Presque frères 21

 

Presque frères 21



Mon cousin avait un visage tout triste et je vous jure que s'il avait été moins bien foutu, moins bien monté et moins en forme, il m'aurait fait pitié … Là il me faisait envie.


Il était bien formé, enfin il faut dire aussi qu'il était presque adulte, jeune un peu plus jeune que nous mais adulte. Il avait passé l'âge qui autorisait à porter une cage de chasteté. Comme tout le monde le sait, en dessous de seize ans, c'est strictement interdit, et la loi prévoit même des sanctions.


Bien tu proposes quoi pour sortir de cette situation ? Demandait Tommy.

Bein … je sais pas … rajoutait Willy.


Il commençait timidement à se caresser la bite. Il ne disait plus rien, c'est sans doute ça qui m'a inquiété et je glissait la tête pour voir ce qu'il se passait. Je découvrais sur un lit Tommy et Willy en train de se masturber. J'étais un peu surpris mais très content du spectacle.


Attention cousin, il y a mon cousin qui arrive. S'exclamait Willy.

Pourquoi attention ? Demandait Tommy en pouffant de rire.

Bein c'est que lui il ne peut pas, aussi c'est peut être pas la peine de le provoquer, il se mettre à bander lui aussi et avec le truc qu'il porte … etc …


On avait réussi à le garder silencieux pendant quelques minutes mais, c'était trop beau.


Paco tu peux venir par ici ? Me demandait Tommy.


Je m'approchait, mon cousin me dévorait des yeux, il devait chercher les signes qui lui indiqueraient que je bandais. Mais rien ne transparaissait. Je m'approchais de Tommy.


Suce moi ! Me demandait-il.


Je jetais un œil en direction de mon cousin puis je me penchais sur Tommy, je prenais sa queue dans la bouche. C'est que je le connais bien mon Tommy, je sais ce qu'il aime et croyez moi, je le lui donnais.


Ma langue lui caressait le dessus de son gland, c'est ce que préférais caresser avec ma langue. Une zone large et lisse, une zone très sensible et je le sentais déjà frémir. La dernière fois qu'il avait pris du plaisir ce devait être la veille au soir, il m'avait sans doute enculé.


Puis ma langue glissait sous sa queue au niveau de son frein, elle tentait par moment une entrée dans son petit trou, celui qu'il a au bout de sa queue. C'est là qu'il a poussé me premier cri, le premier gémissement.


Par moment je regardais mon cousin, il faisait une tête incroyable, il semblait ne pas y croire, mais il continuait à se masturber. Avec vigueur, ou plus lentement. La queue de Tommy disparaissait totalement dans ma bouche, là Willy s'arrêtait, mes lèvres arrivaient à la base de cette superbe queue.


Quand je relevais la tête je voyais mon cousin qui me regardait, il n'avait pas vraiment l'air malin, il avait la bouche ouverte, disons le clairement, il avait l'air idiot. Il ne bougeait plus mais quand il m'a vu le regarder, il s'est de nouveau énervé et s'est mis à se masturber avec vigueur.


Il respirait fort et vite, je le regardait faire pendant un moment et je replongeais. De nouveau je replongeais et de nouveau j'avalais la queue de mon pote, et il aimait ça. Il s'était accordé le droit de se faire plaisir alors qu'il m'avait un peu bloqué dans ma cage, enfin c'était aussi de ma faute.


Il me caressait les cheveux et appuyait sur ma tête avec douceur mais avec fermeté. Il me guidait, il en profitait. A sa place j'aurais fait pareil. Et Willy continuait à se masturber de plus en plus vite. Il gémissait. Je veux dire Willy gémissait aussi, pour Tommy ce n'était plus que gémissements et plaisir, oui un plaisir qu'il ne dissimulait pas.


Par moment il soulevait son bassin et me donnait de violents coups de bite dans la bouche, j'encaissais, j'aimais de plus en plus. Plus je m'entraînais plus j'aimais, plus j'aimais plus je m'entraînais. C'était une belle bite que me présentait mon pote Tommy.


Je la connaissais bien cette queue magnifique, elle me faisait penser à la mienne, à l'époque ou j'en avais encore une. Je l'avais toujours, je vous rassure, personne ne l'avait coupé, ( ça c'est strictement interdit ), mais c'était plus pareil, elle n'était plus accessible.


J'entendais mon cousin pousser un gémissement de plaisir il éjaculait, et comme sa queue ne voulait pas se décoller de son ventre il s'arrosait généreusement. Quelques secondes plus tard c'est Tommy qui éjaculait, mais lui il jutait dans ma bouche. Il me retenait mais n'avais pas besoin de forcer pour cela, je me faisais un plaisir de ne rien perdre.


Lui aussi respirait fort à ce moment et je sentais son cœur qui battait fort, vraiment fort.


Un peu plus tard, je me relevais, Willy avait des éjaculations généreuses, il était couvert de son sperme sur son ventre et en avait aussi reçu sur la figure et sur ses cheveux. Moi je n'avais rien laissé se perdre. Tommy était tout propre et j'avalais avec gourmandise …


Willy repassait dans la salle de bain.


Il en ressortait et venait nous rejoindre dans le coin cuisine. Il restait à poil, il avait toujours une belle grosse molle qui pendait et se balançait lourdement. Tommy et moi terminions de préparer la salade, on mangeait souvent froid, dehors il faisait chaud.


Alors là …


Nous regardions avec insistance mon cousins mais c'est tout ce qu'il arrivait à dire. On se regardait et je déclarait à l'intention de Tommy.


C'est donc ça la solution pour le faire taire ?


Tommy éclatait de rire.


Oué heu mes cousins, c'est pas sympa, vous vous moquez. Moi qui pensais que … et puis, entre vous … ça fait longtemps que ça dure … Oh elle est bonne cette salade … C'est bien les salades pour le midi … Et quand tu ne portes pas la cage cousin Paco … Vous inversez les rôles …


Bon on l'avait fait taire mais ça n'avait pas duré bien longtemps.


Et puis après on va à la plage ? … Vous allez ou d'habitude ? Il y a des gonzesses ?


On terminait la salade, une glace, et on se détendait dans le jardin, il est très privatif et on peut se faire bronzer à poil. On en profitait pour ne pas nous rhabiller.


Un bon moment plus tard, je proposais qu'on se prépare. Pour moi c'était rapide, j'enfilais un pantalon très léger et ample, un T-shirt mini et …


Eh, cousin Paco, j'ai un problème …


je vous laisse deviner qui avait un problème … Tommy arrivait il s'était habillé lui aussi mais voilà … Willy bandait à mort, encore, il avait de nouveau cet air tout triste et cette allure terriblement sexy, virile et sexy.


Laisse moi deviner Willy, tu n'arrives pas à te contrôler ? Demandais-je.

T'as tout compris cousin !

Essaye de penser à autre chose. Suggérait Tommy.


Willy le regardait d'un air patibulaire, c'est dingue comme il n'a pas l'air futé par moment mon cousin. La j'ai eu un coup de sang.


Je saisissais mon cousin par le bras et le repoussais sur le lit. Il était toujours à poil, pardi il ne pouvait pas s'habiller, ça n'aurait servi à rien il bandait. C'est vrai qu'il était jeune, presque quatre ans de moins que moi, et j'avais bien l'impression que quand il bandait, ça pouvait durer. Et en plus ça risquait de recommencer.


Il me semblait bien que j'étais comme lui quand j'avais son âge. Maintenant tout était différent, il y avait la cage. C'était pour moi une sorte de mutation, je me transformais, ma sexualité se transformait.


Et lui il était là avec une bite magnifique, en érection, avec un visage de petit garçon tout triste. J'ai craqué, je me suis jeté sur lui. Il m'a laissé faire, j'ai pris sa queue dans ma bouche.


Là j'avais encore réussi à le faire taire. Je caressais sa queue, je la découvrais. Il était circoncis, tout comme Tommy ou moi. Elle était grosse, de très belle taille, tout comme Tommy. Et elle bandait ferme.


Il me tenait la tête et me guidait, il appuyait lui aussi mais peut être avec un peu moins de douceur que mon pote Tommy. Il m'arrachait mon T-shirt, je me retrouvais torse nue, je caressait son torse ferme et doux.


On devinait la jeunesse de sa peau, elle était totalement dépourvue de poil, moi et Tommy n'en avions pas beaucoup mais lui, c'était encore mieux. Ou alors cette impression venait de moi, c'était un nouveau corps, une merveille. Il était magnifique et j'avais oublié qu'on était parent, cousins germains. Presque frère.


Tommy arrivait derrière moi et tirait avec force sur mon pantalon. En quelques seconde je me retrouvais entièrement nu. Je m'accrochais à mon cousin, glissait sur lui et le couvrais de baisers. Sa peau était tellement douce contre la mienne. Il me caressait les épaules, ses mains descendaient plus bas sur mon dos. Puis je replongeais et de nouveau reprenais sa queue dans ma bouche.


Elle se relevait avec force et se plaquait contre son ventre, son érection était particulièrement forte. Il était jeune mais viril. Je me régalais, c'était un nouveau corps, c'était aussi un nouveau plaisir.


Je sentais un main glisser entre mes fesses. Ce n'était pas Willy ses bras n'étaient pas assez longs. C'était mon pote Tommy. Il me lubrifiait le cul. Ses doigts glissaient entre mes fesses et entraient doucement mais avec force.


Je les sentais glisser dans mon cul. La bite de Willy glissait dans ma bouche et par moment s'écrasait dans ma gorge. C'était terrible, c'était bon, c'était nouveau même si ce n'était pas vraiment nouveau, avec lui c'était nouveau.


Sans me demander mon avis Tommy glissait sa queue en moi, il y allait sans retenue et il m'aurait fait crier si je n'avais pas déjà eu quelque chose dans la bouche. Mais là je ne pouvais rien dire. C'est tout juste si je parvenais à faire des bruits bizarres qui faisaient rigoler Tommy.


Mon cousin ne disait plus rien depuis un moment, je sentais le poids de son regard sur mes épaules. Je sentais ses mains sur l'arrière de ma tête ou celle de mon pote Tommy qui me saisissait par les hanches et me tirait vers lui.


Il me balançait avec force des coups de bassin, je me cramponnais aux cuisses de Willy et je continuais à le sucer comme je pouvais, et je pouvais. Il soulevait son bassin lui aussi par intermittence.


Je me retrouvais remué dans tous les sens, je ne pouvais plus me maintenir en position, mais il y avait quatre bras bien forts qui s'en chargeaient. Ils me retenaient, ils me repoussaient, il me remuaient.


J'en prenais plein la gueule, plein le cul et si un peu plus tôt le plaisir n'était pas pour moi, là, il montait en mois, il m'envahissait. Je jouissais, là je jouissais comme jamais, mais je ne jutais pas. Je ne lâchais pas une goûte de sperme. Mon cœur s'emballait, mon souffle paniquait, et mon cerveau prenait feu au moment ou je sentais mon cousin éjaculer dans ma bouche. Il avait des éjaculation généreuse, il m'a rempli la bouche mais je n'ai rien laisser se perdre.


Je devinais à ses gémissements que Tommy jouissait également. Les coups qu'il me donnait devenaient violents, vraiment violents mais j'ai aimé.


J'ai avalé, mon cousin s'est retiré. Puis c'est Tommy qui s'est retiré. Au moment ou il est sorti de mon cul j'ai ressenti un plaisir intense. Je me laissais retomber, amorphe mais comblé !




A suivre




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