Branlette au sport Ep03 Un petit nouveau

 

Branlette au sport Ep03

Un petit nouveau



J'étais nouveau dans la région et je ne connaissais personne. Mais cette équipe locale semblait me tendre les bras. Ils recrutaient un nouveau joueur et je passais par là, j'avais besoin de faire de l’exercice et il y avait une place, ça s'est fait très vite je me suis inscrit.


J'avais prévenu que je serais peut être en retard pour le premier entraînement, c'était le lendemain et j'étais en pleine installation. J'arrivais en courant, je me précipitais dans les vestiaires, je me mettais en tenue et je fonçais dans le stade.


Enfin tout le monde est là ! Toi le nouveau, tu avais prévenu que tu serais en retard, tu es donc pardonné mais il faudra s'organiser pour que tout le monde arrive en même temps ! Lançait le coach.

Oui coach ! Répondais-je.


Un des gars me tapais doucement sur l'épaule.


Ne t'inquiète pas, il est cool ! Me disait-il.


Heureusement que j'étais en forme car si le coach était cool, comme on m'avait dit, il était aussi exigent. Et je ressortais de la séance sur les rotules, en sueur. Mais le club était très bien équipé, les vestiaires étaient modernes et chauffés, les douches étaient également très bien.


C'était une grande salle avec des pommeaux de douche sur tous les murs et plusieurs dans le centre de la salle, contre des poteaux ou seulement au plafond avec une petite chaîne qui servait à les actionner. J'arrivais dans la salle avec ma serviette autour de la ceinture. Je l'accrochais à un mur, je me retrouvais entièrement nu dans une salle ou tous les membres de l'équipe étaient là, tous les gars que j'avais vu juste avant dans l'effort, en train de se défoncer, je ne les connaissais pas, maintenant on était comme intimes.


C'est le moment que je préfère, chacun peut voir à quoi ressemble ses camarades dans cet endroit. Ils étaient tous bien costauds, bien bâtis, grands et tous étaient bien montés. Je n'avais rien à leur envier mais j'étais tout de même impressionné.


Il y avait ce petit gars, enfin quand je dis petit il faisait son mètre quatre vingt cinq tout de même. C'était le seul que je n'avais pas vu de face. Il avait une bonne tête mais j'ai eu comme un choc quand il s'est retourné.


Il était beau, comme chacun d'entre nous, il était musclé comme chacun d'entre nous, il était grand, élégant et très actif sur le terrain comme chacun d'entre nous, mais là il montrait comme un secret.


Il portait un de ces dispositif de chasteté, un de ces dispositif dont on parle dans la presse, vous avez du la voir. C'est un champion universitaire qui en fait la promotion, un certain Djé ou Jérémy Brosso … ( oui je sais je recycle mes histoires ! Note de l'auteur ).


J'étais pétrifié, et tout le monde à rigolé en me regardant, j'avais une érection.


C'était gênant je ne le nierai pas. Vraiment embarrassant, je ne savais plus ou me mettre mais ou me cacher, j'étais au milieu de la salle, tous mes camarades étaient tournés vers moi et seul la pluie des douches et un peu de vapeur pouvaient me cacher.


J'ai fait avec, pas le choix.


Quelques instant plus tard, en sortant de la douche, je remarquais que je n'étais plus le seul. Presque tous avaient soit une franche et belle érection comme moi, soit une grosse molle. Seul Djimmy, le petit gars qui portait la cage à bite, ne manifestait rien. Mais là c'était tout à fait normal.


Les autres rigolaient.


C'est un branleur ! Me disait un des gars en parlant de Djimmy. C'est pour ça que le coach lui a mis ce truc.

Il est pas mignon comme ça ? S'exclamait un autre gars qui arrivait derrière Djimmy en rigolant et lui attrapait les couilles.


Djimmy se dégageait un peu agacé.


Je voudrais vous y voir moi !

Mais nous, on n'est pas des branleurs ! Lui répondait un autre membre de l'équipe.


Tout le monde rigolait joyeusement et moi j'étais là comme un con avec une érection que je ne contrôlais plus. Un peu plus tard, deux ou trois autres seulement étaient encore dans la même situation que moi, les autres avaient alors un grosse molle qui pendouillait lourdement.


On se séchait en rigolant.


Alors tu reviendras tout de même au prochain entraînement ? Me demandait Djimmy.

Si on ne m'en fait pas porter un, oui ça c'est sûr.

Non t'inquiète pas, moi c'est parce que je suis un branleur. Sans ce truc je me branle jusqu'à six fois par jour.

Six fois par jours, et bien mon bonhomme, tu as la santé. Et ça fait longtemps que tu portes ce truc ?

Un peu plus d'un mois.

Le sevrage n'est pas trop difficile ?

C'est un truc de fou mais j'adore.


Plus personne ne faisait attention à nous, certains étaient déjà sortis, on se rhabillait, et on retrouvait tout le monde dans le club house.


Bien maintenant on sait qu'il y a des branleurs dans cette équipe, mais vous savez que les dispositif de la PK Companie ne leurs sont pas destinés en exclusivité ( C'est la société qui fabrique ces dispositifs, pour ceux qui n'auraient pas lu la série Brosso. Note de l'auteur ).


C'était le coach qui prenait la parole, certains se jetaient sur le bar et ouvraient une bière mais en parlant le coach faisait le silence.


Notre ami Djimmy, comme vous avez pu le voir, en porte un et ses performances sportives ont augmenté d'une manière inattendue.


Continuait le coach, il y en avait encore qui parlaient un peu fort.


La preuve en est que deux d'entre vous m'ont demandé de porter également un tel dispositif.


Là c'était brusquement le silence totale, on aurait entendu une mouche voler, mais comme on était en hiver, il n'y en avait pas !


Jeff, Bobby, vous avez bien réfléchi.

Il a fait moins de chichi avec moi. Me glissait Djimmy à l'oreille.


Deux garçons de l'équipe Jeff et Bobby donc, s'avançaient ver le coach, tout le monde s'écartait et leur faisait de la place au milieu de la pièce. Il n'y avait toujours pas un bruit. Un bouchon se faisait entendre, un ' POC Pchchch ' suivi d'un ' Oh pardon ! '. Puis de nouveau le silence.


J'espère que vous serez à la hauteur, si jamais vous bandez, ce sera loupé ! Déclarait le coach.


Il fallait un sacré self contrôle de la part des deux participants. Je ne comprenais pas tout mais quand ils on baissé leurs pantalons devant tout le monde je bandais comme un fous. Tout le monde poussait un '' Ouuuuuuh ! '' d'approbation. Jeff et Bobby rigolaient, sans doute pour se détendre.


Ils ne bandaient pas, ils avaient un self contrôle que moi, je n'avais pas. A leur place ma queue aurait indiqué la direction du plafond sans que je ne puisse rien y faire …


Le coach leur tendait un dispositif à chacun, c'était la bonne taille. Vous imaginez bien que cette histoire avait été préparée à l'avance.


Chacun passait méthodiquement une couille puis l'autre dans l'anneau puis y glissait sa queue. Ils ajustaient ensuite l'anneau en tirant sur la peau. Il se retournaient pour que tout le monde puisse bien voir comment ça se passait.


Dans la salle c'était un silence de mort comme personne dans cette équipe n'en avait entendu depuis des années, depuis toujours même.


Le coach donnait ensuite la cage à chacun des deux garçons. Ils la regardaient, prenaient une large inspiration, ils étaient presque synchronisés, puis glissaient leur queue dans la cage. Ça passait juste et là encore il fallait faire glisser la peau dans la cage mais tout se passait bien. Les dimensions étaient parfaites.


Les deux jeunes hommes se montraient alors à leurs camarades. '' Et de trois ! Disait un d'entre eux. Tous les autres éclataient de rire.


A la fin de la saison sportive ? Demandait le coach.

A la fin de la saison sportive ! Répondaient les deux jeunes hommes en cœur.

Le suite passait très vite, le coach leur tendait la clé et le cadenas, chacun se verrouillait lui-même, c'était la règle, ils se montraient un moment à leurs camarades, puis ils remontaient leurs pantalons.


Je bandais comme jamais, ce spectacle m'avait retourné.


Ensuite on a fait la fête, il y avait de la bière. Je me posais des questions, c'était un peu étrange, on n'avait pas droit à la branlette mais on avait droit à la picole, la bière coulait à flot.


C'est un peu en titubant qu'on est rentré. Djimmy me proposait de passer prendre un dernier verre chez lui. Il était sympathique Djimmy et bien sûr je l'ai suivi. Arrivé chez lui, il me proposait une petite bière, comme il disait, s'en servait une et on s'effondrait sur un fauteuil.


L'entraînement se termine toujours comme ça ?

C'était la première fois que le coach proposait des cages …

Non je parlais de la picole.

Ah oui, ça aussi, je pense que c'est à cause de ça, des cages, le coach a sans doute voulu marquer l'événement.

Et tu … ?


Djimmy me regardait avec un œil rieur, se levait et retirait son pantalon, c'est seulement là que j'ai remarqué qu'il n'avait pas mis de sous vêtement.


Tu te poses des questions, vas y regarde.


Là j'ai été obligé de réajusté mon pantalon, je bandais tellement que je n'avais plus le chois.


Tu peux te mettre à poil si tu veux ! Me disait Djimmy.


J'hésitais un moment puis je retirais moi aussi mon pantalon. Il retirait le reste de ses vêtements, en voyant ça, j'en faisais autant.


On se retrouvait donc tous les deux à poil dans le salon de Djimmy, une bière dans la main et une grosse queue bien ferme qui indiquait le plafond, sans que je puisse rien y faire. Enfin pour moi.


Pour Djimmy rien ne se voyait, sinon peut-être qu'il y avait un peu de pression dans la cage. Elle était bien pleine, la peau débordait et formait comme des bulle à chaque ouverture d'aération.


A par ça, on ne pouvait rien voir d'anormal. Je ne pouvais pas détacher les yeux de son truc, il ne pouvait pas détacher les siens de ma bite. On est resté là sans rien dire pendant un long moment. On échangeait des regards, des sourires, en je ne savais pas quoi dire et je pense que pour lui, c'était pareil.


Je terminais ma bière en penchant la tête en arrière au moment ou il décidait de se pencher sur moi et prenait ma queue dans sa bouche …



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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