JUSTE TIRER MON COUP épisodes 1 à 2/2

JUSTE TIRER MON COUP 1



Soixante quinze jours, j'avais relevé le défi. L'année précédente j'avais porté le dispositif de chasteté pendant cinquante jours non stop. Je voulais faire plus cette année. Je ne l'ai pas porté qu'une seule fois pendant cinquante jours, je l'ai bien sûr porté à plus d'une autre reprise, cinq semaines par exemple de fins novembre à Noël, puis tout le mois de Janvier … J'ai porté le dispositif plus de deux jours sur trois en moyenne depuis le début de l'année.

Nous étions le premier Novembre, Loctober se terminait dans la sérénité, pas de cris, pas de larme, un peu de frustration et de manque mais une grande sérénité dans mon esprit et dans mon corps. Je n'avais pas pu tripoter ma nouille depuis plus de deux mois … Mon corps, mon cerveau attendaient le jour, l'heure ou je choisirai de me libérer.  Pour le moment je gérais avec délectation le stress des derniers jours, des dernières heures.

Ce stress semblait plus fort que quelques semaines plus tôt, pourtant il s'agissait de soixante quinze jours et le manque aurait déjà du être ma seule obsession depuis déjà un moment. L'an dernier au bout de cinquante jours j'étais prêt à continuer encore jusqu'à la fin de l'année ou au moins jusqu'à Noël et c'est seulement à cause d'un petit incident de parcoure que j'avais retiré le dispositif. Une irritation intense s'était manifestée sur le côté droit à la base de mon pénis, et ne se calmais pas. J'avais alors décidé de retirer le dispositif, finalement c'était juste les poils qui repoussaient. Il a fallu une petite semaine pour que tout entre dans l'ordre, j'ai remis le dispositif au bout de la semaine mais le décompte était arrêté.

J'avais largement dépassé ma période de l'an dernier, le passage des cinquante jours n'avait présenté aucune difficulté. C'est seulement, à la fin de mon défi que mon corps protestait. C'est sans doute le fait de savoir que j'allais mettre fin à cet enfermement. Peu de temps avant, mon corps savait que la semaine qui venait ne verrait aucun changement, la suivante non plus … Mais à ce moment mon corps se disait que une heure plus tard peut être mon cerveau aurait pris la décision.

En fait la décision je ne voulais pas la prendre comme ça, en claquant les doigts puis en retirant fébrilement ma cage à bitte avant de me branler comme un malheureux branleurs, un de ces branleur pathétique que je décris quelquefois dans mes histoires, et qui quelque part tient un peu de moi ( oui là je sais ce commentaire était inutile … Je ne le referai plus ) . Il me faudrait un élément déclencheur, un protocole, une mise en scène, une situation. ( c'est tout de même plus classe ! )

Un élément dans le genre, une sortie en boîte ou en club, un lieu de sortie convenable. Un lieu ou on peut consommer sur place … Je ne vais pas aller traîner n'importe ou moi ! Surtout au bout de soixante quinze jours. Je n'avais pas pensé à cette manière de sortir par la grande porte de cette période d'abstinence, elle s'imposait à mon esprit. Pas de branlette, pas de plaisir solitaire et ce même si j'aime bien, même si ça me ferait terriblement plaisir, même si j'en avais vraiment envie. Je laisserais quelqu'un d'autre me faire cracher ma sauce et le laisserais librement disposer de mon corps.

En attendant je me délectais des ces derniers moment de frustration et de manque.

Le week-end approchait, on ne serait plus à soixante quinze mais deux de plus. Ce ne sera plus un chiffre rond, bein oui soixante quinze est un chiffre rond, c'est les trois quart de cent !

Jusqu'à l'heure du départ presque, je garderai sur moi ce dispositif, jusqu'au dernier moment je me préserverai, je m'interdirai de me faire plaisir. Physiquement on ne ressent rien de particulier quand on retire le dispositif. Je n'ai rien ressenti, même pas un soulagement. Le dispositif est parfaitement ajusté et ne provoque plus aucune gêne depuis longtemps.

Sous la douche le contact était tout bizarre, là ou il y avait un obstacle je retrouve une masse, petite masse, de chair molle, qui prenait du volume, je décalottais et constatais que comme prévu, le dispositif n’empêchait pas l'hygiène.

Les couilles pendaient enfin librement, elles avaient formé pendant toutes ces semaines une seule boule dure, elles ne s'étaient vraiment détendues que rarement. Elles ne s'étaient pas laissé pendre mollement comme à ce moment, sous l'eau chaude, elles pendaient lourdement, se balançaient et rappelaient à ma mémoire une sensation que j'avais déjà commencé à oublier.

La petite masse de chair molle finissait par prendre de l'importance, et peu à peu se transformait en gros muscle dur. Je décalottais et m'offrais une sensation, une convulsion en passant ma main longuement savonnée sur mon gland. Je recommençais plusieurs fois de suite et c'est tout mon corps qui se contractait, qui convulsait.

A cet instant il a vraiment fallu que j'use de toute ma volonté pour ne pas aller plus loin, me laver la queue bien fermement même si elle était propre. Il a fallu que je me retienne de ne pas pousser plus loin, de ne pas pousser trop loin car ce soir là le trop loin était à porté de la main, était là, juste là. Un geste de plus, un coup de poignée de plus, une caresse de plus, même une caresse douce. Je continuais donc à me laver les autres parties de mon corps, je ne revenais à ma bitte que plus tard pour me rincer, je bandais toujours.

Je ne cessais de bander que plus tard quand je m’étais habillé, quand j'avais bien ajusté mon pantalon, quand j'avais mis mes chaussures, refermé ma chemise, quand j’étais présentable prêt à partir. Et même là, je bandais encore à moitié.

Mon corps protestait, il avait attendu pendant des semaines sans protester autant mais là, plus rien ne gênait. Mon corps et une partie de mon cerveau demandait à l'autre partie de mon cerveau de lui accorder, d'accorder à tout le monde un instant de plaisir … Il ne faudrait pas longtemps … Juste quelques instants … Mon cœur battait fort, il semblait rejoindre l'avis majoritaire … Ma respiration suivait également … La volonté de respecter un protocole que j'inventais au fur et à mesure répondait non, avec la promesses d'un plus grand plaisir.

Ma bitte me répondait alors que le plaisir elle pourrait me le donner de nouveau dans la soirée … '' Et plusieurs fois si tu veux ! '' semblait-elle me crier.

J'hésitais encore un long moment et c'est ma volonté qui triomphait. Je tenais bon, la frustration était à son comble. Pendant toutes ces semaines elles n'avait jamais été aussi forte, jamais aussi jouissive, jamais aussi déroutante. La frustration provoquait en moi à la foi une satisfaction proche du plaisir et un manque. Ça devenait étrange, déroutant, me semble un mot approprié.

Au travers de mon pantalon je me massait une dernière fois mon entre-jambe avant de partir, il était à la fois tout dur et tout mou. Je n'étais plus habitué, il n'y avait plus ce truc dur comme de la pierre, cette prison pour bitte.

Je ne sais pas si c'est un réflexe, un besoin de ne pas m'éloigner de ce dispositif qui ne m'avait pas quitté depuis des semaines mais j'emportais avec moi mon dispositif, au fond de la poche de mon blouson.

Je faisais route, un bar branché pour commencer. Il ne faut pas délirer je ne vais pas aller boire un verre dans un bar familiale ou un bar à poivrot. Enfin poivrot je veux bien mais à condition que ça se termine en sauterie sexuelle. J'en connais pas je me contentais donc d'un bar normal, fréquenté uniquement par des hommes, avec une arrière salle ou on peut tâter … Pardon je m'exprime mal, ça m'arrive quelquefois, je ne voulais pas dire qu'on peut pas se tâter en dehors de cette salle. Non c'est un bar normal, on peut se peloter, s'embrasser, picoler mais devant tout le monde il semble un peu plus convenable de ne pas se tripoter, se sucer ou encore s'enculer. Même si dans le bar ou je suis allé on a vu des soirées qui débordaient un peu et personne pour se plaindre …

Un mec m'aborde et commence à me faire la conversation. Ça commençait fort ce soir là, il avait  une bonne tête bien carrée, une belle carrure, plus petit que moi, belle gueule, sourire charmeur. Pas mal finalement !

… Tu viens souvent ici …
… Tu es tout seul …
… Je ne t'avais jamais vu ici …

Je ne restais pas à lui faire la gueule, je participais à la discussion. Quand un autre mec arrivait et lui donnant une claque sur l'épaule lui gueulait dessus.

… Tu te fous de ma gueule ! Oué je vois comment ça se passe quand je ne suis pas là, quand je pars pendant des semaines pour gagner du fric. Tu ne te contentes pas pas de dépenser mon fric, en plus tu sautes sur tout ce qui bouge …

Là j'écoutais, et remarquez, là je ne bougeais plus !

Le premier lui répondait alors : '' Tu parles ton fric connasse, oh ça tu sais me le jeter à figure, ton fric … ''.

Je commandais un verre en prenant un air détaché, le bar man ne semblait pas non plus s'inquiéter, je me décalais ensuit d'un petit mètre pour être plus tranquille. En me servant le bar man me glissait à l'oreille. '' Ne t'inquiètes pas c'est deux folles, dans deux minutes elles vont toutes les deux pleurer sur l'épaule de l'autre … ''.

Un autre type arrivait et me faisait la conversation à son tour. Lui me faisait un monologue qui commençait par … '' Tu viens souvent ici, ça m'a lair cool, on baise à côté, '' … Et qui se terminait par '' tu veux pas qu'on aille voir comment ça se passe ? ''. Il me semble avoir retranscrit tout son monologue. Au moins celui là il ne perdait pas de temps. Je lui répondait '' Un peu plus tard, c'est une idée à développer … ''. Il me répondait alors '' Ok, on se revoit tout à l'heure.''. Il repartait et je l'entendais faire cette proposition à autre un mec un peu plus loin … '' Tu viens souvent ici, ça m'a lair cool, on baise à côté,  tu veux pas qu'on aille voir comment ça se passe ? ''

'' Mais qu'est-ce qu'ils ont tous ce soir, c'est la pleine lune ou quoi ? ''

Du regard je parcourais la salle et c'est là que je l'ai vu, en fait j'ai surtout vu son sourire. Il était dans un recoin, tout seul, l'air timide, dans un endroit mal éclairé. Il portait des vêtements noir et comme sa peau était à peine plus claire que ses vêtements il était presque invisible. Je ne pouvais plus détacher mon regard.

Ses yeux parcouraient la salle, il faut dire que ce soir là tout le monde semblait bien énervé, sauf ce garçon magnifique. Ses yeux se posaient sur moi, nos deux regards se croisaient et il me souriait, j'en faisais de même et je me demande même si j'en faisais pas un peu trop. On ne bougeait plus, on se regardait. Je ne sais pas combien de temps cet instant à duré. Le bar était soudainement devenu calme, il n'y avait plus un bruit, plus la moindre agitation …

Je finissait par lui faire un geste de la tête, je l'invitais à me rejoindre. Il me répondait par un salut de la tête, semblait hésiter et se décidais, on se retrouvait au bar. Son verre était vide je lui en proposais un. Il me faisait oui de la tête avec un large sourire. J'appelais le bar-man en criant pour me faire entendre dans ce vacarme. Puis on faisait connaissance.

Il était beau, très beau. Il était habillé tout en noir, sans doute pour passer inaperçu. Une unique couleur de la tête jusqu'à ses pieds, avec juste cet éclair brillant, son sourire. J'étais sous le charme.

On a pris le temps de faire connaissance ce soir là.  On n'est même pas allé se tripoter dans la salle prévue pour ça. Je n'avais plus que l'envie de le prendre dans mes bras. Je devinais la douceur de sa peau, j'espérais que ce qu'on dit sur les hommes à la peau sombre soit vrai …

Comment ça, il y en a un qui ne voit pas de quoi je veux parler ? … Pfff … Enfin quoi on dit que les Black on tous une grosse queue ! … Il y en a je vous jure , il faut tout leur expliquer … Oui je sais ce n'est pas toujours vrai ! Mais bon, j’espérais que pour le coup ça le serait !

Je reprends … Je l'observais du coin de l’œil, il était mince, musclé et mon regard revenait automatiquement sur son sourire. J'avais envie de le toucher mais je ne sais pas pourquoi, il m'intimidait. Il était trop beau peut être.

Un peu plus tard on décidait de sortir dans une boite de nuit. Le bruit, la chaleur, la foule nous poussaient l'un contre l'autre et c'est à ce moment que nos lèvres se sont touchées. C'était un rêve, vous savez un de ces rêves si rare qui vous transporte, vous soulève du sol et qui vous repose avec douceur, ce genre de rêve qui est mieux que la réalité et qui pourtant est la réalité.

Nous nous tenions fermement, cramponnés l'un à l'autre. Aucun de nous deux ne voulait plus lâcher l'autre. Il avait passé sa main sur ma nuque et avec la paume de sa main et son pouce me caressait la joue. J'avais glissé mes deux mains contre son corps, sous sa veste, je sentais ses muscles. Je bandais comme un fou et je vous jure que j'ai eu un mal fou à ne pas lui arracher ses vêtements et à ne pas le retourner, le basculer , le culbuter sur une table et à ne pas l'enculer là comme une bête sans rien lui demander en le faisant hurler alors que je gueulerais moi aussi de plaisir, du plaisir enfin consommé . Oué !

Heu …

Je vous prie de m'excuser pour cette instant de romantisme, j'avais oublier que normalement mon histoire devait être une histoire de cul, enfin c'est ce qu'on attend sur ce site … Désolé ! … ( Note de l'auteur )

Je ne le lâchais pas, mes mains parcouraient son corps sous sa veste, elles descendaient sur ses fesses que je sentais fermes puis remontaient tout le long de son dos, il passait une jambe entre les miennes et écrasait mollement mes couilles, pour ce qui est de ma bitte le mot ' mollement ' ne convient plus. Je bandais comme un fou.

Je pouvais constater au passage que je n'étais pas le seul et que finalement, ça pourrait être prometteur, comme quoi les légendes urbaines qui disent que les black, bein ils ont une grosse bitte, bein c'est pas toujours des carabistouilles …

Je glissais une main entre nos deux cuisses ( Façon : tient je cherche quelque chose dans ma poche ? … Non même pas ! ) juste pour tâter, je ne m'en cachais pas et j'étais conforté … Il en avait une belle !

Il en faisait de même et resserrait son étreinte, à cet instant je vous jure qu'on était indécollable, je glissait moi aussi une jambe entre ses cuisses. S'il n'y avait pas eu le bar pour s'appuyer je pense qu'on aurait fini par tombé par terre.

Nos bassins s'écrasaient l'un contre l'autre comme s'ils voulaient déjà se mélanger. Nos bras faisaient preuve de force, nos mains n'étaient que tendresse et caresses. La douceur de la paume de sa main sur ma joue, celle de mon pouce  sur son front, sur ses yeux.

Cette  étreinte folle était suivie par un long moment de tendresse. Je lui caressait je visage avec un doigt, je le passais sur ses lèvres. Il me le suçait comme une promesse de plaisirs à venir. Je continuait sur ses yeux, doucement, tout doucement. Il m'embrassait alors avec passion. Puis je couvrais son visage de baisers qu'il me rendait.

'' ALORS LES FILLES, JE VOUS SERS QUELQUE CHOSE ? ''

C'était le bar-man qui nous rappelait à la réalité. Il nous a fait sursauté là et en plus il avait l'air content de lui. Nous n'avions pas vu le temps passer, la soirée avançait. On prenait un petit verre pour la route.

Théo : Dis donc Charly tu m'as l'air d'être un grand tendre toi ?
Moi : T'aimes pas les câlins ?
Théo : Si j'adore, même les câlins virils.
Moi : Câlins virils ?
Théo : Tu es plutôt actif ou passif ?
Moi : Passif, mais pas que …
Théo : Je te préviens que j'ai une grosse queue.
Moi : Des promesses, toujours des promesses.

Il rigolait de ma réponse.

Théo : Je déconne pas plus d'un a pris peur au moment ou …
Moi : Ouai … Moi, même pas peur !

Une heure plus tard  on était chez lui, il me poussait sur le lit et se laissait retomber sur moi.



JUSTE TIRER MON COUP 2



Je le recevais dans mes bras, les refermais sur lui. Je le serrais contre moi, je le serrais fort. Ses mains se promenaient sous mon blouson …

Théo : Mais c'est quoi ce truc qui gêne là dans ta poche ?

Il m'arrachait mon blouson qui se retrouvait sur le sol, ensuite c'était ma chemise qui suivait. Quand il se laissait retomber sur moi, je lui faisais la même chose. Nos torses se touchaient, nos torses se frottaient l'un à l'autre, j'avais espéré une peau douce, c'est de la soie que je sentais contre moi. Une peau tellement douce, une couleur sombre qui prenait tellement bien la lumière. Je posais mes lèvres partout ou je le pouvais, et les caresses je les donnais sans aucune retenue avec mes mains, ma bouche, mes lèvres.

Fébrilement mes mains se précipitaient sur son pantalon, je l'ouvrais et le faisait glisser. Il relevait son corps  pour m'aider dans mes mouvements et c'est une queue énorme qui bondissait en dehors de son pantalon. Mon cœur battait à tout rompre, c'était au delà de mes espoirs. La promesse qu'il m'avait faite à la manière d'une menace et finalement c'était peut-être véritablement une menace.

Je caressais sa queue fermement, ses couilles également et je voulais plonger pour les prendre dans ma bouche mais il me plaquait contre le lit sur son dos. Il ouvrait mon pantalon, me le faisait glisser et c'est une grosse bitte qui en sortait également. J'en était presque surpris, ça faisait tellement longtemps que je ne l'avais pas vu dans cet état. J'en était ravis mais j'en était surpris.

C'est lui qui alors plongeait sur ma queue, me la prenait dans sa bouche et me suçait. Je frémissais de plaisir. Rapidement il me gobait aussi les couilles. Tous mes muscles se détendaient, remués encore par quelques convulsions, mais détendus. Je me relâchais totalement, respirait à fond, mon cœur battait fort, très fort et dans ma tête je me concentrait pour ne pas jouir, pour ne pas jouir trop vite.

Je lui caressais les cheveux. Ce garçon inconnu quelques heures plus tôt était devenu en peu de temps un familier, j'avais l'impression de l'avoir toujours connu tant je me sentais bien entre ses bras.

D'un mouvement rapide il se relevait. Je pouvais alors l'admirer, il avait un corps magnifique dépourvu de poil. Autour du sexe il était épilé. Pour moi c'était le seul endroit ou je n'avais pas de poil, je m'épile. Il se dégageait de son pantalon et le repoussait plus loin, se penchait vers moi, tirait sur mon pantalon et me le retirait ainsi que mes chaussettes et chaussures. On se retrouvait enfin totalement nus, il était beau, il me regardait, il me souriait avant de se laisser tomber sur moi avec une grande douceur, il faisait attention à ne pas m'écraser.

De nouveau nos torses se frottaient l'un contre l'autre. Ma fourrure le chatouillait, je le sentais frissonner. Pour moi c'est la douceur de sa peau qui me faisait frissonner. Je fermais les yeux, je ne les ouvrais même pas quand nos lèvres se collaient l'une à l'autre. Ses baisers étaient chauds. A chaque fois que je voulais passer à l'action il me recouvrait de caresses, de baisers encore plus tendre, encore plus intense …

Je parvenais à le retourner sur le dos et à l'embrasser sur tout le corps en descendant vers son sexe. Il ne me retenait plus, il me laissait faire. Je sentais tous ses muscles se détendre au moment ou je prenais sa queue dans la bouche. Je l'avais vu énorme, elle était seulement de très belle taille, mais avec mon entraînement je parvenais sans difficultés à la prendre dans ma bouche.

J'en profitais, je la suçais, je passais ma langue sur son gland et quelques frémissements me disaient qu'il aimait. Il m'encourageait en me caressant les cheveux.

Les instants de fièvre étaient oubliés, j'avais dans mes bras un corps magnifique, totalement détendu, j'avais dans la bouche un très belle queue que j'espérais bien me prendre dans le cul. Je lui gobais les couilles, il se saisissait un peut et je sentais ses muscles se contracter.

Je remontais mon visage contre le sien, et restais là une ou deux secondes qui semblaient durer des minutes, de très longues minutes à le contempler, il me souriait. De nouveau nos bouches se collaient l'une à l'autre, nos langues se combattaient dans une lutte de douceur, nos bras caressaient l'autre, nos jambes se mélangeaient, nos sexe se touchaient. Nous bandions fermement.

Il me retournait sur le ventre sans rien me demander, longuement il me couvrait de baisers entre les omoplates, il me chatouillait et me faisait rire. En même temps d'un doigt fouillait entre mes fesses, et avec un peu de gel fouillait un peu plus profond. Un doigt, puis deux passaient, me dilataient doucement mais fermement l'anus. Je soupirais de plaisir, tournais la tête sur le côté.

Deux doigts me massaient doucement la prostate, j'ouvrais la bouche pour gémir, il déposait alors un baiser sur la commissure de mes lèvres et frappait plus fort contre ma prostate. Je gémissais, il frappait alors très fort. Je repliais alors mes bras sous mon ventre et tentais de me relever. Ils s'allongeait alors sur moi et c'est sa queue qui maintenant poussait contre mon anus. Je respirais fort et le laissais faire.

Il poussait, mon cul résistait. Il forçait, mon cul s'ouvrait, se dilatait et je sentais son énorme pénis s'enfoncer lentement dans mon cul, je le sentais me remplir. Son mouvement était lent, il ne me faisait pas mal mais ce devait être à la limite. C'était bon. Sa peau contre la mienne, c'était bon. Ses cuisses allongées entre mes cuisses, c'était bon. Ses baisers dans le cou, c'était bon. Son corps chaud qui s'écroulait sur moi, c'était …

Et ma queue, heureuse de sa liberté retrouvée, fièrement allongée contre mon ventre, entre le lit et mon ventre. Ma queue ne réclamait plus le plaisir qu'elle avait tant attendu. Ma queue désormais savait attendre, elle laissait le plaisir monter, venir. Il viendrait quand il le voudrait, il viendrait quand plus rien ne pourrait l'en empêcher. Il viendrait quand il le déciderait et ce serait une explosion de plaisir.

Mon corps désormais était disposé à attendre.

Le ventre de Théo s'écrasait contre mes fesses. Je râlais de plaisir et un peu de … Finalement peut être pas. Non … Je ne râlais que de plaisir !

Il appuyait de toutes ses forces, j'ai aimé, j'ai contracté mes bras mais sans le vouloir. Théo m'enlaçait alors et me retenait fermement. Il enfonçait alors sa queue dans mon cul avant de la retirer avec lenteur. Pas vraiment avec douceur, elle était trop grosse pour ça mais avec lenteur.

Je la sentais bien qui glissait dans mon muscle anal totalement distendu. Elle glissait, entrait, sortait. Je convulsais et par réflexe tentais de me dégager. Il resserrait alors les bras autour de moi.

Il me glissait à l'oreille '' Referme les cuisses !''. Je m'exécutais, j'avais un peu d'appréhension mais je m'exécutais. Il passait alors ses jambes à l'extérieur des miennes, ses genoux à l'extérieur de mes cuisses puis reprenait les mouvements de son bassin. Mes fesses étaient bien refermées, mon cul redevenu étroit, terriblement étroit, s’alarmait.

Théo m'embrassait dans le cou, me mordillait les épaules et appuyait de toutes ses forces son bassin contre mes fesses quand sa queue arrivait au fond de mon cul. Ma prostate s'affolait, je gémissais fort, je râlait et là, ce n'était pas que du plaisir … Enfin …  Oubliez  de que je viens de dire, c'était un plaisir de chaque mouvement, un plaisir de chaque seconde. Un plaisir qui finissait par me faire hurler. Ensuite j'étais pris de tremblement nerveux, je ne contrôlais plus mon corps, je pleurais, je gémissais, je bavais … Je ne lui demandais pas d'arrêter et il n'arrêtait pas.

Il continuait à me labourer le cul, à m'éclater la rondelle. Ses mouvements étaient devenus violents. Son ventre s'écrasait avec brutalité contre mes fesses puis poussait de toutes ses forces. Il se retirait ensuite entièrement, sa queue ressortait de mon cul et revenait. Parfois il passait sa main, glissait un doigt en moi et c'était sa queue qui revenait avec violence.

Sa respiration devenait plus forte, il râlait de plaisir et gueulait finalement au moment ou il jouissait en moi. Il se laissait alors retomber sur mon dos de tout son poids. Ce contact chaud et doux était agréable, je retrouvais rapidement sa douceur. La douceur de ses lèvres, de ses caresses, de sa peau. Je continuais à chialer encore un moment avant de retrouver totalement mon calme. Il se retirait.

Je restais là amorphe, sans bouger, sans pouvoir bouger. Pas la force, pas envie, je ne sais pas mais je ne bougeais pas. Je continuais à respirer fort encore un long moment. Je me retournais sur le dos, je tentais de me relever mais j'étais alors pris de vertige, je retombais sur dos avec un grand sourire, j'étais heureux. Je ne bandais plus, je n'avais pas juté mais j'étais heureux.

Théo s’asseyait en tailleur à côté de moi. Il me caressait tout doucement et finalement ce sont nos mains seules qui se caressaient avec douceur. Il posait sa main sur mon visage, me caressait la joue avec une extrême douceur, je lui suçais un doigt, ça le faisait rire.

Théo : Là tu m'as épaté ! Tu sais !
Moi : Éhéééé !

Je le faisais rire, il me donnait un baiser sur la bouche et me caressait la bite.

Théo : Tu n'as pas joui ?
Moi : Siiii !

Il me regardait avec ce qui regard qui semblait exprimer un sentiment … De … Non pas d'amour c'est trop tôt … Mais du sentiment tout de même.

Théo : Ça va ?
Moi : Super !

J'avais un large sourire béat.

Théo : Tu es prêt à remettre ça ?
Moi : Non mais je n'ai pas la force de résister.
Théo : Tu veux pas remettre ça ?
Moi : C'est toi qui décide. Moi j'en peux plus je suis mort … Mais c'est toi qui décide.
Théo : ( en m'embrassant ) Tu es un peu fou mais c'est vrai que tu es un bon coup toi, tu encaisses bien !
Moi : C'est vrai que tu as une grosse queue, tu n'avais pas exagéré !

Un peu plus tard je parvenais à me lever, on se retrouvait sous la douche. Je ne bandais plus, lui, il bandait mou. C'était agréable à voir cette grosse molle, qui se balançais devant lui entre ses cuisses à chacun de ses mouvements.

Je n'avais pas juté, je ne m'étais pas vidé les couilles, et ça faisait maintenant un long, très long moment mais je me sentais bien, très bien. Ma bitte n'avait pas craché mais ne disait plus rien. Pourtant quelques heures plus tôt elle protestait tout ce qu'elle savait. Maintenant elle ne disait plus rien.

Théo : Tu ne t'es pas branlé, tu n'as pas juté ?
Moi : Tu veux me branlé.
Théo : Toi branle toi !
Moi : Non. Toi, branle moi !
Théo : Non je veux pas mais si tu insiste je t'encule !
Moi : Des promesses, toujours des promesses …
Théo : Tu devrais savoir maintenant que je sais tenir mes promesses !
Moi : Même pas peur !

Il me prenait dans ses bras, l'eau coulait sur nos deux corps. Nous nous embrassions avec passion. Je sentais sa queue se relever entre mes cuisses et je sentais la mienne qui la suivait.

Moi : Mais c'est que ça recommence cette histoire !
Théo : Mais c'est que tu as une petite bitte toi !
Moi : Mais c'est que tu as une grosse bitte toi !

Il prenait un air macho et faussement menaçant.

Théo : Mais c'est que tu me cherches toi !
Moi : Mais c'est que tu vas me trouver toi si tu continues !

Il me retournait contre le mur de la douche, je rigolais, lui aussi !

Il m'enfonçait sa queue dans le cul, je ne rigolais plus, je hurlais mais le laissais faire, il respirait fort dans mon oreille, me serrait fort contre lui et avec une certaine violence recommençait à me la labourer le cul. Rapidement je hurlais, mes jambes m'abandonnaient mais il me retenait. Et c'est coincé entre le mur et lui que je subissais de nouveau ses assauts. Pas de préliminaires, pas de détails, il me défonçait le cul. Pour lui le but était simple en finir, se vider les couilles, et se faire plaisir.

J'ai pleuré, j'ai gémi, j'ai râlé, j'ai hurlé, je me suis levé sur la pointe des pieds au moment ou il enfonçait sa queue à fond. Je l'ai senti frémir et me serrer de toutes ses forces quand il a juté de nouveau en moi, puis j'ai senti ses muscles se détendre et je me suis effondré sur le sol, il a alors ouvert la douche.

J'étais KO, j'avais le sourire, je me sentais bien, j'avais mal au cul mais j'étais content ! On se séchait et on se retrouvait dans le lit mais là c'était pour dormir …

On se réveillait le lendemain dans les bras de l'autre. J'ai aimé ce moment ou j'ai ouvert les yeux, il y avait un peu de lumière dans la chambre, j'ai eu tout mon temps pour admirer le beauté de son grain de peau et sa couleur chaude. Il s'est réveillé un peu après moi, m'a sourie. Il s'est ensuite levé et a shooté dans un truc qui traînait sur le sol.

Théo : C'était quoi ça ?

Il s'est penché pour ramassé le truc qui traînait. C'était ma cage à bite qui avait du tomber de ma poche. Il me montrait alors le truc avec un regard interrogateur.

Je lui expliquait.

Théo : A ouai, j'ai vu des trucs comme ça sur internet …

Il examinait longuement le truc sous tous les angles.

Théo : Et tu portes ce genre de truc toi ?

Je faisais oui de la tête. Suivaient tout un tas de questions pleine de curiosité.

Ça fait mal ?
Ça gratte ?
Ça te gêne pas ?
Ça me trou l'cul ton truc !

Tu me fais voir dis !

Ça le faisait plutôt rigoler cette histoire, il se marrait j'en faisais autant. J'étais totalement détendu et avec la soirée de la veille, même si je ne m'étais pas vidé les couilles la veille, même si ne n'avais pas juté et que ma queue n'avait pas craché sa sauce, je ne bandais pas vraiment, en plus j'avais mal au cul !

Je passait mes couilles et ma queue dans le cock-ring, il me regardait faire avec attention. Il me tendait même la cage, toujours guidé par la curiosité.  Je l'enfilais, tout était en place.

Théo : Wouah ! Mais c'est vrai que tu es sexy comme ça ! Mais là tu peux le retirer comme tu veux !
Moi : Il y a un système de fermeture, un cadenas …

Il fouillait dans ma poche, le trouvait et me le tendait. Sur ma lancée je glissais le cadenas, le refermais et retirais la clé … Je tenais alors ma clé fièrement du bout des doigt. Il regardait l'air amusé.

Théo : Fais voir ce que ça donne quand tu bouge, quand tu marches.

Je me levais sans méfiance et me déplaçais dans la chambre.

Théo : Allez on prend le petit déj !

Il partait vers la cuisine, il gardait ce large sourire jovial et plein de curiosité, j'avais moi aussi un sourire jovial et confiant. On prenait notre petit déjeuner.

Il bandait, rapidement je m'amusais à lui caresser la bite, il me caressait les couilles puis.

Théo : Tu as combien de clés pour ton dispositif ?
Moi : J'en ai plus qu'une, j'ai perdu l'autre !
Théo : C'est moi qui l'ai et je la garde ! Allez on s'habille et on va faire un tour.
Moi : Et moi alors tu me libère si tu as la clé ?
Théo : Non je te garde comme ça.
Moi : Ouai c'est ça ouai, tu délires là.
Théo : Non mais j'ai une grosse bitte, ça ne te plaît pas de pouvoir t'amuser avec ma grosse bitte, la tienne est toute petite.
Moi : Ma bitte n'est pas si petite que ça !
Théo : Si tu compare, je ne voudrais pas être vexant mais … Je te garde comme ça !

Il m'embrassait avec passion,

Théo : Bon on s'habille, on va faire un tour et au retour je t'encule et on verra …

Je crois que je me suis fais avoir ce jour là. Non seulement j'ai pas tiré mon coup mais en plus … Bon d'accord il m'a enculé … Mais en plus donc je suis reparti sur un nouveau challenge qui dure maintenant depuis plus de quinze semaines. Au total ça fait ? Je préfère même pas faire le calcul … Pfff …

Non mais c'est vrai, il abuse, heureusement qu'il a une très grosse queue, je ne vous dis pas comment on la sent passer …

Au départ moi je voulais juste tirer mon coup !



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast

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