Presque frères 05

 Presque frères 05



Il nous as, pardon, il m'a fallu un peu de temps pour me décider. Mais c'est vrai que j'en avais envie. J'en rêvais la nuit. Je me souviens de cette nuit ou je me réveillais, il y avait Tommy qui dormait juste à côté de moi. Une très légères lueur dans la chambre me permettait de le voir de profil, il était allongé sur le dos. 


Je le regardais et rapidement j'avais envie de le toucher, j'avais envie de toucher sa peau. Je passais ma main sur son torse avec la plus grande douceur dont j'étais capable. Ma main descendait le long de son corps, quand j'arrivais à son sexe, il ne bandait pas mais en quelques instant, c'était sans doute la réaction provoquée par ma caresse, je sentais sa queue se relever et prendre du volume. Elle durcissait et je ne résistais pas à cette tentation. Je me penchais vers lui et la lui suçais.


Il ne s'est pas réveillé, il est passé par un stade de rêve, de très beau rêve il m'a dit plus tard. J'ai senti sa main sur mes cheveux, il me caressait doucement la tête et gémissait. Avec douceur sa queue entrait dans ma bouche. C'est moi qui faisait tout le travail, il ne bougeait pas. Sa main retombait dans mon dos et je l'ai entendu respirer plus fort. J'avais l'impression qu'il dormait plus profond. J'avais l'impression qu'il ronflait, une chose était sûre, il ne s'était pas encore réveillé.


J'appuyais mon visage contre son ventre, je ne pensais pas qu'il allait jouir, mais ça ne me dérangeait pas vraiment de me prendre une giclée de sa semence dans la gorge. Son gland allait s'écraser dans ma gorge. 


Je ne sais pas à quel moment il s'est réveillé. Mais quand j'ai entendu sa voix là question ne se posait plus.


– Tu veux te la prendre dans le cul ?


Je sursautais, et tentais de relever la tête. C'est à ce moment qu'il appuyait sur ma nuque et me bloquait. Je n'insistais pas et je continuais à le sucer. On faisait ça souvent à ce moment nous approchions du milieu du second mois de vacances. Je continuais à le sucer, c'était peut être une manière de lui répondre oui.


Enfin il se relevait.


– Allonge toi sur le ventre, et écarte les cuisses.


Là je vous jure, j'ai balisé. J'ai avalé ma salive tout en m'exécutant. Le mot exécuter était vraiment le bon. J'avais l'impression de ne plus pouvoir y échapper, l'impression que je ne survivrais peut être pas.


Mon cœur battait plus fort, plus vite. 


Tommy me caressait le dos et rapidement descendait vers mes fesses. Il me lubrifiait le cul et déjà deux doigts glissaient en moi. Ça on connaît bien et je me souvenais qu'au début, c'était un peu dur, c'était bon mais c'était dur. Ce n'était pas vraiment une sensation de douleur mais ça y ressemblait, puis c'était le plaisir, c'était un immense plaisir.


C'est d'abord ce que j'ai ressenti, un plaisir, il agitait les doigts contre ma prostate et il faisait monter un immense plaisir en moi. Il continuait ainsi pendant un moment. Puis il glissait un troisième doigt. Là ça devenait large. Mais  je n'éprouvais toujours pas de douleur. Je sentais bien que ça forçait, mais c'était encore agréable.


Il continuait à me stimuler et à me détendre l'anus. C'est vrai que moi j'en avais fait moins avec lui. Ensuite c'était des baiser dans le cou, sur les épaules puis il me mordillait. J'ai frémi, j'ai tremblé mais ce n'était pas le froid, n'oublions que nous étions en plein milieu de l'été. 


C'est son corps que j'ai senti ensuite contre moi. Sa peau douce, chaude, son corps lourd et fort, et ses bras qui me caressaient. Jusque là tout allait bien. Mais une angoisse me prenait quand je sentais son pénis qui se glissait entre mes fesses pour s'arrêter juste à l'ouverture de mon cul.


Je respirais plus fort, plus vite, ce n'était pas le plaisir, c'était seulement la panique. Là j'avais vraiment la trouille. J'avais peur d'avoir la trouille pour être précis. Je me disais … '' Ça va faire mal, ça va faire mal, ça va faire mal !''.


Je ne faisais aucun commentaire. Sa queue glissait avec une extrême facilité, il avait mis du gel, et il en avait mis une bonne dose. Il faisait glisser son gland dans ma raie du cul. Il poussait un peu plus quand quand il arrivait à l'ouverture exacte de mon anus puis continuait.


Il s'appuyait de tout son poids sur moi, m'embrassait dans le cou, m'embrassait avec les dents, il me mordait, pas pour me faire mal mais quand le baiser très doux se transformait en morsure légère et douce j'ai tremblé dans tous mon corps. Et c'est à ce moment qu'il a choisi pour pousser en enfoncer sa queue dans mon cul.


J'ai crié, puis je me suis retenu. Je ne vous cacherais pas que en effet ça fait mal. Personne n'était jamais rentré par là et comme je vous le disais plus haut, il était bien monté. Il a introduit en quelques instants la moitié se sa queue dans mon cul.


Je manquais d'air. J'avais tourné le visage et il pouvait le voir de profil par dessus mon épaule. Il marquait une pause, il ne bougeait plus, il se penchait sur moi et me donnait un baiser sur la joue. Je tournais les yeux vers lui et je sentais sa queue qui s'enfonçait de nouveau plus profond, un peu plus profond, beaucoup plus profond. 


Son ventre s'écrasait sur mes fesses. J'ai voulu hurler mais il avait prévu et me faisait taire en m'embrassant. Ça ne m'a pas vraiment détendu mais il avait  réussi à me faire taire. 


C'était terrible, c'était douloureux bien sûr mais c'était affolant, j'avais l'impression que mon anus était distendu et qu'il allait lâcher. Sa queue glissait d'avant en arrière me laissant craindre à chaque mouvement que mon cul ne déchire. Là ce serait pire, là ce serait la pire situation.


Mais il y avait aussi une certaine sensation de plaisir, un plaisir douloureux.


C'était un plaisir affolant et je m'affolait. Je paniquais, il le ressentait et me serrait fort dans ses bras. J'aime sentir ses bras autour de moi. Il me réconfortait mais je m'affolait quand même. Il y était déjà passé et je pense que sa nouvelle expérience le guidait. Il s'y prenait mieux que moi.


Au bout d'un moment il me limait le cul. Je tremblait, je n'aimais pas vraiment mais c'était supportable et en plus je m'étais engagé. C'était supportable alors je supportais. Je supportais comme  je pouvais. Il me retenait, j'aurais pu me dégager mais je vous jure que s'il ne m'avait pas retenu je me serais sauvé.


Il me limait plus fort, ça ne faisait pas plus mal mais je paniquais encore plus, il m'a limé pendant au moins une heure. Je ne comprenais plus rien, mais combien de temps allait-il tenir, combien de temps pourrais-je tenir moi ?


Il a fini par juter, il a éjaculé avec force, avec violence. A ce moment il m'a fait mal et il m'a vraiment fait paniquer, j'étais tétanisé. J'étais totalement paniqué,  presque en état de choc.


Ensuite il est redevenu plus doux, il s'est retiré, il a vérifié s'il m'avait blessé, enfin je suppose que c'est ça qu'il vérifiait … Et là j'ai vraiment joui, avec ma queue je veux dire, j'ai éjaculé sans me toucher. Et là c'était bon. Avant c'était étrange, avant c'était … un truc de fou. Je me jurais de ne jamais recommencer. 


Il se laissait tomber sur le dos juste à côté de moi. Il était essoufflé moi aussi ça avait duré presque quinze minutes. J'avais eu l'impression que ça avait duré des heures. J'en pouvais plus. Il nous fallu un long moment avant de récupérer et c'est alors en plein milieu de la nuit que nous nous retrouvions sous la douche. 


Mon cœur battait fort. 


– Alors tu en penses quoi ? Me demandait-il.

– Terrible ! 

– On recommencera ?

– Oui, alors ça oui. J'adore .


Quelques instants plus tôt je m'étais juré de ne jamais recommencer mais bon, il n'avait pas précisé '' Dès demain … '', sinon je vous jure que là, non, je n'étais pas prêt à recommencer aussi vite.


Mais quand on vous dit qu'au début ça peut faire mal, je confirme … Et que par la suite ça ne fait plus mal du tout, je confirme aussi, enfin maintenant je confirme. A cette époque je le pensais déjà, je le ressentais déjà. Je devinais déjà que ça pouvait être une source de plaisir intense et déjà je savais que je recommencerais.


On est retourné nous coucher, il s'allongeait sur le dos, je me blottissais contre lui. On ne bandait plus du tout. On était calmé, moi surtout. Je le caressais et je ressentais quelques réactions au niveau de sa queue. Il ne lui aurait sans doute pas fallu grand chose pour qu'il remette ça. Moi j'étais vraiment calmé. 


– Tu sais, me disait-il, ça me fait plaisir que tu m’as dit oui. On ne recommencera pas tout de suite.

– Non mais on recommencera !

– J'espère bien.

– Je le sens encore dans mon cul !

– C'est normal, pour moi c'était pareil, je l'ai senti pendant au moins deux ou trois jours. 

– Ça fait un peu mal.

– Et pendant ça ne faisait pas mal ?

– C'était supportable.


On se faisait quelques câlins. Il finissait par bander moi pas.


– Tu te souviens, je t'avais dit que mon père me proposait une année de prépa dans l'école de la PK ?

– Oui je me souviens, heureusement tu as dit non !


Il me prenait alors dans ses bras et m'embrassait avec passion. Ensuite on s'est rendormi.


Tôt le matin on se réveillait, il bandait, moi aussi mais je ne faisais attention qu'à lui. Je me penchais sur sa queue, cette énorme queue me fascinait plus que jamais. Elle entrait dans ma bouche et je ne parvenait pas à me figurer que c'est ça que j'avais pris dans le cul dans la nuit. 


J'avais encore un peu mal au cul et j'écartais sa main quand il à voulu me le toucher. Alors il me caressait les cheveux, il appuyait doucement sur ma tête. Il laissait tomber sa tête sur le coussin et se laissait aller. Il gémissait de plaisir, et moi je ne me concentrait que sur son plaisir. 


Je bandais mais je n'y prêtais aucune attention.


Sa queue s'écrasait dans ma gorge, j'aimais de plus en plus lui sucer la queue, j'y prenais un vrai plaisir, une vraie satisfaction. Je pense que je n'étais pas le seul à aimer. 


Sans prévenir il appuyait avec force sur ma tête, sa queue s'écrasait avec force dans ma gorge et il éjaculait en poussant des râles de plaisir.


Moi aussi  j'ai aimé.


On s'est levé, on s'est habillé et on est allé prendre notre petit déjeuner. Son père voulait lui parler. Tommy a disparu pendant un moment, quand il est revenu il avait un petit sourire narquois. 


– Si on allait à notre petite plage personnelle, sur la petite île … Me proposait-il.


L'idée n'était pas pour me déplaire, on s'est préparé et on était parti. Un peu de vélo jusqu'au port, puis  on mettait notre petit bateau à l'eau.


Arrivé sur l'île comme d'habitude je me mettais à poil, mais Tommy ce jour là n'était pas tout à fait comme d'habitude.


– Dis moi, Paco, pourquoi penses-tu que j'ai dit non à la proposition de mon père au sujet de la PK ?


Il baissait alors son pantalon et mon montrait sa cage. Il avait une cage de chasteté PK toute neuve. Elle était belle, blanche, lisse et semblait être faite en céramique.


Il me regardais avec ce petit sourire qu'il avait depuis un moment déjà, il observait mes réactions.



A Suivre 



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