce moment, il en fallait ! Les deux ponts promenade étaient régulièrement déménagés, réaménagés, vidés, remplis … Le soir restaurant, dans la journée salon promenade et le grand jour … salle de réception avec bar et écran géant.

Le jour J tout était prêt, François, Matthieu et sa copine étaient sur le B.O.B 03. Les amis de David qui travaillaient à l'hôtel avaient quelques heures de liberté dans l'après midi, on n'aurait pas besoin d'eux pendant la cérémonie, mais le soir oui! Ils étaient eux aussi sur le ballon. 

Le matin on commençait par un défilé de voitures rares ( et chères ), la PK avait louée les Bugatti Royales ( étonnant non ! ), elles était toutes là et ouvraient le défilé, suivaient d'autres véhicules comme les premiers modèles fabriqué par des bricoleurs de génie, premiers modèles de ce qui deviendraient des marques prestigieuses, le premier tricycle de Mr Ford, le modèle A , T, des voitures à vapeur, le fameux fardier de Cugnot ( mais lui il était sur une plate forme tractée … Il était trop lent !) . Tous ces véhicules étaient apparus comme par enchantement dans la ville personne n'avait rien vu venir ! Une armée de policiers de gardiens apparaissaient en même temps que les véhicules, ils seraient exposés pendant un mois dans différents endroits de la ville, sous haute surveillance … 

David avait craqué pour le modèle '' Coupé Napoléon de Bugatti ''. Il était donc en tête de défilé. Mr et Mme Marthe arrivaient plus tard dans un modèle à vapeur de 1900 , ils étaient en costume d'époque, Philippe dans un coupé sportif de chez De Dion Bouton, les parents de David avaient choisi un modèle plus discret, je veux dire par là, un modèle fermé. Plus de cinq cent voitures participaient à ce défilé. Toutes étaient louées pour l'occasion ( sauf celles qui appartenaient à des musées de la PK bien sûr ) … 

La voiture de David s'arrêtait devant la tribune, il en descendait sous les acclamations de la foule. C'est un homme jeune avec une tête bien franche et un sourire éclatant qui le recevait à la descente de la voiture. Un peu désorienté il saluait de la main.

Dorian : Dorian ! Pour vous servir Mr Brosso, j'ai pensé que vous voudriez attendre à l'abri Mr Brosso.
David : C'est une bonne idée, je sens que ça va être long.
Dorian : Surtout que tout le monde n'est pas arrivé ! Et en plus votre PDG est dans la voiture deux cent quatre vingt. 
David : Tout le monde ?
Dorian : Il y a une visite surprise !

David entrait dans le bâtiment juste derrière la tribune, Dorian le précédait pour lui montrer le chemin. 

David : Dites moi Dorian, vous avez dit '' votre PDG '', vous ne travaillé pas pour la PK ?
Dorian : Non, je fais partie de la sous traitance, il y avait une obligation pour travailler à la PK … 
David : Une obligation … Oui je vois … 
Dorian : J'ai donc choisi de travailler pour une autre entreprise mai de temps en temps la PK fait appelle à notre sous traitance.  ( en riant ) Et en plus ils n'auraient pas ma taille !

David pouffait de rire.

Dorian : Oh excusez moi Mr Brosso, je ne voulais pas vous offenser !
David : Vous ne m'offensez pas … J'en ai vu d'autre … Par contre, je voudrais voir ça !

Dorian ne savait pas si David plaisantait ou pas mais il n'était ni timide ni timoré ! Il lançait un grand sourire à David, ouvrait son pantalon et le baissait. Il ne bandait pas mais c'était un gros morceau qui pendait devant lui. 

Il était beau, il était jeune, il était bien musclé, il était en uniforme et … Il avait une grosse bite. David craquait et sans prévenir le repoussait sur le fauteuil, lui baissait son pantalon jusque sur les chevilles et suçait la queue de son hôte. Dorian était surpris, tout s'était passé si rapidement. Il était surpris c'est à n'en pas douter mais pas vexé, il ne repoussait pas David, bien au contraire, il lui tenais la tête avec une certaine force, le guidait, relevait le bassin en appuyant sur la tête de David.

Dorian gémissait de plaisir et respirait fort. Il profitait de la situation, c'était pas prévu mais ça ne lui déplaisait pas. C'est avec des yeux tout ronds qu'il regardait sa queue sortir et entrer entièrement dans la bouche de David.

David n'était pas en manque de sexe … Enfin … David n'était pas en manque de bite … Oui, dit comme ça c'est mieux ! Il avait un ami régulier, bien monté et de ce  côté là tout allait bien. C'était peut être l'uniforme, qui lui avait fait cet effet, en uniforme Dorian était particulièrement sexy. Une belle bosse impressionnante donnait du relief à son pantalon et c'est la deuxième chose que David avait remarqué après le visage volontaire et sympathique de Dorian. 

David n'était pas déçu, c'était prometteur et Dorian tenait ses promesses, David avait la respiration coupée quand il relevait la tête …

David : On a combien de temps ?
Dorian : Je ne sais pas Monsieur Brosso, Votre PDG arrive près de deux cent cinquante voitures plus loin, vos parent encore un peu plus … On devrait avoir le temps de …

David se relevait brusquement …

David : Met toi à poil … Si ça ne te déranges pas !

Dorian ne se le faisait pas répéter en quelques instants il avait retiré tous ses vêtements. Il était debout devant David qui en avait fait de même et continuait à le sucer avec expertise et beaucoup de plaisir. David se relevait et se retournait puis il se penchait en avance …

David : Encule moi !

Rapidement Dorian s'exécutait … Il lubrifiait bien sa queue, se positionnait et sans autre préambules poussait de toutes ses forces. En un mouvement violent et rapide sa queue s'enfonçait totalement dans le cul de David qui ouvrait bien la bouche et poussait un cri de douleur autant que de surprise. Il sentait son anus se contracter, il le sentait se faire dilater sous une pression interne intense,  par réflexe il se contractait, c'était douloureux !

Dorian ne s'inquiétait pas de ce genre de détail, lui il était parti et ne recherchait plus que son propre plaisir, il se retirait rapidement et revenait avec autant de violence que la première fois, son ventre frappait contre les fesses de David. David ne criait plus, il gueulait de douleur mais c'est peut être ce qu'il avait recherché, toute cette agitation … C'était peut être ça qu'il voulait ? Juste un bon coup dans le cul, histoire de lui remettre les idées en place !

Dorian se lâchait, il poussait bien à fond et quand il touchait les fesses de David ça claquait, il appuyait alors son bassin en tirant David vers lui de toutes ses forces. David gueulait fort, il gémissait également. Dorian repoussait alors David, se retirait et revenait à la charge.

David s'accrochait à ce qu'il trouvait, il avait un peu mal mais il sentait aussi un certain plaisir monter dans son ventre, il sentait son urètre qui jutait, qui jouissait, il éjaculait. Un giclée sortait par l'orifice avant de son dispositif, ensuite le sperme coulait longuement. Dans son ventre c'était le désordre, sa prostate manifestait et son anus ne lui donnait pas que du plaisir, ça il en avait évidemment mais pas que, il y avait aussi de la douleur. Une douleur jouissive, c'était pas vraiment nouveau pour lui mais là il appréciait vraiment.

Dorian gémissait aussi de plaisir, il accélérait le mouvement, là il était déchaîné, il se donnait à font, de toutes ses forces, David semblait pleurer. Un cri de plaisir, il poussait un cri de plaisir au moment ou il éjaculait dans le cul de David mais ne se calmait pas tout de suite, il continuait encore ses mouvements, toujours avec violence, toujours avec un coup de reins quand sa queue s'enfonçait entièrement, David se contractait, se crispait, gémissait, pleurait.

Dorian finissait par se calmer, il finissait par débander. Il se retirait et David restait un moment prostré.

Dorian : Ça va ?
David : Terrible !
Dorian : Cool !
David : Il faut se rendre présentable. Je dois être dans un état …
Dorian : On est dans une loge … Il devrait y avoir une douche …

Il y avait une douche en effet … Une demie heure plus tard ils s'était tout les deux rendus présentables et Dorian sortait de la loge pour voir ou en était la cérémonie. Le PDG n'était pas encore arrivé et personne n'avait remarqué la disparition de David. Seuls les membres de la sécurité s'en inquiétaient auprès de Dorian, l'un de ses collègues demandait si le petit boss était toujours là. Dorian lui répondait '' Oui, oui, il est là, il se repose …'' . Il revenait .

Dorian : Tout va bien Mr Brosso votre PDG n'est pas encore arrivé, il n'est plus très loin, tous les yeux sont braqués sur les voitures. Il vaudrait peut être mieux ne pas trop tarder …

Au moment ou David sortait de la loge Dorian lui donnait un coup sur les fesses en lui glissant à l'oreille … '' En piste … Et on recommence quand tu veux bonhomme !''. C'était là un geste de familiarité qu'il ne se serait pas permis une heure plus tôt, mais bon ! Là ça faisait rigoler David. Un peu plus tard les principaux responsables arrivaient et se retrouvaient pour monter à la tribune, un petit discours s'imposait. 

Philippe : ( à l'intention de son ami Mr Marthe le PDG de la PK ) Alors là tu m'impressionnes, c'est tout de même une mise en scène de malade ! Tu ne vas pas me dire le contraire …
Mr Marthe : C'est à cause de ton petit fils ! Je te jure, quand ils ont appris qu'il serait là, au conseil d'administration on ne pouvait plus les tenir. Ils ont tous pété les plombs les uns après les autres … Il voulaient que ce soit grandiose … 
Philippe : C'est pas loupé si c'est ça qu'ils voulaient !
Mr Marthe : Et je ne te dis pas, rien que le montant de l'assurance pour les voitures ...
Philippe : Un nombre à six zéros …
Mr Marthe : Sept ! A cause des Bugatti … Et uniquement pour dix jours !

Les ballons géants tournaient autour de la ville, les ballons de déchargement dansaient eux aussi et les taxis navettes semblaient sauter d'un ballon au sol, tout ça donnait dans le ciel un spectacle surréaliste. Tous les officiels prenaient place sur la tribune, le défilé continuait encore pendant un moment. David avait sa place, au premier rang mais quelque chose lui échappait … Il y avait deux places de trop !

Peu après la dernière voiture la foule applaudissait, puis le calme se faisait, l'attention se retournait alors vers la tribune présidentielle. C'est à ce moment qu'une de ces petite navette hélicoptère se posait juste sur la partie arrière de la tribune. Toute la tribune se retournait, David remarquait d'important mouvement de police autour de la tribune. Tout le monde reconnaissait sur l'écran géant le Président Fédéral Continental ( PFC )… Et c'est sous les applaudissements et les ovations que ce monsieur et sa dame descendaient de la navette. Ils prenaient place en saluant la foule. 

Personne n'avait remarqué le mouvement mais les dirigeables prenaient de l'altitude tout en se plaçant en triangle autour de la ville, ils s'éloignaient de la ville, rapidement il se retrouvaient à plus de trois mille mètres d'altitude, pour ce type de ballon c'était leur altitude de croisière … Ils se stabilisaient à quelques kilomètres en dehors des limites de la ville . 

Du haut de chaque ballon géant trois ballons plus petit s'élevaient, plus rapides que les gros, deux se mettaient à tourner autour du dirigeable  d’où ils provenaient. Un tournait sur un axe vertical, un autre sur un axe horizontal, un troisième s'approchait de la ville et ces trois petits ballons se retrouvaient au centre de la ville, leurs nez se frôlaient mais ne se touchaient pas. Puis il reculaient en même temps qu'ils étaient rejoints pas les autres ballons. Les neuf ballons se retrouvaient en forme d'étoile, certains avançaient alors que les autres reculaient ce qui donnait une illusion de pulsation, l'étoile grossissait ou se repliait. La foule acclamait … 

Ces mouvements continuaient pendant un long moment, diverses figures étaient réalisées dans le ciel. Pour terminer les ballons se plaçaient en cercle avec les trois ballons géants autour de la ville .

Un grand silence …

Surgissait alors d'on ne sait ou un avion léger et rapide suivi par un nuage de fumigène … Entrait en jeux à son tour la patrouille de l'air … Suivait tout un tas de figures aérienne, plusieurs autres avions arrivaient, passaient en figure pas dessus des ballons, pas dessous … La foule acclamait à chaque passage … Pour finir les avions se suivaient passaient tous en dessous des ballons et arrivés  au centre du cercle définit par les dirigeable faisaient un piqué vers le ciel presque à la verticale et disparaissaient comme ils étaient venus …

Le spectacle avait été époustouflant, la foule était en délire et David entendait son grand père … : '' Ils ont quand même exagéré je trouve … '' .

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