Lionel Ep05 Des filles gonflées

 

Lionel Ep05

Des filles gonflées


Aussitôt une main me caressait les couilles et le cul, ce qui me rappelait que j'avais encore mal au cul. Mais quand elle tentait de me glisser un doigt dans le cul, là je vous jure ça m'a vraiment fait mal.


J'ai râlé, j'ai gémi mais elle ne s'en ai pas inquiété et a continué. Elle lubrifiait bien la petite, elle connaissait les techniques. Elle ne glissait qu'un doigt, juste un et avec elle me massait l'anus avec une incroyable douceur.


D'abord douloureux, ce contact devenait agréable. Elle me faisait un bien incroyable. Là je ne râlais plus, je gémissais de plaisir.


C'était un plaisir que je découvrais, un nouveau plaisir. Avec le cul on peut éprouver beaucoup de plaisir, on me l'avait dit mais je le vérifiais pourtant quelque temps plus tôt. J'avais eu très mal.


Un deuxième doigt suivait, bien lubrifié également, ça passait tout seul et sans douleur en plus, j'y croyais pas. Je regardais vers mon pote, l'autre fille s'occupait de lui. Elle faisait au mieux pour prendre l'énorme queue de Lio dans sa bouche, elle la léchait, la caressait, la tripotait, la masturbait. Bref elle s'amusait avec. Lionel était aux anges/


C'est vrai que sa femme était absente depuis presque une semaine.


Il était allongé sur le dos et laissait faire, il avait un large sourire, ça ne faisait aucun doute, il prenait son pied.


Pour moi c'était un incroyable plaisir que je découvrait, il était d'abord uniquement sur mon cul, maintenant il débordait. Je le sentais dans tout mon ventre, c'était incroyablement bon. Je respirais très fort, je gémissais de plus en plus fort également.


Juste à côté mon pote Lionel lui aussi gémissait. La fille s'était allongée sur lui, il était sur le dos et c'était des câlins qu'ils échangeaient, des caresses et aussi des baisers.


Puis la fille s'est empalée sur lui. Là j'ouvrais de grand yeux, mais elle ne s'empalait pas par le cul. Ça restait impressionnant de voir cet énorme queue disparaître entre ses cuisses et réapparaître. C'était magique. Sa queue était bien large et la vulve de la petite s'ouvrait avec une étonnante facilité, elle me regardait et me souriait.


Tu te l'ai déjà prise dans le cul ? Me demandait-elle.


Je faisais non de la tête. Je faisait plus attention à ma copine. Elle aussi s'était glissé contre moi, elle s'était longuement caressé le corps avec le mien. Elle s'était masturbée la chatte sur ma cuisse. Je ne comprenais plus rien. Je n'avais plus du tout mal au cul. Un moment la fille disparaissait je ne sais pas ou. Mais quand elle réapparaissait ...


J'ai envie d'essayer ça maintenant. Déclarait-elle.


Elle avait un gode, il devait être dans son sac à main. Elle se l'était bien accroché et au bon endroit, elle le lubrifiait. J'aurais du avoir peur, surtout après l'expérience avec Lio mais c'est elle qui avait fait passé la douleur et sans comprendre, je la laissais s'approcher de moi.


A quatre patte, je lui offrais mon cul mais là, je commençais à réagir, je commençais à comprendre ce qui se passait mais j'étais comme tétanisé. Là j'avais la trouille.


Elle posait le bout de son gode sur l'ouverture de mon cul, le gode n'avait rien de géant, il n'y avait aucun rapport avec la queue Lio mais je vous dis pas, mon cœur battait très vite.


Doucement mais avec une certaine force, elle appuyait. Je tremblais de peur et ne cherchais pas à résister, je devinais que ce serait pire au moment ou mon cul s'ouvrirait.


Ça n'a pas duré bien longtemps, mon cul s'est dilaté, elle poussait moins fort, elle ne voulait pas me faire mal. C'était supportable, elle me caressait le torse avec ses mains, ses deux bras. Une main descendait vers mes couilles, elle me mordillait le cou, je tremblais, je frissonnais mais je n'avais pas mal.


Elle continuait à pousser son gode dans mon cul, je le sentais qui glissait sans trop de résistance, je ne comprenais plus rien, je ne savais pas ou elle en était. J'avais des sensations contradictoires, je sentais le gode bien profond dans mon cul, je le sentais juste à l'ouverture.


En fait je ne comprenais pas mais ça allait, c'était intense mais pas vraiment douloureux.


Je regardais mon camarade, la fille sur ses genoux se levait, se laissait retomber puis recommençait. Il la retenait lui caressait le ventre, les seins, puis il glissait ses mains entre ses cuisses, elle écartait les cuisses autant qu'elle pouvait et je voyais la queue de mon pote qui glissait aisément entre.


Elle gémissait fort maintenant, j'y avais touché à la queue de mon pote et je savais que c'était du gros calibre, du très gros calibre. Mais c'est vrai que les filles on des aptitudes naturelles que les hommes n'ont pas. Enfin à condition de passer par l'ouvertures homologuées ( si j'ose dire !).


La douleur dans mon cul était toujours très faible, très supportable, limite agréable. Je sentais le gode glisser et brusquement je me sentais poussé en avant.


Le petite m'avait rentré son gode bien à fond, elle me poussait alors en avant, son ventre s'écrasait sur mes fesses.


Là j'ai manqué d'air. C'est un plaisir étrange que j'ai ressenti alors, un plaisir qui rayonnait jusqu'à ma bite, elle s'était faite oublier celle là, mais là elle se rappelait à ma mémoire du fond de sa cage. J'avais l'impression de bander mais aussi de ne pas bander.


Je touchais ma cage et je me rendais compte que ma queue était comme dure mais sans pour autant prendre toute la place dans la cage quand je bandais.


En fait je bandais mais si on peut bander mou, là je bandais petit. C'était étrange et là, j'ai éprouvé un plaisir intense, j'éjaculais. Juste un jet violent mais puissant puis je jutais, un flot, faible mais continu glissait hors de ma queue.


Tout mon corps s'est mis à trembler, c'était bon, c'était un orgasme incroyable qui durait dans le temps. Ma compagne du moment s'est rendu compte de ce qui m'arrivait, je me laissais tomber en râlant de plaisir peut être, mais pas que...


Je demandais, je lui demandait de s'arrêter. Elle se penchait sur moi, me donnais un dernier baiser sur la nuque et se retirait. J'étais à bout de souffle, je jouissais toujours et la douleur que j'avais encore au niveau du cul un peu plus tôt s'était transformé en un incroyable plaisir.


Toutefois une certaine douleur, légère mais réelle, revenait.


Puis elle disparaissait dans la salle de bain.


Mon pote Lionel me regardait, il avait l'air ravi. Dans ses bras la fille se tordaient de plaisir, elle lui faisait face, elle était assise sur lui, elle le saisissait, elle le repoussait, elle criait de plaisir, elle gémissait. La pauvre elle était retournée. Enfin quand je dis la pauvre, je ne suis pas sûr qu'elle était à plaindre.


La mienne revenait. Elle avait un autre gode dans la main. Je ne comprenais pas tout ce qui se passait. Elle me fixait le premier gode dans le cul avec des lanières affin d'être bien sûr qu'il reste en place.


Sur le dos maintenant ! Me disait-elle.


Je ne comprenais plus rien, je m'exécutais.


Maintenant on inverse les rôles.


Elle me fixais le nouveau gode autour de la ceinture, elle n'utilisait pas les lanières, ces dispositifs peuvent se fixer directement sur les cage de chasteté et en quelques instants je me retrouvais avec une jolie queue, à la bonne place et qui se redressait fièrement.


Je me masturbais, mais je ne ressentais pas la moindre de mes caresses. C'était très bizarre. Ça réveillait certains souvenirs, quelques années plus tôt, avant que je ne passe à l'âge adulte. À cette époque ou je pouvais encore je masturber quand je voulais, même si je ne le faisais pas souvent.


Vous savez, l'éducation puritaine, c'est quelque chose …


Puis je l'ai vue me chevaucher, elle me faisait face et me regardait dans les yeux. Elle se glissait sur cette bite, elle faisait glisse cette fausse bite en elle. Je ne sentais absolument rien sinon ses cuisses sur les miennes mais elle ne cachait pas son plaisir.


Cette bite en plastique glissait rapidement sur toute sa longueur. Elle se penchait alors sur moi et me caressait avec des seins, je lui caressais le dos avec mes mains, je lui caressais les fesses mais ne tentais aucune entrée du coté non conventionnel, même pas le petit doigt. Au mieux elle me le demanderait.


Ensuite je la voyais s'agiter, elle s'enfonçait sur le gode, se relevait pendant quelques minutes. Vous savez avec ce genre de truc on ne risque pas de débander ni éjaculer trop tôt. La fille sais qu'elle pourra faire durer tout le temps qu'elle le souhaite.


J'ouvrais grand mes yeux, je regardais ça, je n'y croyais pas, je sentais son corps chaud et doux, je la sentais trembler de plaisir, elle aimait, ça ne faisait aucun doute. Elle m'embrassait, je lui rendais ses baiser. C'est elle, encore elle, qui contrôlait tout. Moi je n'étais plus qu'une poupée, un jouet pour son plaisir.


Retourne moi, passe par dessus.


Et elle se laissait tomber sur sa droite et m'entraînait avec elle. Je suivais le mouvement et je me retrouvais allongé sur son corps, les jambes entre ses jambes. J'en revenais pas, là c'est moi qui prenais le contrôle mais je ne ressentais toujours rien. Cette bite en plastique ne marchait pas. Enfin elle ne marchait pas pour moi, juste pour elle.


Quand je regardais vers le bas je la voyais entrer, sortir, j'accélérais le mouvement, elle criait … '' Plus fort !''. Je me donnais plus fort. Elle criait '' Oui, oui plus vite !''. J'accélérais.


Mon cœur battait vite, j'ai bien cru que j'allais avoir un malaise, mais je suis jeune et ce n'était qu'une impression. J'ai tenu le coup, je la sentais vibrer, trembler et au moment exacte ou elle a crié de plaisir, au moment ou elle a joui, j'ai joui moi aussi de nouveau.


Et de nouveau j'ai éjaculé.


Elle me cramponnait et me tirait vers elle, je me suis laissé retomber sur elle de tout mon poids !


Je ne suis pas trop lourd ? Lui demandais.

Non, tu es parfait. Me répondait-elle.


Je jetais un œil en direction de mon pote Lionel. Avec sa copine ils en étaient au même niveau que nous. Ils en étaient eux aussi au niveau du dernier gros câlin.


Nous étions quatre amants, comblés, heureux. Même moi j'avais joui.


Ma cage s'était totalement faite oubliée, elle se réveillait à ma conscience, ma queue se réveillait, doucement, même elle était heureuse. Elle avait juté deux fois. Deux fois oui, c'était un grand soir … Il a fallu retirer le gode que j'avais encore dans le cul, là je l'ai senti ressortir. Puis c'était un plaisir intense,je me sentais bien, vidé mais bien.


On est resté passer la nuit sur place, on a discuté, il a bien sûr fallu que je parle de ma cage, que j'explique.


Le lendemain on se saluait on échangeait nos téléphone, Corine c'était celle qui s'était amusée avec moi, Virginie celle avec laquelle Lionel s'était amusé.


Lionel prenait lui aussi les numéros de téléphone des fille mais lui ne les conservait pas, il était marié !



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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