Pour faire plaisir à Madame 06

 Pour faire plaisir à Madame 06




Dans la semaine qui suivait Nadine décidait que nous ferions des courses. Elle m'entraînait dans un magasin étrange, ' LE TEMPLE DU SEX-TOY ' .


J'espère que tu ne ne vas pas essayer de me solder ! Lui faisais-je remarquer en entrant !

Mais pourquoi tu dis ça trésor ? Me répondait-elle.

Je crois que je ne suis plus rien d'autre à tes yeux.

Si c'est le cas, tu es un sex-toy très haut de gamme. Tu n'as pas de prix mon trésor.


Elle m'appelait souvent comme ça quand on était en sortie, à la maison c'était plutôt ' bourrique ' ou ' abruti ' . Comme je vous le disais plus tôt, nos amour n'était plus comme elles étaient au début.


Elle avait des amants qu'elle recevait à la maison, quelquefois je devais participer, il y avait eu Adam, sinon, je pouvais toujours regarder. Ça faisait un moment que je n'avais pas eu de relations sexuelles, enfin si un peu avec la bouche. Elle m'avait demandé de lui faire plaisir avec la bouche, la langue devenait mon principal organe sexuel, c'est avec ma langue que j'avais encore le droit de prendre du plaisir, enfin d'en donner.


Ma queue s'habituait à cette situation. Elle protestait moins, c'est un peu comme si elle se résignait. Dans ma tête je faisais les compte, je me disais qu'il faudrait bien,un jour mettre fin à cette situation, mais combien cela allai-il me coûter ? J'avais gagné beaucoup d'argent et ça risquait de faire très cher !


Il y avait tout un tas de rayons, c'était un hypermarché mais uniquement réservé au sex-toys de tous genre. Presque trois mille mètre carré de rayonnage, des vidéos, des poupées gonflables, des piercing, des … et on arrivait finalement aux godes !


Là encore, un choix incroyable, des godes ceintures, vibrants, de toutes les tailles de toutes les formes. Certains faisaient peur d'autres faisaient penser à des sculptures modernes.


J'avais l'impression d'être dans la quatrième dimension.


Mais elle savait ce qu'elle voulait la petite, elle avait feuilleté le catalogue sur internet mais elle voulait voir ce qu'elle achetait donc elle m'avait déplacé. Elle choisissait en premier une ceinture harnais.


Je gardais un air patibulaire et je vous jure que je n'avais aucune difficulté pour dissimuler mon enthousiasme. Pour elle c'était le contraire et rapidement tous les vendeurs la regardaient avec des sourires amusés.


Elles testait un harnais le posait devant moi, devant mon pantalon. Un vendeur finissait par proposer son aide.


Vous pensez que la taille sera bonne ? Demandait-elle.

Le dispositif est très élastique et ajustable, donc oui, cette taille est parfaite. Mais c'est pour monsieur ?

Bein oui il a une cage à bite, donc si je veux m'amuser avec lui il faut bien trouver une solution.

Nadine ! S'il te plaît !

Allons Charly, imagine que tu es devant ton médecin. Monsieur est parfaitement habilité …


Je ne me sentais pas vraiment à mon aise, je trouvais la situation humiliante, c'était la première fois qu'elle me faisait le coup.


Elle essayait un autre dispositif, j'apercevais le prix, elle était dans le haut de gamme. Je me disais que, comme c'est moi qui payait, elle ne se prenait pas la tête et elle ne devait pas regarder le prix, elle …


Elle s'arrêtait sur une sorte de gaine, c'était une ceinture harnais très fine et très discrète sur lequel on pouvait fixer tous les modèles de gode.


Il pourrait l'essayer. Demandait-elle.

Normalement non ! Répondait le vendeur mais on va faire un effort pour vous.

Baisse ton pantalon Charly. M'ordonnait-elle.


J'étais tout glauque .


Mais enfin Nadine ! …

Allons il n'y a presque personne. Rajoutait-elle.

S'il le fait. Rajoutait un vendeur, on vous montre notre bite !


Le directeur du magasin n'était pas là, ça se voyait ! J'hésitais, mais finalement, j'ouvrais mon pantalon, elle ne m'avait pas donné de sous vêtements.


Quand je me retournais pour voir ou en étaient les vendeurs, ils avaient tous ouvert leur braguette et laissaient pendre une queue et deux couilles chacun, sauf un qui avait une cage à bite.


Et oui ! Faisait-il remarquer, vous n'êtes pas le seul mais moi c'est mon époux qui me veut comme ça, pas ma femme !


Je me glissais ensuite dans cet étrange vêtement. La texture du tissus faisait très viril, ça ressemblait à de la toile mais ça avait la douceur de la soie, les couleur et les dessin en faisaient presque un vêtement qu'on aurait pu montrer, pas du tout genre sous vêtement. Sous certains angles, ça ressemblait à une gaine, sous d'autres angles ça ressemblait à un harnais, un bête gode ceinture.


Sans le gode !


Elle s'en choisissait un à sa taille également. Ensuite on passait au rayon godes juste à côté …


Là j'ai sursauté, il y en avait trop. En fait quand on était arrivé à ce rayon, je n'en avait vu qu'une petite partie.


Là encore elle savait ce qu'elle voulait, elle en choisissait un gros comme la bite à Adam.


Celui là je sais que tu vas l'aimer. Tu peux me croire. Ça va te rappeler quelque chose.

Je crois que je vois .

Elle en prenait plusieurs de tailles différentes, elle s'amusait à me les essayer les un après les autres.


Vous imaginez la scène, j'avais comme vous le savez retiré mon pantalon. Comme j'avais un peu l'air con sans pantalon, et peut être aussi pour comparer ma plastique avec un mannequin en plastique, j'avais aussi retiré le haut. J'étais donc là, presque nu, ma cage à bite à l'air, mon cul aussi et ma femme s'amusait à voir ce que ça donnait en essayant les différents godes sur la ceinture que je portais toujours.


Au passage, les vendeurs avaient remonté leurs pantalons, et étaient tout à fait présentables. Non mais c'est vrai quoi on était dans un magasin de Sex-toys, et je pense que j'étais le plus mignon de tous.


Enfin je veux dire le plus mignon des sex-toy.


On allait repartir, j'avais retrouvé le sourire au moment ou j'avais remis mon pantalon, quand un vendeur nous proposait de nous livrer nos colis à domicile et sans supplément.


Ma femme disait oui !


C'est donc un peu après vingt heures qu'on sonnait à la porte,Nadine allait ouvrir. C'étaient nos quatre vendeurs. Ils avaient chacun plusieurs colis dans les bras, on les faisait entrer, on leur offrait un verre. Ils avait fait des paquets cadeaux, ils sont mignons tout de même.


Celui qui était le chef d'équipe, Pablo, commençait en premier et sans prévenir, sans rien demander se mettait à poil. Nadine regardait ça avec un large sourire. Il était bien monté, bien proportionné, musclé et d'une allure plaisante.


Rapidement Nadine se glissait contre lui, approchant son corps du sien et le caressant bien partout, il bandait.voyant cela les trois autres se déshabillaient également.


Le suivant à fait tomber son pantalon bandait et avait une queue bien plus grosse que ce à quoi on s'attendait.


Celui-là il est pour toi Charly. Me disait ma femme.


Il en restait encore deux, un des deux comme moi portait une cage à bite, il se retrouvait à sucer son camarade, tout comme moi je me retrouvais à sucer celui que ma femme m'avait choisi.


Avec ma femme c'était un peu différent, c'est le mec qui la suçait, je savais qu'elle était difficile mais je savais aussi qu'elle lui accorderait ses faveurs. Celles là même qu'elle me refusait maintenant. Elle se masturbait sur sa jambe, elle le couvrait de baisers, il lui rendait ces baisers et n'hésitait pas à glisser ses doigts partout sur son corps, en commençant par les partie les plus intimes.


Je ne pouvais pas trop bien voir ce que faisait le second couple mais je suppose que ça devait être comme pour moi. Mon partenaire me saisissait fermement la tête et m'enfonçais sans aucun ménagement sa queue dans la bouche. Il la ressortait et revenait à la charge et toujours sans aucun ménagement il me limait la bouche. Il appuyait bien ma tête et m'écrasait le nez contre son ventre. Là je ne pouvais plus respirer mais c'était pas à cause du nez.


Quand il me lâchait je reprenais longuement ma respiration avant qu'il ne revienne. Et il revenait à la charge, si je n'ouvrais pas la bouche assez vite il me donnait une claque. J'entendais alors ma Nadine qui rigolait.


Puis brusquement il échangeait avec son copain, je me retrouvais avec dans la gorge la queue du mec qui se faisait sucer par l'autre, celui qui portait aussi un dispositif de chasteté. Et ils discutaient.


Ils commentaient notre manière de sucer, toujours en enfonçant bien leurs queues dans les bouches, les gorges des deux chastes.


Ma femme continuait à se mélanger avec son lascar. Ils étaient maintenant allongés sur le canapé, tient elle ne m'avait pas demandé de l'ouvrir. Elle l'avait fait elle même.


Le gars allongé sur le corps de ma femme semblait l'avoir déjà pénétré, je ne pouvais pas vraiment voir ce qui se passait.


Allez, je prend le premier ! Déclarait le premier que j'avais sucé.


Son camarade se retirait de ma bouche et laissait la place, je bavais lamentablement et mon visage était couvert de salive, je toussais aussi et je reprenais mon souffle.


Il me faisait m'allonger sur le dos, me repliais les jambes exhibant mon cul, qui devenait très accessible. Il me lubrifiait et sans ménagement m'enfonçait sa queue dans le derrière. Il me faisait gueuler, il y allait un peu fort, mais ça rentrait. Je tournais la tête vers ma droite et je voyais mon camarade chaste qui subissait le même traitement.


Il n'attendait pas vraiment que je me détende et me limait le cul avec force, c'était violent. Il avait une grosse queue mais qui n'avait rien à voir avec celle de Adam. Je l'ai senti passer mais j'avais déjà connu pire.


C'est ça l’avantage de commencer la sodomie avec une très grosse queue, les autres qui vont suivre seront d'autant plus facile à encaisser.


Il me limait le cul avec force, avec violence, bien déterminé, je gueulais de plaisir mais pas que. Au début c'était surtout de douleur le plaisir venait plus tard, mais c'était surtout de la douleur.


Ma femme gueulait, là je savais que ce n'était pas de douleur. Elle aimait, elle jouissait la petite, elle n'avais jamais gueulé comme ça dans mes bras.


Je tremblais, je convulsais rapidement sous les coups du vendeur de gode, il ne fatiguait pas, il ne mollissait pas, il continuait à me buriner le cul, ses coups résonnaient dans la salle suivis par ceux que donnait son camarade dans le cul de son camarade.


Il y avait aussi les cris et les gémissements de ma femme, d'ailleurs elle n'avait jamais crié et gémi comme ça entre mes bras.


Un peu plus tard le calme était revenu, tout le monde avait l'air content, moi j'avais mal au cul !



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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