Pour faire plaisir à Madame 09

Pour faire plaisir à Madame 09



Au début je ne faisais pas attention, nous recevions de moins en moins d'hommes. Enfin, ma femme en recevait moins. Mais je ne faisais pas attention car il y avait toujours quelqu'un. Simplement c'était le même.


Au bout de trois mois, c'était évident, c'était ce monsieur dont je vous parlais dans l'épisode précédent. Henri il s'appelait Henri. Comme je vous le disais il était très viril, très bien monté, bien bâti et maintenant je me liquéfiait devant lui. À chaque fois que je le voyais je me sentais tout drôle. À chaque fois ma queue manifestait dans sa cage.


A chaque fois je le revoyais à poil, à chaque fois ma queue grossissait et prenait toute la place disponible et à chaque fois, personne ne voyait rien !


Ces dispositifs sont démoniaques, on les sent, on les sent bien mais pour les gens autour de nous ils sont totalement invisibles sous les vêtements. Je portais maintenant une taille deux … Ma femme avait fait une mise à jour. Nous étions retourné dans ce supermarché du sexe. Il y avait un rayon que je ne connaissais pas, uniquement réservés aux dispositifs de chasteté.


C'était étonnant. Je n'avais pas imaginé qu'il y avait autant de modèles. Il y avait ces nouveaux modèles en métal, j'étais resté aux modèles en plastique. Je ne sais pas quel alliage c'était mais on pouvait passer les portiques de sécurité, enfin c'est ce qui se disait.


Ils étaient étonnement légers, indestructibles, il fallait choisir un modèle très ajusté, bien adapté. Heureusement j'avais l'habitude de porter ce genre de truc et le choix a été rapide.


La conception du dispositif était très soignée, il y avait une butée anti-évasion à la base du sexe, sur le dessus. Il était également très bien ajusté et je me sentais confiné, il me semblait que ce serait très difficile de sortir ma queue, même juste la queue. Contrairement au dispositif que je portais depuis maintenant un moment.


Avec je pouvais facilement glisser ma bite en dehors. N'allez pas vous faire des idées, les couilles restaient coincées et je ne pouvais même pas me branler. Avec ce nouveau dispositif rien ne passait. Ma queue semblait confinée sans laisser aucune chance de sortir. Par la suite ça s'est avéré tout à fait vrai. Je m'en suis rendu compte rapidement.


Le dispositif anti-évasion fonctionnait très bien.


La cage à bite était légèrement plus étroite que la précédente, je m'y sentais bien mais je me sentais prisonnier un peut plus enfermé, confiné. Surtout que le dispositif était en métal. Le métal était réputé indestructible.


Le vendeur nous expliquait ça longuement. On ne pouvait pas le découper, même avec une scie au diamant, cela provoquerait une surchauffe qui rendrait l'opération impossible. La serrure était de très haute sécurité, ' une serrure à complications '.


Ma femme écoutait ça avec la plus grande attention, moi pas trop. J'aurais peut être dû remarquez. C'est quand même moi qui allait le porter le truc. Mais bon, je ne me laissais pas abuser, le vendeur avait beaucoup de bagou et il savait vendre sa camelote …


Je suis reparti avec … et en plus c'est moi qui ai payé !


C'est un comble vous en conviendrez. Il y avait trois clés, je n'en au vu aucune.


Oui voilà, c'est bobonne qui les gardait.


J'ai bien vu le trousseau mais de loin, elle a réagi avant que je ne puisse le toucher. Les clés bien rangées dans sa poche et ma queue bien confinée dans un nouveau dispositif de chasteté tout beau, nous ressortions du magasin d'un pas léger.


C'est vrai que le dispositif était confortable.


Mon amour ! Me disait ma femme, j'ai cru qu'elle était malade en l'entendant.

Mon amour ! Donc . Il est l'heure de dîner et j'ai une faim de loup, ces émotions mon mis en appétit. Il y a un petit restaurant dans le quartier, si tu m'invitais, tu serais vraiment un amour …

Je ne l'avais pas vu venir, elle me parlait somme si, brusquement elle n'avait plus que de bonnes intentions. C'était inquiétant. Nous nous sommes retrouvé dans ce restaurant. On a vraiment très bien mangé et ça m'a coûté vraiment très cher.


Il y avait forcément un loup. Mais bon, elle était charmante alors je ne cherchais pas.


Je ne regrette pas un centime que j'ai investi aujourd'hui ! Me déclarait-elle en sortant du restaurant.


Elle avais sans doute oublié que c'est moi qui avait payé !


Pendant les semaines qui on suivi, on n'a pas rigolé. Enfin moi j'ai pas rigolé. Au moins trois fois par semaine elle me demandait d'enfiler ma ceinture pour maintenir le gode, ensuite je devais lui faire plaisir. C'était pas la première fois remarquez.


Mais j'avais espéré autre chose, j'avais espéré quelque chose justement. J'avais été sage, je portais le nouveau dispositif qui au passage était et restait très confortable, c'est moi qui l'avait payé et je faisais tout ce qu'elle me demandait.


Son nouvel amant du moment avait disparu, c'était déjà une bonne chose. En plus les nuits devenaient câlines.


Remarquez, nuits câlines, quand on est sous cage, c'est pas forcément très agréable, c'est encore plus frustrant. Ma bite ne bougeait plus d'un millimètre. Elle était confinée, agréablement confinée mais confinée. Je me rendais compte que là c'était du sérieux, qu'elle ne sortirait qu'avec les clés, sans je ne pouvais rien espérer.


Mais pour ma femme, il me restait ma langue, mes lèvres, mes mains, mon corps, ma peau, ma douceur.


Je glissais contre elle. Je glissais comme une caresse, la caresse c'était moi. C'était moi tout entier. Il y avait de la pression dans ma cage mais c'était différent. Ma queue ne pouvait pas prendre un millimètre de volume supplémentaire et ça changeait tout.


Je donnait tout le plaisir que je pouvais donner. Avec ma langue je me glissais dans tous les recoins les plus intimes du corps de ma femme. Elle écartait les jambes et longuement le lui caressait la vulve avec ma langue, il n'y a pas plus doux.


Elle se cramponnait à ma tête, elle se cramponnait et me dirigeait, elle appuyait dessus, me frictionnait les cheveux. Me tirait vers elle, comme si elle voulait que je sois encore plus proche d'elle quand mon nez et ma langue pénétraient entre ses lèvres, les grandes et les petites.


Elle se tortillait dans tous les sens, elle me refermait les cuisses sur les oreilles, je laissais faire et ne réagissais que quand j'ai bien cru étouffer. Bon là j'ai paniqué. Surtout que vous ne la connaissez pas la petite mais elle ne lâche jamais.


C'était essoufflé que je me relevais, elle, elle rigolait. Je replongeais, elle gémissait de plaisir. Comme je vous le disais, je sais ce qu'elle aime. Je lui donnais du plaisir comme ça pendant un long moment. C'est elle qui décidait, et quand elle décidait de passer au gode, je n'avais plus qu'à m'exécuter. Elle choisissait le gode, je me le positionnais.


Elle avait choisi un gros modèle, de la même taille que son doudou de l'époque, Henri. Je me retrouvais alors avec une bite flatteuse, ça me faisait tout drôle, je me branlais le gode mais … Ça ne fait pas tout à fait pareil que de se branler pour de vrai. C'est pas du tout pareil en fait.


De nouveau je m'allongeait sur elle avec la douceur d'une caresse. Elle gémissait de plaisir pour m'accueillir. Elle me laissait faire, en fait c'est ce qu'elle voulait. Elle écartait les cuisses et me laissait m'installer.


Il n'empêche que c'est pas du boulot ça. Il faut faire très attention à la réaction de sa partenaire, à chacune de ses réaction. Il ne faut pas trop forcer, souvent il faut lubrifier. Je me glissais en elle, le gode glissait doucement.


Au moment ou mon ventre s'écrasait contre le sien elle repliait ses jambes dans mon dos,elle me tirait alors vers elle avec force. J'avais un peu peur de lui faire mal mais comme elle insistait, je me lâchais.


Je retombais sur elle, de tout mon poids, mon gode, j'ai failli dire ma bite, s'enfonçait alors en elle, complètement en elle et moi je l'écrasais. Je continuais à la buriner, elle m'encourageait en refermant ses jambes dans mon dos.


Plus fort, toujours plus fort, elle gémissait, elle râlait de plaisir,elle en redemandait encore, je lui en donnais. Je savais que je ne pourrais pas jouir trop tôt, je savais que je ne pourrais pas débander mais je ne sais pas pourquoi, ça ne me rassurait pas. Je ne me sentais pas mieux de penser à cela.


Elle me retenais et je répondais à ses demandes. Je la caressais, je l'embrassais, je la serrais dans mes bras et je la limais généreusement. Le gode me semblait gros mais c'est elle qui l'avait choisi. Les coups que je lui donnais devenais violents, je ne me retenais plus et elle en redemandait encore.


Elle n'avait jamais été comme ça avec moi avant, elle n'avait jamais été comme ça, il fallait pour cela que je porte un gros gode. Sans je ne l'intéressais pas. Sans, j'étais trop petit, j'étais ridicule.


Mais ce jour là, j'étais superman, même si pour cela il fallait tricher.


Le seul problème quand on triche ainsi c'est qu'on ne ressent rien. Je la sentais vibrer, je l'entendais gémir dans mon oreille. Je sentais bien sûr son corps, ses caresses mais son sexe, mon sexe était une zone anesthésiée. Une zone dans laquelle on ne ressent rien. Dans cette zone je ne ressentais rien.


Ma bite devait protester comme jamais, pourtant je ne ressentais rien. La cage plus petite remplissait bien sa fonction et me réduisait à néant. Physiquement c'était un peut plus agréable mais psychologiquement ce n'était pas mieux. Pire peut être même.


J'étais un nul, et ma femme tremblait de plaisir dans mes bras. Elle jouissais, elle criait de plaisir. Je continuais comme elle m'avait demandé. Je continuais à la limer, je ne jouissais pas, je ne jouirais pas, en tout cas pas de cette manière.


Brusquement elle me repoussait, je n'ai pas eu le temps de réagir. Je me retrouvais au pied du lit, assis sur le cul. Ma femmes était satisfaite. Elle se glissait sous les couvertures. Elle me tournait le dos et ne s'occupait plus de moi.


Je n'avais plus qu'à me rendre dans la salle de bain, retirer mon gode ceinture. J'en profitais pour prendre une douche.


Mon dispositif de chasteté était vraiment ajusté, il n'y avait pas trop de place mais c'était confortable, intense mais confortable. Je ne parvenais même plus à savoir si je bandais encore ou pas.


Le dispositif m'avait souvent semblé trop petit mais en fait plus petit il me semblait parfaitement ajusté. Aucune douleur, aucune gêne, aucune érection, aucune réaction.


C'était un truc de fou.


Le dispositif était désormais inviolable, sans la clé je n'avais aucune chance de pouvoir en sortir. Ce n'était pas moi qui avait les clés mais maintenant elles étaient vraiment indispensables. Maintenant c'étaient vraiment les clés de ma liberté, de ma virilité. Enfin ce qu'il en restait.


Elle n'était pas bien grosse avant, c'est en tout cas ce qu'il me semblait, maintenant elle était ridicule.


C'est ce jour là que je me suis demandé pour la première fois si je n'avais pas fait une connerie en acceptant de porter ce dispositif en métal.


Mais avais-je vraiment le choix ? Et puis il y a trois clés.



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

INDEX

                              Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D&...