La maison d'hôtes 01 Baptiste

 La maison d'hôtes 01

Baptiste




C'était une idée ridicule, j'étais contre !


Franchement l'endroit était sordide, c'était à faire peur. Il y avait des champs, et plus loin, des champs, et plus loin encore une ferme, avec des chevaux, et des chevaux ça veut dire du fumier … Ça pue !


Il y avait un petit bar ringard au village à trois kilomètres. J'y ai mis les pieds une fois et je ne recommencerai jamais.


Pendant des mois, il y avait eu des travaux, il faut reconnaître qu'après, ça avait de la gueule. Moi j'avais pas fait grand chose, on m'avait laisser terminer mon année scolaire avec ma mère, et on ne venait que le week-end. C'est mon père qui s'occupait des travaux. Il avait fait du bon boulot c'était mignon, presque habitable, on avait le haut débit. C'était à  peine croyable dans un endroit aussi perdu mais ça aiderait à survivre. 


Maintenant il fallait ouvrir. C'était une maison d'hôtes que mes parents avait décidé d'ouvrir. L'idée était ridicule comme je vous le disais. En plus il avait fallu déménager, et puis au niveau école, je peux vous dire que c'est pas là que j'allais faire mes études. Ou alors je devrais me limiter à une classe de CP. 


Il y avait une fac à un kilomètre à peine d’où nous habitions encore l'an dernier et ça je crois que dans la région ils ne savaient même pas ce que c'est.


C'était un coin paumé quoi. 


C'était aussi le début des vacances. J'avais encore une année avant d'entrer en fac mais déjà je me demandais ou j'irais. Je ne savais même plus ou j'étais alors … Mais bon en attendant ça prenait forme cette histoire.


Un couple arrivait à la maison, ils avaient réservé quelques semaines plus tôt et je ne vous dis pas comment il avait fallu bosser pour que la chambre, la première chambre soit totalement prête. On était content, c'était du bon boulot.


Ils sont resté une semaine, finalement c'est pas trop dur comme travail, ils ont passé la plus grande partie de la journée en promenades, à pied ou en vélo … En fait c'était tranquille. Je me préparait pour recevoir de nouveaux hôtes. Une deuxième chambre était prête. 


C'est un couple du même âge que mes parents qui arrivaient, ils avaient un fils qui avait mon âge. Un de ces branleurs de la grand-ville, qui n'a jamais vu une poule ou un cheval en vrai. Excusez moi, je sais oui mais là je me venge ! Mais c'est que ça va faire un mois que je suis un gars de la campagne moi maintenant !


Ce jour là il faisait chaud, ses parents étaient partis en promenades, touristiques, il n'y a que ça à faire de toutes façons. Ils avaient pris leur voiture, il n'y a pas que les champs à visiter … Vous imaginez ça vous ? Visiter un champs … Il y avait aussi le dolmen, le menhir, les fondations de l'abbaye saint bidule du Coin Paumé, c'est tout ce qu'il restait du bâtiment qui datait d'une renaissance moyenâgeuse, quelques pierres enterrées … Enfin il n'y avait pas grand chose mais si on vient là pour se reposer on se contente de peu …


Le fils, Baptiste, avait tellement traîné les pieds que ses parents étaient partis sans lui, je vous jure il est plus fort que moi à ce jeux … Il ne s'en plaignait pas. Et c'est en traînant les pieds qu'il me retrouvait à l'arrière de la maison, sous un abris ouvert, sans murs, mais bien protégé du vent, de la chaleur, de la pluie, enfin le meilleur endroit de la maison. 


On y avait installé un écran télé de belle taille et moi j'y avais branché ma console de jeux. 


– Wouah ! Tu as '' Zeu fight of the combat 4 ''. J'ai le trois à la maison, mais le quatre il paraît qu'il est mooortel. 


Mooortel ! Il avait dit mooortel ? Oui bon c'est vrai que c'est un citadin, en plus il a pas l'air futé … 


– Et c'est quoi ces bestioles qui n'ont que les deux pattes arrières ?

– C'est des poules !

– Ah ouaih ! Et ça sert à quoi ?

– A faire des œufs, on fait des œufs avec. Là je rigolais dans ma tête et je me demandais '' Il est con ou quoi ? ''

– Tu me montreras comment vous faites. C'est chouette chez toi, tu en as de la chance d'avoir grandi à la campagne. Moi j'adore !


Il se laissait tomber sur le canapé de jardin à côté du mien. Et son attention se fixait sur l'écran télé. Il n'avait pas l'air futé mais il était canon, très beau mec. Une belle gueule bien virile, on devinait une belle musculature. Ça ne devait pas venir du sport il avait l'air un peu trop mou pour ça. Il avait aussi une grosse bosse entre les cuisses, c'était prometteur … 


– Tu veux jouer ? On peut à deux ! Lui demandais-je.

– Grave mec que je veux jouer … 


Il avait l'air idiot, enfin pas vraiment mais, comment dire, nigaud. Un court moment je me demandais s'il n'avait pas trouvé mon parterre de plante verte, ça aurait tout expliqué … Euh pardon, là je n'ai rien dit, vous oubliez s'il vous plaît !


Enfin il n'avait pas l'air futé quoi, je lui passait une manette. Finalement il s'en sortait bien. On a joué un long moment, on ne sait pas trop qui a gagné, on s'en foutait. Puis on a discuté en buvant un jus de fruit très frais.


Il s'était mis à l'aise, les pieds posés sur le fauteuil, j'en faisais de même. 


Au début j'ai pas fais gaffe, il se grattait les couilles, jusque là tout était normal. Il n'y a que les filles qui ne le font jamais ça ! Mais il insistait.


Rapidement il ne se grattait pas vraiment les couilles, il se tripotait les couilles. Je faisais semblant de ne rien voir.


Peux après il ne se tripotait plus vraiment les couilles, il se tripotait … Il bandait et ça se voyait. La je le regardais, ça m'amusait, et je commençais moi aussi à bander. Même si ça ne se voyait pas encore, enfin je suppose.


Il me regardait, ça le faisait sourire, ça l'amusait mais ça ne le gênait pas. Il continuait. Il glissait sa main dans son short, et là, il se branlait. Il ne se tripotait plus, il se branlait. Là je bandais.


– Fais voir, toi ! Me disait-il.

– Hein ? 

– Tu bandes là ! Fait voir et je te fais voir aussi …


Il n'attendait pas ma réponse et baissait son short.


– Tu as grandi à la campagne, ne me dis pas que tu as jamais joué avec tes copains.


Il en avait une belle, bien large, bien longue qui se courbait légèrement vers la gauche avec élégance. Il était circoncis et son gland brillait, il était superbe. A ce moment là, je vous jure que je bandais et que ça se voyait … Ça se voyait bien même. 


J'avais jamais joué à ce jeux avec des copains moi, et je traînais à le suivre. Je me tripotais au travers de mon pantalon puis je finissait par l'ouvrir et le baissais et c'est tous les deux, le slip sur les chevilles, que nous nous masturbions de concert. 


Au début ça m'avait un peu intimidé, mais juste au début … Et juste un peu … Ensuite je me laissais aller, je le regardais faire, il prenait bien son temps, il n'était pas pressé de jouir, il faisait traîner. Mes parents étaient absents également, nous étions tranquilles, personne ne viendrait nous déranger.


Il retirait son T-shirt, en effet il était bien musclé, c'était pas un champion mais il y avait plus de muscle que de lard, tout comme moi. Il était mince et bien foutu, des épaules jusqu'au genoux. Enfin même au dessus des épaules, il avait une belle gueule. Et là, je vous jure que je bandais à mort. 


Je le suivais et moi aussi je prenais tout mon temps pour ne pas jouir tout de suite et c'étaient de nouvelles idées qui me traversaient l'esprit.


Je le regardais s'astiquer la queue, il prenait bien son temps, les mouvement de sa main étaient amples et lents. Il tendait l'autre main vers moi.


– Approche-toi ! Me disait-il.


Je m'approchais, j'avais l'impression de rêver, tout était devenu tout flou, sauf sa queue. Je retirais mon pantalon et ma chemise. En me voyant faire il retirait lui aussi son pantalon, nous étions nus. 


Je m'installais juste à côté de lui et le laissais faire. 


Il crachait dans sa main avant de me caresser la queue. On avait la même taille mais la mienne était toute droite. J'étais soudainement submergé par le plaisir de ce contact doux. Ils lubrifiait de nouveau, toujours de la même manière et continuait à me caresser la queue en insistant sur mon gland. C'était génial. C'était une première fois et je me jurais que ce ne serait pas la dernière. 


Je passais une main sur son dos, et lui caressais la nuque. 


– Tu as l'air d'aimer ça toi ? Mais toi aussi tu peux … 


Je ne l'avait pas encore touché. Je lui répondais par un large sourire. Il approchais son visage du mien et on échangeait un baisers long et chaud quand nos lèvres se rencontraient. 


Il avait arrêté de se branler, d'une main il me caressait la joue et de l'autre il me masturbais avec douceur.


J'avais hésité un long moment sans le montrer, je me décidais et me penchais sur sa queue que je prenais dans la bouche. C'était une première, je vous jure. Je vous jure aussi que j'ai aimé et que je n'étais pas le seul.


Il a sursauté, mais à peine, il ne devait pas s'y attendre. Ensuite il m'a laissé faire. Avec la langue je léchais son gland, je passais ma langue de tous les côté. J'insistais par moment sur le dessus, à d'autre moment j'insistais sur le dessous. Avec la main je caressait sa queue. 


Il me caressait la nuque et le dos de ma tête. Là mes cheveux sont très courts et c'était une caresse stimulante qui m'invitait à continuer. 


Sa queue entrait dans ma bouche et ma langue le caressait juste derrière son gland. Ça n'a l'air de rien cette affaire mais c'est pas si simple. C'est pas comme dans les films ou le mec s'enfile une grosse queue jusqu'à la garde. Rapidement on a la bouche pleine et rapidement si on force on à envie de vomir. 


Je comprenais qu'il ne fallait pas forcer pour éviter que ça ne se produise. J'appuyais ma tête puis la relevais avant que ça ne devienne désagréable puis je recommençais. 


Au bout d'un moment je remarquais que je prenais sa queue un peu plus profond, et encore un peu plus. Il appuyait sur ma tête mais avec douceur. En aucun cas il ne m'empêchait de me relever. Il m'encourageait, c'est tout.


Je devinais son plaisir et moi aussi j'éprouvais du plaisir. Ça ne devait pas être le même pas plaisir mais c'était stimulant et terriblement excitant. 


Il se relevait d'un mouvement rapide, je sursautais. J'ai pensé un instant que quelqu'un venait mais non, c'était une fausse alerte. Il me prenait la main pour me tirer doucement vers lui, m'incitait à me relever. Je me retrouvais debout devant lui et lui se retrouvait à genoux devant moi sans que j'ai eu le temps de réagir. 


Ma queue était dans sa bouche et je pense pouvoir dire que ce n'était certainement pas une première pour lui. 


Je posais mes mains sur ses oreilles pour le guider, il plaçait ses mains sur mes cuisses et me tirait vers lui en avançant son visage contre mon ventre. Il écrasait son visage sur mon ventre, là je ne comprenais plus ce qu'il se passait. Ma queue glissait dans sa gorge, il maintenait la position, je tremblait de plaisir. Il se contrôlait bien, c'était vraiment le pied. Il se contrôlait parfaitement et semblait ne faire aucun effort, pour lui ça semblait tellement naturel.


Je passais une main sur le dos de sa tête et tirais sa tête vers moi, c'est sans le vouloir que je lui balançais un coup de rein dans la gorge. Il a fait un drôle de bruit, il a encaissé, je n'ai pas tenté de le retenir quand il s'est retiré.


Il se relevait, me prenait dans ses bras et m'embrassait avec passion. Nos deux queue se caressaient l'une l'autre. D'une mains il nous masturbait, il caressait les deux queue ensemble. Il s'écartait légèrement de moi. Je me penchais vers lui, sa queue se relevait fièrement devant moi. A mon tour je me mettais à genoux devant lui.


Là, j'étais décidé de faire comme lui. Je prenais une large inspiration puis, très volontaire, je prenais sa queue dans ma bouche. Je suçais son gland avec force, ma langue appuyait dessus et sa queue continuait à glisser dans ma bouche arrivait à ma gorge, appuyait sur ma glotte et s'enfonçait encore un peu plus et … je me retirais au plus vite, je toussais, plusieurs fois, j'évitais de cracher mais je vous jure que … Pas facile … 


Mais il fait comment lui ? C'est vrai quoi sa queue n'est pas plus longue que la mienne et la mienne justement il se la prend bien à fond, dans la gorge …  Moi je peux pas. 


J'ai réessayé plusieurs fois de suite, je me suis bien amélioré mais quand sa queue appuyait sur ma glotte, c'était tout de suite le rejet. Je sentais que si j'insistais ce ne serait pas seulement le petit déjeuner qui risquait de ressortir.


Beurk ! Vous allez me dire, je suis d'accord, aussi j'ai préféré trouver une limite et m'y tenir. Je prenais sa queue au maximum que je pouvais, rapidement je me retirais et là, je le masturbais avec une mains, et même les deux. Avec ma salive ça glissait facilement, je m'attardais longuement sur son gland, je le sentais trembler, il frémissait de plaisir puis je recommençais.


J'ai fait duré le plaisir un long moment, il avait l'air d'aimer et me laissait faire. Au bout d'un moment il retenait ma tête contre lui. Il ne forçait pas comme un malade, il n'appuyait pas fort, enfin pas trop … il appuyait à fond. Il m'obligeait à garder sa queue dans ma bouche. Je l'ai senti respirer très fort, puis sans prévenir il m'a juté dans la bouche. 


J'étais surpris mais j'ai encaissé sans tenter de me dégagé. J'ai relevé les yeux vers lui, il me regardait avec un large sourire et m'a juste dit …


– Maintenant tu avales. 


Bon, et bien j'ai avalé. Vous auriez fait quoi vous à ma place ? J'ai avalé et j'ai aimé. Je gardais sa queue dans la bouche pendant un moment, il débandait lentement.


Quand j'ai relevé la tête sa queue était toute propre, je n'avais rien laissé. Il s'est laissé tombé sur le canapé. 


– Tu sais que tu as un potentiel. Mais ne me dit pas que tu ne t'es jamais amusé avec tes copains. Je t'imagine en train de te faire enculer sur un tas de foin.

– Bein c'est que ça fait à peine un mois que je suis un gars de la campagne moi. Avant j'étais un gars de la ville …


Il n'avait pas l'air de comprendre, je lui racontais mon arrivée ici … On entendait le bruit d'une voiture qui arrivait. Il ne nous fallait que quelques seconde pour être présentable. Il restait torse nue, c'est tout, il ne bandait plus du tout, je l'avais détendu. Moi je bandais toujours et je laissais mon T-shirt  en dehors de mon pantalon, il pendait devant moi et c'était plus discret. Surtout qu'il m'avait bien chauffé la tête le bestiau. C'étaient ses parents qui arrivaient.


A suivre 


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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