Pour faire plaisir à Madame 08

Pour faire plaisir à Madame 08


Madame n'aime pas seulement s'amuser avec des jouets. Il y a même des jours ou ce n'est pas avec moi qu'elle s'amuse, c'est dire !


Elle aime aussi se faire plaisir toute seule, comme ça, sans raison. Mais elle aime surtout un beau jeune homme monté comme un âne, ou comme un cheval ça marche aussi … Madame n'est pas difficile finalement.


Bon là je plaisante, mais c'est parce qu'elle m'énerve. Dans ces cas là, elle m'oublie, c'est pas flatteur vous en conviendrez. Un jour par exemple, j'étais vautré devant la télé, je regardais le film du soir, j'étais tout seul, bobonne m'avait laissé sans me dire ou elle allait ni à quelle heure elle rentrerait, ni même si elle rentrerait d'ailleurs.


Enfin on peut rêver quoi, avec un peu de chance, elle ne rentrerait peut être jamais. Je ne vous dis pas comment j'étais attaché à ma femme à cette époque.


La porte d'entrée s'ouvrait violemment puis plus de bruit, je sursautais mais rapidement je comprenais que ma femme ne devait pas être seule. Quelques instant plus tard, la porte se refermait en claquant très fort. Ensuite j'entendais des bruits bizarres, des sortes de gémissements et certains n'étaient pas des gémissements de ma femme.


C'est que je commence à la connaître la petite. Dans mes bras elle ne gémit plus depuis longtemps, elle n'était donc pas seule. Et puis il y avait aussi des sons qui indiquaient une présence masculine.


J'avais compris, j'ai le nez fin, elle s'était levé un beau mâle et l'avait entraîné jusqu'à la maison.


Tout ce que j'espérais à ce moment de la soirée c'est qu'ils ne fassent pas trop de bruit et que je puisse continuer à regarder mon film tranquillement. C'était un film américain du célèbre metteur en scène, heu, ça va me revenir … Mais tout le monde le connaît, on ne parle que de lui …


Enfin c'est pas grave, les bruits que faisaient les deux excités devenait plus fort et je me souvient même plus de quoi parlait le film. Bref, ils m'avaient dérangé, j'allais me lever quand je recevais une chemise sur la tête. C'était pas à ma femme.


Suivait une veste, le corsage de ma femme et … Bref en quelques minutes je me retrouvais recouverts de vêtements de toutes sortes. Je ne bougeais, j'avais renoncé et je tentais de continuer à suivre mon film, c'était le moment le plus palpitant, c'est à ce moment que héro attrape l'actrice principale et …


Mais qu'est ce que je raconte moi ? Je ne me souviens même plus du film et j'allais vous le raconter.


Quelques instants plus tard une main se posait sur ma tête et glissait sur mon visage. Il y avait une pile de vêtements sur ma tête. Au moment ou la main touchait mon nez, j'entendais un cri et la main se retirait.


Mais qu'est ce que c'est que ça ? Il y a un corps !


C'était le monsieur, il venait de me trouver !


C'est rien c'est mon mari ! Lui répondais ma femme. Ne fait pas attention à lui.

Mais je croyais qu'on était seul.

C'est pareil, c'est exactement pareil, fais comme s'il n'était pas là.


J'ouvrais un œil en direction du monsieur, il était bel homme, il avait de l'allure et comme je m'en doutais une grosse bite. C'est que je commençais à bien connaître ma femme et je sais ce qui l'attire chez les hommes.


Elle était nue aussi, elle s'approchait de lui se collait à lui, le prenait dans ses bras. Si lui continuait à me regarder, elle avait déjà oublié que j'étais là.


Mais qu'est ce qu'il fait là ? Demandait l'homme.

Je crois qu'il regarde la télé. Lui répondait ma femme en le caressant.


Elle était très en forme. Glissait une jambe dans son dos, elle sait être acrobatique la petite. Lui ne débandait pas, mais continuait à jeter un œil dans ma direction.


Et il ne va rien dire ?

Pourquoi voudrais-tu qu'il dise quelque chose, tu ne vas tout de même pas lui demander son avis. Moi ça fait longtemps que je ne le fais plus.


Elle le retenait avec force, ses seins s'écrasaient contre son torse, il avait l'ai pas tout à fait à son aise. D'un geste rapide elle ouvrait le canapé qui se transformait en un lit confortable. Elle se laissait tomber dessus en entraînant son amant.


Ils se retrouvaient enlacés, l'homme semblait toujours hésitant et sous la réserve. D’où j'étais je pouvais voir tous les détail. Il était super bien monté le gars, je reconnaissais bien là les goûts délicats de ma femme.


Je gardais un œil sur la télé, même si je ne comprenais plus de quoi ça parlait. L'autre œil partait en direction de l'entre jambe du monsieur et ce qu'il en faisait avec ma femme.


Elle s'était repliée sur lui et prenait sa queue dans sa bouche. Elle fait ça très bien à ce qu'on m'avait dit. Pour ma part, je n'y ai jamais eu droit. Je ne peut pas dire.


L'homme respirait fort, il relevait la tête et me regardais. Je m'étais débarrassé de la pile de vêtements que j'avais reçu sur la tête.


Alors ça boum ? Lui demandais-je.


Il semblait bafouiller un mot puis n'insistait pas. Il laissait retomber sa tête.


Je voyais ma femme qui s'activait et s'amusait avec sa queue, elle était belle, bien large, bien longue bien grosse. Le genre de grosses bites qui me faisaient réagir de plus en plus.


Ma queue qui jusque là m'avait laissé tranquille ce soir là, se réveillait, et commençait à bien se faire remarquer. J'étais habillé, mais même à poil, je ne pense pas que la réaction aurait été importante.


Quand on porte de genre de truc, notre ressenti n'est pas en rapport à ce qui est visible, sinon je vous jure il y a des jours ou on me verrait depuis la lune.


Rapidement ça devenait intense, violent, presque douloureux, presque mais pas du tout confortable. Mais rien ne se voyais au niveau de mon pantalon.


Pour le monsieur ça devait être exactement le contraire. Je savais à quel point les caresses buccales de ma femmes pouvaient être douces et chaudes … Bein oui on me l'avait dit. Car comme je vous disais, pour moi, c'était ceinture. Ses gémissements confirmaient tout ce qu'on m'avait dit. Elle s'y prenait bien, pourtant la queue était grosse.


Puis elle promenait ses lèvres sur tout le corps de son amant, il la caressait avec ses mains, il y mettait une grande douceur. Ses lèvres suivaient ses mains et les deux amants se retrouvaient enlacés, tendrement enlacés.


Elle glissait, frottait sa vulve sur la cuisse de son amant, le repoussant sur le dos. Ensuite elle glissait sur son corps et brusquement sans prévenir, s'empalait sur la queue énorme de son compagnon.


J'ai sursauté.


Je commençais déjà à avoir l'habitude des frasques de ma femme mais c'est pas une raison pour que ça me laisse indifférent. Et ça ne me laissais pas indifférent.


À cette époque je ne me demandais plus si c'était ma femme qui m'excitait ou la queue de son amant. Je savais que seule, ma femme ne me faisait plus grand chose.


Elle se cambrait, se redressait, repliait ses jambes et chevauchait son partenaire. Rapidement il relevait son bassin avec vigueur, en imitant le mouvement d'un cheval au galop ou au trot … Je ne sais pas en fait mais une chose est sûre, ça remuait.


Ma femme ( qui est une grosse cochonne ) amplifiait le mouvement en s'appuyant sur ses jambes. Je voyais la queue du monsieur sortir et revenir, sortir et rentrer.


Elle ressortait sur plus de la moitié de sa longueur. La cavalière et sa monture étaient en pleine course. Quand madame retombait, elle le faisait de tout son poids, et la queue du monsieur disparaissait alors. Elle poussait un cri sourd, un cri qui dénotait d'un effort intense.


J'étais là, je n'osais plus bouger. Ma queue me torturait, j'aurais volontiers pris la place de ma femme, mais je savais qu'elle ne serait pas d'accort. Quand elle a plusieurs hommes sous la main, ça ne la dérange pas mais là elle n'en avait qu'un, moi je ne comptais pas.


A un moment ou ils semblaient se calmer, ma femme tournait la tête dans ma direction.


Tu es encore là toi ?

Bein ou voudrais-tu que je sois ?

Met toi à poil au moins si tu veux mater ! Essaye de participer !


' Essaye de participer ', elle voulait que je participe. Il ne me fallait que quelques secondes pour que je me retrouve à poil. Je m'approchais alors doucement jusqu'au moment ou elle s'en rendait compte.


Mais qu'est ce que tu fabriques espèce d'abruti ?

Bein, je participe !

Dégage toi de là … C'était une façon de parler. Tu n'es vraiment qu'un abruti vicieux.


J'étais juste à côté d'eux et me voyant ainsi le monsieur m'attrapait les c ouilles.


C'est quoi ça ? Demandait-il en passant son doigt sur ma cage.

C'est une cage à bite ! Répondais-je.

C'est pour quoi faire ?

C'est pour que je reste sage ! Répondais-je.

C'est un branleur, alors je lui ai mis ce truc. Et puis de toutes façons il a une toute petite bite aussi on ne perd rien. Continuait à expliquer ma femme.

Je trouve cela amusant. Et puis c'est vrai pour un mec qui a une toute petite bite, moi je trouve que ça habille !


Le monsieur cessait de s'occuper de moi et se concentrait de nouveau sur ma femme.


Si tu nous servait un petit verre. Me lançait ma femme avant de replonger dans les bras de son amant.


Je n'avais plus qu'à me déplacer, je savais ce que ma femme voulait, je connaissais bien ses goûts, puis le me plaçais debout, l'air digne à côté d'eux.


Et pour Monsieur ce sera

Une bière bien fraîche garçon, ce sera parfait !


Je servais donc un Kir et deux bières. La seconde était pour moi et je reprenais ma place sur le fauteuil. L'homme me regardait, je ne pouvais pas savoir ce qu'il pensait mais cette situation devait bien l'amuser.


Ma queue dans sa cage continuait à me torturer. Il était tellement viril, c'est dans mon cul que j'aurais bien aimé le voir glisser la sienne.



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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