Le nouveau voisin 07

 Le nouveau voisin 07



Je pense que Dylan devait être un peux vicieux pour laisser de telles chose se produire. Accepter de porter une cage de chasteté et laisser n'importe qui enfiler sa femme devant lui, se limiter alors à un rôle de spectateur.


Enfin quand je dis n'importe qui, c'est pas tout à fait exacte, j'y ai eu droit moi aussi et on  ne peut pas dire que je suis n'importe qui ! En tout cas moi je ne le dirais pas !


Mais Eddy lui, c'était pas n'importe qui, c'était n'importe quoi !


Les jours ont passé. Je ne sais pas comment Dylan supportait. Dylan est un garçon adorable, et terriblement sexy également … mais Coraline était un peu vicieuse, finalement ils s'étaient bien trouvés ces deux là je pense. Elle aimait bien que Dylan soit présent lors de ses ébats, c'était torride de le voir, de voir Eddy, de la voir, de les voir tous. 


Ah oui, Coraline aimait bien que je sois présent aussi !


A chaque fois j'étais retourné. Dylan aussi était retourné. Coraline était dans le même état mais pas pour les mêmes raisons … Et pour ce qui de Eddy, oui bon Eddy on s'en fout !


Chaque fois, c'était une torture, une douce torture. Je m'habituais au dispositif, attention j'ai pas dit que j'aime le truc, je m'y habituais c'est tout. Un jour Dylan est passé me voir. Il avait un beau sourire, à peine était-il entré qu'il me demandait.


– Tu m'avais bien dit que tu avais des godes ?


Je lui répondais par un large sourire avant de l'emmener dans la chambre à coucher. Là je lui montrais ma collection. Sans rien dire il retirait ses vêtements. Je restais là sans réagir, il était tellement beau que je me contentais de le regarder, de l'admirer. Sa plastique parfaite, ses muscles qui couraient sous sa peau au moindre de ses mouvements, et sa peau couleur soleil qui prenait si bien la lumière.


Il y avait toujours cette cage blanche ivoire qui faisait un contraste magnifique. 


Il se tournait vers moi, me souriait et m'embrassait. Il me caressait le torse avec une main, dans l'autre il tenait un de mes godes. 


– Et bien ! Tu me suis ?


Là j'ai réagi. En quelques secondes je me retrouvais entièrement nu. Je sentais la chaleur de son corps. Je m'approchais de lui jusqu'à le toucher et c'est avec tout son corps que chacun caressait l'autre. 


Il y avait ce truc dur, cette cage et je vous jure que j'avais mal à sa cage. Elle se redressait avec force, la mienne faisait de même et je me sentais totalement confiné dans une cage trop petite.


J'avais envie de lui sucer la queue mais comment faire, j'avais aussi envie de me prendre sa queue dans le cul, mais c'était sans espoir. Je le prenais dans mes bras. Nous nous embrassions, nous caressions pendant de longues minutes.


Il me faisait pivoter sur moi même et je me penchais en avant, Alors sans précipitation il me lubrifiait le cul. Dylan et moi ne nous étions pas amusé de la sorte depuis le retour de Coraline, depuis maintenant plus de deux semaines. Ça faisait un bon mois que je portais ce truc et deux semaines de traitement particulier sans aucune stimulation physique, à peine quelques contacts physiques tactiles. Pour Dylan ça faisait encore un peu plus mais là, c'est uniquement à moi que je pensais. Et c'est pas seulement mon cul qui était en feu, ma cervelle aussi.


Dylan est un garçon vraiment adorable, c'est avec une grande douceur qu'il poussait mon gode contre mon cul, par réflexe je me contractais, il insistait longuement sans se précipiter, mon cul finissait par lâcher et je sentais le gode glisser à l'intérieur de moi.


C'était divin. Le gode je le connaissais, il était à moi, je l'avais choisi à une taille qui m'allait et le sentir glisser était tout simplement un plaisir incroyable surtout que ce n'était pas moi qui était aux commende. C'est toujours mieux quand quelqu'un d'autre tient l'objet. Quand on est seul on peut se faire beaucoup de plaisir mais quand c'est quelqu'un d'autre qui commande, c'est cent fois mieux.


Dylan appuyait un bon coup sur le gode qui était maintenant bien calé entre mes fesses, sa base était un peu plus fine un peu à la manière d'un plug,  aussi il tiendrait tout seul. Maintenant je serrais les fesses.


Je me relevais, Dylan me prenait dans ses bras, il me caressait et m'embrassait. Ses mains descendaient jusqu'à ma cage, qui m'embarrassait toujours tant elle me confinait, et tant elle était trop petite ce jour là.


Il me faisait pivoter et on se retrouvait de nouveau face à face. Il me donnait alors un second gode, il l'avait choisi plus gros que celui qu'il m'avait enfilé dans le cul. Il l'avait lubrifié, il se retournait et se penchait en avant. 


A mon tour je lui lubrifiait le cul généreusement et à mon tour je lui dilatait le cul, j'enfonçais doucement mais sûrement le gode, il faisait plus de vingt centimètres, remarquez, celui que j'avais dans le cul n'en était pas loin aussi mais celui là était plus large. Dylan n'en est pas à son coup d'essai, et rapidement son anus se dilatait, se détendait et le gode s'enfonçait. Je le poussais sans forcer, je l'entendais gémir de plaisir. 


Contrairement à mon gode, celui là n'était pas plus fin à sa base, j'attrapais une ceinture prévue à cet effet dans le tiroir. Je la lui passait autour du ventre, une lanière passait entre ses fesses et maintenait fermement le gode en position.


Il se retournait de nouveau vers moi et de nouveau on se prenait dans les bras. On s'embrassait, on se caressait, nos mains descendaient régulièrement sur les fesses de l'autre et à chaque fois en profitait pour faire  jouer le gode. 


Nous étions debout, bien redressés, et le gode faisait pression au milieu de mon ventre, c'était agréable de se sentir ainsi rempli après cette longue période d'abstinence. Je ne le sors pas très souvent ce truc. Dylan me repoussait sur mon lit et je m'y écroulait sur le dos en douceur. 


Il me tombait dessus avec une grande douceur. Il me glissait son genou entre les jambes et quand il frappait mon anus avec je ressentais un incroyable plaisir, il frappait juste contre mon gode, sans trop de violence mais avec force. Je gémissais de plaisir, il me serrait contre lui. 


Ensuite ce n'était plus que caresses et baisers, nos mains se promenaient avec douceur et vigueur sur le corps de l'autre. On avait l'un comme l'autre une légère tendance à caresser les fesses de l'autre. On en profitait pour  bien jouer avec le gode de l'autre, on appuyait dessus, on tirait légèrement, comme pour le ressortir, puis on l'enfonçait à nouveau.


Je gémissais de plaisir, c'était le pied. Je l'entendais gémir lui aussi, il devait bien aimer. C'est vrai qu'il avait pris un gode plus gros, c'est vrai aussi qu'il avait une plus grosse queue. Elle était plus grosse que la mienne en temps normal mais en ce moment elle était en cage elle aussi. Il me léchait les couilles, il me les gobait. On se vengeait de cette période d'abstinence que nous imposait Coraline juste pour s'amuser.


Un instant je me demandais si elle était au courant, et si ce n'était pas le cas ne déciderait-elle pas de prolonger, de nous garder tous les deux pendant encore plus longtemps. Elle avait fait porté à Dylan le dispositif pendant six mois dans le passé, je n'en étais plus très sûr. Puis je ne pensais plus à rien. Je lui gobais les couilles et je jouais avec son gode. Il poussait des gémissements de plaisir.


On bougeait beaucoup, nos visages se retrouvaient et c'était de nouveau des baisers, des caresses. Il me mordillait doucement, je frémissais. Je lui rendait tout ce qu'il me donnait et j'en rajoutais. Il faisait de même et on a eu une grosse monté de fièvre.


Je lui mordais une fesse à pleine dents, il couinait, se retournait, on s'embrassait et on se calmait un peu, juste un peu. On soufflait, on échangeait un petit câlin, la fièvre remontait et de nouveau on jouait avec le gode de l'autre.


On appuyait de plus en plus fort, on remuait de plus en plus le gode dans le cul de l'autre, on le faisait gigoter même. Les gémissements se transformaient en râles de plaisir puis en cris.


Il avait une jambe allongée, je m'étais assis sur son genou, mon gode reposait sur son genou et il s'amusait à appuyer dessus avec régularité. Mon genou gauche appuyait sur son cul et on restait là pendant de longues minutes à nous stimuler. Il repliait la jambe je me redressait sous la pression et quand je retombais c'était mon genou qui appuyait sur son cul.


Quand l'un poussait un cri, l'autre poussait un gémissement puis, aussitôt, on échangeait.


J'ai senti le plaisir monté, tout mon corps était envahi par ce plaisir qui s'imposait, il l'a senti et quelques instants plus tard, au moment ou j'ai éjaculé il a éjaculé lui aussi. 


Ça n'avait rien de spectaculaire, sauf l'orgasme mais ça, ce n'est pas spectaculaire, il n'y a rien à voir. Il n'y a pas eu de giclée importante, la cage l'empêchait. Simplement du sperme à coulé, un liquide blanc, quelques gouttes, puis un peu plus, puis ça continuait encore et encore.


J'avais lâché une grosse quantité de semence mais Dylan continuait, c'était presque une inondation, je vibrais de plaisir et Dylan continuait à juter. C'est vrai que lui il avait une grosse queue et elle devait être bien pleine. 


Je me suis laissé tombé sur lui. Il a refermé ses bras sur moi. Je sentais son cœur qui battait fort, ou alors c'était peut être le mien. Nous respirions fort, et lentement on retrouvait notre calme.


Je savourais la douceur de la peau de Dylan et la chaleur de son corps.


C'est bien plus tard qu'on s'est relevé, on est passé sous la douche, on s'est bien lavé, la queue surtout, c'était pas facile avec la cage, surtout que aucune de nos deux queue n'avait totalement retrouvé son calme. Les deux cages restaient bien remplies. La pression avait retombé mais au premier coup d’œil ça ne se voyait pas.


On est resté comme on était, à poil, je pouvais admirer longuement le corps superbe de Dylan, je pensais à Coraline, je l'enviais un peu. Elle avait de la chance d'avoir un tel amant et époux. Il n'était pas seulement beau, terriblement beau, il était gentil en plus, il était adorable et vraiment doux.


Je crois que j'étais amoureux.


On a bu une bière, on a parlé.


– Ça faisait longtemps ? Me demandait-il.

– La dernière fois c'était dans tes bras.

– Avant le retour de Coraline donc ?

– Oui !

– Donc ça faisait longtemps !

– Et toi ?

– Pareil.


Un moment de silence, je passait un doigt sur ses couilles. Il frissonnait et me souriait.


– Elle est vraiment terrible. Reprenais-je.

– Qui ça ?

– Coraline !


Il rigolait doucement à mon commentaire.


– Elle est terrible oui mais on y prend du plaisir.

– De la frustration ?

– Il y a aussi du plaisir dans la frustration.

– Si tu le dis .


Suivait encore un petit silence.


– Mais toi, tu n'es pas marié avec Coraline, si tu suis le jeux c'est que tu y trouve ton compte …

– Tu as peut être raison.

– Tu n'avais jamais pensé mettre un dispositif de chasteté ?

– Pas vraiment, je ne savais même pas que ça existait.

– Et tu y prends goût !


Sa dernière phrase n'était pas une question, et en plus il avait raison. Je commençais à apprécier cette nouvelle sensation, cette cage, ce confinement de mon intimité. Ça me mettait la cervelle en feu mais, tout doucement, sans même m'en rendre compte je commençait à aimer. Et là malgré la cage, malgré les limites qu'elle m'imposait j'avais vraiment pris mon pied.


Et puis, c'est vrai, je n'avais aucune obligation, aucun engagement, on m'avait proposé, j'avais accepté. Je n'avais aucune idée de la suite des événements mais là, je me sentais bien, très bien. 


Je proposais une deuxième bière, puis ce rafraîchissement en main je m'allongeais sur le tapis et je regardais Dylan qui se détendait lui aussi une bière à la main.


A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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