LES AVENTURES DE DJE Ep 85 : PAS CHAMPION CETTE ANNEE

LES AVENTURES DE DJE
Ep 85 : PAS CHAMPION CETTE ANNEE


Le reste de l'année passait très rapidement. Tout s'est mis à avancer très vite. Les travaux de construction de l'université semblaient s'accélérer. De nouveaux bâtiments destinés à l'interna se construisaient et les anciens provisoires qui s'étaient montés en si peu de temps, étaient démontés au fur et à mesure. L'école prenait peu à  peu sa forme définitive … Monumentale, une façade de presque un kilomètre de large. 

La partie gauche de la façade qui était l'ancienne école était entièrement restaurée et semblait aussi neuve que le reste. Des passages entre l'ancien bâtiment et le nouveau étaient créés, les deux bâtiments n'en faisaient plus qu'un.

Deux ailes de bâtiments étaient construits perpendiculaires à la façade, juste derrière, on y installait le nouveau réfectoire et autres installation de ce genre, ils étaient séparés par une cour d'honneur qui allait jusqu'à l'autre extrémité du campus et se terminait par une ouverture monumentale à l'arrière du nouveau bâtiment ainsi obtenu.

En façade, juste en face, dans l'alignement de la cour d'honneur l'entrée monumentale principale de l'école trouvait sa place … Très exactement au  milieu de la façade … Je ne vous dis pas … Ça avait de la gueule ce truc.

Depuis ses studios télé, Luc témoignait régulièrement de l'avancée des travaux. Une inauguration se profilait. Monsieur Leconte serait là bien sûr, C'est Luc qui était désigné pour assurer l'interview. Il enregistrait plusieurs émissions courantes et disparaissait pendant une semaine au Château pour préparer cette émission spéciale.

Bob ne décevait personne pour ce qui est de son travail, il m'avait toujours fait une très bonne impression ce petit gars, il était, toutes matières confondues dans les cinq premier de ses cours … Très bonne position, résultats très réguliers. 

Il avait fallu calmer Luc pour qu'il le laisse étudier tranquillement. Luc aurait voulu que son doudou soit toujours avec lui à préparer les émissions, mais Bob avait des études à suivre, il était en fac lui. 

Mon frère me surprenait tous les  jours, en plus de ses cinq émissions télé par semaines, des chroniques qu'il écrivait régulièrement dans la presse, il présenterait bien sûr la nouvelle inauguration de l'école … Il investissait la plus grosse partie de ses revenus, ce qui ne représentait pas des sommes négligeables, dans la production d'une série de reportage pour la télé sur le thème du voyage et du dépaysement … Ça marchait très fort il avait déjà plus de vingt chaînes de télé sur la planète qui s'intéressaient à ses reportages. 

Il m'a dit un jour que s'il vendait les films à seulement deux chaînes de télé il rentrait dans ses frais. 

Et vous allez rire, la journaliste qui nous avait un peu malmenés quelques années plus tôt était désormais sous la direction de mon petit frère … 

Je donnais toujours trois fois par semaines mes soirées à la maison. Il y avait toujours mes camarades par roulement et de plus en plus de personnalités, qui voulaient s'approcher de mon frère, d'Antoine ou de moi-même. Bob profitait par sa seule présence de notre notoriété, même Charles en profitait, où qu'il aille il était reçu comme un prince … Sait-on jamais, on aurait peut être besoin un jour de demander quelque chose au majordome des trois personnes les plus célèbres et les plus influentes de la ville. 

Notre carnet d'adresse à chacun était devenu énorme, le mien et celui de mon frère surtout, ce n'était plus un carnet mais un véritable bottin, surtout celui de mon frère.

Économiquement, nos revenus ne cessaient de monter, sauf peut être pour ce qui est de Bob, il avait régulièrement des petits contrat, toujours très bien payés, Luc avec la complicité de Mr Le Conte y veillait. Mais il faut dire que son activité première à lui c'était … Étudier !

Quand le second trimestre se terminait, le calendrier était arrêté, finalement c'était pour la rentrée suivante que la nouvelle inauguration serait organisée. C'est vrai que pour mobiliser Mr Le Conte il fallait mieux s'y prendre en avance. 

J'étais au sommet de ma forme, Antoine pareil, Bob participerait également à la rencontre sportive, on avait pris les même dispositions que l'année précédente.

On s’entraînait à l’abri des médiats. 

Nous étions dans les vestiaires, bien concentrés, quand des cris nous sortaient de notre calme.

'' Alors les champions ! Vous nous ramenez combien de médailles cette année ? ''. 

Bein oui c'était mon petit frère, et il était pas tout seul, il y avait aussi un cameraman et un preneur de son.

Moi : Fout moi le camp d'ici tout de suite, et en plus tu as emmené une caméra !
Luc : Tu sais le matériel est étanche on peut même vous suivre sous la douche !

Je le regardais en prenant l'air méchant …

Luc : Bon on va peut être attendre que vous sortiez de la douche alors ...

Par contre il ne traînait pas le guignol, pour chacun d'entre nous, il attendait et lui sautait presque dessus pour avoir ses impression à la sortie de la douche. Nous sommes tous passé devant sa caméra, devant son micro avec seulement une serviette de bain autour de la ceinture. 

Certains étaient visiblement surpris, ceux qui avaient pensé qu'il n'oserait pas. D'autres semblaient gênés, d'autres encore s'y attendaient et arrivaient avec un grand sourire, ceux là jouaient le jeux. Plusieurs laissaient même tomber négligemment la serviette sur le sol pour taquiner mon petit frère et voir s'il oserait aller encore plus loin.

Et bien devinez ! Il a osé, on a pu apercevoir ainsi plusieurs de mes camarades à la télé entièrement nus avec seulement leur dispositif de chasteté sur eux … Le soir à la maison il prenait un air faussement embêté. 

Luc : J'vous jure, je ne sais pas ce qui s'est passé, on aura mélanger les bandes vidéo …
Charles : Mais nous n'en avons jamais douté Monsieur Luc ! J'en parlais à votre frère à Antoine et à votre doudou Bob et c'était là aussi notre conclusion.

Nous n'en avions bien sûr pas parlé, et on rigolait à entendre Charles dire cela en faisant des manières.

Luc : Tu te moques là Charles … Dis ?
Charles : Mais non, mais on faisait seulement semblant de te croire et tu pourrais en faire autant avec moi.

Luc ricanait alors en faisant le guignol. Il était content de son coup ! Il avait réussi son lancement des prochains jeux inter-école comme tous les ans. 

Au départ, l'année précédente on prévoyait d'inviter jusqu'à vingt écoles mais si les travaux de construction de l'école avaient bien avancé, c'était au détriment des installations sportives, elles, elles avaient pris du retard. Finalement on n'invitait que cinq écoles. Les compétitions étaient étalées du lundi au vendredi inclus, les invités seraient là du week-end au week-end inclus.

Quelques jours plus tard Antoine, Bob et moi nous retrouvions au château, juste pour quelques jours pour nous reposer un peu avant la compétition et c'est là que le drame s'est produit. 

Un matin en descendant les escaliers pour notre entraînement quotidien je loupais une marche, tombais mal, j'entendais un crac au niveau de ma cheville et ressentais une grande douleur.

Quelques instants plus tard, il y avait un attroupement autour de moi, on me soulevait, me transportait à l'infirmerie, un infirmier m'examinait. Avant que j'ai le temps de réagir davantage un hélicoptère se posait juste derrière dans le parc. Quelques dizaines de minutes plus tard j'étais dans une salle de radiographie à l'hôpital.

Le diagnostique était implacable, déchirure musculaire, le tendon était touché et l'os légèrement fêlé. Rien de très grave à mon âge, le cartilage était intacte, mais c'était clair … Je ne participerais pas à la compétition !

Je rageais !

Je ne sais pas si Mr Le Conte avait une idée derrière la tête quand il me confiait aux mains de fée d'un infirmier super canon. Je bavais rien que de le voir, il me chouchoutait. Alors que j'étais dans mon lit devant la télé, à regarder Antoine me piquer les médailles d'or que j'aurais du avoir. Je me disais que, au moins, ça ne sortait pas de la famille. 

Charles aussi était sur place, il avait rejoint les masseurs de l'équipe, comme vous le savez c'est un masseur d’exception. Il m'avaient donc tous laissé tout seul à me morfondre devant la télé, je n'avais pas vraiment envie de me rendre sur place. On m'avait oublié, abandonné, délaissé … Oui bon d'accord j'en rajoute un peu là. Il y avait Gérôme.

Et il était canon Gérôme, les bras nus avec sa tenue d'infirmier, ça me donnait envie de jouer au docteur. Il s'approchait de moi, au niveau soin il n'avait pas grand chose à faire, j'étais pas vraiment malade vous savez. Une grosse foulure de la cheville même avec de légères complication c'est pas vraiment une maladie … J'avais un plâtre mais c'était uniquement pour garantir que rien ne bougerait, sinon un pansement aurait suffi. 

Souvent Gérôme s'approchait de moi, il ajustait mon oreiller, je sentais sa cuisse qui appuyait contre mon bras. Il aurait voulu m'allumer celui-là il ne s'y serait pas pris autrement ! Je sentais sa cuisse ferme mais légèrement élastique ? Je veux dire par la que … Je ne sentais pas ce que j'aurais du sentir, c'est à dire un truc dur, bien dur. 

Il s'en rendais compte.

Gérôme : Bein non je ne porte pas de dispositif.
Moi : Ah ! Heu … zrt … heu … owarz …
Gérôme : Ça te fait bafouiller, tu fatigues peut être ? Tu veux prendre un bain et te reposer ?
Moi : Moua yeu !

Pas de doutes, je bafouillais. Ça faisait un moment que je n'avait pas touché  une vraie queue. Et là j'avais comme l'impression qu'une grosse bosse se formait justement là ou c'était tout mou, ça devenait tout dur. 

Je ne parle pas de moi là mais bon vous aviez suivi.

Sitôt dis, sitôt fait … Je boitais joyeusement jusqu'à ma baignoire, mon petit frère faisait son mariole à la télé. Mon infirmier me glissait une sorte de grosse capote autour de la jambe pour que mon pied reste au sec à cause du  plâtre. Et m'aidait à me déshabiller. Et j'en avais grand besoin vous savez, tout seul je n'y serait jamais parvenu. 

Vous ne me croyez pas ? Bein vous avez raison ! J'en rajoutais et je faisais mon malade. Ce n'est pas dans mes habitudes, mais j'aurais voulu vous y voir moi. Il était canon le médecin, pardon je voulais dire l'infirmier. Je me retrouvais donc à poil dans mon bain bouillonnant pendant que l'eau le remplissait.

Gérôme : Ça m'a toujours paru un peu bizarre moi, ce genre de truc que tu portes.
Moi : On s'y fait tu sais.
Gérôme : Bon je vais te laisser tremper un moment.
Moi : Beuh, … , viens donc tremper avec moi, tu sais c'est très agréable et ça détend.

Il ne se faisait pas prier, on aurait dit que … Il se déshabillait et je pouvais constater que le truc tout dur qui semblait grossir chez lui, bein c'était pas une illusion. Il bandait bien ferme, il en avait une belle qui se redressait au moment ou il tombait le pantalon.

Gérôme : Désolé mais, moi je ne porte pas de truc comme toi.
Moi : GLP !
Gérôme : Tu disais ?
Moi : Bon nien ve bavait ma valise !

Bon je devine que vous devez être désorienté par ma réponse. Je traduis '' Non rien, j'avalais ma salive ! ''. Après tout ce que j'ai vécu, et je ne vous ai pas tout raconté, je reste toujours surpris de voir à quel point je peux être encore ému par une belle grosse queue !

Il prenait place juste à côté de moi, son bras touchait le mien ( pourtant il y a de la place on a tenu à plus de six ). Là je ne disais plus rien.

Gérôme : Ça ne te gêne pas ce truc.

D'un geste naturel, il approchait la main et faisait comme s'il ajustait mon dispositif. Il ne le lâchait pas, il me regardait dans les yeux, son visage était juste devant le mien, il s'approchait, j'en faisais autant. Nos lèvres se touchaient, je caressais sa bite.

On n'allait pas en rester là ! Il me prenait dans ses bras, je l'attrapais et me cramponnais à lui. On se caressait comme des fous, comme si on n'avait attendu ça depuis des semaines, comme si on était en manque ( c'était mon cas remarquez ), lui je ne sais pas. On plongeait la tête dans l'eau, j'avais passé ma main derrière sa tête et le tenais bien serré contre moi. Nos baisers étaient chauds.

Quand nous remontions à la surface, essoufflés comme si nous venions de faire une véritable plongée nous embrassions toujours avec la même passion. Je sentais sa queue qui se glissait entre mes cuisses. 

Il s'allongeait sur le sol, les pieds toujours dans le bain bouillonnant, je me penchais sur lui le caressais, l'embrassais sur tout le corps pour terminer en lui prenant la queue dans la bouche. Elle était bien ferme, je n'avais pas touché à une vrai queue depuis quelque temps, depuis les dernières vacances sur la plage avec les deux employés qui assuraient l'approvisionnement si je ne me trompe. Je retrouvais immédiatement mes réflexes, j'avalais sa queue sur toute sa longueur sans efforts, je sentais son gland qui s'écrasait au fond de ma gorge, juste derrière la glotte.

A ce moment il faut surtout bien synchroniser sa respiration, faire une pause avant de reprendre. Il ne bougeait plus, il me laissait faire, quand je relevais les yeux je voyais son sourire ravi et son regard surpris.

Vous savez j'ai jamais eu de réclamations moi. Je suce très bien  et j'y mettais tout mon cœur, il était tellement canon. Quand je retirais ma tête c'était pour replonger de nouveau et lui gober les couilles. Je le sentais se contracter un court instant et sursauter aussi puis je le sentais se détendre à nouveau et gémir de plaisir. 

Je lui gobais les couilles, puis je revenais sur sa queue, il gémissait, il était complètement détendu. Ma queue protestait, mon cul frétillait dans l'attente du plaisir que je savais maintenant très proche. C'était une belle queue et je me faisais un plaisir de me la prendre entre les fesses.

Je faisais durer ces préliminaires le plus longtemps possible, il gémissait, ma queue protestait, ma frustration montait mais je ne lâchais rien. 

Je glissais mes mains sous ses fesses, puis un doigt entre. Doucement je glissait le doigt entre ses fesses, je m'attardais tout doucement sur son trou du cul. Sans  essayer d'y entrer je le massais avec un mouvement circulaire, de plus en plus fort. Ses gémissement se faisaient entendre eux aussi de plus en plus fort. Ma queue poussait également de plus en plus fort, sans espoir mais avec persistance. 

Sa queue entrait dans ma gorge, ma langue la parcourait avec douceur depuis la base jusqu'à son gland, il était circoncis, j'aime bien ça moi. Maintenant il me caressait les cheveux, il appuyait doucement sur ma tête, il ne pouvait plus retenir les mouvements de son bassin qu'il relevait et laissait tomber.

Mon doigt ne bougeait plus sur son anus, j'appuyais et c'est à ce moment que je lubrifiais avec ma salive, continuais à lui sucer la queue, et poussais mon doigt qui s'enfonçait d'un coup, rapidement. Il poussait un cri de plaisir, un râle de plaisir et me jutais dans la gorge sans prévenir en me balançant un mouvement réflexe de son bassin qui n’empêchait de retirer ma tête, je prenais tout dans la gorge. 

Je bougeais mon doigt et frappais doucement contre sa prostate, il continuait à gémir et à trembler de plaisir, il continuait aussi à juter, il me lâchait encore quelques giclées de sperme dans la bouche.

Peu à peu on retrouvait notre calme. Enfin il retrouvait son calme parce que moi … j'avais pas eu ce que j'avais espéré. C'est pas dans la gorge que je voulais me prendre sa queue et là il débandait.

Il me laissait m'amuser encore un moment avec puis se relevait. 

Gérôme : Tu en voulait encore plus ?
Moi : Béééééé !
Gérôme : Promis, si tu n'est pas un malade trop difficile, la prochaine fois je t'encule.
Moi : Moué ! Des promesses toujours des promesses !

Il rigolait de ma réplique, se penchait vers moi et me donnait un baiser très doux sur les lèvres.



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast

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