DEUX BRANLEURS ET UN PRIEUR

DEUX BRANLEURS ET UN PRIEUR


C'était une école très bien, très réputée, très convenable, l'école préférée de la petite bourgeoisie de cette petite ville de province. Tous les gens qui en avaient plus ou moins les moyens y envoient leur marmots, l'uniforme étaient de rigueur, veste, gilet, chemise blanche avec cravate, pantalon noir, la même couleur que la veste et pour terminer, souliers vernis, noir également.
On ne peut pas dire que les élèves étaient malheureux dans cette école, contrairement aux apparences la discipline n'était pas si sévère. Les professeurs étaient présents pendant les heures de bureau ( comme on dit dans l'administration ), du matin dès l'ouverture de l'école avant l'arrivée des externes au soir après leur départ. 

Le personnel de nuit était lui présent le reste du temps. Enfin c'était juste une petite école privée, petit bourgeois qui prétendait à plus qu'elle n'était réellement, classique quoi ! Les résultats aux examens n'était pas meilleurs que l'école publique, celle ou la populace envoi ses enfants, mais la région étant très, genre conservateur, on disait partout que le privé c'est mieux surtout que privé, ça veut dire religieux.

L'école, bien sûr, n'était pas mixte.'' Il ne manquerait plus que cela ! ''. Il n'y avait donc pas d'internat pour les fille et d'internat pour les garçons, il y avait un internat. Ce n'était pas de grands dortoirs, mais des chambres avec deux lits, deux élèves du même âge et dans presque tous les cas dans la même classe, en tout cas pour les élèves le plus âgés, les plus jeunes étaient dans des chambres de quatre lits et très encadrés. Les plus vieux, presque de jeunes adultes, étaient encadrés mais d'un peu plus loin. On les laissait respirer.

Étienne et Robin étaient deux jeunes hommes charmants qui partageaient plein de choses en plus de partager la même chambre. Ils faisaient du sport ensemble, ils avaient presque tous les cours en commun, il étaient dans la même salle d'étude … Enfin ils passaient une grande partie de leur temps ensemble. 

C'est donc ensemble que ce soir là, comme tous les autres soirs de la semaine ils se retrouvaient dans leur chambre, après le couvre feu les élèves devaient être rentrés et n'avaient plus le droit de sortir. Enfin sortir du bâtiment, ils n'étaient pas consignés à leur chambre. 

Ils avaient l'habitude et savaient être discrets, histoire d'être tranquille. Aucun surveillant ne frappait jamais à leur porte, ils ne se faisaient pas remarquer. On les laissait tranquille. L'abbé l'Abèze, était le plus souvent le surveillant dans cette partie des dortoirs.

C'était un jeune prieur, il semblait à peine plus âgé que les élèves. Il était d'un naturel timide, et rasait les mur, ce qui lui donnait un air sournois. Les élèves l'appelait la fouine … En fait quand on le connaissait, il était très gentils.

Ce soir là, il avait une lettre à remettre à Robin, il avait frappé à la porte mais n'ayant obtenu aucune réponse. Il avait alors ouvert la porte et avait glissé la tête dans la chambre. Lui si prude, encore chaste et quand je dis chaste … Il était même encore puceau du cul (c'est tout dire). Mais oui ça existe encore des puceaux du cul a son âge ! Eh oui mon bon monsieur '' à son âge '' ! A notre époque ? Mon dieu être encore puceaux du cul à cet âge ? Et en plus il était religieux, là ça devient encore plus rare ça puceau du cul mais bon je m'égare de mon histoire.

Bref, le spectacle qu'il voyait le choquait, il devenait tout rouge et restait totalement paralysé sur place, tétanisé, bloqué autant que confus. Mais il ne pouvait pas retourné ses yeux de ce qu'il voyait. 

Robin était vautré sur le fauteuil, les jambes allongées, le pantalon baissé et son camarade de chambre avait la tête penchée sur lui, sur son entre-jambe pour être précis et il semblait à l'abbé que Etienne tenait dans sa bouche, bien enfoncée sur toute sa longueur jusqu'au fond de sa gorge la queue de son ami. 

L'abbé ne pouvait plus détourner son regard, il était fasciné, hypnotisé, pourpre du visage par sa confusion embarrassée …

Euh ça se dit ça '' confusion embarrassée '' ? Ou bien c'est un … Bof ! Et puis on s'en fout !

Surtout que Etienne ne restait pas là, bêtement sans bouger (enfin bêtement je ne dis pas … ), mais il bougeait, l'abbé remarquait ses mouvement de succion, il relevait la tête et avec la langue il léchait la bite de son camarade qui avait les yeux fermés et gémissait de plaisir. 

Un réflexe étrange poussait l'abbé à refermer la porte doucement pour que personne n'entende les gémissements dans le couloir. Mais la situation lui échappait au moment ou la porte lui échappant des mains claquait très fort. Surtout qu'il avait oublié de sortir de la chambre ...

Robin et Etienne sursautaient. Robin surtout semblait paniquer et voulait cacher ses parties intimes en appuyant sur la tête de son camarade qui se retrouvait donc un peu bloqué, la queue de Robin dans la gorge. Étienne avait sursauté mais c'était parce que Robin avait sursauté.

L'abbé qui devenait alors aussi rouge qu'un piment basque (rouge basque quoi!) …

L'abbé : Monsieur Robin … J'avais … Lettre … à vous déranger … Je revoudrais.

Etienne parvenait enfin à relever sa tête, l'abbé n'en revenait pas. Etienne avait le visage contre le ventre de son camarade et par conséquent bien enfoncé jusqu'à la gorge la queue de Robin qui ressortait alors, elle était de très belle taille, elle était de très belle largeur, elle était très belle. L'abbé était fasciné et ne semblait plus pouvoir bouger. 

Etienne : Mais tu veux me tuer, j'ai failli mourir étouffé là !

Du regard Robin montrait à Etienne qu'ils n'étaient plus seuls. Etienne n'avait rien entendu tout occupé qu'il était à son ouvrage ( vous avez vu comment c'est dit avec élégance ça, non ? ). Il tournait la tête …

Etienne : Merde là c'est la tuile ! 

Plus personne ne bougeait !

Etienne : Mais c'est qu'il bande en plus !
L'abbé : Revenir … pas déranger … lettre !

Il bafouillait le pauvre ! Et il allait alors tenter de se retourner et d'ouvrir la porte pour ressortir …

Robin : Labèze ! ( C'est pas  un gros mot, c'est le nom du jeune curé, je dis ça pour ceux qui aurait lu le paragraphe un peu trop vite )

L'abbé ne bougeait plus, il n'était plus rouge mais violet. 

Etienne : Attend il bande .

Etienne s'approchait tout en restant sur les genoux et sans aucune hésitation agrippait les couilles du curé au travers de son pantalon. 

Etienne : Il en a une belle en plus j'ai l'impression.
L'abbé : Enfin ! Messieurs ! Je vous en prie !

Le curé se retrouvait avec le pantalon sur les chevilles et Étienne le branlait avec l'air décidé. En effet il en avait une belle, le curé ! Sans qu'il  n'ose se retirer ou s'y opposer. Il n'avait pas non plus le temps de réagir au moment ou Etienne lui avalait la queue. Les yeux lui ressortaient de la tête c'est tout !

Le curé : Oh mon dieu, oh mon dieu, oh … ( Bon j'arrête là, je ne vous dis pas mais ça a duré un  moment )
Robin : Vas y, il aime ça dis, bouffes lui la queue.

Etienne aime ça on n'en doute pas, le curé devait apprécié lui aussi, il ne tentais pas de repousser Etienne, il avait simplement les deux bras relevés et à moitié repliés devant lui, l'enveloppe dans la main droite … 

Le curé : Oh mon dieu, oh mon dieu, oh … ( Bon j'arrête là, je ne vous dis pas mais ça a duré un  moment ). ( éh,éh,éh )

Je me répète là oui je sais mais c'est lui aussi, il n'arrêtait pas …

Robin se rapprochait, '' Gardes m'en un peu !''. Il se plaçait alors à côté du curé et laissait Etienne passer de l'un à l'autre. 

Etienne avalait la queue de Robin tout en masturbant et en massant la queue du curé puis il échangeait. Robin montrait au curé ce qu'il fallait faire de ses mains en appuyant sur la tête d’Étienne.

Robin : Vas y fait comme moi, quand il te suce … Au fait c'est quoi cette lettre.

Le curé n'en revenait pas, au moment ou Etienne avalait sa queue, Robin lui prenait la lettre des mains et la lisait tout en laissant son camarade Etienne le masturber.

Le curé : Oui … C'est … Haaaaaa ! … Grave … ?
Robin : Non rien de bien grave, ce n'était pas la peine de te déranger. Mais tu as quand même bien fait de venir. Alors  t'en penses quoi ? Ça doit pas être aussi bien qu'au séminaire ! Allez, c'est mon tour, tu vas me dire ce que tu en penses.
Le curé : Oh mon dieu, oh mon dieu, oh … 

Robin se mettait à genoux, Etienne en profitait pour se relever et se détendre la mâchoire. Quelques instants plus tard, le pantalon du curé était dans un coin, il était installé, vautré sur le fauteuil, Etienne le déshabillait totalement, le caressait, et l'embrassait partout ou il pouvait passer sans gêner Robin. 

Le curé semblait totalement dépassé par la tournure des événements. D'une main il appuyait sur la tête de Robin, ne sachant s'il devait appuyer fort ou y aller doucement, de l'autre main il caressait le torse d’Étienne n'osant poser la main n'importe ou. Etienne lui prenait alors la main et la posait avec fermeté sur son sexe. Le curé sursautait puis se détendait, quelques instants  plus tard il osait même la glisser dans le pantalon du jeune homme.

Un peu plus tard, il ne restait plus que Robin qui était encore habillé. Enfin il avait encore sa cravate. Au milieu de la pièce les trois corps se caressaient se frottaient l'un à l'autre, ils s'embrassaient avec passion. Pour l'abbé c'était une révélation. Il n'avait connu de la sexualité que la masturbation honteuse. Mais on lui avait dit que le reste était encore plus honteux et pas si fantastique que ça. Il se rendait compte qu'on lui avait menti !

Pour lui les peaux n'avaient jamais été aussi douces, aussi chaudes. Les  lèvres n'avaient jamais été aussi tendres. Il se décidait à se mettre à genoux et à sucer à son tour la première queue  qui passerait à porté de ses lèvres et de sa langue.

Tout comme on venait de lui montrer, il passait d'abord sa langue sur l'extrémité du membre viril, il découvrait alors que le gland, s'il est sensible, est d'une extrême douceur. Il y allait doucement, en suçait un puis passait à l'autre, il revenait. Peu à peu il tripotait également les couilles de ses deux partenaires, il finissait par se lâcher et glissait même la main entre les fesses de Robin. 

Robin : Quelque chose me dit qu'il va aimer le cul !

Etienne qui avait la plus petite ( pour une première fois les jeunes il ne faut pas être gourmand de plus elle faisait tout de même ses dix  huit centimètre ), Etienne donc prenait position derrière le curé, se lubrifiait bien la queue et doucement la positionnait contre l'anus du curé qui prenait soin de lubrifier aussi. Il en profitait pour y glisser un doigt, la réaction semblait bonne il tentait alors une entrée avec sa queue. 

Là le curé à crié, il a hurlé même au moment ou Etienne est entré. Il y allait doucement Etienne et son petit diamètre de presque cinq centimètre aurait du les aider … Mais non ! Ça résistait et il devait alors forcer. 

Alors ça c'est les jeunes, '' Ça passe pas ? … Mais si ça va passer ! ''. 

Pour finir son bassin frappait violemment les fesses du curé qui hurlait de douleur pendant que Robin continuait à le sucer. 

En règle générale, ça fait éjaculer celui qui se fait enculer ( moi en tout cas c'est ce que ça m'a fait la première fois ), mais la le curé n'a pas éjaculé. Rien n'est sorti et Robin qui s'attendait à se prendre une giclée de sperme dans la bouche est resté sur sa fin. 

Toutefois si rien n'est sorti, ce qui est rentré c'est le directeur de l'école, le père supérieur qui alerté par les cris avait jugé bon d'entrer sans frapper.

Les trois jeunes gens sont resté dans cette position totalement tétanisé. Tous les trois on eu l'impression que leurs cœurs allaient s'arrêter. Avec lui ça déconne pas !

Le père sup : Bravo jeunes gens. Monsieur Etienne, Monsieur Robin je pensais que rien ne pourrait plus m'étonner de votre part. Bravo une fois de plus vous m'avez donné tort sur ce point ! Et quand à vous Labèze, vous ne pouvez imaginer combien vous m'avez déçu. Quand vous aurez fini vos ébats, vous me retrouverez dans la salle des prières. Elle est vide à l'heure qu'il est !

Je ne vous dis pas comment ça calme ! 

Paf, il avait plombé l'ambiance, ils avaient tous les trois débandé en quelques secondes. Le père supérieur était reparti. Sa voie était restée douce, il n'avait pas crié, pas hurlé ( non, le seul qui avait crié c'était l'abbé Labèze juste un peu plus tôt mais il avait une excuse ). Sa voie était restée claire, nette et dépourvue de colère.

Il se retrouvait tous dans la salle des prières quelques instants plus tard. Le père supérieur y était déjà, à genoux sur son prie dieu ( il y en a qui sont vernis, pour prier ils ont un instrument qui s'appelle comme ça, il paraît que ça aide ) … Les entendants venir il leur faisait signe de s'agenouiller à côté de lui, sans rien dire. Et c'est sans rien dire qu'ils ont tous passé la nuit … a prier !

Et là je ne vous dis pas comment certains se sont fait chier cette nuit là !

L'aube pâle naissait quand le père supérieur se relevait. 

Le père sup : Vous irez vous habiller correctement puis vous irez prendre votre petit déjeuner avant de vous rendre dans une cellule pour novice. J'espère que ça ne vous dérangera pas si vous n'êtes pas dans la même cellule !

Ça c'était rajouté avec une certaine malice toute religieuse. Ils ne pourraient alors plus communiquer de toute la journée.


Les parents des deux jeunes étaient dans le bureau du directeur quand Etienne et Robin y entraient. Leurs mères étaient en larmes, leurs père étaient furieux et ne les regardaient même pas. Le directeur leur faisait la morale  pendant plus de deux heures. L'un se prenait une gifle par son père avant de se faire engueuler, l'autre se faisait seulement engueuler. 

La sanction proposée par le directeur de l'école était finalement acceptée par les six autres personnes concernées sans qu'on ait bien sûr demandé leur avis aux deux jeunes. C'était ça ou le renvoie immédiat !

On leur présentait à chacun un dispositif de chasteté. Ce sont des dispositifs fabriqué par la marque '' Le Château ''. C'est destiné à améliorer les jeunes garçons qui se laissent aller . Je vous fais un dessin ? Ce n'est pas nécessaire vous avez compris. 

Oh ils n'en menaient pas large les deux mômes. Bien sûr ils auraient pu refuser mais qu'auraient-ils fait alors ? Ils n'auraient pas eu leur examen, pas d'études supérieures, et bien sûr, pas de carrière pour laquelle on les avait si bien préparés. 

Ils acceptaient. 

Ils ont revu Labèze plus de quatre ans plus tard. La seule fois ou il avait osé toucher un autre être humain s'était terminé d'une manière imprévue. Lui aussi faisait carrière et se trouvait contraint de porter ce dispositif tant qu'il resterait dans les ordres, et il avait prévu d'y passer sa vie. On m'a confié par la suite qu'il aurait découvert de nouveaux plaisirs, et qu'il serait tout à fait satisfait de cette nouvelle situation ...

Deux ans plus tard encore, les deux garçon ne se voyaient plus. Robin apprenait que Etienne s'était marié et que sa femme avait reçu les clés de son mari, c'est elle qui désormais déciderait : Quand et si …  ! 

Robin lui, plus porté vers les garçons n'avait aucune nouvelle de sa clé, il parvenait à prendre du plaisir avec toujours cette frustration qui ne le lâchait plus.

Chacun d'entre eux, quand il y repense se souvient de ce soir là, aucun n'a joui, aucun n'a éjaculé et depuis … 

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