La maison d'hôtes 02 Ça c'est nouveau pour moi

 La maison d'hôtes 02

Ça c'est nouveau pour moi



Il continuait très fort …

– Bon tu me montres comment ça marche une poule ? 

Un instant j'ai cru qu'il plaisantait, mais il avait l'air sérieux, il s'était  accroupi et regardait ces bestioles qui semblaient tant l'intriquer.

– Bon tu m'expliques, tu ne leur fait pas de mal au moins ?

En fait il était sérieux. Il continuait, il insistait. 

– J'en attrape une, il y en a une qui marche mieux que les autres ?

J'y croyais pas, mais il ne me laissait pas le temps de réagir, il en saisissait une, la pauvre à eu la peur de sa vie. Oh, il ne lui a pas fait de mal mais la pauvre bête à complètement paniqué, s'est dégagée, y a laissé quelques plumes et, oh merveille … un œuf ! Il le ramassait en s'écriant.

– Ouah ! Tu as vu ça j'ai fait un œuf … Du premier coup. 

Je levais les yeux au ciel et décidais de lui expliquer comment ça marchais cette affaire. 

– C'est normal souvent quand on fait peur à une poule elle peut pondre un œuf comme ça mais il ne faut pas le faire, la pauvre bête.

– Mais il est bon à manger tout de même ?

– Oui il est bon à manger quand même !

Et c'est triomphalement qu'il partait montrer son œuf à tout le monde …

Je le regardais partir, et je me disais … Beau mec, bien foutu, beau corps, belle gueule, belle bite, beau cul mais … Pas futé !

Un peu plus tard mes parents revenaient à leur tour. J'ai décidé d'aller me promener dans la campagne, le soleil était encore très haut dans le ciel. Baptiste venait me retrouver en me voyant m'éloigner.

On parlait encore un peu des poules, je lui disais que c'était pas la bonne méthode et lui promettais de lui montrer dès le lendemain matin … 

Un peu plus tard on arrivait à la rivière, il faisait toujours très chaud.

– On peut se baigner ? Demandait Baptiste.

– On peut, c'est autorisé.

Je n'avais pas terminé ma phrase (pourtant très courte) qu'il était à poil. Sans maillot de bain on n'avait pas d'autre choix. Il plongeait, je le suivais, j'étais à poil aussi et il ne me fallait pas longtemps avant de bander de nouveau. Il faut bien se dire que moi, plus tôt, je ne m'étais pas vidé les couilles mais je m'étais bien fait chauffé la tête. 

Sous l'effet de la fraîcheur de l'eau, je finissais par me calmer. On s'amusait, on s'arrosait, on discutait aussi. Il avait toujours vécu dans une grande ville, enfant il croyait que les poissons avaient une forme rectangulaire. Et il m'a même avoué que, encore aujourd'hui, il ne savait pas dans quel arbre poussaient les tomates …

La j'ai pouffé de rire.

– Bon demain matin, on ramasse les œufs, tu verras qu'il n'est pas nécessaire de faire peur à ces pauvres bêtes pour avoir leurs œufs et ensuite je te fais visiter le potager. On a des tomates qui sont bien mures en ce moment.

Il acquiesçait de la tête en me faisant un large sourire. Il était assis à côté de moi, totalement nu et je me disait … '' Non de dieu, il est peut être un peu con mais qu'est ce qu'il est bien foutu ! '' … 

on se séchait, on s'habillait, je bandais comme un obsédé mais j'arrivais à passer mon pantalon, lui il se marrait en me regardant faire.  

Je lui aurais bien sauté dessus mais il y avait des gens, des voisins qui passaient et … Bon nous voir nus, de loin à nager dans la rivière, passe encore mais nous voir nous envoyer en l'air, ça le faisait moins là, beaucoup moins.

On revenait tranquillement à la maison, j'avais mon pantalon et des baskets, il avait son short et des espadrilles. Mes parents avaient préparé le repas. 

– Dis moi Hugo, on pourrait passer la journée ensemble demain. J'ai pas envie de suivre mes parents, je préférerais rester avec toi.

– Pas de problèmes, tu sais depuis un mois j'ai commencé à découvrir un peu les environs, on pourrait continuer à le découvrir ensemble.

Là je ne vous dis pas mais je m'imaginais surtout prendre le temps de le découvrir lui, plus que la région. Il me semblait plus intéressant que la campagne environnante. 

J'étais à cran, il était détendu l'autre nouille de Baptiste, il était bien détendu, il s'était vidé les couille puis on s'était dépensé dans la rivière mais moi, c'était pas pareil, je ne m'étais pas vidé les couilles et je vous jure qu'il ne me fallait pas grand chose pour avoir une érection incontrôlable. Un cour instant j'avais pensé ne pas mettre de sous vêtement, heureusement j'en avais mis un. Je ne vous dis pas. J'avais un pantalon ample en toile fine, c'est plus agréable avec la chaleur, et sans sous vêtements je n'aurais jamais pu rester discret.

On soupait tous ensemble, j'aidais mes parents à faire le service, nous étions les hôtes, c'est nous qui recevions. Ensuite nos hôtes, ceux que nous recevions, se détendaient sur la terrasse. Nos parents les retrouvaient un peu plus tard, en leur proposant un bon digestif. Baptiste et moi n'y avions pas droit. On avait droit au jus de fruit, c'est tout. J'aurais préféré une bière.

Nos hôtes préparaient leur programme du lendemain, comme prévu, Baptiste demandait s'il pouvait passer la journée avec moi. Et c'est tard dans la nuit que tout le monde montait se coucher. 

Il m'avait bien chauffé la tête Baptiste, je sentais encore le goût de son sperme dans ma bouche. J'avais toute la soirée dans mon lit l'image de son torse, de son visage, de sa queue, de son cul … Je vous jure c'est pas facile tous les jours. Je bandais comme un fou, là, je ne contrôlait plus rien. J'ai bien pensé à me faire un petit plaisir vite fait, j'ai même commencé puis je me suis dis que j'allais me réserver pour le lendemain. Je me disais , '' Cette fois ci, c'est lui qui va me faire juter ! ''.

J'ai passé une nuit agitée finalement. Mal dormi, je me suis réveillé plusieurs fois, et j'ai bandé toute la nuit. 

Le lendemain pour bien commencé la journée je prenais une douche froide. Ça calme, pas longtemps mais sur le coup ça calme … Je retrouvais ensuite Baptiste qui était déjà debout. Il avait fait comme moi. On prenait le petit déjeuner, puis pendant que les adultes préparaient un repas pour le midi, un pique nique, je faisais faire un tour du poulailler et du potager à Baptiste. Ses parents seraient absents toutes la journée et avaient renoncé à l'embarquer avec eux. Ils étaient trop contents de voir qu'il s'était trouvé un copain avec qui il s'entendait bien.  

Avec Baptiste on remplissait les paniers de légumes, on livre aussi des paniers de légumes à tout un tas de clients. Il me donnait un coup de main. Il était tout étonné de découvrir qu'il y avait autant de légumes différents …

A un moment sans prévenir, il s'approchait de moi, tirait son pantalon en avant et me montrait qu'il n'avait pas mis de sous-vêtements. Heureusement que moi j'en avais mis un car je ne vous dis pas, à ce moment j'ai commencé à bander comme un malade. Je ne contrôlais plus rien. Il l'a remarqué, et il a bien rigolé. 

Il n'empêche qu'avec ce coup de main inattendu, j'avais terminé mon boulot bien plus tôt. On se retrouvait alors sur la terrasse couverte comme la veille, on jouait un moment avec ma console. Mes parents avaient besoin de s'absenter, on arrivait à les convaincre de nous laisser sans trop de difficultés. On se retrouvait seul, comme la veille, la matinée n'était pas encore terminée.

– Tu bandes ? Me demandait Baptiste sur un ton directe.

– Oui.

– Fais voir.

– Non.

– Pourquoi ? Si tu me fais voir, je te fais voir.

Il n'attendait pas ma réponse et se mettait à  poil tout de suite, remarquez il n'avait pas grand chose sur le dos, c'était rapide, il bandait ferme. Je pouffais de rire et je me mettais moi aussi à poil. Moi aussi je bandais.

Je le regardais avec une véritable admiration, il était encore plus beau que la veille, surtout que maintenant je savais quel goût il avait. Et j'avais encore envie d'y goûter. La veille, ça ne m'avait pas rassasier, la veille ça m'avait mis en appétit.

Je m'accroupissais devant lui et sans prévenir d'avantage commençait à lui sucer la queue.

– Tu la prends en entier cette fois.

Je relevais les yeux vers lui. Et je faisais non de la tête. 

– Un petit effort, même si tu ne la gardes dans la gorge qu'une seconde.

De nouveau je le regardais dans les yeux, mon cœur battait très fort et je me demandais si je n'allais pas défaillir. Je respirais fort et finalement je me décidais. Je commençais à le sucer en m'appliquant. 

Je mouillais longuement son gland, le léchais avec force. Quand je le prenais dans ma bouche je tentais de glisser le bout de ma langue dans le petit trou qu'il a au bout de sa queue. Là je l'ai senti frémir. Il aimait c'était évident.

Puis sa queue pénétrait plus profond dans ma bouche. Ma langue la caressait longuement sur toute sa longueur. Régulièrement je revenais sur son gland puis reprenait à chaque fois que sa queue s'enfonçait de nouveau avant de sortir et de recommencer.

A chaque fois que sa queue s'enfonçait, elle s'enfonçait un peu plus, il guidait maintenant ma tête avec les deux mains et avec des caresses sur le dos de ma tête il m'encourageait en appuyant.

– Allez, là tu y es presque, on y retourne.

Il me caressait encore plus fermement les cheveux, avançait son bassin avec des mouvement qu'il contrôlait, des mouvements à la fois doux et fermes. Mais il n'y allait pas en force. Si je résistais, il n'insistait pas et si je voulais me retirer il me lâchait. 

Je me retirais, je toussais, je faisait une pause. J'en profitais pour me caresser la queue. Je bandais ferme et ma queue, on l'avait un peu oubliée dans l'histoire.

Je reprenais, un caresse sur la joue m'encourageait et devait arriver le moment ou bien décidé, bien détendu, bien préparé je décidais de forcer un peu plus. Je sentais son gland s'enfoncer contre ma glotte, s'écraser et repousser ma glotte. Je déglutissais, je ne respirais plus et je laissais faire.

Sa queue s'enfonçait plus profond, toujours un peu plus profond je la sentais s'écraser je ne sais trop à quel niveau mais c'était dans ma gorge. J'avais sa queue jusqu'au fond de ma gorge et mon nez s'écrasait contre son ventre.

Tout se passait bien, je ne pouvais plus respirer mais je contrôlait la situation. Je n'avais pas envie de vomir, dans ma tête c'était la folie, j'aurais aimé qu'il s'enfonce encore plus profond mais ce n'était pas possible. Puis il fallait que je respire. Je me retirais il me laissait faire. Je reprenais mon souffle, je toussais fortement, je crachais … Oui je sais mais là je vous jure que je ne pouvais pas faire autrement …

Il me regardait, il avait un large sourire.

– Alors là tu assures ! Bon on y retourne ?

Je lui répondait par un sourire et j'y retournais. 

De nouveau je prenais sa queue dans la bouche. En quelques secondes elle rentrait de nouveau bien à fond. Je relevais rapidement ma tête et sa queue ressortait. Frénétiquement je le masturbais et le léchait en même temps. Puis par moment, sans prévenir je prenais de nouveau sa queue dans la gorge. Il m'encourageait, je suivais et de nouveau pour une ou deux secondes son gland venait se loger au fond de ma gorge.

C'était doux, c'était fort, c'était intense. J'étais pris d'une véritable fièvre de plaisir et de désir. La veille, il faut s'en souvenir, je n'avais pas éjaculé, je n'avais pas joui, j'avais pris du plaisir mais c'était son plaisir pas le mien. 

Je bandais tellement que c'était presque douloureux. Ma queue était dure comme du bois et se relevait contre mon ventre. Le plaisir que j'avais pris la veille, c'était son corps qui vibrait, son cœur qui battait tellement fort au moment ou il avait joui dans ma bouche. Ce plaisir c'était son sperme quand il avait explosé dans ma bouche, c'était ses mains qui me retenaient.

Par moment il me retenait plus fermement et il fallait que j'insiste, que je force pour qu'il me relâche. Je sentais son désir de me retenir autour de sa queue, et moi j'avais le désir de le sentir en moi.

J'ai pensé lui demander de m'enculer, mais la peur me retenait. Il en avait une belle, mais j'y pensais. Je pensais aussi que c'est moi qui pourrait l'enculer. J'y aurais mis de la force, j'y serais allé sans aucune tendresse. C'est vrai quoi, il ne m'a même pas tripoté pas sucé aujourd'hui, et la veille c'est lui qui avait pris du plaisir. 

La tension montait, il se masturbait en même temps que je le masturbais en même temps je le suçais. Je voyais sa queue juste devant mon visage, je tirais la langue, je la caressait quand sans prévenir. Il est  pénible pour ça. Sans prévenir il me jutais à la figure. 

Une première et généreuse giclée de sperme s'écrasait sur mon nez et sur un œil. Une seconde sur l'autre œil, puis d'autres sur le front, sur la bouche, dans une narine ...

J'en avais partout, il gémissait fort, je restais tétanisé. C'était comme si je ne pouvais plus bouger, j'ai dégusté puis j'ai passé ma langue sur mes lèvres et là je me suis régalé.

C'est à ce moment qu'on a entendu une voiture. 

A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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