Willy 02 C'est moi qui en profite

 Willy 02

C'est moi qui en profite


J'étais sonné, je me sentais bien, enfin c'est l'impression que j'avais. En fait je ne savais plus. Je sentais toujours sa grosse matraque dans mon cul. C'était maintenant vraiment agréable, ça me détendait, j'étais tout mou. Il m'a fallu un moment avant de réagir, on s'est levé et on est passé à la salle de bain.


Je sentais encore sa queue dans mon cul, il l'avait retiré depuis un moment déjà mais je la sentais toujours, et c'était bon. On se recouchait et on discutait.


– Alors ? Lui demandais-je.

– C'était sympa ! Répondait-il

– Tu as aimé ?


Il avait aimé, finalement, il avait aimé. Les caresses ça allait, les câlin aussi, même les baisers passionné ça allait, en plus il embrassait bien. Mais il ne me le disait pas vraiment, mais, s'il trouvait que je suçais bien il n'avait que moyennement aimé me sucer. Pourtant il l'avait fait, sans râler.


Il m'expliquait que comme moi je le suçais et que en plus il pourrait m'enculer, il avait pensé que c'était un effort normal de sa part. En un mot, il n'avait pas du tout aimé cette partie … 


Il avait beaucoup aimé par contre me défoncé le cul. Il m'expliquait qu'aucune femme ne l'avait laissé faire comme ça. C'est vrai que j'ai dégusté mais moi je ne suis pas un gonzesse, quand je me fait enculer j'aime bien le sentir.


Et je peux vous garantir que là, je l'avais senti passé. C'était à la fois violent et tendre, ultra dur et super tendre. Il bandait bien ferme, pourtant il en avait une très grosse. Je continuait à la caresser pendant que nous parlions, il me laissait faire, et je me demandais si finalement c'était pas la plus grosse que je ne m'étais jamais pris dans le cul. J'avais aussi un très gros gode, je n'étais même pas sûr qu'il soit plus gros …


On a fini par s'endormir. J'étais dans ses bras, j'avais sa queue dans la main. On a bougé, je me souviens que je me suis à moitié réveillé en plein milieu de la nuit, il bandait, j'ai admiré le spectacle, j'ai choisi de ne pas le réveiller. Je n'arrivais plus à m'imaginer que c'était avec ce truc énorme qu'il m'avait éclaté la rondelle au début de la nuit. J'étais balancé entre la peur de le sentir recommencer et une envie impérieuse de le lui demander.


Je me rendormais et je terminais la nuit, de nombreux rêves m'accompagnaient et agitaient mon sommeil. 


Il était réveillé avant moi et il s'était levé. 


– On recommencera ? Me demandait-il.


Il  avait l'air satisfait. J'avais encore mal au cul mais c'était bon. Il était là devant moi, à poil, il sortait de la douche et il s'essuyait. Je me levais et passais sous la douche à mon tour.


– Il n'y a qu'un seul truc que j'ai pas vraiment aimé … C'est de te sucer.

– Tu n'aimes pas ça ?

– Non, pas vraiment … Mais le reste ça va. 

– Tu sais la queue est livrée avec …

– Je sais bien, on fera avec.


On s'est revu dans la semaine, il était en forme, on a remis ça. Ce jour là on est allé chez moi. Je me suis dit que si la relation devait durer, il serait bien qu'il sache ou j'habitais. 


C'était surtout de la tendresse, chacun connaissait le corps de l'autre, il était un peu moins timide que la première fois. On se déshabillait l'un l'autre, et en même temps on se caressait et on s'embrassait. Pas seulement sur la bouche nos lèvres descendaient sur le corps de l'autre, sur ses épaules, sur sa poitrine.


Les mains se baladaient aussi, les siennes se promenaient sur mes fesses, les miennes s'égaraient sur son sexe. Il me donnait des baisers sur le ventre mais je sentait comme une gène de descendre plus bas. Il n'avait visiblement pas envie de me sucer la queue. Je n'ai pas insisté, j'ai pris son visage entre mes mains et je l'ai embrassé. Son baiser était passionné.


Je me penchais alors vers son sexe et le prenait dans la bouche. Enfin j'essayais. Le gland passait mais pour le reste … Il appréciait tout de même, c'est vrai que je sais faire. Pendant ce temps il ma tripotait la bite et les couilles. 


– C'est marrant. Me disait-il. À côté de moi tu as une toute petite bite. Ça me change de la tripoter.


Je préférais ne pas répondre, il  n'avait pas tort c'est vrai mais c'est pas une raison pour me le faire remarquer, en plus j'avais la bouche pleine. Il me caressait le dos de la tête, il n'essayait pas d'appuyer sur ma tête, il savait que ça ne passerait pas, il ne voulait pas m'étouffer. Je continuais mon ouvrage avec plaisir.


Il me caressait le dos, sa main descendait jusqu'à mes fesses, il avait compris comment ça marchait, il savait que rapidement on en viendrait à la pénétration. Il lubrifiait et aussitôt il me glissait un puis deux doigts dans le cul. Je relevais la tête et gémissait fort. Il se penchait vers moi et m'embrassait.


– M'embrasser, ça ne te gène pas ?

– Non ! Faisait-il. 

– Me glisser un ou deux doigt dans le cul.


Il rigolait et m'embrassait.


– J'ai pas l'impression que ça te dérange.


Là c'est moi qui l'embrassait. Il agitait ses deux doigts avec vigueur, un troisième doigt suivait, et un cri de plaisir ce ma part.


– Retourne toi et met toi à quatre pattes.


Je voyais tout de suite ou il voulait en venir, j'avais rien contre l'idée, je paniquais c'est tout. Mon cœur battait subitement plus vite, plus fort et un nœud se formait dans mon ventre. Je m'exécutais, je me retournais et lui offrais mon cul.


Il continuait à s'amuser en me glissant un doigt, puis un autre, il lubrifiait surtout, il lubrifiait. Il m'expliquait qu'il avait connu des femmes avec lesquelles il devait utiliser du gel. 


Pour finir il prenait position, je sentais son gland contre mon anus, déjà la pression était forte. Il poussait, mais pas suffisamment pour me pénétrer. Juste pour me faire peur peut être, en tout cas là il y parvenait, je me sentais tout drôle, je paniquais intérieurement, oui je sais je me répète mais comment dire autrement. 


Il poussait, j'ai gémi. Il poussait avec force mais se retenait encore, il savait que ça rentrerait et il laissait le temps qu'il fallait. La pression devenait énorme, mon cul résistait, j'ai respiré à fond et c'est là que j'ai lâche. J'ai senti mon cul se dilater. 


Là il ne poussait plus, il laissait faire, mon anus se dilatait et je sentais mon petit muscle circulaire s'ouvrir autour de son gland. Je sentais son gland me pénétrer. Il poussait de nouveau.


La sensation était folle je le sentais s'enfoncer en moi. C'était génial, c'était bon, vraiment bon. C'était terrifiant mais c'était bon, vraiment … 


Mon cul était à son maximum de dilatation, et je sentais sa queue glisser en moi et m'élargir partout ou elle passait. Je sentais mes entrailles se distendre, comme l'autre jour, c'était à la limite. Je manquais d'air, je râlais de plaisir, même si ce n'était pas vraiment du plaisir, non ce mot ne convient pas, c'était bien mieux.


J'ai du loupé quelque chose, je me sentais rempli jusqu'au amygdales, quand j'ai senti son ventre s'écraser contre mes fesses. J'ai cru défaillir. J'ai eu un peu peur pour moi et je me suis senti submergé par un plaisir incroyable.


Il est ressorti, puis il est revenu, puis il a recommencé et a fini par le limer proprement comme il sait faire, avec force et avec la violence de sa taille. Je parle là de la taille de sa queue mais vous aviez compris. Il accélérait le mouvement, je gueulais, je ne demandais pas grâce mais je gueulais. J'en voulais encore, j'en voulais plus. 


C'est à ce moment que je remarquais que je ne bandais pas, je ne bandais plus. Je ne sais pas à quel moment j'avais arrêté de bander, je vous garantis qu'au début, je bandais ferme. Mais à ce moment, plus rien.


Je ne sais pas s'il s'en rendait compte, je ne sais pas si ça l'inquiétait. Je pense qu'en fait, il s'en moquait. Il était occupé et son plaisir devait primer maintenant. Vous savez les mecs, ils sont souvent comme ça, arrivé à ce niveau il ne pensent plus qu'à leur propre plaisir. 


Il me tenait très fermement par les hanches, me tirait vers lui au moment ou il enfonçait sa matraque grosse taille jusqu'à la garde. J'étais submergé par le plaisir, c'était un plaisir violent, mais c'était du plaisir. Il s'énervait, il râlait et il me donnait un coup violent qui me faisait peur, il jutais, il éjaculais en appuyant son ventre contre mes fesses.


Là je convulsais, mon corps se révoltait et le repoussait, c'était sans aucun effet, il ne ressortait qu'au moment ou il le décidait. Il se retirait, le plaisir, mon plaisir était à son point culminant. Je jouissais, je jouissais à sec mais je jouissais.


C'est au moment ou il ressortait de mon cul que j'ai juté, un flot de sperme dégoulinait de mon sexe et intérieurement je tremblais, je vibrais, je jouissais, je continuais à jouir ça en fait je jouissais depuis un moment et ça continuait. C'était de la folie !


Je me suis laissé retombé sur le ventre. Il s'est lui aussi laissé tombé sur le ventre, sur son ventre, sur mon dos.


Il était câlin, il m'avait comblé, je retrouvais mon calme. On a bien dormi, je me suis blotti contre lui, il m'a pris dans ses bras. On faisait la même taille, il était plus large que moi et je me sentais tout petit.


Il dormais profondément quand je me suis réveillé. On était au milieu de la nuit. Je l'ai regardé dormir, je me sentais bien, je me sentais vraiment bien. Et c'est là que j'ai eu cette idée. Il ne s'intéressait pas à ma queue, à  peine à mes couilles …


Je vous rassure tout de suite, il n'a jamais été question de les retirer … Oulala non, c'est pas le genre de la maison. 


Mais il y avait là, à porté de ma main, dans le petit tiroir de la table de nuit, mon dispositif de chasteté. Je l'avais porté pendant un an, et à ce moment je faisais une pause. Là allongé à côté de lui je me disais que … Ça serait une surprise pour lui de me retrouvé ainsi, quelque chose me disait que ça pourrait lui plaire.


Il n'aimait pas me sucer, la question ne se poserait plus. Ça ne le faisait pas fantasmer de me voir me branler, d'ailleurs je ne m'était pas branlé ce soir là.


Il devait être trois heures du matin quand je me décidais. Je me levais alors en prenant soin de ne pas le réveiller, je prenais mon petit truc dans le tiroir et me retrouvais dans la salle de bain. 


Je me sentais bien, je ne bandais toujours pas mais là ça m'étonnait, j'en profitais, je ne traînais pas. Je glissait mes couilles en premier, toujours de la même manière, toujours la même procédure, les couilles puis la queue puis la cage. 


J'avais fait une pause depuis presque trois semaines, je n'avais pas prévu de durée, ni minimum ni maximum. La fin de la pause serait donc … Maintenant ! 


Je me regardais dans le miroir et je rigolais en voyant les clés. Un jour j'avais, juste pour rire, préparé un petit dispositif. Alors que j'avais les clés à ma disposition, j'avais mis une clé dans un petit tube en plastique mou, et c'est avec  un cadenas en plastique à usage unique numéroté que la clé était maintenue dans le tube de plastique. L'autre clé était libre.


J'étais nu, bien sûr, quand je revenais au lit. Je posais les deux clés sur la table de nuit et je me glissais tout contre Willy. Rapidement je me rendormais.


Il ne s'était pas réveillé, il n'avait rien remarqué. Quelques heures plus tard il se réveillait, il était visiblement en pleine forme et il criait …


– Le premier sous la douche !


Il était parti un peu en avance et avait déjà ouvert l'eau, quand j'arrivais dans la salle de bain. C'est là qu'il m'a vu, il me regardait sans trop comprendre. 


– Bein voilà autre chose !

– Ça ne te plaît pas ? J'avais cru comprendre que ma bite ne t'attirait pas vraiment …

– Oui mais là …

– C'est mignon non, c'est pas la première fois que je porte un truc comme ça tu sais.

– Je ne m'y attendais pas. Et tu le retire régulièrement ?


Je faisais non de la tête. 


– De temps en temps ? Continuait-il à questionner.

– En fait je peux le garder sans limite, la dernière fois ça a duré presque un an.


Je voyais un sourire amusé et vicieux se dessiner sur ses lèvres.


– Et tu le porteras toujours avec moi alors ?

– Il y a une clé, sur la table de nuit …


Le lui expliquais en détail le système avec le cadenas numéroté. Si je devait le retirer je le pourrais mais je ne pourrais pas le lui cacher. Je lui offrais le contrôle.


Quand j'ai prononcé ces mots, il avait un large, un très large sourire. Moi j'avais un nœud dans l'estomac. J'espérais ne pas commettre une erreur. Sur ce point, je suis toujours pas sûr.


Pendant cette première douche il s'amusait beaucoup à me tripoter les couilles, alors que jusque là, cette partie de mon corps ne semblait pas vraiment l'intéresser. Ça changeait. 


Il embarquait la clé en partant et me promettait de revenir me voir. Il a tenu parole, je l'ai revu souvent, je le revois souvent.


Mais la clé, elle, je ne l'ai toujours pas revue un an plus tard .


Fin 



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


2 commentaires:

  1. mais comment ça "fin" ? on commence tout juste a apprécier ces deux là et tu arrêtes leur histoire ... non non non il faut une suite !!!

    RépondreSupprimer
  2. Bein oui ... FIN ... Je sais que tu n'aimes pas le mot FIN à la Fin d'un texte mais bon, l'intérêt de raconter une histoire c'est la découverte des personnage et le début de la relation, après ça peut devenir routine, genre métro-boulot-dodo .
    Si je trouve quelque chose à raconter je le ferai sinon, j'ai 20 textes déjà qui attendent ...

    RépondreSupprimer

INDEX

                          Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'...