Zone de recherche Ep01 : L'arrivée

 ZONE DE RECHERCHES Ep01

L'arrivée


C'était comme un monde perdu, comme dans ce livre que tout le monde connaît mais que personne n'a lu. On a vu le film à la télé de toutes façons. Le volcan était situé dans un pays qui n'autorisait pas la recherche, un des derniers, le dernier pays totalitaire qui, il y a peu encore interdisait aux étrangers de se déplacer librement. C'est sans doute pour cela que cette petite région n'avait jamais été étudiée.


C'était prometteur la première équipe qui était passée l'année précédente avait découvert huit espèces d'insectes totalement inconnues, cinq espèces végétales et le tout en quelques heures sur place.


Là c'était un programme de recherches complet. Il devait durer plusieurs mois. Les cinq membres permanents étaient arrivés la semaines précédente, il avaient monté le camp. Des capsules de logement qui ressemblaient à des soucoupes volantes. Je vous rassure, on est dans le monde réel on n'est pas dans un monde de science fiction, ces soucoupes avaient été parachutées. Elles ne volaient pas, même pas  un tout petit peu. C'étaient de petites unités de survie, il y avait deux couchettes dans chacune, il y avait trois petites unités. Elles étaient posées face au lac, et comme on m'avait parachuté dans le lac je regardais ce décor insolite en approchant.


Une couronne de terres s'élevait très lentement tout autour du lac. Cette partie était couverte de végétation dense. Le terrain s'élevait ensuite presque à la verticale c'était une falaise qui limitait ce monde et qui semblait monter jusqu'au ciel. 


On avait l'impression d'être au fond d'un cratère de volcan. Il était forcément très vieux mais pourtant il n'était pas érodé, les géologues auraient de quoi s'occuper pour expliquer le formation d'un tel relief. Le fond du cratère, appelons le ainsi ce sera plus simple pour le moment, faisait au moins vingt cinq kilomètres de diamètre et au milieu il y avait un lac de plus d'un kilomètre de largeur. 


Les chercheurs qui étaient déjà là venaient m'accueillir et m'aidaient à me sortir de l'eau, j'étais encombré de différentes caisses et de divers équipements sur flotteurs qui me suivaient.


Nous faisions connaissance.


Le matériel était tiré au sec, il faisait doux et je me mettais à l'aise et ne gardais sur moi qu'un short. Ensuite on discutait, on me proposait une place dans la soucoupe du milieu, là ou ailleurs, elles étaient toutes identique. Je la partagerais avec Djef. C'était un homme de corpulence moyenne, d'environ un mètre soixante quinze. Il avait une bonne tête, il était souriant.


Le matériel de communication était déjà installé aussi on informait le centre de recherche de mon arrivée saint et sauf. Remarquez, avec le matériel que nous avions, ce n'était pas une expédition périlleuse … J'étais arrivé dans l'après midi et c'est autour d'un feu que nous soupions tout en discutant du travail qui nous attendait les jours suivants.


Ensuite on allait dormir, le voyage pour moi, l'installation pour mes camarades nous avaient bien fatigués. La soucoupe était de petite taille, il y avait une petite douche, un petit coin cuisine, deux couchettes confortables et une sorte de petit salon ou on pouvait tenir à cinq ou six. Ce n'était pas bien grand mais ce n'était pas non plus une boîte à sardine, c'était comme une caravane de quinze mètres carrés.


Je me suis réveillé, mon camarade dormait à côté de moi, dans l'autre couchette. Je me sentais bien mais je n'avais pas envie de me rendormir, en tout cas je n'y parvenait pas. Je bandais.


Au début ça m'amusait puis ça m'occupait l'esprit et pour finir, je ne pensais plus qu'à ça. J'avais comme une violente envie de me faire plaisir. Si je sortais, j'allais réveiller mon voisin, je l'entendais il dormais paisiblement. 


Je glissais ma main dans mon sac de couchage et je commençais à me caresser le corps. Je bandais bien, ferme et vigoureux. Rapidement je me caressais la queue, avec douceur. Je fermais les yeux et je me laissais aller, je ne tentais pas de jouir tout de suite, je prenais bien mon temps, ma respiration devenait plus forte, j'ouvrais mon sac de couchage et le relevais, je sentais alors l'air frais sur mon corps. 


Les lumières étaient toutes éteintes, j'avais une veilleuse mais j'avais préféré l'éteindre, quelques voyants témoins, des diodes, diffusaient une lumière très faible, je parvenais à voir ce que je faisais, plus à deviner qu'à voir en fait. Et je commençais à me masturber plus sérieusement. 


Ma main caressait ma queue et passait et repassait sur mon gland, je suis circoncis, on l'est tous maintenant à notre époque, et c'est avec une immense douceur que je caressais mon gland qui était sec. La peau de ma main était sèche également et cette caresse était stimulante, douce et très agréable. A sec aussi c'est bon, j'aime bien me caresser de cette manière. Je fermais les yeux et me laissais aller à mon plaisir solitaire. 


Je prenais bien mon temps me satisfaisant du plaisir de cette douce caresse, je savais par expérience que quand j'aurais éjaculé tout s’arrêterait d'un coup, le plaisir serait court et je n'étais même pas sûr de me rendormir aussitôt.


Alors je prenais bien mon temps, je faisais durer le plaisir.


Je restait là allongé sur le dos, les yeux fermés, je bandais et je me caressais doucement la queue, c'était très agréable. Je n'ai sans doute pas attention au fait que je gémissais de plaisir, je me laissais aller et j'étais totalement détendu quand j'ai entendu …


– Tu n'as pas de cage toi ? Tu en as de la chance !


J'ai sursauté, je ne vous dis pas. C'était Djef ! Il s'était réveillé, c'était sans doute mes gémissements. Brusquement j'étais tétanisé, je ne bougeais plus, j'espérais que l'obscurité me dissimulait, j'espérais qu'il ne pouvait que m'entendre, qu'il ne pouvait pas me voir. J'avais les yeux fermés mais quand je les ouvrais je me rendais compte à quel point ces petites diodes témoins sur les appareil électroniques éclairent. 


Avec les yeux habitués à l'obscurité on pouvait voir parfaitement ce qui se passait, tout ce qui se passait. Il avait relevé la tête et me regardait.


– Tu as de la chance, comment ça se fait que tu n'as pas de cage. On en a tous une ici.

– Cage ? Qué cage ? Répondais-je sans trop comprendre.


J'aurais du comprendre, j'avais moi aussi porté une cage à bite, c'est comme ça que je l'appelais moi, pendant mes études. Pendant toutes mes études, comme tous les étudiants j'avais  porté un de ces dispositif mais je l'avais jeté aussitôt mon diplôme obtenu. 


D'un geste rapide je me recouvrais.


– Non vas y continue, c'est cool, je te regarde, ça te dérange pas j'espère …

 

Il se découvrait et je pouvais deviner la présence d'une cage à bite, c'était un modèle hyper discret, elle avait une forme anatomique et, même sous un maillot de bain, on ne devinait pas sa présence. 


Il était épilé, comme beaucoup de porteurs, c'est plus confortable si on est épilé et souvent après on garde cette habitude. Moi j'avais un douce fourrure sur tout le corps sauf autour de mon sexe, là je restais épilé.


Tout doucement, je me découvrais, il ne loupait rien, il regardait avec une certaine avidité. Ou alors c'est moi qui surinterprétait. De nouveau je me caressais les couilles. Il en faisait de même, ça il pouvait encore le faire. Puis je me caressais la queue, ça, il ne pouvait plus le faire. Je devinais que sa cage devait être sous pression. Elle se relevait.


Il allumait une veilleuse, je sursautais.


– Un peu de lumière ne peut pas faire de mal ! Expliquait-il.


Je continuais à me masturber, il continuait à se tripoter les couilles. Il  y allait avec force, j'y allais avec douceur. Puis je me détendais, j'avais déjà joué à ce jeux quand j'étais plus jeune. Ma tête retombait sur l'oreiller et je fermais les yeux. Il voulait mater, et bien qu'il mate. Je ne m'occupais plus de lui.


Je faisais des pauses, je me branlais puis je ne bougeais plus, le laissais le plaisir monter tout doucement. Puis j'ai senti un contact très doux sur mon gland. J'ouvrais les yeux, il avait posé ses lèvres sur mon gland et ce que je sentais c'était sa langue.


Avec une infinie douceur elle me parcourait elle glissait sur mon gland. Elle insistait sur la petite ouverture avant de passer d'un côté sur l'autre puis au moment ou elle me recouvrait le dessus de mon gland il penchait un peu plus la tête et ma queue rentrais dans sa bouche. 


J'ai presque manqué de souffle à ce moment. 


Il savait y faire le gars, je ne sentais pas ses dents. Tout ce que je sentais était doux, humide et doux mais c'était intense. Ma queue entrait de plus en plus profond et il s'arrêtait quand ses lèvres se refermaient à la base de ma queue. Son nez s'écrasait sur mon ventre, il ne pouvait pas aller plus loin. Je posais sans même y penser une main sur sa tête. Il savait y faire et je n'essayais même plus de retenir mes gémissement, c'était trop bon.


Il appuyait son visage contre moi et je sentais mon gland qui s'écrasait dans sa gorge, ce n'était douceur douceur. Je me retenais d'appuyer sur sa tête jusqu'au moment ou ce geste m'échappait et en même temps je relevais mon bassin et lui enfonçais de fait ma queue bien à fond. Il à poussé  une drôle de gloussement mais il a encaissé. Il n'a pas seulement encaissé il en a redemandé. 


Aussitôt après c'est lui qui se lâchait, il appuyait son visage contre mon ventre, ma queue s'enfonçait dans sa gorge, c'était une sensation étrange mais terriblement agréable. Quand il relevais la tête il me masturbait avec force et douceur puis il appuyait de nouveau son visage sur mon ventre et ma queue dans sa gorge.


Je lui caressait les cheveux,avec une main il caressait le corps. Sa main glissait sur ma cuisse, passait entre mes cuisses et remontait sur mes couilles, il me les tripotait avec douceur. Il relevait la tête et me prenait une couille dans la bouche, là je frémissais un peu. Il aspirait et la deuxième couilles entrait il me les malaxais avec la langue, c'était à la fois jouissif et flippant. 


Il relevais la tête et tirait avec force sur mes couilles qui ressortait de sa bouche en résistant. Ça ne me faisait pas mal mais ça me me faisait transpirer. Je voudrais vous y voir vous … on vous tire sur les couilles jusqu'à la limite de la douleur et surtout de la frayeur.


Sans marquer la moindre pause, il avalait de nouveau ma bite qui rentrait jusque dans sa gorge en une seconde à peine. Je gémissais de plaisir et je respirais plus fort. Je sentais le plaisir monter, je lutais contre, histoire de le faire durer plus longtemps, il lutait pour me faire jouir, je me tordais de plaisir sous ses caresses. 


Puis j'ai tout lâché, j'ai joui, c'était par réflexe sans y penser que j'appuyais sur sa tête. Il ne pouvait plus relever la tête mais il n'essayait même pas, il avalait. Il faisait bien quelques bruits bizarre mais continuait à me caresser le gland avec la langue. Je tremblais de plaisir, je gémissais en lâchant les dernières gouttes de sperme dans sa bouche.


Il se calmait, je me calmais. Il passait maintenant sa langue sur mon gland avec douceur. Il relevait la tête, il ne laissait aucune trace, il avait tout avalé.je commençais déjà à débander, il me donnait un baiser sur le ventre, juste à la base de ma queue. 


Vous savez c'est à ces moments là qu'on ne regrette pas d'avoir retiré sa cage. Ma promotion professionnelle aurait sans doutes été plus rapide, j'aurais travaillé dans un centre de recherche de la PK. Cette société sait récompensé ses membres pour leur sacrifices mais ça, c'était pas pour moi. En plus elle ne s'était pas si mal passé que cela ma carrière. Les cinq autres membres de l'expédition étaient membre de la PK mais c'était moi qui en était le chef.



A suivre.



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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