Christian, Murielle et moi 01

 Christian, Murielle et moi 01



On avait fait une promenade dans la campagne. Maintenant que Christian s'était installé dans cette petite maison au milieu de nul part on allait souvent le voir. C'était une maison ancienne, isolée, mais charmante. Il y avait une cheminée, aucun vis à vis, dans un paysage à couper le souffle.


On était trempés, on avait marché dans la boue, dans l'herbe trempée, il y avait du brouillard, c'était un temps normal pour un automne qui s'approchait de l'hiver. Avant de sortir on avait allumé un feu dans la cheminée, et il faisait bon quand on revenait.


Rapidement Murielle retirait ses chaussures, on en faisait de même et disparaissait sous la douche. Christian la suivait, je les entendais ils rigolaient. Quand il en revenaient quelques minutes plus tard, elle était enveloppée dans une grande serviette de bain qu'elle avait élégamment refermé avec un nœud sur le devant au dessus de sa poitrine.


Christian la portait autour de la ceinture.


Tu devrais faire comme nous ! Me disait Murielle.


Je décidais de suivre leur exemple. Je faisait comme eux, ils avait mis leurs vêtements à sécher dans la salle de bain, je me douchais également. Puis j'en ressortais, je me séchais et je les retrouvais, je portais moi aussi la serviette autour de mon ventre.


Ils avaient positionné des coussins devant la cheminée, et sorti plusieurs bières. Ils m'invitaient à les rejoindre.


Je m'approchais et Murielle se relevait, elle passait à côté de moi et me chatouillais le ventre. En réponse je me tortillais et avant que j'ai le temps de réagir ma serviette avait disparue.


Christian rigolait mais quand il a vu ma cage à bite, là, il ne rigolait plus.


Et c'est quoi ça ? Demandait-il sur un ton inquiet.


J'étais un peu mal à l'aise, c'était mon secret, mon petit secret.


Bein c'est pour rester sage. Répondais-je.

Et tu peux pas le retirer, ne me dis pas que tu ne peut pas le retirer !

Si, si, je peux le retirer mais là, j'ai pas la clé … Non, je ne peux pas le retirer.


Christian ouvrait de grands yeux un peu effrayés. Murielle qui n'avait encore rien vu arrivait derrière moi, elle me donnait une claque sur les fesses et se penchait vers moi.


Rahhhh ! Délire ! Mais c'est quoi ce truc.


Ensuite elle rigolait tout ce qu'elle savait. Elle ne pouvait résister à la tentation de me tâter les couilles.


J'adorrrrre ! S'exclamait-elle.


Elle laissait tomber sa serviette et s'installait, très décontractée, sur l'épais tapis qu'ils avaient installé devant la cheminée.


Et moi qui espérait qu'on pourrait forniquer un peu ! Déclarait-elle.

Mais on peut ! Rajoutais Christian en retirant sa serviette à son tour.


Il exhibait alors une très belle bite, bien large, lien longue, il était circoncis, et il bandait. Il bandait bien ferme, c'était impressionnant. Murielle en voyant cela n'hésitait pas à tendre la main et le caressait.


Ça c'est une queue. Me faisait-il remarquer. Sur la tienne il y a un truc de trop.

Et toi il t'en manque un petit bout ! Répondais-je du tac au tac.


Je m'installais moi aussi sur le tapis. Je ne prenais plus la peine de cacher ma cage à bite, ils l'avaient vue et ils en parleraient. Il n'y avait plus rien à faire pour les calmer. En plus ils voulaient la voir.


Il ne t'en manque pas un petit bout à toi aussi ? Me demandait Christian.

Non mais j'ai décalotté, et avec le dispositif ça ne bouge pas, je reste comme ça.


Ils me regardaient, en fait ils regardaient ma queue dans sa cage.


Ça ne fait pas mal . Me demandait Murielle.


Le thème de la conversation était tout trouvé. Ils m'inondaient de questions, je répondais comme je pouvais. Christian de débandait pas et se caressait par moment. Il maintenait ainsi son érection, ce qui amusait Murielle et me stimulait aussi.


Ma queue prenait de la place dans sa cage, elle prenait toute la place. Sans rien demander, Murielle se penchait sur Christian et lui prenait la queue dans la bouche, avec sa main elle m'attrapait la queue, caressait ma cage et me tripotait les couilles.


Je voyais la queue de Christian s'enfoncer dans la bouche de Murielle, mais c'est qu'elle faisait ça bien la petite. J'avais toujours pensé qu'elle devait être chaude la petite, j'en avais la preuve, elle aimait la bite.


Au bout d'un long moment, elle se relevait et se penchais vers moi. Avec sa langue elle me léchait la cage, il y avait ma queue dedans et elle réagissait. On ne voyait pas grand différence mais moi je le sentais.


Ça te fait quelque chose ? Demandait-elle.

Oh que oui ! Répondais-je.

On ne voit pas trop la différence … Faisait-elle remarquer.

Peut être mais moi je sens la différence. Ça grossi, enfin ça essaye.


Elle se relevais, et éclatait de rire. Elle me repoussait en arrière et reprenait. Elle s'amusait alors à me tripoter les couilles et à me les lécher. Sa langue s'activait sur les trous d’aération de ma cage et sur mes couilles qui étaient parfaitement épilées.


Tu devrais suivre son exemple ! Disait-elle à Christian.

Porter une cage à bite ? Non mais certainement pas ! Lui répondait Christian.

Non, je parle juste de l'épilation. Rajoutait-elle en replongeant sur sa queue, en la reprenant dans sa bouche.


Christian d'abord faisait la moue puis ne cachait pas le plaisir qu'elle lui prodiguait. Il respirait fort, il gémissait.


Tu ne peux pas savoir comment elle fait ça bien ! Me disait-il, certainement un peu pour me provoquer.


Je regardais le spectacle. Je sentais la tension monter en moi. Dans ma cage oui, bien sûr, mais là c'était pas nouveau, ça faisait déjà un moment que j'étais à la pression maximum. Mais dans tout mon corps. Mon cœur battait fort et ma respiration aussi devenait intense.


Je sentais les barreaux de la cage se refermer sur ma queue, ils se refermaient sans pitié, sans me laisser aucun espoir. C'était un désir intense qui ne serait pas assouvi, une frustration délicieuse mais dramatique. C'était aussi pour découvrir des moment comme celui-ci que je portais une cage à bite.


Murielle nous faisait nous allonger l'un à côté de l'autre, elle pouvait ainsi passer de l'un à l'autre. Elle pouvait me sucer les couilles et passer ensuite à la bite de Christian avant de revenir.


C'est la main de Christian qui s'aventurait en terre inconnue pour lui. Il me touchait la cage, il l'explorait avec les doigts avant de me tripoter les couilles fermement.


C'est à cause de la cage si tu as les couilles aussi dures ? Me demandait-il.

Ça doit jouer, mais il y a aussi la chaleur, et toi tu es comment ?


Sans prévenir, après tout, c'est bien lui qui avait commencé, je glissait une main sur son sexe. Murielle me caressait la main, elle ne tentait pas de me repousser. Elle relevait le visage et me laissait explorer ses couilles. Elles étaient lourdes et bien pendantes. Les miennes étaient contractées et formaient une grosse boule bien ferme.


Murielle terminait sa bière. Les autres aussi étaient vides. Elle se relevait et partait en chercher de nouvelles.


Tu as vu ce cul ? Me faisait remarquer Christian, toujours en me tripotant les couilles.

Elle est bien foutue. Répondais-je.

Et c'est pas toi qui va le lui péter ! Rajoutait-il en rigolant.


Je ne répondais pas je me relevais, me penchais sur lui et commençait à lui sucer la bite.


Ah ouai ! S'exclamait-il. Ça je ne l'avais pas vu venir.


Je relevais la tête.


Tu t'imaginais peut être que j'allais rester là sans rien faire ?


Je reprenais, sa queue s'enfonçait de plus en plus. Son gland était large et doux, je le caressais avec ma langue en appuyant le plus possible. Avec la langue on ne peut en aucun cas appuyer trop fort. Il aimait !


C'était étrange, j'en avais rêvé tant de fois, et jamais je n'avais osé franchir le premier pas. Surtout avec ce dispositif étrange, une cage à bite, c'est pas ordinaire. Son pénis était large et long, il était également dur, il se relevait avec force.


A cet instant je me demandais ce que ça ferais que de se le prendre dans le cul. Murielle avait un avantage sur moi, c'était une fille.


Je caressais sans m'en fatiguer son membre viril, c'était à la fois effrayant et fascinant. La mienne était bien plus petite. Je n'étais pas ridicule, quoi que, comparé à Christian, peut être que si, j'étais peut être ridicule. Mais depuis que je portais une cage à bite, ça n'avait plus la même importance.


Il appuyait sur ma tête. Murielle revenait avec trois bières.


Je vois que vous savez vous occuper quand je ne suis pas là les garçons.


Elle s'amusait de la situation. Elle déposait les bières à côté de nous et prenait position un peu en retrait, elle admirait la scène. Nous la regardions, elle était nue et c'était déjà une bonne raison pour la regarder.


– Mais continuez, les garçons, continuez, je vous laissez pas distraire par moi. Je ne suis pas là.


Elle était loin d'être laide vous savez. Elle avait une silhouette fine et élégante, de très jolies fesses et une belle poitrine bien lourde mais qui tenait bien. Les garçons se retournaient sur son passage, elle leur répondait toujours avec le sourire.


J'aime bien moi aussi de temps en temps ! Nous disait-elle sur un ton décontracté. Mais je n'avais vu un truc comme le tien Charly. Ça m'a l'air redoutable.


Je continuais à sucer et à masturber Christian qui maintenant s'en amusait et ne cachait pas son plaisir.


Tu te fais enculer alors ? Me demandait Murielle. C'est tout ce que tu peux encore faire.


Christian répondait à ce commentaire par un large sourire satisfait.



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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