RENCONTRE DANS UN TRAIN

RENCONTRE DANS UN TRAIN


Vers la fin du dernier millénaire …

Vous avez vu comment ça dépote une telle entrée en matière ? Éh, éh, éh !

 Je ne voudrais pas dire mais la fin du dernier millénaire c'était il n'y a pas  vingt ans. Nous étions jeunes, nous étions beaux, nous … Bref  on avait vingt ans de moins !

Et si on remonte un peu plus loin dans le passé … Inutile d'essayer de vous rappeler les jeunes, vous  n'étiez pas nés … les futurologues de la presse imaginaient le futur ( notre présent ) d'une manière plus  ou moins fantaisiste. Les avions voleraient dans les airs, les voitures rouleraient sur des routes, et les trains rouleraient sur des rails. Il faut tout de même reconnaître qu'ils s'étaient largement trompés … Non ?

… ? … Euh ! Pardon ! C'est moi que je me suis trompé, j'ai un peu mélangé mes notes là.

Je voulais dire, les gens se déplaceraient dans les rues en regardant la télé. Ça nous faisait nous bidonner doucement … Bon la vérité est pire, c'est pas la télé qu'ils regardent c'est les réseaux sociaux ! C'est pas mieux et dans les deux cas ils n'ont pas l'air plus futé que dans l'imaginaire des futurologues fantasques du dernier millénaire …

On en voit partout, des jeunes, des moins jeunes, un peu moins de vieux pas de très vieux (Certains parmi ceux là se demande encore comment ça marche un téléphone qui n'a pas de fil) … Que je suis moqueur … j'ai honte !

Mais ça commence à représenter du monde tout ça. Le nez riveté à leur écran, l'écran presque greffé dans la main, il regardent le monde au travers d'un écran de petite taille en couleur et en haute définition qui ne donne pas d'ailleurs un très bon résultat en pleine lumière. Ces appareils sont aussi des caméras qui permettent de faire des photos, des films, et servent aussi de console de jeux. Moi qui ai connu les jeux vidéos de première génération. Mon dieu ! …

Enfin bref dans le train en face de moi, le mec depuis un moment communiquait en silence avec son téléphone dans la main. Il l'avait quand il est monté dans le train, il l'avait quand il a cherché une  place, il l'avait quand il a repéré la place en face de la mienne, il l'avait quand il s'est installé et l'a gardé depuis. Il en avait surtout grand besoin pour repérer une place libre dans la voiture ou j'étais seul avant son arrivé !

Je regardais ça l'air amusé, c'est vrai que je suis de ceux que ça amusent de rire. Il finissait par lever le regard dans ma direction. Je le saluait de la tête, il me répondait par un grand sourire. Un ange passait.

Moi : Quelle chaleur !
Lui : Oui ! Il fait chaud !
 …

On continuait sur ce ton pendant un petit moment, en général on commence comme ça quand on ne sait pas quoi dire.

Moi : Vous habitez Sartrouville En Bled ?

Je vous rassure si cette ville ne vous dis rien, c'est normal j'ai inventé le nom par souci de discrétion pour ne pas vous dire que nous nous rendions à Nantes .

Oups ! Loupé ! Bon je vais continué avec Nantes maintenant, au point ou on en est !

Lui : Non je suis en week-end.
Moi : Le prochain défilé de la troupe royal de luxe ?
Lui : Je vais faire des photos.

Il me montrait alors son téléphone.

Lui : J'en ai fait plein.

Sur sa lancée, il me montrait quelques photos qu'il avait réalisé il y a peu, c'est étonnant ces petits appareil, je regardait et d'un geste naturel, non prémédité, je touchais son téléphone, mon doigt glissait sur l'écran et c'est la photo de mon entre jambe qui apparaissait !

Moi : Oui, je vois, des photos souvenir …

Il regardait son écran, devenait tout blanc. Moi je rigolais.

Moi : Tu en as d'autres des comme ça ?
Lui : Moi ! Euh ! Non ! Euh ! Oui ! …

Il bafouillait quelques instants et voyant que je rigolais il retrouvait son calme et me montrait plein d'autres photos.

Bein quoi ? Vous vous imaginez que je suis quel genre de garçon ? A me lire depuis bientôt deux ans vous devez vous douter savoir que je ne suis pas du genre prude ? Enfin pas trop ! A peine quoi !

On se penchait alors l'un vers l'autre et on regardait les photos qu'il avait fait. Il en avait plein.

Lui : C'est pour alimenter mon blog : c'est du lard ou du cochon . Com ( Là j'ai inventé, mais si ça se trouve ça existe ou il y a un truc dans le genre … ).

Il n'y avait aucun visage sur les photos, ça me semble un minimum … Il en avait plusieurs de moi, pas mal cadrées, bien, mon pantalon léger mettait bien en valeur mes formes érotiques, la lumière jouait bien aussi.

Lui : Tu dois en avoir une belle ?
Moi : Un grosse bien droite, bien grasse, bien énorme …
Lui : C'est vrai ? ( ses yeux pétillaient de curiosité )
Moi : Non ! Mais en général les mecs ne te disent jamais, ' j'en ai une toute petite de travers ' …

Il rigolait !

Lui : T'es un marrant toi.
Moi : Je te rassure je ne suis pas ridicule mais sans pour autant être un géant.
Lui : Tu fais voir ?

En tous cas lui il n'est pas timide et il n'est pas farouche  non plus ! Il serait même pire que moi !

Moi : Mais tout cela est si subite !
Lui : Oui ! Et alors ?
Moi : Et tu prends la photo ?
Lui : Ça marche !

Je jetais un regard circulaire dans la voiture, personne ne pouvait nous  voir vu qu'il n'y avait personne. J'avais un pantalon de training, c'est un peu moulant et c'est surtout très souple et très élastique. Il prenait position, je desserrais le lacet de mon pantalon et d'un geste rapide le baissait, en sortait tout le matos, passait le lacet du pantalon sous mes couilles. ( Je n'avais pas de sous vêtements ce jour là, j'espère que ça ne vous choque pas, pour le reste je ne suis pas inquiet ).

L'air nouille il regardait mais ne faisait pas la photo.

Lui : Mais c'est … ! C'est !
Moi : Un dispositif de chasteté, avec une forme anatomique, et c'est ce qui t'aura trompé. Au travers du pantalon c'est à s'y méprendre … Non ?
Lui : Bein mince alors, çà je ne  m'y attendais pas !
Moi : Photo, photo, je ne  vais pas resté comme ça jusqu'à Brest !
Lui : Ah oui, excuse !

Il enclenchait les photos en cascades, photographiait mon truc dans tous les sens, sous tous les angles, il continuait même à photographier quand je remontais mon pantalon.

Moi : Mais tu as filmé ou quoi ?
Lui : Presque !

Après on regardait le résultat de son travail. Eh bien ça marche rudement bien ces petits appareils, en passant les photos à la suite rapidement, ça faisait presque un film, il avait pris soin de ne photographier aucun détail qui pourrait permettre de m'identifier. J'ai bien aimé le résultat et je lui ai demandé quand il pensait les mettre en ligne.

Lui : La vache c'est un truc de dingue ça.
Moi : Bein oui ! Je sais partager des photos en ligne ...
Lui : Non moi je parlais de ton truc. C'est pas un modèle commercial ça ?
Moi : Bein non !
Lui : Mais il me semble l'avoir déjà vu !
Moi : Bein ou ?
Lui : Bein sur Internet !
Moi : Bein oui suis-je bête ?
Lui : Non mais tu nous entends parler là ?
Moi : Bein c'est aussi ce que je me disais …

On était plié de rire.

Moi : Je sais … Mais j'ai un blog et je diffuse des textes érotico pornographiques cochons …
Lui : Je sais ! Je sais ! Je sais !

Je sursautais … Il sait quoi ?

Lui : Charly Chast, j'ai lu certains de tes textes et j'ai vu ton blog. Je ne t'ai pas reconnu tout de suite. Je ne te cacherai pas que j'y croyais pas ! Alors c'est vrai ?
Moi : Éh, je suis repéré. Bein oui c'est vrai, tout ce que je raconte est vrai. Enfin sauf mes  textes, c'est à quatre vingt dix sept virgule soixante douze pour cent de la fiction. Mais les challenges de chasteté, c'est vrai.
Lui : La vache, alors là Charly je suis impressionné.
Moi : Mai au fait, comment tu m'as reconnu, il n'y a jamais ma photo.
Lui : Ton dispositif, c'est un modèle unique !
Moi : C'est vrai !

Il nous restait encore une longue route avant d'arriver à  Sartrouville En Bled, pardon je voulais dire à Nantes.

Lui : Attends, je reviens.

Il se levait et se dirigeait vers les WC. Sans aucune malice je le suivais …

Ouah la tête de certains lecteurs, il m'ont cru !
Sans malice ? Moi ? Non mais franchement personne ne peut y croire … 

Il m'avait un peu allumé la tête le mec, en plus s'il photographiais l'entre jambe des mec par pur voyeurisme je vous garanti qu'il ne cachait pas non plus une jolie bosse bien prometteuse lui aussi par pur exhibitionnisme.

Oui donc, c'est sans aucune malice ( lol ) que je le suivais il entrait dans les WC, je jetais un rapide œil circulaire et me demandais comment ils pouvaient encore faire rouler des trains, il n'y avait personne. Je me glissais donc dans la cabine en le bousculant presque pas.

Il était d'abord surpris mais n'avait en aucun cas l'idée de me repousser. Ce genre de cabine est assez étroite mais je tombais accroupi, lui ouvrais sa braguette, sortais sa bite avant de me la mettre dans la bouche. Il était là encore surpris de la vitesse à laquelle j'avais démarré.

Comme il me caressait les cheveux je me disais que ça ne devait pas vraiment le déranger, en tous cas il me laissait faire. Il bandait en quelques instants. Comme on aurait pu le supposer il en avait une belle, c'était pas un géant mais elle était belle. Elle avait grossi dans ma bouche rapidement et s'enfonçait jusqu'au fond de ma gorge.

Je retirait ma tête vers l'arrière et l'avançait dans des mouvements très rapide, sa queue ne ressortait que très peu, je massais son gland avec le fond de ma bouche. Régulièrement une petite pause pour reprendre mon souffle et je reprenais. Par moment je retirait ma tête complètement, il tentait alors par réflexe de me retenir.

Je le masturbais alors fermement, sa queue était  bien lubrifiée par ma salive, puis je revenait et reprenais sa queue en entier dans ma bouche et le suçais avec vigueur. Il gémissait de plaisir. Ma queue se révoltait, elle voulait subir le même traitement, mais c'était hors de question. La frustration nourrissait mon imagination, me stimulait et me donnait un plaisir de frustration indescriptible, terrible, j'étais accro !

On devient vite accro à ce truc, au moment ou ça s'est passé je vous jure et vous pouvez me croire car comme je vous le disais mes récits sont tous totalement, rigoureusement, absolument exacts ( ? … Enfin … ) … Mais au moment ou ça s'est passé je terminais ma quinzième semaine d'abstinence totale. Quinze semaines pendant lesquelles je n'avais pas sorti ma  nouille de sa cage et pendant lesquelles je n'avais eu droit qu'à moins d'un orgasme ruiné par semaine, soit pas plus de dix !

Aussi la queue me manquait, j'étais en manque et il en profitait. Avec ma langue je  lui caressait la queue sur toute la longueur, quand je retirais la tête j'insistais longuement sur son gland, tentant même de glisser le bout de ma langue dans le petit trou qu'il avait tout au bout. Il gémissait de plaisir, il tremblait et c'est sans prévenir qu'il me giclait une bonne dose de sperme à la figure. Suivaient une seconde giclée puis encore une que je prenais dans l’œil, et quelques autres dans les cheveux, sur la joue, sur le nez. Un partie avait atterri dans ma bouche et je me régalais, son sperme était très bon.

Il se secouait la queue devant moi sans se gêner, j'avais toujours le sourire quand je levais les yeux vers lui. Il me répondait avec un large sourire, il respirait encore fort, ma queue protestait toujours très fort mais ça je ne m'en souciais pas. J'étais frustré mais heureux, je l'avais senti vibrer au moment ou il avait joui.

Lui : Bon c'est bien beau tout ça mais on n'est pas là pour rigoler. Il se retournait pour pisser, c'est ce qu'il était venu faire, moi pendant ce temps j'en profitais pour me nettoyer, il se retournais se lavait les mains et vérifiait que je m'était correctement essuyé, '' il était pas mignon ? ''.

On était de nouveau présentables, je glissait une tête hors des WC il n'y avait personne, je sortais, il me suivait quelques instants plus tard et venait me rejoindre à notre place.

Lui : Alors tu es vraiment comme ça ? J'y aurais pas cru !
Moi : Tu peux parler ! Moi j'ai rien fait !
Lui : Tu parles ! Tu m'as tout de même sucé jusqu'au jus !
Moi : Et toi tu m'as juté généreusement jusqu'au cheveux !

On se regardait, on éclatait de rire.

On a continué à discuté comme ça, moi de mes histoires, il voulait tout savoir sur mon blog, moi je je voulais tout savoir du sien. Il m'a promis de m'envoyer les photos pour que je puisse aussi les publier sur ma page Twitter. Quand le train est entré en gare on était devenus inséparables, comme deux frères. Deux frères que dis-je, deux jumeaux !

On s'est fait la bise, on a continué chacun notre chemin, lui satisfait de cette rencontre, moi frustré par cette rencontre. Mais tous les deux prêts à recommencer.

Et quand le train est parti je me souviens que dans ma tête je me suis demandé …

'' Au fait comment il s'appelle ? On n'a même pas échangé nos prénoms ! ''




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast

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