Le nouveau voisin 09

 Le nouveau voisin 09


Il m'avait bien secoué l'animal mais je récupérais vite. Quelques jours plus tard. Coraline repartait. J'ai toujours pas compris ce qu'elle fait comme boulot, elle est toujours partie quelque part et c'est toujours à l'autre bout du monde … Enfin …


Nous étions arrivé à la l imite qu'elle avait imposé à son mari Dylan. Je m'en inquiétais, surtout que si je me souvenais bien, je devais être libéré juste après lui. Bon d'accord elle n'avais pas dit ' juste après ' elle avait dit 'après' …


Je passais voir Dylan, l'appartement était tout calme, Eddy avait disparu, je le regrettais presque déjà en me caressant distraitement les fesses. 


– Mais dis moi Dylan, Coraline ne t'avais pas promis de te libérer maintenant ? Ça va se passer comment ?


Il s'approchait de moi, prenait ma main et la portait à son sexe, je n'avais plus qu'à tâter et je constatais qu'il portait toujours son dispositif. Il me regardais dans les yeux, il avait le regard rieur, et il finissait par rigoler.


J'étais là comme un con à lui tripoter les couilles, il baissait son pantalon, sortait je ne sais d'où une clé, c'était la bonne, il ouvrait son dispositif et, toujours en rigolant, le retirait.


Je ne retirais pas ma main et je lui tâtais la grosse bosse qui rapidement devenait encore plus grosse et plus dure. Je sentais cette forme allongée se développer et devenir bien dure. Ma queue protestait et tentait d'en faire autant. Je la sentais qui poussait contre les barreaux de la cage. 


Là je me sentais frustré, j'avais un terrible désir de sortir ma queue, de me faire sucer, surtout que je savais qu'il faisait ça très bien. J'avais envie de me prendre sa grosse queue dans le cul, ça ne devrait pas poser de problème maintenant mais j'avais aussi une violente envie de l'enculer. De le prendre avec force, presque avec violence. J'avais envie de lui faire subir ce que l'autre andouille d'Eddy m'avait fait subir l'autre jour. 


Je sais, je suis principalement passif mais pour une foi j'avais une forte envie de jouer les actifs. Il était libre, moi pas !


Et Coraline elle avait dit que je serais libéré après Dylan, mais elle n'avait pas dit combien après ! Beaucoup après ou pas beaucoup après ? Ça elle ne l'avait pas dit. Et en plus elle était partie, sans rien dire. En tout cas elle ne m'avait rien dit à moi.


Ma queue protestait encore plus fort, chaque seconde elle protestait plus fort. Ça devenait désagréable.


Les désirs, les envies, les besoins devenaient impérieux, je n'avais plus seulement envie de lui défoncer le cul, j'en avais besoin. De la même manière je voulais pouvoir me branler, ça me manquait, je sentais que j'allais craquer. 


C'était avec insistance que je lui tripotait la queue elle sortait de son pantalon et se redressait avec force. Il ne cachait pas que ça l'amusait. Avec douceur il me tripotait les couilles, il passait sa mains sur ma cage, au travers de mon pantalon. Ensuite il fallait s'y attendre, ça a dégénéré.


On s'est pris dans les bras, on s'embrassait et je ne sais plus comment ça s'est passé mais il se retrouvait entièrement nu dans mes bras. Je caressais cette peau douce et chaude. Je me mettais à genoux devant lui, il n'avait rien demandé mais j'en avais envie. Je ne pouvais pas me branler ni rien faire avec ma queue, je décidais donc de m'amuser avec la sienne.


Je le sentais se contracter quand sa queue entrait dans ma bouche, pourtant j'y allais en douceur. Elle glissait sans résistance et son gland rapidement venait frapper contre ma gorge. Il avait écarté la glotte, c'était la première fois que je parvenais à me l'avaler aussi facilement. 


Sa queue continuait à s'enfoncer et son gland pénétrait dans ma gorge, ça résistait, là au moins ça résistait. Il poussait un peu plus et encore un peu plus, j'avais l'impression que son gland s'enfonçait dans mou cou. Je fermais les yeux et je voyais des étoiles. À ce moment, bien sûr, je ne pouvais plus respirer mais j'en voulais et quand il ne poussait pas sa queue dans me gorge, c'est moi qui appuyait mon visage contre son ventre.


A ce moment j'ai pris conscience que je ne l'avais jamais pris aussi fort, enfin aussi fort pour moi. 


Il devait être impressionné, il me laissait faire.  Quand je me retirais et que je relevais mon visage, je pouvais voir son sourire. Il aimais, ça c'est sûr il aimait. Il me caressait la joue, les cheveux pour m'encourager mais ne me contraignait pas.


Je me suis énervé comme ça pendant un moment. Je terminais avec le visage écrasé contre son ventre et sa queue écrasée dans ma gorge. Je suis sûr qu'on aurait pu sentir sa présence en touchant mon cou. Je toussais bien un peu mais  j'étais le premier surpris d'encaisser aussi facilement. 


Il décidait de prendre le contrôle. C'est lui qui retenait mon visage et devait l'écarter de force, j'en voulais je vous dis, j'en voulais !


Il me relevait en passant ses mains sous mes bras. Je me relevais sans conviction, refermais mes bras autour de lui et l'embrassais. Je ne voulais pas le lâcher. Cette soirée avec Eddy avait réveillé des désirs en me rappelant des plaisirs et là j'avais le feu au cul comme jamais.


Je vibrais sous chacune des ses caresses. 


Il me retournait, je ne résistais pas. Il appuyait sur mon épaule, je me penchais en avant et m'appuyais sur la petite table de salon. Je me retrouvais rapidement entièrement nu. Je sentais sa queue qui se relevait entre mes jambes et me soulevait les couilles.


J'avais comme une petite crainte, mon envie était telle que s'il devait y répondre il devrait y aller avec force. J'avais un peu peur qu'il ne le fasse, même si c'est ce que je voulais.


Il me lubrifiait le cul, je tremblais. Il se lubrifiait la queue et là je frissonnais. Puis avec douceur il prenait position. Je sentais son gland qui appuyait contre mon anus sans essayer de pénétrer, pas encore. La pression augmentait, par réflexe je serrais les fesses. Pourtant je sais depuis toujours que c'est pas ce qu'il faut faire. 


Il s'en rendait compte et poussait encore un peu plus fort, je gémissais mais résistais encore. Il forçait, et là il ne faisait pas semblant. Là j'ai un peu paniqué, je continuais à serrer le cul puis, il a lâché. 


Sa queue s'enfonçait alors et me dilatait le cul sans ménagement. Heureusement j'ai l'habitude et j'adore ça ! Mais je l'ai senti passé, là je l'ai senti passer et j'ai gueulé. Je l'avais cherché, c'est vrai, et je l'avais eu. J'avais un peu raison d'avoir un peu peur. 


Son ventre s'est écrasé sur mes fesses et à claqué. Normalement il faut y aller avec douceur, prendre le temps de bien se préparer. On avait sauté cette étape, c'était un peu de ma faute, je l'avais cherché. Pourtant j'avais peur que ça ne se termine comme ça.


Pardon je voulais dire que ça ne commence comme ça.


C'était pas la fin de la séance … 


Il se retirait, avec énergie et moi je gueulais, je continuais à gueuler. Il ressortait complètement de mon cul. Là j'avais mal au cul ! Il se penchait sur moi et me glissait à l'oreille.


– Tu me dis si je me trompe mais j'ai comme l'impression que c'est ça que tu voulais ?


Je faisais oui de la tête, j'avais les dents crispées et je n'arrivais même pas à articuler. 


Il s'enfonçait alors de toutes ses forces à nouveau, bien à fond. Là j'ai hurlé. Je tentais de me dégager, c'était un réflexe et il me retenait avec force. Il me donnait un coup violent et de nouveau je gueulais.


J'étais en manque et j'avais envie de me faire défoncer le cul, c'est ce qu'il à fait. Il ne se retenait plus, j'ai couiné pendant un moment. Puis peu à peu c'est le plaisir qui montait en moi. On aurait pu commencer par là mais ce jour là j'avais envie de sensations fortes.


Il me donnait ce que je voulais, je n'avais en fait rien demandé mais il avait compris. 


Le plaisir m'envahissait par l'intérieur, par le milieu de mon ventre. C'est là que naissait un plaisir qui rapidement devenait intense, se répandait dans dans tout mon corps, la prostate bien sûr mais pas uniquement.


A chacun de ses mouvements je râlais mais maintenant ce n'était plus que du plaisir. Je tremblais, je me contractais et ne contrôlais plus tous mes gestes. Je me cramponnais là ou je pouvais, il n'y avait rien. Heureusement Dylan est costaud et c'est lui qui me retenait.


Il me tirait vers lui avec force et en même temps il me donnait des coups de bassin, des coups de queue. Il avait une grosse queue et j'adorais la sentir me dilater les entrailles, me masser l'anus et me le distendre avec force, je ne râlais plus, là je gémissais de plaisir rien que de plaisir.


Je gardais la bouche ouverte et je respirais fort, je gémissais fort, je jouissais. 


Dans ma tête les idées se bousculaient, je pensais à Eddy, quand il m'avait défoncé le cul quelques jours plus tôt, je pensais à Coraline et son sens de l'humour très particulier. Je me demandais quand elle me libérerait. D'ailleurs à ce moment précis je m'en moquais.


Je jutais et je jouissais aussi avec ma queue. Je la sentais terriblement confinée dans sa cage, confortablement confinée, je jouissais pourtant avec. Ce n'est pas incompatible. Je me sentais envahie à chaque fois qu'il s'enfonçait en moi et terriblement vidé quand il se retirait.


Je fermais les yeux et chacune des mes sensations devenait une image dans mon cerveau, un peu comme si je voyais mon corps de l'intérieur. 


Je ne sais pas combien de temps il a fait durer le plaisir mais il l'a fait durer. Il n'était pas pressé de jouir, il n'était pas pressé de tout lâcher. Il se penchait sur moi et me caressait, il s'enfonçait et ressortait avec régularité. Il me serrait contre lui et sa peau me caressait. 


Son corps était doux et chaud, je le connaissais bien mais ce jour là c'était comme une découverte, comme une redécouverte. Il m'embrassai dans le cou, il me mordillait. Je sentais ses dents, il ne me faisait pas mal, je gémissais de plaisir. 


Son ventre continuait à frapper contre ses fesses, je continuais à gémir, il me tripotait les couilles. Je jouissais par le cul, je jouissais comme jamais. Il jouissait lui aussi. Il restait immobile un moment puis se retirait. Le plaisir à cet instant était intense et j'ai éjaculé avec force, là ce n'était pas une impression j'ai pas seulement joui. J'ai éjaculé avec force et j'ai râlé de plaisir.


Il me tripotait les couilles, se laissait retomber à coté de moi. Je m'effondrais également et je le laissais faire. Il continuait à me tripoter les couilles pendant un long moment puis on se calmais tous les deux, on ne bougeait plus. 


Je me sentais bien, terriblement bien, vidé, comblé. Je n'avais plus mal nulle part. J'étais aux anges. Je regardais Dylan avec un regard vide, il avait lui aussi un regard vide et un sourire éclatant, il rayonnait. Il avait joui et ça se voyait.


On a dormi ensemble, toute la nuit j'ai senti son corps chaud et doux contre moi. Les nuits qui ont suivi on les a passées ensemble, son corps contre le mien. On a passé toutes les nuits l'un contre l'autre pendant les deux semaines qui ont suivies. 


Il ne m'a pas défoncé le cul comme ça tout les jours, je pense que je n'aurais pas survécu mais plusieurs fois par semaines tout de même. J'en ai pris plein le cul pendant quinze jours.


Coraline revenait, elle était seule, elle avait largué l'autre guignol. On lui avait préparé une soirée spéciale, un repas à la chandelle. Pour l'occasion Dylan avait remis son dispositif de chasteté.


– Je le portais quand elle est partie, je le porte quand elle revient. M'avait-il dit.


On se retrouvait devant Coraline avec juste un nœud papillon sur nous. Enfin on avait aussi notre dispositif de chasteté. On faisait le service et on la soignait comme une reine. Elle ne cachait pas qu'elle appréciait.


– Alors comment ça s'est passé ? Demandait elle.

– Très bien mon amour.

– Tu t'es libéré bien sûr et tu en as profité au moins. 

– Oh que oui !

– Il m'a défoncé le cul tous les jours ! Rajoutais-je.

– Tous les jours ? Vraiment ?

– Enfin plusieurs fois par semaines …


Dylan rigolait en me regardant.


– Bien je vais libéré Dylan, quand à toi Charly on verra plus tard …


Là j'ai balisé, ça faisait plus de deux mois déjà. Mais j'avais pris du plaisir régulièrement et je décidais de ne pas réclamer. Peut être m'aurait-elle libéré, peut être pas. Je ne le saurais jamais. 


Dylan a retiré son dispositif, et devant moi ils ont fait l'amour, je tenais la chandelle, leur apportait une verre si l'un des deux me le demandait … Je ne vous dis pas mais ma queue dans sa cage protestait. Pourtant la cage elle commençait déjà à bien connaître. Et puis elle était confortable.


Je tremblais de désir, j'avais oublié ce jour là que Coraline sait être un peu vicieuse. Elle avait dit on verra plus tard, c'était il y a un an et on n'a pas encore vu, pourtant on est plus tard, oui bien plus tard. 



FIN 



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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