La maison d'hôtes 05 Un nouveau départ

 La maison d'hôtes 05

Un nouveau départ



Plus j'avançais vers la porte plus je sentais mon cœur qui se contractait dans mon thorax, j'avais l'impression de faire une énorme bêtise. J'avais la trouille, mais une trouille je ne vous dis pas. En même temps ma curiosité était à son maximum. Je voulais savoir et faire cette expérience. Bien sûr, je pouvais encore tout arrêter, il suffisait que je refuse formellement. La PK Compagnie n'accepte pas de contraindre ses clients, mais j'avais envie d'essayer et mon père l'avait fait, ça n'avait rien de définitif et rien que l'idée de porter un dispositif me mettait dans un drôle d'état. J'étais terriblement excité je sentais ma queue qui se contractait, je ne bandais pas mais bon, après la nuit que j'avais passé, c'était normal même à mon âge.


Et puis si on bande au moment ou on doit enfiler leur truc, ça se passe comment ? Il disent simplement qu'ils s'occupent de tout, que tout se passe bien, qu'ils ont l'habitude etc … 


Ouai, ça ne me rassurait qu'à moitié tout ça, surtout le '' etc '' . 


Je franchissais la porte, j'entrais dans un monde aseptisé, élégant mais aseptisé. Un jeune homme venait à mois.


– Vous êtes Hugo Verpin ?


J'avalais ma salive et je répondais par un hochement de la tête. A ce moment je sentait comme un nœud dans mon ventre. J'avais presque le vertige. Il m'invitait à le suivre dans un salon, il y avait un gros fauteuil boule, vous savez un de ces meubles rétro, ici ça faisait tout de suite cocon, et en plus c'est très confortable.


J'étais un peu en avance, mon père sans me le dire avait pris rendez-vous, mais il devait passer à la banque. Le jeune homme me demandait si en ce moment je bandais, même à moitié.


– Quelquefois ça arrive au candidat, c'est totalement hors contrôle, il ne faut pas luter, on a l'habitude de gérer vous savez jeune homme.


Je faisait non de la tête tout en me pinçant la queue à travers de mon pantalon, elle était peut être un peu dure mais de petite taille.


– Si vous voulez bien, nous allons procéder aux mesures …


Là je ne réagissais pas.


– Cela veut dire qu'il faudrait que vous baissiez votre pantalon … Rajoutait-il.


Il avait dit cette dernière phrase avec un petit sourire. Je me levais et m'exécutais, il procédait. Ma queue était bien dure mais de petite taille, je lui faisais remarquer.


– Vous vous êtes masturbé avant de venir.

– Heu ! …

– N'ayez pas honte … Vous pouvez tout me dire.

– Bein à l'idée de venir je me suis masturbé toute la nuit, au moins sept fois depuis hier soir, huit peut être ou neuf je ne sais plus …  

– Neuf fois, quelle santé ! Dans ce cas là, c'est normal. Vous pensez que vous pourrez bander maintenant ? C'est toujours pour la mesure …


Je commençais à me tripoter mais rien, ma queue ne réagissait pas du tout. Bein c'était bien la première fois que ça m'arrivait ! Il m'invitait à insister, c'est ce que je faisais. Il continuait à  me parler, m'expliquait comment ça allait se passer.


– Il vous faudra un key-holder pour le début, si vous ne pouvez pas supporter le dispositif, ça n'arrive jamais mais il faut être prudent. Ensuite … 

– Et ensuite ça ressemble à quoi, une fois qu'on l'a mis votre truc ?

– A ça ! Me répondait-il. 


Il se levait et ouvrait son pantalon le plus naturellement du monde. Il avait un superbe dispositif en titane, très aéré, par devant il y avait un bouclier en céramique ( en fait c'est du composite mais ça ressemble à de la céramique ). Il s'approchait de moi et me laissait tout le temps qu'il fallait pour que je puisse bien observer le dispositif.


Et là j'ai bandé, et pas qu'un peu je ne vous dis pas.


Il refermait son pantalon. 


– Vous pourriez vous lever ce sera plus pratique pour prendre la mesure.

– C'est une grosse taille ?

– C'est une belle taille, vous êtes au dessus de la moyenne. Mais vous savez, si vous décider de le porter pour toujours, ça n'a plus beaucoup d'importance.


A ces mots je bandais encore plus, et là je me demandais vraiment si je parviendrais à débander, c'est indispensable pour pouvoir passer le dispositif. Il prenait quelques photos avec un appareil un peu bizarre à deux objectifs.


– Bien vous pouvez remonter votre pantalon pour le moment. 


Je me réinstallais, je bandais toujours et mon cœur battait fort. Il y avait toujours ce nœud dans mon ventre et j'avais l'impression de trembler, de trembler frénétiquement très vite mais d'un tout petit tremblement. Je me sentais tout bizarre.


Il me présentait alors un catalogue, je le parcourais rapidement et retenais plusieurs modèles. Il me les apportait pour que je puisse les voir plus en détail et les manipuler. Tous ceux qu'il me proposait était à ma taille. C'est le genre de petit détail qui fait la différence. Je pouvais ainsi les essayer et voir. 


Ma queue s'était de nouveau ratatinée, je ne bandais plus du tout, pourtant pendant un moment c'était spectaculaire. Je décidais d'en essayer un. Je ne savais pas trop comment m'y prendre, il me conseillait de retirer mon pantalon tout simplement. C'est ce que je faisais.


Rapidement je prenais un modèle spécial confort.


– C'est ce qui se fait de mieux, surtout pour débuter. Me disait-il.


Je l'enfilais, il était fourni avec cinq boucliers différents, mais on pouvait le porter sans. Dans ce cas, ça faisait un peu plus cage. J'avais posé mon pantalon sur le fauteuil et je marchais de long en large devant un grand miroir. C'était top, tellement top que je sentais une érection qui arrivait, j'allais savoir ce que ça donnait quand on bande dans ce truc.


Bon, confortable ? … Là ils abusent. Mais pas vraiment désagréable c'est vrai et absolument pas douloureux. Je choisissais ce modèle, ensuite il me  proposait de choisir les boucliers, les boucliers ivoire et céramique étaient particulièrement beaux, les trois autres que je choisissais étaient plus coloré.


Je vous jure j'aurais brouté la moitié de mon parterre de plantes vertes ça ne m'aurait pas retourné d'avantage. Je  planais, j'étais sur un petit nuage, je ne réalisais pas vraiment, j'étais porteur d'un dispositif de chasteté. La veille seulement j'avais entendu parlé de ces trucs sérieusement, c'est tout et là j'en portais un pour … Pour combien de temps au fait ? Ça on n'en avait pas parlé ! Mais je m'en moquais, je vous jure qu'à ce moment là je m'en moquais.


J'avais un large sourire, je me rhabillais et me rendais présentable.


– Le cadenas est intégré, il suffi de refermer le dispositif et il est verrouillé. Nous ferons parvenir les clés à votre père, sinon il peut passer dès maintenant. 


Il me faisait signer les documents, j'avais toujours l'impression de trembler mais en fait, non, tout allait bien. C'est à ce moment que mon père arrivait.


– Monsieur Verpin, bonjour, je viens d'équiper votre fils, vous serez son key-holder pour le début, donc je vous remet les clés.


Mon père signait quelques documents puis on repartait.


J'étais retourné. 


– Bon qu'est ce que tu veux comme cadeau fils. 

– Un nouveau téléphone ! 


Je vous le dis comme je le pense, il ne faut pas perdre le nord dans ce genre de situation. Bien sûr, il a dit oui. On s'est retrouvé dans la boutique des téléphone et je suis ressorti avec le dernier modèle des smartphone, vous reconnaîtrez la marque si je vous dis que le logo c'est une poire … Hein, pas mal, j'ai bien négocié là ! Il est hors de prix !


Il avait profité que j'étais dans la PK boutique pour faire tout ce qu'il devait faire. On repartais vers la maison, on s'est arrêté en route, il m'a même payé le restau. C'était un grand jour !


De retour à la maison, ma mère me recevait avec un large sourire. J'étais pardonné de ma faute. Je passais le reste de la journée tranquille sur ma console de jeux. Et là c'était ma maman qui m'avait fait un cadeau, je trouvais à côté de ma console de jeu le pack Spécial-Gamer, c'est un pack qui regroupe les cinq jeux les plus à la mode … J'étais content !


Julien, le fils du nouveau client, venait me rejoindre et me demandait s'il pouvait jouer. Il s'est d'abord présenté, on s'était à peine aperçu en fait, la veille, il était prévu qu'il reste une semaine. 


– Et tu as fait quoi comme connerie pour mériter une PK ?

– Qué PK ? Je sursautais. Et puis comment tu sais ?

– Hier tu avais le fascicule dans la main, je connais bien le truc.

– Toi aussi tu en portes une ?


Sans répondre il se levait, baissait son pantalon, il n'en avait pas mais par contre il avait une belle bite, plus grosse et plus longue que la mienne. Je vous jure, à cet instant, rien que de voir sa queue, j'avais mal au cul !


Il me regardait fixement, je savais qu'on serait tranquille. Maintenant que j'étais sous clé, on me laisserait tranquille. Je me mettais à genoux et je lui suçais la queue. Instantanément ma queue se révoltait, ce n'était pas douloureux mais c'était nouveau pour moi. Je la sentais qui poussait contre les barreaux de la cage. 


Vous me promettez de ne pas le répéter, mais je trouvais ça jouissif. J'étais stimulé aussi, mon visage s'écrasait sur son ventre. Il avait une queue plus grosse que Baptiste et j'étais le premier surpris. Mais c'est qu'il avait raison mon papa, ça me stimulait et pas qu'un peu, et pas que pour mes études. J'arrivais à peine à me prendre la queue de Baptiste et là j'en avalais une bien plus grosse encore. 


Surtout qu'il ne m'épargnait pas le bonhomme. Il tenait fermement ma tête entre ses mains et me tirait vers lui, par moment il me balançais aussi des coups de bassin. Au début il  y allait doucement mais ça ne durait pas. Il y allait crescendo, un peu plus fort, je tenais le coup, encore plus fort, je tenais toujours et … Plus fort encore … Bon là c'était trop, là je retirais ma tête. Mais c'est qu'il me retenait l'animal, il ne voulait pas me lâcher, il finissait bien par le faire mais c'est parce que j'insistais. 


Là je crachais, je toussais, c'est pas facile tous les jours je vous jure. Je reprenais mon souffle et j'y retournais. Il me laissait faire en douceur, il appuyait à peine sur ma tête, j'arrivais à me détendre, sa queue entrait, ressortait et recommençait. Mais au bout d'un moment sans prévenir, il appuyait de toutes ses forces et poussait son bassin en avant. Il me retenait ainsi, je n'avais pas de prise pour me dégager ou le repousser.


Quand il me relâchait, je voulais gueuler mais après un court instant d'hésitation j'y retournais. J'étais mordu, en fait ça me plaisait qu'on me pousse au delà de mes limites. Surtout que mes limites n'allaient pas bien loin. C'était seulement la deuxième queue que je suçais. 


Il me prenait par la main et me relevait.


– Tu es un bon coup toi, ça se voit, je ne suis pas ton premier mec.


Je préférais ne pas entrer dans les détails. Et me contentais de remettre ma mâchoire en place. Il continuait.


– C'est souvent le cas remarque, vous les porteurs vous avez toujours le feu au cul. J'en ai connu un qui ne s'était jamais fait enculé et moins d'une demie journée après avoir mis le dispositif était déjà capable de se prendre ma queue dans le cul. Jusqu'à la garde.


Je m'imaginais sans effort à la place de ce gars, ça faisait une demie journée que je portais le dispositif et déjà la motivation me faisait avaler sa queue jusqu'à la garde. Mais de là à me prendre sa queue dans le cul … 


– Vas y mec enlève tes fringues. Me lançait-il.


En disant ça il se mettait à poil. Il était amusé de voir que je n'avais pas de sous vêtements, ça m'avait semblé inutile. On  reprenait position et sa queue se retrouvait de nouveau dans ma bouche. Il crachait longuement dans sa main et lubrifiait mon cul.


Là, je vous jure que je n'en menais pas large. Là il me faisait peur mais je voulais aller  jusqu'au bout. Mon cœur battait fort, vraiment très fort. Il appuyait sur ma tête, et de nouveau sa queue s'enfonçait dans ma gorge. Je ne pouvais plus respirer mais ça ne semblait pas le déranger. 


– Retourne-toi !


Le ton était autoritaire. Je me retournais mais si je ne disais rien, je n'en pensais pas moins remarquez mais je pense qu'il se moquait totalement de ce que je pensais. Il m'a à peine touché et déjà j'ai poussé un cri. 


– Tu es puceau du cul ou quoi ?


Je faisais oui de la tête.


– Alors on va bien rigoler.


Là j'ai vraiment paniqué. Il savait qu'il pouvait blesser et que si c'était le cas, ça ferait des histoires. Il y allait donc tout doucement. Il commençait par me préparer avec un doigt, puis rapidement deux, un troisième venait je ne sais d’où, à quatre il y mettait les deux mains. 


Il m'ouvrait bien le cul, c'était pas toujours agréable mais j'ai laissé faire. Je me souvenait que Baptiste aussi avait eu du mal par moment, je me souvenais aussi que je m'en moquais totalement et là je pense que c'était le cas de Julien. Il ne devait pas trop s'inquiéter de moi, il devait penser à son plaisir, à son seul plaisir. 


Je sentais sa queue appuyer contre mon cul. Je paniquais, je respirais fort, il poussait et je sentais une pression. Rien ne se passait jusqu'au moment ou j'ai senti mon cul se dilater. Il poussait toujours, il y allait doucement mais il continuait à pousser .


J'ai poussé un drôle de cri qui venait de la gorge et j'ai vraiment eu peur que mon cul ne déchire. Il me faisait mal mais je le laissait faire. C'était l'enfer mais c'était aussi ce que je voulais. J'ai senti sa queue glisser sur toute sa longueur et s'enfoncer dans mon cul. J'ai senti chaque millimètre de sa bite. J'ai senti mon ventre, l'intérieur de mon ventre se dilater, s'élargir pour laisser entrer cette énorme matraque. Quand son ventre s'est écrasé sur mes fesses, c'en était trop. Je l'ai repoussé et je me suis dégagé.


– Pas encore au point mais ça viendra, je suis là encore une semaine... 


Il terminait en se masturbant, je le regardais faire en reprenant mon souffle, j'avais mal au cul. J'ai jamais compris comment j'ai réussi à me la prendre dans le cul pour un premier essais. Je le regardais se branler, moi, je ne pouvais pas, moi je ne pourrais plus avant probablement longtemps. 


Au bout d'un moment il s'est levé, il s'est approché de moi et m'a éjaculé sur la figure, j'étais couvert de sperme. Mais bon je commençais à avoir l'habitude.


Ce n'était qu'une initiation, ce n'était qu'une première, il devait rester plusieurs jours, on a remis ça tous les jours, à la fin de la semaine j'étais presque soulagé de le voir partir. Je commençais vraiment à avoir du mal à m'asseoir …


A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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