Presque frères 24

 

Presque frères 24



Et en quoi c'est sensé m'aider ? Me demandait-il.

En fait c'était juste pour te faire taire ! Lui répondais-je !

Tu es un enfoiré cousin Paco !


Tommy et moi rigolions de bon cœur. Willy continuait à faire la gueule, mais pas pendant bien longtemps, rapidement il se mettait à rigoler lui aussi.


Et puis maintenant tu es encore un peu moins puceau ! Rajoutait Tommy

On y va par étape. Concluais-je. Il n'en reste plus qu'une …

Oui mais là j'ai peur, ça doit faire mal.


Il est futé mon cousin, il avait compris.


Mais là je te jure que ça va vraiment te soulager.


Tommy confirmait.


Mais il va falloir attendre un peu que je retrouve ma forme !


Le reste de la journée on l'a passée sur la plage, tous à poil, enfin pour Willy et moi, presque.


Tommy était détendu il avait bien commencé la journée. On avait un peu flirté. On commençait à se faire repérer sur la plage. Les fille n'avaient d'yeux que pour Willy et moi. Bon elle regardaient aussi Tommy, c'est vrai qu'il était très beau mais d'un peu plus loin.


Pour Willy et moi, d'un peu trop près. Oh elle n'évitaient pas le moindre contact physique et je ne devinais pas la douceur de leurs peau, je la sentais, elles me caressaient quand elle s'approchaient. Pas avec leurs mains, non. Mais avec leur seins, avec leur corps, avec leurs bras, et aussi avec leur mains.


Bref Willy trouvait que là, c'était d'un peu trop près. Et il découvrait que les cages en résine peuvent être très dures au contact. Ça moi je le savais déjà, mais je n'avais rien à lui envier, ma cage en titane était très dure également.


Par moment, taquines qu'elles étaient, une d'entre elles me tripotait les couille. En fait elles s'en amusaient toutes et nous faisait la plaisanterie chacune leur tour. Je ne vous dis pas mais Willy à couiné la première fois qu'une fille le lui a fait. Oh elles étaient mignonnes et s'amusaient gentiment.


Il valait mieux prendre ça avec le sourire. Surtout que si nous réagissions, les réactions restaient tellement discrètes, elles ne savaient pas si ces taquineries faisaient leur effet aussi elles étaient tentées de recommencer.


Mais en échange on avait le droit de leur caresser la poitrine.


Tommy lui était gardé à distance, il n'avait pas droit à ces jeux érotiques. Ne nous méprenons pas, ce n'était pas si innocent que ça. C'était bien un jeu érotique.


Tommy lui en était tenu écarté.


Ce soir là, on invitait plusieurs filles à souper à la maison. Willy me regardait avec un regard affolé.


Mais vous voulez que je devienne fou les cousins ?


Je devinais qu'il y avait de la pression dans sa cage. Et un peu de folie dans sa tête.


Mais enfin, la bite à Tommy ne t'a donc pas camé ce matin ?


Il m'a regardé avec un regard de fou, il n'a rien dit.


Aussitôt à la maison, les filles se mettaient à l'aise, c'est à dire entièrement nues. Willy et moi faisions pareil. Plusieurs filles poussaient même l'audace de demander à Tommy de se ' couvrir '.


Oh juste un peu, ce sera plus simple ! Rajoutait une d'entre elles.


Tommy s'est retrouvé en maillot de bain, au début il faisait un peu la gueule puis à fini par s'y faire. Il aurait bien aimé autre chose, s'enfiler une petite par exemple. Mais c'était sans espoir. Willy aussi était très tendu, moi, j'étais étonnamment détendu, ma queue protestait bien peu mais pas tant que ça.


On a bien mangé, de la salade, des viandes grillée et tout ce qui se mange dans ce genre de soirée. Les filles ont adoré, on a dansé, on a écoute de la musique, on a chanté … Et on est resté sage …


Plus tard, bien plus tard en fin de soirée mon cousin venait vers moi.


Cousin Paco, il faut que je te parle …

Mais je t'écoute mon petit bonhomme.

Il y a Barbara qui veut dormir avec moi !

Et bien tu en as de la chance ! Rajoutait Tommy qui passait par là.

Mais c'est pas ça mais avec ce truc là. Il montrait du doigt sa cage. Je vais devenir fou, je vous dis pas dans quel état je suis, c'est de la torture, je vais devenir fou moi.

Mais c'est pas à moi qu'il faut le dire, c'est à elle.


C'est ce qu'il a fait. Avant de partir elle a un peu traîné avec lui, je les ai vus, elle était câline, tendre, douce. Elle écrasait son corps nu contre le sien , il était presque nu et je devinais son trouble. Elle l'embrassait avec un passion qui ne me laissait pas indifférent.


Il était énervé le petit Willy, je dis le petit, c'est affectueux. Il était vraiment énervé. Il avait refusé l'invitation de la fille et elles étaient reparties.


Eh, les cousins, il faut faire quelque chose pour moi. N'importe quoi !

OK , cousin, Tommy va t'enculer, je suis sûr qu'il ne demande que ça.

La mon cousin me regardait avec l'air bête et vous ne le croirez peut être pas mais, il ne disait plus rien. Mais le pauvre il n'en pouvait plus, je me demandais comment il tiendrait six semaines le pauvre. Mai il faisait oui de la tête.


Il n'a pas fallu bien longtemps à Tommy pour se retrouver en pleine forme avec une très belle érection. Résigné, comme s'il allait à l’abattoir, il prenait position. Les genoux au sol, appuyé sur le fauteuil, il attendait.


Allez y doucement les mecs. Là j'ai la trouille, je suis sûr que c'est une mauvaise idée, je suis sûr que c'est une mauvaise idée, répétait-il.

Tu y vas doucement Tommy, ne vas pas le dégoûter surtout. Demandais-je à mon pote Tommy ;

Oui il a raison, ne vas pas me dégoûter rajoutais Willy.


On commençait doucement, d'abord je lui caressait les fesses, Tommy lui caressait les couilles puis nos caresses devenaient plus insistantes. Je glissais mon doigt entre ses fesses, doucement au départ, je ne tentais aucune intrusion. Tommy lui massais doucement puis vigoureusement les couilles. Elles pendaient lourdement et Tommy s'en amusait.


Lui il bandait ferme à ce moment.


On échangeait les rôles, Tommy était rapidement plus intrusif avec Willy, moi je comprenais pourquoi il s'amusait quelques instant plus tôt, en effet c'était amusant.


Tommy lubrifiait le cul de Willy, il ne traînait pas mais prenait tout de même son temps. Il passait la paume de sa mains sur ses couilles puis quand il remontait la main glissait son pouce dans le cul de Willy. Willy gémissait mais ça semblait n'être que du plaisir.


Je prenais un peu de recul et je regardais ce qui se passait.


Tommy y allait avec une grande douceur, c'est son majeur qui se glissait ensuite à la place du pouce, je devinais qu'il l'agitait, et Willy gémissait de plaisir d'autant plus.


C'est l'index qui suivait, et Willy braillait de plaisir quand Tommy les agitait tous les deux. Un long moment Tommy donnait du plaisir à Willy. C'était un plaisir nouveau pour lui, mais il aimait. A entendre les cris qu'il poussait, il aimait, ça ne faisait aucun doute, il en voulait encore plus, il réclamait.


Puis Tommy déclarait …


Bon on va entrer dans le vif du sujet !


Il avait pris un air désinvolte pour ne pas paraître trop sérieux ou pour détendre l’atmosphère. Là Willy ne disait plus rien.


Je savais qu'il pouvait être violent mon pote et j'avais presque mal au cul pour mon cousin.


Doucement Tommy prenait position, puis doucement poussait. Willy râlait, Tommy poussait un peu plus, Willy râlait encore plus mais un peu plus fort. Tommy poussait encore un peu plus fort et Willy criait. Tommy poussait encore un peu, Willy hurlait, la queue de Tommy entrait. Tommy devinait que la ça faisait mal à notre cousin et ne bougeait plus.


Willy râlait fort, il ne criait plus, il avait ressenti une grande douleur au moment ou Tommy l'avait pénétré. La douleur semblait s'estomper … Enfin peut être pas remarquez … Il respirait for, très fors et sa respiration était bruyante autant qu'irrégulière.


Je devinais ce qu'il devait ressentir, je me souvenais ma première fois, puis je me souvenais la dernière fois. Quel plaisir, quel extraordinaire plaisir, une sensation qui vous envahit, vous fait trembler, vous …


Willy n'en était pas encore là !


Avec une grande patience Tommy attendait sans bouger. Puis Willy faisait oui de la tête et murmurait '' OK, ça va ! ''.


Très lentement Tommy poussait et s'enfonçait lentement. Le pire c'est le moment ou ça rentre, là, ça allait mieux. Attention je n'ai pas vraiment dit que c'était mieux mais ce n'était pas pire, c'est déjà ça.


Lentement la queue de Tommy glissait, par moment le pauvre ne pouvait plus respirer mais il ne demandait pas qu'on arrête, aussi Tommy continuait. Son ventre s'écrasait sur les fesses du petit ( je dis ça affectueusement ). Puis il poussait un coup, bien rapide bien ferme.


Là, Willy hurlait de nouveau. Mais comme il nous l'a raconté plus tard, s'il y avait de la douleur, il y avait aussi du plaisir. C'était une sensation mitigée. Je me souvenais moi aussi avoir connu ce genre de plaisir, ce moment ou on découvre qu'il y a aussi du plaisir dans la sodomie.


Il m'avait simplement fallu plus de temps que lui.


Après une longue pause sans bouger, Tommy se retirait. De nouveau Willy se contractait, de nouveau il râlait mais moins fort peut être. C'était mon impression. Suivait encore un gémissement, encore un cri, puis Tommy ressortait sa queue. Il se penchait alors sur Willy.


Ça va bonhomme !

Ça va, c'est bon, super.


Sans attendre plus Tommy glissait alors de nouveau sa queue dans le cul de Willy. Il s'y prenait d'un mouvement plus rapide et plus décidé. Sa queue glissait rapidement et Willy hurlait. Puis Tommy se retirait, revenait, se retirait et …


Willy râlait fort, mais il y avait aussi du plaisir. Il ne tentait pas de se dégager, il encaissait. C'était étonnant pour une première fois.


Tommy est un garçon charmant et attentionné vous savez, il décidait d'écourter la séance, sans doute pour épargner le cul de notre jeune cousin, surtout qu'il savait que le mien n'attendait que ça.


Tommy se retirait. Willy éjaculait avec force. Son éjaculation était à la fois riche en quantité et puissante, bruyante. Il criait beaucoup, c'était des cris de plaisir, il ne se retenait pas et il tremblait.


On l'a laissé là à récupérer, il s'est endormi sur place, il avait juste trouvé la force de s'allonger sur le canapé.


Ça l'avait calmé, c'était le but et ça avait marché. Tommy est monté avec moi pour m'enculer tranquillement. Il n'avait pas joui et il était très forme, j'en ai pris plein le cul.


Willy s'en ai remis et une semaine plus tard, il avait traîné plus longtemps que nous et était rentré dans la nuit. Nous le retrouvions au petit matin sur le canapé, allongé avec dans les bras un charmant jeune homme de son âge. Très mignon en plus …


On préparait le petit déjeuner quand Willy venait nous rejoindre.


Tu sais Willy, je suis toujours là moi, a ta disposition …

Oui mais lui, il en a une plus petite que la tienne !


Lui répondait Willy du tac au tac .



A suivre



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