Willy 01 Willy est en manque

 Willy 01

Willy est en manque 




Pas de doute, il était en manque. Willy était en manque, il avait la cinquantaine mais était encore très en forme, ancien militaire, il continuait à faire du sport et avait toujours une belle allure. Mais il avait un petit air triste quelquefois. 


Il était sympathique et on discutait souvent tous les deux, je le trouvais plutôt mignon, attirant et sexy. Il avait la même taille que moi mais il était un peu plus large, plus musclé.


Il savait que j'étais gay, je savais qu'il avait été marié. Il était divorcé. Je l'avais toujours vu seul, enfin je veux dire par là, jamais avec une femme. On avait parlé tous les deux et il ne m'avait pas caché que le divorce avait été douloureux.


Ce soir là, comme ça lui était déjà arrivé plus d'une fois, il venait s'installer à côté de moi et on parlait. On arrivait à parler de cul ! Bein oui deux hommes seuls qui discutent ne peuvent qu'arriver à parler de cul. Enfin surtout s'ils sont un peu obsédés sexuels … C'était le cas !


On buvait une bière, il me racontait quelques unes des ses copines. Avant son mariage bien sûr.


On buvait une bière, il me racontait un peu certaines soirées chaudes avec sa femme, au début de leur liaison.


On buvait une bière, il me racontait les soirées froides avec sa femme, quand les choses on commencées à devenir moins passionnées.


On buvait une bière, il me racontait les soirées glacées quand sa femme s'est tirée de chez lui, a demandé le divorce, l'a gagné et l'a obligé à vendre tous les biens. Il avait évité la pension alimentaire, c'est tout. 


Un ange passait …


On buvait quelques bières, je lui racontait certaine de mes soirées …


Ça le faisait rire, il était ivre. Il me posait alors tout un tas de questions, sur les rencontres, comment ça se passait. Il me précisait bien que lui ne se ferait jamais enculer. Avant de me demander.


– Et toi Charly, toi, tu te fais enculer ?

– Alors là bonhomme si tu veux le savoir, tu n'as qu'un seul moyen pour cela.

– En tout cas moi je ne me fais pas enculer … Moi je fais le mec !


Là c'est moi qui rigolait, j'étais ivre.


– Mais c'est normal Willy, tu ne couches qu'avec des femmes, si un jour tu ne joues plus l'homme, il y aura un problème.

– Moi, j'ai pas de problème, j'ai juste envie de tirer mon coup.

– Et c'est à moi que tu penses. C'est gentil ça !

– Je te préviens tout de suite, j'en ai une grosse. 

– Alors là trésor. Tous les mecs me l'ont déjà dit ! Tous les mecs disent la même chose … 

– Oui mais moi c'est vrai. Et en plus tu m'appelle 'trésor'. Me répondait-il en rigolant.


Le ton avait changé brusquement. C'était l'alcool ! On se regardait et on éclatait de rire.


– Tu es sérieux là. Tu nous entends. Reprenais-je.

– C'est l'alcool ! Répondait-il.

– Tu me rassures, tu ne pensais pas à moi …

– Non ! 


Puis il rajoutait.


– Par contre, maintenant … Oui !

– Tu as déjà essayé avec un mec ?

– Jamais mais j'ai déjà vu des mecs à poil, et je pense que …

– Tu sais, moi  je veux bien mais, il faut que toi tu sois sûr.

– Je ne me fais pas enculer c'est tout !

– Câlins ?

– Oui des câlins, sans problème.

– Et tu embrasses ?

– Si tu veux, je te suce même ! Mais c'est moi qui t'encule. 

– C'est l'alcool ?

– Non ! Je suis pas bourré. L'alcool a juste levé un peu une inhibition, c'est tout …


La soirée avait avancée et on en était rendu là. Je bandais. Il m'a bien semblé que lui aussi bandait. J'étais tout retourné, ivre mais pas au point de tomber par terre ou de faire n'importe quoi. Willy semblait plus fatigué que moi. 


Il m'invitait à boire un verre chez lui. J'étais curieux de voir ça, de voir comment ça allait se terminer cette affaire. Au moment ou on se relevait, il s'approchait de moi et me caressait mon entre-jambe avec le dos de la main, surpris, j'avais le réflexe de me reculer. Mais juste un peu …


Çà l'a fait rire. Il se penchait vers mon oreille pour me parler, j'en profitais pour tâter à mon tour, il avait l'air d'en avoir une grosse mais il n'était pas possible d'en savoir plus, sinon qu'elle était bien dure. Ce dont j'étais sûr c'est qu'il ne bandait pas mou et que si elle était comme je pouvais l'espérer … Je risquais d'en prendre plein le cul !


– Pourquoi tu t'écartes, je te croyais moins réservé ! Me glissait-il à l'oreille.


Finalement j'étais surtout surpris mais pas désagréablement. Il avait vraiment l'air de savoir ce qu'il voulait. Ça me rassurait, au moins je n'aurais pas l'impression d'abuser de la situation. Au cas ou ça aurait pu m'arriver.


On arrivait chez lui, il me proposait une bière … Au point ou on en était j'acceptais. On s'installait et on discutait. Il s'était installé en face de moi et rapidement je pouvais constater qu'il bandait, il remarquait également que je bandais aussi. 


– On fait quoi après ? Ça se passe comment ?


Je lui prenais la main, il ne tentait pas de la retirer. Ma main glissait sur son avant bras, il me suivait et faisait de même. En même temps, il me faisait un large sourire et me rendait ma caresse sur le bras.


Je m'approchais de lui et lui donnais un baiser sur les lèvres.


– C'est pas violent entre hommes. Me demandait-il.

– Pourquoi voudrais-tu que ce soit violent ?


Il me rendait mon baiser, fermait les yeux et le baiser que nous échangions devenait rapidement passionné. Je lui caressais la joue, il glissait sa main sous ma chemise. Le contact de sa main était doux, ses caresses étaient douces, je me régalait, ses mains étaient douces, ça me surprenait mais c'était agréable, très agréable. En réponse j'ouvrais sa chemise et la lui retirait.


Il me laissait me pencher sur lui et l'embrasser sur le torse, il repoussait ma chemise qui tombait sur le sol à son tour. Quand mes lèvres arrivaient sur son ventre, ses mains glissaient sur mes fesses, sous mon pantalon. Le cul, ça avait l'air de l'exciter, même mon cul, c'est sans aucune hésitation que ses doigts se glissaient entre mes fesses et que déjà il faisait un véritable repérage, il appuyait un doigt sur mon cul, il n'avait pas lubrifié et ça ne rentrait pas.


Rapidement, avec quelques gestes rapides il m'ouvrait mon pantalon, j'ai pas eu le temps de comprendre ou de réagir mais voyant ça je décidais d'en faire autant. Je lui ouvrais la braguette et dégrafait sa ceinture, ce que je découvrait était au delà des mes attentes. Il m'avait dit qu'il en avait une grosse, elle était énorme, à faire peur. Mais elle était belle, plus de vingt centimètres, je constatais que je ne pourrais pas la sucer comme je fais d'habitude, elle ne rentrerait pas dans ma bouche, enfin son gland peut être.


Je passais ma langue sur son gland, je tentais de le prendre comme je pouvais dans la bouche, le gland arrivait à rentrer mais ça n'allait pas beaucoup plus loin. Il me caressait la tête.


– Alors ? Je ne t'avais pas menti, elle est grosse ?

– Énorme.

– Ça ne te fais pas peur ?

– Moi ! Même pas peur ! Répondais-je, avant de rajouter … Un peu quand même.


Dans un même temps, tout occupé que j'étais à la sucer avec ma langue, à la caresser, à la masturber et à la masser, dans ma tête je comparais avec les gode que j'avais à la maison. Il avait la taille du plus gros que j'arrivais encore à me prendre dans le cul. J'en avais bien un plus gros mais lui il ne passait pas.


Je me disais donc que ça devrait aller. Je me disais aussi que j'allais le sentir passer. Je finissais par relever la tête. Il me tirait alors vers lui.


– A toi !


Il prenait alors ma queue dans sa bouche. Il m'avait bien dit qu'il me sucerait et il le faisait. J'avais tout de même l'impression qu'il manquait de conviction. Il s'en sortait pas trop mal, je le laissais faire un moment. Ensuite il me faisait un câlin, un gros câlin. On se prenait dans les bras l'un l'autre, on se caressait, on s'embrassait et sa main revenait toujours sur mes fesses, et son doigt recherchait toujours le petit trou, il lubrifiait avec un peu de salive et sans prévenir il me glissait un doigt dans le cul.


J'aurais bien fait la même chose mais il avait été clair, je sortais alors un tube de gel de ma poche, mon pantalon n'était pas loin sur le sol à mes pieds. Il a pris ça comme une invitation. Rapidement il me lubrifiait généreusement le cul. Sans plus se retenir maintenant il y glissait un puis deux doigt.


– Tu aime ça ?

– Vas y doucement, c'est bon.


C'était pas une brute, il y allait doucement, viril, décidé mais une certaine douceur. Il commençait à me faire de l'effet. Il faisait durer les préliminaires, les câlins, les caresses, les baisers puis ayant décidé que ça devait suffire, il me retournait sur le dos. Il me tripotait bien les couilles et la bite mais n'avait pas recommencé à me sucer. 


Je devinais que ce n'était pas ce qu'il préférait …


– Tu te mets à quatre patte ?


J'étais allongé sur le dos, il était au dessus de moi. Pour réponse, je relevais et écartait les jambes. Il n'a pas compris tout de suite puis, il a compris.


– Dans ce sens ?


Je faisais oui de la tête. Il se lubrifiait généreusement la queue, il respirait fort, sa queue se redressait, il me lubrifiait le cul puis avec force il me saisissait les chevilles, les posait sur ses épaules puis prenait position.


J'étais à moitié replié sur moi-même, son énorme queue était positionné sur mon anus, bien dans l'axe. Je me sentais à sa merci, je frissonnais intérieurement. Je respirais fort.


Il s'appuyait sur mes jambes et je me retrouvait plié en deux, écrasé sous son poids. Je manquais d'air et ça ne s'arrangeait pas quand il a poussé. Il me regardait droit dans les yeux et il poussait. 


Au début il a rencontré un peu de résistance, et moi j'ai ressenti un peu de douleur. Mon cul s'est dilaté, et j'ai un peu paniqué, il poussait avec force mais il prenait le temps de s'enfoncer.  


Je paniquais totalement à ce moment, je ressentais une violente intrusion, dans ma tête j'imaginais que c'était mon gros gode, en fait c'était mieux. Là je ne contrôlait plus rien, avec mon gode, c'est moi qui dirige. Là je subis, je ne peut rien contrôler, là je suis vraiment passif. 


Avec  un truc pareil qui vous rentre dans le cul, ça peut faire peur … Mais quand ça glisse lentement, sans résistance, avec une certaine douceur. Une douceur violente certes mais une certaine douceur tout de même. Ça peut donner un grand plaisir.


J'avais envie de crier, je sentais mon cul se dilater se distendre. C'était à la fois terriblement bon et totalement affolant, c'était le pied. 


Je le voyais, il me regardait, son regard était rassurant, il faisait attention à mes réactions, à la moindre de mes réaction. Il me retenait avec force entre ses bras, il m'écrasait de tout son poids, je manquais d'air et j'étais pris de convulsions au moment ou son ventre s'écrasait sur mes fesses. 


Là il ne bougeait plus. 


Il me laissait encaisser avant de se retirer, là je criais, il s'arrêtait constatait que tout allait bien et reprenait. Je hurlais de nouveau. Il se retirait totalement, lubrifiait généreusement de nouveau, me laissait souffler un petit moment puis revenait. De nouveau il s'enfonçait entièrement mais légèrement plus vite que la première fois.


C'était le pied, c'était un plaisir jouissif terrible, c'était toujours une certaine panique, je savais qu'il pouvait me blesser, me déchirer, il le savait aussi et il prenait le plus grand soin de ne pas me blesser. Il faisait très attention à toutes mes réaction quand il se retirait de nouveau avant de revenir, toujours un peu plus vite.


Au bout d'un moment il me limais le cul avec régularité, ses mouvements étaient amples, mais quand il arrivait au fond il me balançait un coup de bassin qui me faisait crier. 


Je tremblais de plus en plus, je ne contrôlais plus totalement mes gestes. Il a continué à me défoncer pendant encore un moment et quand il à joui, je l'ai senti. En fait j'ai surtout ressenti ses mouvements qui devenaient plus rapides plus violents ou encore un peu moins contrôlés. Il avait juté, il avait pris son pied et quand il s'est retiré, j'avais pris mon pied et j'ai fini par juté.



A suivre



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