Branlette au sport Ep06 Des volontaires suivent

 

Branlette au sport Ep06

Des volontaires suivent



Personne n'avait cours le lendemain et la soirée à un peu traîné. Nous étions dis huit, les douze membre de l'équipe comme vous savez et les six remplaçants, qui jouaient à tour de rôle bien sûr comme tout le monde le sait.


Il y avait au milieu de cette bande de jeunes un peu énervés, sept mecs presque à poil, il s’exhibaient joyeusement, et tout le monde criaient, chantaient, dansaient.


Ils avaient vraiment l'air de se sentir bien dans leurs cages de chasteté.


Je regardais ça, je bandais comme un fou, là je vous jure je ne contrôlais plus rien. Je n'étais pas à poil mais la vue de ces sept corps magnifiques, musclés et fermes, de leurs culs fermes et de cette petite cage qui laissait apercevoir leurs queues comprimées.


Elles prenaient tout la place disponible. On voyait les bourrelets de peau qui dépassait. Et ces couilles toute fraîche, je veux dire par là toute lisse. Même Daniel qui était le dernier et ne semblait pas avoir prévu devait y penser depuis un moment, il avait lui aussi les couilles parfaitement épilées.


Les cages n'étaient pas si petites que ça en fait. C'est vrai que les porteurs étaient bien montés, j'avais pu le constater à plusieurs reprises. Les bites s'y étaient installées, et à voir le visage des bonhommes, ça semblait confortable.


Pour moi comme je vous le disais, ce n'était pas le grand confort, il y avait une sorte de crampe dans mon pantalon. Je finissait par relever ma bite contre mon ventre en prenant soin de ne rien laisser dépasser, ça allait mieux.


La fête s'était terminée un peu tard et le lendemain je me réveillais à côté de Djimmy.


J'étais allongé sur le dos, il était allongé sur le dos lui aussi. Je ne me souvenais pas vraiment de la fin de la soirée, puis brusquement la panique, je ne sais pas ce qui m'a pris, une grosse panique … Et si …


Je glissais ma main sur mon ventre et rapidement j'étais rassuré, je n'avais pas mis de cage à bite, ma jolie petite queue s'étalait sur mon ventre et commençait à bander. C'était sans doute un rêve qui avait provoqué ces quelques secondes de panique.


Je caressais alors tout doucement le ventre de mon camarade, en essayant de ne pas le réveiller. Il continuait à dormir et poussait toutefois un tout petit soupir, à peine perceptible, puis il soufflait avec la bouche, là encore un tout petit souffle.


Je sentais ses muscles, il en avait plus que moi, il y en avait partout sur son ventre, je m'en amusais. Toute l'équipe était comme ça, mais là, j'y faisait attention. Il avait la peau douce et ma main glissait vers le bas de son ventre. Ce n'est pas sa bite que je trouvais, elle aurait dû être là sans sa cage.


Je continuais et j'arrivais à la base de sa queue, juste sous l'anneau, j'appuyais doucement, elle était bien ferme. Il bandait et sa cage se relevait sous la pression mais pas complètement. C'est ce que je constatais rapidement. Je continuais mon exploration et arrivais à ses couilles.


Sous l'effet de la chaleur elles pendaient entre ses jambes légèrement écartées. Puis sa main se posait sur la mienne et remontait le long de mon bras. Il se réveillait, je tournais la tête vers lui, il me souriait, je lui rendait son sourire.


Sa main arrivait sur ma queue, il la caressait, il me tripotait un peu les couilles également. J'avais l'impression que ma queue bandait encore plus mais je ne pense pas que c'était possible.


Je me retournais vers lui et le prenais dans mes bras. Nous nous embrassions et nous caressions avec nos lèvres, avec nos mains, nos bras et nous jambes même. Je passais une jambe par dessus son bassin et la repliais sur ses fesses, je le tirais vers moi. Il ne résistait pas et dès que je relâchais un peu, il plongeait sous les couvertures et me prenais la queue dans la bouche.


Je le laissais faire et reprenais la position confortable que j'avais au moment ou je m'étais réveillé.


Sa main continuait à glisser sur mon torse, et sa langue glissait sur ma queue. C'était incroyablement agréable.


Vous savez tout ça, c'était nouveau pour moi, je n'était plus puceau depuis un bon moment mais … Bon, d'accord, c'était depuis l'autre jour et c'est le petit gars qui me suçait la queue, celui qui m'avait dépucelé. C'est vrai que maintenant je m'y crois un peu. Remarquez je ne m'en sortais pas si mal, j'étais dans un grand lit bien douillet qui n'était pas le mien et je me faisais sucer la queue …


Il faisait ça bien, quelques jours plus tôt seulement je ne savais à quel point c'était agréable. Cette caresse sur mon gland était d'une incroyable douceur. Il avait la langue habile, elle passait, repassait sur ma queue, et moi je bandais de plus en plus.


En réponse je lui caressais les cheveux, par moment j'appuyais sur sa tête, il avalait ma queue comme il pouvait, il faut dire que je suis bien monté, mais ça ne semblait pas le déranger, il avalait.


Son nez s'écrasait sur mon ventre, sa langue me caressait. Il se relevait pour respirer et en se relevant sa langue passait sur ma queue, sur mon gland et m'arrachait quelques gémissements de plaisir supplémentaire.


Il aimait sucer, moi je ne l'avais jamais fait. Je me prenais à imaginer comment il fallait faire, je fermais les yeux et m'imaginer à sa place. Ma queue était devenue la sienne, et c'est moi qui me penchais dessus et la prenais dans ma bouche. Je rêvais que sa queue, en fait c'était la mienne dans ce rêve, glissait dans ma bouche, sur ma langue, en fait c'était bien ma bouche, c'était bien ma langue.


Je m'imaginais que ces instants de plaisir qu'il me donnait, c'était lui qui les recevait et que c'était moi qui les lui donnais. Mes gémissements devenaient les siens et quand je frémissais, c'était lui qui frémissait.


Le plaisir montait, c'est donc ainsi qu'on peut jouir en suçant une belle queue. Je me laissais faire, ou alors je suçais, je ne savais plus, je tremblais et je finissais par crier au moment ou j'éjaculais, car c'est bien moi qui éjaculais dans la bouche de mon partenaire.


Chacun reprenait son rôle, je jutais avec force à plusieurs fois. Il ne relevais pas la tête et avalait tout, en fait il n'avait pas le choix, je lui maintenait la tête en appuyant avec force sur ses cheveux. Je ne m'en rendais même plus compte tant je m'abandonnais à mon plaisir, à mon seul plaisir.


C'était moi qui me faisait sucer et j'aimais ça. J'avais pris mon pied.


Un instant je me disais qu'il faudrait que je lui rende la politesse, puis je me souvenais qu'il portait une cage à bite. Je me disais alors qu'il pourrait recommencer, à chaque fois qu'il en aurait envie, ou peut être à chaque fois que j'en aurais envie !


Il relevait la tête avec force au moment ou je le lâchais.


  • Mais tu veux me tuer ? Je ne pouvais plus respirer ! Râlait-il.

  • Mais tu n'as pas besoin de ça ! Lui répondais-je.


En y repensant je me demande si j'avais bien compris ce qu'il me disait. Il l'a bien pris, il avait survécu donc tout allait bien !


Je me sentais tellement bien que je me moquais de tout le reste, je relevais la tête et lui donnais un baiser sur ses lèvres. Il se blottissait contre moi, en râlant un peu certes, mais il se blottissait tout de même contre moi et me câlinait.


Son corps était chaud, sa peau était douce. Tout doucement, tout comme on se caressait, tout doucement on discutait et on continuait à apprendre à se connaître. Il me racontait comment il en était arrivé à porter sa cage à bite. J'étais très surpris d'apprendre ce qui s'était passé avec le coach.


Nous avions du temps libre, plusieurs jours d'affilé aussi nous décidions de les passer ensemble. On a mangé ensemble pendant deux jours, on s'est câliné l'un l'autre, on est sorti faire du sport ensemble, on a pris nos douches ensemble, on a fait … Enfin je l'ai enculé … Mais là aussi on était ensemble.


C'était un moment de bonheur incroyable, sentir son anus résister face à mon gland. J'aimais cet instant à la fois de force et de douceur mais toujours de folie, au moment ou il lâche et s'ouvre pour me laisser le passage.


J'adorais ce gémissement ou ce gloussement, je ne sais vraiment, qu'il poussait au moment ou mon gland s'introduisait lentement, j'avais vite compris qu'il fallait y aller doucement, tout doucement.


Puis comme un murmure silencieux, comme un souffle ma queue glissait contre les parois de son anus puis plus profond dans ses entrailles. Je ne comprenais toujours pas vraiment le plaisir qu'on pouvait ressentir dans cette position, je veux dire la sienne. Il était étroit et je sentait une caresse serrée, étroite sur toute la longueur de ma bite. Une caresse qui ne cessait même pas au moment ou mon ventre s'écrasait contre ses fesses.


Là il se contractait, là il tremblait, là il gémissait avec force. Je me retirais rapidement avant de revenir avec un peu plus de force. Le but était de le faire couiner, il gémissait doucement. Je me retirais de nouveau et revenais encore plus fort. Après plusieurs mouvements de ce genre, il couinait, je vous jure qu'il couinait. Je le sentais trembler dans mes bras, on restait au chaud mais il tremblait.


C'était moi qui le faisais trembler, je ne m'étais jamais senti aussi mâle. J'étais l'homme, le mâle dominant, j'étais virile et mes mouvements devenaient rapidement aussi rapides que violents.


Là il ne couinait plus, il gueulait.


Il ne tentais pas de se dégager, il s'accrochait à ce qu'il trouvait. C'était un bout de drap, aussi inutile qu'inefficace. Au dossier d'un fauteuil, là ça devenait plus sérieux ou encore la table du salon, là ça marchait bien, elle était bien lourde.


N'oublions pas que j'avais dit ' plusieurs jours d'affilé ', ne vous étonnez pas si je parle de plusieurs endroits mais on l'a fait plusieurs fois.


Je finissais par bien connaître ses réactions, je finissait par savoir ce qu'il aimait. Jamais nous ne nous sommes demandé quand il serait libéré, je n'avais pas envie qu'il le soit même si j'avais envie, par moment, qu'il me fasse connaître le plaisir que je lui donnais.


Je ne vous cacherai pas que j'avais un peu peur de me faire défoncer le cul. La manière dont je m'y prenais devait être douloureuse, et la douleur me faisait peur, surtout que je savais maintenant qu'elle faisait aussi partie du plaisir.


Et puis, vous en conviendrez, cette situation n'avait rien de désagréable pour moi !


Deux jours plus tard, il y avait entraînement. On s'y rendait ensemble, toujours ensemble. On nous a fait courir, sauter, grimper à la corde, porter des charges … Bref, encore une fois on terminait sur les rotules.


Encore une fois on se retrouvait sous la douche. Sept mecs bien bâtis, bien viriles, avec une bite en cage et onze mecs bien bâtis eux aussi, bien viriles, peut être plus que les premiers car eux gardait une belle grosse bite qui se balançait et qui était prête à servir.


Je m'attardais sur les couilles de mes copains, les sept qui portaient un dispositif, bien sûr, exhibaient une paire de couilles bien lisses. Je remarquais aussi que plusieurs autres, je ne parvenait pas à en être sûr, mais il me semblait bien que cinq s'étaient épilé les couilles.


Je bandais comme un fou de nouveau, pourtant je commençais à m'habituer à cette situation.


On terminait, on se séchait, on se rhabillait, on discutait fort en faisant tout cela puis on se retrouvait dans le club-house.


  • Vous allez aimer ça ! Déclarait le coach. Il y a de nouveau volontaire qui m'ont demandé de porter une cage de chasteté.



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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