Presque frères 04

 Presque frères 04



Je ne vous dis pas comment elle nous avait échauffé la cervelle la petite Emmanuelle. On bandait en rentrant, on bandait d'une manière totalement incontrôlable. Là on avait mis un maillot de bain et un short ample. Comme ça  on ne voyait rien. 


On s'activait à décharger le bateau, à bien l'arrimer. Mais on bandait toujours. Enfin prêts à partir le bateau en sécurité on prenait les vélos qui nous attendaient, on avait bien vérifié que tout était en ordre, on partait enfin mais on bandait encore. 


Tommy me regardait, il rigolait. 


– Toujours pareil pour toi ?


Rapidement il me tâtait la bite. Par réflexe je repoussais sa main. Il rigolait encore plus. On était parti plus tard que prévu, avec la petite on n'avait pas vu passer l'heure. Mon téléphone sonnait, c'était mes parent qui s'inquiétaient en voyant passer l'heure. Je les rassurais. 


Tommy continuait à rigoler.


– Elle nous a mis dans un état la petite !

– Remarque avec un nom pareil , Emmanuelle ! Lui répondais-je.

– Elle est bien foutue.

– Oui elle est super bien foutue. 


Pendant toute la route on parlait de cette fille, en rase campagne, il n'y avait personne sur la route. Tommy me regardait, toujours en rigolant et baissait l'avant de son short, il bandait, il bandait ferme. J'en faisais de même, moi aussi je bandais. On continuait la route toujours en rigolant. 


Je crois qu'on avait craqué et on ne pouvait plus se calmer. On était complètement hilare quand on arrivait à la maison. Mon mère arrivait pour nous accueillir.


– Non mais vous avez vu l'heure qu'il est les jeunes ? Vous avez oublié qu'on sort au restau ce soir. Alors vous allez vous changer tout de suite.

– On prend une douche et on …

– Pas le temps pour la douche. On se dépêche …


On montait vie dans notre chambre, on se changeait. Tommy se montrait devant moi, il bandait toujours, je me mettais à poil et j'étais dans le même état que lui. Il passait d'abord un pantalon moulant mais quand je l'ai vu de face j'ai pouffé de rire, là j'étais plié. Moi j'avais mis un pantalon ample et un sous vêtement serré. 


Il a compris et  n'a pas insisté. On redescendait nos parents nous attendaient à la voiture. C'était une voiture immense avec deux places supplémentaires qu'on pouvait déplier à l'arrière, on tenait facilement à six.


Et bien sûr c'est nous qui étions à l'arrière. On finissait par se calmer quand on arrivait au restaurant. Mais c'était pas pour bien longtemps, ça nous reprenait dès qu'on est sorti. On est revenu à la maison avec l'intention de nous changer et de ressortir.


Mais aussitôt arrivés dans notre chambre, Tommy se mettait à poil, il bandait toujours, ou de nouveau c'est comme on veut. Je rigolais de nouveau ou toujours, pareil comme on veut. Puis il fonçait vers la douche, je le suivais.


L'eau coulait sur nos corps, je lui passais du savon sur le dos, il se retournait vers moi et c'est lui qui me passait du savon sur mon corps, on avait chacun son savon. Il faut être prévoyant. Puis on se prenait dans les bras, on s'embrassait et le savon, on le passait là ou on pouvait.


Mes mains glissaient sur ses fesses, il se frottait contre moi. C'était terriblement excitant et terriblement agréable. Sa peau était chaude et douce. Nos baisers étaient plein de fièvre. C'est corps contre corps qu'on se savonnait maintenant. 


Je lui glissais deux doigts dans le cul. Ce plaisir que nous avions découvert quelques temps plus tôt nous faisait grimper aux murs. Il gémissait tout de suite.


Je me mettais à genoux devant lui, le rinçais et prenait sa queue dans ma bouche. Je commençais à bien maîtriser à entendre les cris qu'il poussait. J'agitais mes doigts dans son cul, contre sa prostate. Je le sentais se contracter et trembler, il appuyait sur ma tête et j'avalais sa queue sur toute la longueur.


– Vas y Paco, encule moi !


Je me suis bien demandé un instant si j'avais bien entendu mais juste un instant, pas plus et je ne l'ai pas fait répéter. Je l'ai retourné contre le mur. On était l'un comme l'autre excité comme des fous, c'est sûr si on voulait essayer ce genre de plaisir c'était le moment. 


Je lui ai longuement lubrifié le cul puis j'ai pris position. Je le sentais il se crispait quand je poussais. Il se crispait et gémissait, je poussais plus fort. 


Ses gémissements devenaient plus douloureux mais il semblait y tenir. Je sentais son anus qui résistait, je poussais un peu plus fort et brusquement il lâchait ma bite entrait dans son cul avec une certaine violence. Il semblait hurler mais ne faisait aucun bruit, il ne respirait même plus.


Je poussais un peu plus et ma queue s'enfonçait sur toute sa longueur. En même temps je lui saisissait la queue et je le branlais. Ses jambes tremblaient, et en quelques secondes il éjaculait. Il ne faisait toujours aucun bruit, il tournait la tête et de profil je voyais une grimace horrible se dessiner sur son visage.


Il devait déguster mais comme il ne disait rien je continuait. Je ressortais puis revenais, il était étroit le pauvre, ou alors il était crispé. C'était difficile à dire, c'était nouveau pour moi et pour lui encore plus.  Ma queue glissait rapidement dans son cul, elle avançait et reculait de plus en plus vite. 


C'était agréable, enfin pour moi c'était agréable, pour lui je me le demandais, il ne disait rien, il respirait fort, au moins maintenant il respirait … J'enfonçais ma queue en entier et j'écrasais mon ventre sur ses fesses, là je l'ai entendu convulsé, il faisait des petits bruits étouffés. 


Je me suis amusé comme ça pendant un moment, je ne savais pas s'il aimait ou pas, c'était difficile à dire, j'avais aussi envie de découvrir ce plaisir, mais j'en avais peur. Finalement c'était une bonne idée qu'il avait eu. 


Quand le plaisir est arrivé, mes mouvements sont devenus plus rapides et plus violents, là pour lui c'était trop. Il m'a gueuler d'arrêter mais je n'ai pas écouté, j'ai continué, il a gueulé encore. De nouveau j'ai préféré ignorer et quand il a gueulé une fois de plus en réponse j'ai  joui, j'ai éjaculé, j'ai pris un pied … Terrible … J'avais envie de recommencer mais pas tout de suite. Je sais me retenir tout de même. 


Je lui caressait la bite, il jutais toujours. C'est juste après que je me suis retiré. Il s'est laissé tomber sur le sol de la douche.  Il râlait, il était ronchon. J'ai voulu lui faire un câlin mais je me suis fait jeté.

J'ai terminé ma douche. Il s'est retourné vers moi, il était resté assis sur le sol.


– Tu es un enfoiré. Tu sais que ça fait un mal de chien ?

– Il fallait me dire d'arrêter.


Il ne me répondait pas. Ah les mecs c'est toujours pareil, ils ne sont jamais contents. C'est vrai quoi, c'est lui qui avait demandé. Et vous savez que c'est pas le genre de truc qu'il ne faut pas demander à un mec si on veut qu'il le fasse … Je crois que je m'embrouille dans mes idées là, mais bon vous avez compris …


Il m'avait demandé de l'enculer et moi, serviable comme je suis, et bien je m'étais dévoué pour lui faire plaisir. Et finalement j'étais content de moi. Il se relevait en râlant qu'il avait mal au cul et terminait sa douche. Il me retrouvait sur le lit. On avait rapproché les deux lits pour en faire un grand.


Je m'étais installé, bien à mon aise. Il arrivait il faisait la gueule et gardait sa serviette autour de la ceinture.


– Tu sais que ça fait un mal de chien.

– Tu avais l'air d'apprécier au début.

– Pas vraiment non. Mais pourquoi tu m'as enculé ?

– Mais enfin, c'est toi qui m'a demandé !

– C'est pas une raison. Ça fait vraiment un mal de chien.

– Vient t'installer je vais te faire un câlin.

– Tu rêves, après ce que tu viens de me faire.

– Promis je ne touche pas à con cul.


Il continuait à ronchonner mais il s'allongeait et retirait sa serviette. Je lui ai donné un baiser sur l'épaule, en m'approchant à peine. Il a un peux gigoté, façon de dire, tu peux recommencer mais ne me touche pas. J'ai recommencé.


On a fini par se retrouver dans les bras de l'autre. On a échangé nos impressions.


– Tu sais, ça fait vraiment mal.

– Il paraît qu'avec le temps ça ne fait plus mal du tout …

– Tu as de l'expérience toi maintenant, je croyais que j'étais le premier homme dans ta vie.


Là j'ai pouffé de rire.


– Mais tu es le seul homme de ma vie.


C'est lui qui rigolait. 


– Ça fait mal, je le sens encore. Et toi tu as trouvé ça comment ?

– Tu étais étroit. C'est vrai que ça résistait.

– Oui mais il ne fallait forcer comme tu as fait.


Bref, on a parlé on a échangé nos impressions et on a décidé de recommencer … La prochaine fois c'est moi qui me ferait enculer. 


Il faisait chaud, on s'est endormi comme on était, il avait sa tête sur mon épaule et faisait un discret petit bruit avec son nez, il était trop mignon. C'est à ce moment que j'ai eu comme l'impression que si par le passé je l'aimais beaucoup, là maintenant je l'aimais.


Les jours ont passé, tous les jours on allait soit à la plage ou on retrouvait des copains, là bien sûr il fallait garder le maillot de bain, soit sur notre île déserte grosse comme un petite dune de sable. Là on n'avait pas besoin de garder le maillot et là on pouvait se faire un petit câlin. 


Un jour il me rappelait ce qu'on avait convenu le soir ou je l'avais enculé. Il voulait remettre ça et il me rappelait que là, ce serait mon tour. Je ne vous dis pas ça m'a foutu la trouille mais ça m'a fait bander aussi. Enfin c'est vrai quoi on n'était pas vieux, bien formé mais pas vieux. Et il ne fallait pas grand chose pour me faire bander.


J'étais partagé par la trouille, ça lui avait vraiment fait mal, il m'en avait parlé pendant plusieurs jours. Mais ça avait aussi été un grand plaisir. Une sorte de plaisir douloureux mais qu'on redemande et auquel on prend goût. 


J'étais d'accord, et puis chose promise …


En fait j'avais une folle envie d'essayer, j'avais souvent rêvé de me prendre sa queue dans le cul. Surtout que je croyais qu'on en avait une petite, c'est vrai que depuis que je savais que vingt deux centimètres sur six c'était pas la taille standard ou la taille moyenne, je me demandais c'était une bonne idée.


Puis je me disais que c'était pas la peine de me faire du cinéma, j'allais essayer, j'allais me donner à lui corps et âme. Je m'abandonnerais à ses bras, ceux là je les connaissais bien, et j'aimais quand il me prenait dans les siens. Depuis maintenant plusieurs semaines on dormait dans le même lit, on prenait nos douches ensemble, et on se faisait des câlins le plus souvent possible.


Il était temps de passer à une nouvelle étape.


A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast



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