PHILIPPE EP 21 : LA VENGENCE DE THEO

PHILIPPE
EP 21 : LA VENGENCE DE THEO


Dave faisait comme une inspection, il avait l'air perplexe.  

– Tiens on t'a déjà vu ici toi ! Faisait remarquer Dave à l'intention de Billy.

Des yeux il parcourait le corps de Billy du haut vers le bas, il faisait une pause quand il arrivait au niveau de son sexe …

– C'est bien ça, c'est très bien, je me souviens maintenant … Continuait Dave toujours.

Il s'arrêtait devant moi, regardait mon dispositif, je ne savais plus quoi faire.

– Bon ça c'est nouveau et un peu inattendu … Bon je ne ferai pas de commentaires ! Bon allez on ne traîne pas, échauffement, on me suit …

Billy rigolait, et suivait le mouvement, il connaissait, il avait déjà participé la fois ou il avait passé la nuit avec Victor. Ça ne le dérangeait pas de faire un peu d’exercice, et ça se devinait à son physique. Il suivait Dave en rigolant …

Tout le monde enchaînait et comme tous les matins on était parti pour un petit footing dans le parc privé, on était tous à poil … 

– Au fait Philippe tu pourrais me dire ce qui t'arrive ? C'est vrai j'avais dit pas de commentaires. Me demandait Dave.
– Mais Philippe tu est tombé sur la tête après toute la comédie que tu nous a fait au sujet de … C'est vrai j'avais dis pas de commentaires !
… 
– Rassure moi Philippe tu vas bien ? C'est vrai pas de commentaire !
– Tu ne te drogues pas Philippe ? Parce que là tu m'inquiètes ! Oui pas de commentaires je sais.

Bon il en rajoutait, il se moquait un peu de moi ! Il rigolait !

– Il y a des fois ou je me dis que … Il y en a qui ne vont pas bien … Bon c'est vrai, j'avais dit pas de commentaire !

A chacun de ses commentaires, c'est vrai il avait dit pas de commentaires,  tous mes camarades se retournaient vers moi en rigolant.

– Mais qu'est-ce-qui t'a pris ? Tu nous bassines depuis toujours '' Ça moi Jamais … JA – MÉ ! … '' ! s'inquiétait Théo.
– Quelqu'un te fait chanter ? Demandait Victor.
– Moi j'ai rien fait, c'est pas moi, mais j'aime bien ! Concluait Billy.

Les autres ne me connaissaient pas et n'osaient pas en rajouter. L'entraînement terminé Dave nous laissait en rigolant. 

– Moi qui ai toujours pensé que tu étais un branleur mon petit Philippe … Me disait Dave.

Peu après c'est Alex qui arrivait pour nous apporter le petit déjeuner, il marquait une pause, totalement immobile quand il m'a vu.

– Bein voilà autre chose ! … C'était pas des conneries finalement ! Tu es sûr que tu vas bien Philippe, tu veux en parler, tu n'as pas perdu la clé j'espère …
– Et si j'avais perdu la clé ? Demandais-je, en essayant de cacher une certaine panique.
– Le dispositif que tu as choisi est très sécurisé, pour le retirer sans la clé et en toutes sécurité il faut un appareil spécial qu'on n'a pas ici, et je pense même pas sur cette île donc …
– Et merde ! Lâchais-je sans le faire exprès. 
– Donc tu as perdu la clé ! Rajoutait Alex en terminant de mettre la table.
– Mouai, mouon, bé, bon … Pfff !

Oui je sais, quelquefois je suis éloquent. 

On descendait sur la plage, et pour une fois je ne mettais pas de maillot de bain, comme Victor. Maintenant j'avais le droit. Nos camarades de la nuit nous laissaient un peu plus tard. On ne remontait pas avant l'heure du repas. Ensuite mes camarades Théo et Victor repartaient, je restais comme je le faisais depuis quelques temps. Alex venait me voir.

– Tu vas bien Philippe ? Me demandait Alex.
– Oui ça va, c'est rien, c'est …
– Tu veux bien me raconter ?
– Oui, mais non. Il n'y a rien à raconter …
– Joey ?

Je regardais. J'hésitais puis finalement lui racontais toutes l'histoire, toute la relation que j'avais eu avec Joey.

– Bien, je te donne mon avis. M'expliquait Alex. Joey n'est pas quelqu'un de très sérieux, je ne lui fais pas vraiment confiance. Il a fini sa mission ici, et s'il ne te remet pas la clé tu devras rester comme ça jusqu'à la fin des vacances, encore un bon moi. A la maison on te retirera ce truc en quelques seconde mais ici je ne pense pas qu'il y ait le matériel pour le faire !

Par la suite j'ai bien tenté de retrouver Joey. Quand je passais voir à sa capsule, il n'était pas là. J'ai réussi à le revoir là ou il travaillait sur les dock mais il n'avait pas la clé sur lui … Une autre fois il m'a dit que je n'avais qu'à être patient, qu'il l'avait perdue !

J'ai compris qu'il se moquait de moi. Un moment je n'insistais plus il ne me restait plus qu'à garder ce truc pendant encore quatre semaines, nous n'étions qu'au début du deuxième mois ! Je vous garantis que jamais, plus jamais !

Même pas pour rigoler !

Et puis d'abord c'est pas drôle !

Bon c'est pas parce que j'étais sous clé que je devais me faire du mouron et gâcher tout le reste de mon séjour. Je recommençais à sortir et à m'amuser, le partenaire que je recherchais était un peu différent de celui que je recherchais au début de mon séjour ! Désormais il devrait être actif et bien monté !

Et toujours cette lumière sur une des fenêtre Est de la maison, quand nous rentrions le soir, il y avait toujours cette lumière. Un jour Théo n'en pouvant plus me demandait de téléphoner à mon grand père pour en savoir plus. Je lui passait le téléphone, et les laissais se débrouiller tous les deux. Mon grand père l’exhortait seulement à ne pas chercher à en savoir davantage. Il nous confirmais également que nous ne pouvions plus aller dans le quartier ou Victor avait vu son fantôme, la destination avait été retirée du menu de l'ascenseur, pourtant elle était de nouveau disponible.

On en parlait, on ne parlait plus que de ça autour de la piscine.

… Moi je te dis qu'il y a quelqu'un dans cette maison !
… C'est un fantôme je vous dis !
… Mais non il n'y a pas de fantôme !
… Alors c'est quoi cette lumière ?
… Et pourquoi brusquement le quartier ou Victor a vu le fantôme nous est à nouveau accessible ? On ne devrait pas pouvoir y aller !


Il faut reconnaître que là c'était vrai, normalement ce quartier devait nous être interdit. Nous n'avions pas d'invité ce soir là. Victor venait me retrouver dans ma chambre pour discuter. 

– Moi je suis sûr qu'il y a un fantôme dans cette maison. Rajoutait Victor. Et puis ton grand père nous l'a confirmé, tu ne peux pas dire le contraire.
– Mais c'est des conneries, il s'amusait, il voulait juste vous faire peur. Cette maison n'est pas hantée, elle a été dessinée par mon oncle Luc. Et il faut dire que Luc est un peu fou-fou dès qu'il s'agit de faire un plan ou une décoration …
– Je sais que tu dis ça pour me rassurer … Rajoutait Victor.

On frappait tout doucement à la porte, Victor hurlait !

La porte s'ouvrait doucement …

Théo : Tout va bien, je viens d'entendre crier quand j'ai frappé ?
Moi : Entre Théo, tout va bien, C'est Victor qui a peur du noir !

Théo entrait.

– Vous parlez de quoi ? Vous êtes sages au moins tous les deux ? Complétait Théo en rigolant. Enfin vous êtes bien obligés … Éh, éh, éh !


– Fais voir ton truc Philippe. Me demandait Théo.

Agacé, je retirais le peu de vêtement que j'avais sur le moi, un short c'est rapide à retirer. 

– J'aurais jamais cru que je verrais ça un jour. Continuait Théo.

Il s'approchait de moi et venait s'asseoir juste à côté de moi.

– Mais c'est que tu es sexy comme ça mon petit Philippe …

Victor rigolait à l'entendre, il venait lui aussi s'asseoir à côté de moi et me caressait le torse sans faire plus de manière. La main glissait rapidement sur le côté de mon torse, une caresse douce, instantanément ma queue protestait dans sa cage. A ma grande surprise ce n'était pas douloureux, désagréable parce que je devinais que je ne pourrais pas faire de ce que je voudrais ce soir encore. 

– Je me souviens, il n'y a pas si longtemps on se retrouvait dans la situation inverse … Faisait remarquer Théo.
– Moi aussi je me souviens, j'ai bien aimé ! Rajoutais-je.
– Pauv con ! Tu m'as fait mal ce jour là …
– Tu es râleur tout de même !

En quelques gestes il retirait tous ses vêtements, il bandait et je devinais ou il voulait en venir. Il attrapait mes jambes, me tirait vers lui, posait mes chevilles sur ses épaules, il était en position.

Moi je gardais le sourire, je ne râlais pas moi ! Je ne suis pas comme lui qui râle quand il va se faire enculer. Je gardais le sourire, il s'appuyait sur moi repliant mes jambes contre mon torse. Il n'est pas lourd mais je sentais son poids sur mes jambes. 

Victor venait s'installer au dessus de moi,juste au dessus de ma tête, je voyais son visage se pencher sur moi, il m'embrassait et me caressait les bras et les épaules, je lui rendais ses caresses. Théo nous regardait et je sentais une pression contre mon anus. Ma queue protestait dans sa cage, c'était rapidement désagréable mais en aucun cas douloureux. Un peu tout de même mais uniquement au niveau de mon cul. 

C'est qu'il se vengeait le petit Théo, il poussait fort. Je sentais mon anus se dilater, je poussais un cri au moment ou sa queue s'enfonçait. Il n'en tenait pas compte, il continuait à pousser et rapidement son ventre s'écrasait contre mes fesses. Il se vengeait, ça ne faisait aucun doute, il se vengeait, il me faisait mal, très mal. Je gémissais de douleur, Victor s'était penché sur moi et m'embrassait, je ne lui rendais pas vraiment ses baisers, j'avais mal … 

J'avais vraiment mal, je gardais la bouche ouverte et intérieurement je hurlais de douleur mais pratiquement aucun bruit ne sortait de ma bouche. Victor aidait Théo à maintenir mes jambes, je ne pouvais plus bouger. Je voulais me dégager mais c'était impossible. Victor avait posé ses genoux sur mes coudes, et me coinçait totalement. C'était pas confortable, ses couilles me caressait le front et sa cage de chasteté tapait sur mon nez à chaque mouvement. Je voulais me dégager mais je ne pouvais pas bouger.

J'avais du mal à respirer, je voulais hurler mais aucun son ne sortait de ma bouche. Théo s'était retiré et sans attendre il enfonçait de nouveau sa queue bien à fond dans mon cul. Il ne se retenait pas, il me faisait mal mais il s'en moquait. Victor aussi semblait s'en moquer. C'est sans attendre qu'il passait à la vitesse supérieure. Il me limait le cul avec force, violence même, je sanglotais, je gémissais, la douleur montait et devenait insupportable mais je ne pouvais rien faire, je n'arrivait même pas à crier. J'aurais cru qu'après Joey je pourrais un peu mieux encaisser mais il y a des jours je suppose.

Le ventre de Théo frappait avec régularité contre mes fesses et claquait avec force. J'avais le souffle coupé. Victor m'avait libéré les bras, il était allongé sur moi, j'avais la tête au niveau de son nombril, je le serrais dans mes bras, il m'embrassait le ventre. Je respirais fort, je gémissais fort, je pleurais presque. Au fond de mon ventre c'était la panique, il y avait une sensation de plaisir qui montait mais je n'appréciais par vraiment, il y avait mis trop de violence. Il y avait aussi cette douleur, elle ne passait pas, il faut dire que Théo ne se calmais pas.

Quand il se retirait c'était pour revenir avec encore plus de force. Il se vengeait !

Je n'ai pas vraiment senti quand il à joui dans mon cul mais je l'ai entendu. Il hurlait de plaisir, il en rajoutais c'est sûr, puis il ne bougeait plus. Victor se relevait, je regardais Théo, il avait l'air content de lui, il me regardais avec un grand sourire satisfait. 

A ce moment je ne sentais plus aucune pression dans ma cage de chasteté, j'avais juté et je ne m'en étais même pas rendu compte, j'avais juté sans rien ressentir mais au niveau de mon cul, là j'avais senti quelques chose, je vous le garanti. Je m'étais pris des bites plus grosse dans le cul mais il y étaient allé doucement, enfin à part Joey peut être … Là, Théo,  il m'avait fait mal … Et quand il s'est retiré je me sentais tout de suite beaucoup mieux. 

Victor se retournait vers Théo pour lui faire un câlin et peut être aussi parce qu'il avait chaud au cul lui aussi. Enfin moi je n'avais plus chaud au cul, j'avais mal au cul et j'avais aussi envie de me plaindre mais bon, sur ce dernier point je me retenais. 

Je regardais Victor qui faisait un câlin à Théo. Mais à voir comment Théo débandait je me disait que Victor resterait sur sa faim ce soir. Finalement Théo est moins bien membré que quelques uns de mes partenaires récents mais c'est lui qui m'a fait le plus mal. Il y est allé comme une brute. Il faut y aller avec douceur, virilité mais douceur. 

Je restait là sans bouger, je récupérais. En face de moi mes camarades s'étaient installés sur un fauteuil, un seul, il se faisait un câlin. Victor avait l'air d'en vouloir, son dispositif de chasteté se relevait et je devinais qu'il y avait de la pression là dedans, de mon côté tout était calme, j'avais une grosse molle qui remplissait bien la cage mais c'est tout. Théo avait l'air satisfait de lui.

– Alors Philippe, tu as aimé ? Me demandait Théo.
– Pauv con ! Lui répondais-je.

Il éclatait de rire !


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

1 commentaire:

  1. Et oui, Philippe l'avais bien cherché et Théo le lui a rendu centimètre par centimètre !!!

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