PHILIPPE EP 19 : MONSIEUR BROSSO PERE

PHILIPPE
EP 19 : MONSIEUR BROSSO PERE


C'est tout propre que nous nous présentions dans le salon d'honneur ou mon père avait fait servir le petit déjeuner. Évidemment l'ambiance avait changé, nous étions en tenue présentable, Alex nous avait supervisé. Un polo et un short qui s'arrêtait juste au dessus des genoux restait une tenue acceptable pour cette période de vacances. 

Mon père nous invitait à le rejoindre. On s'installait.

– J'espère que tout se passe bien pour vous les jeunes. S'inquiétait mon père.
– On fait beaucoup de sport, on s'occupe. Racontais-je.
– On a fait de la plongé il y a deux jours ! Complétait Théo.
– Du ski aussi, c'est incroyable de pouvoir faire du ski quand il fait quarante degrés à l'hombre. Terminait Victor.

… 

– Au fait Victor, j'ai un document à te remettre, une lettre. Ne t'inquiètes pas c'est rien de grave, c'est le comité d'attribution des bourses qui te confirme que ta bourse est acceptée à cent pour cent, comme je te l'avais dit, maintenant c'est officiel. Tu n'a rien à faire sinon te présenter à l'accueil de l'école dans les deux jours qui précèdent la rentrée …
– Je ne sais comment vous remercier Monsieur Brosso …
– Il aurait été dommage que le meilleur élève de notre école ne puisse pas faire les études de son choix, de plus, je suis président de ce comité …

Les jours suivant on restait calme, on sortait tous les jours dans la journée, on s'occupait, de ce côté rien ne changeait. Parachute ascensionnel et je ne sais plus qu'elle bricole dans le genre. On prenait le petit déjeuner, le dîner et le souper avec mon père. Il ne cachait pas une sympathie particulière à l'intention de Victor, il était le meilleur élève et il portait un dispositif de chasteté sans faire de manières. C'était pas mon cas ! Pour ce qui est de porter un dispositif de chasteté, mon père n'avait pas oublié comment ça s'était terminé un an plus tôt ( Ep 07 ), de plus je n'étais pas non plus le meilleur élève. 

Bien sûr il n'en parlait plus mais je me doutais bien qu'il n'avait rien oublié. 

Un jour à la fin d'un repas il prenait la parole. 

– Bon les jeunes, j'ai décidé de prendre quelques mesures pour cette maison, elle est vraiment tenue n'importe comment !

Juste derrière lui Alex fronçait les sourcils.

– Ce n'est pas à cause du personnel qui fait ce qu'il peut, il n'y a presque personne pour prendre soin de cette maison qui est absolument gigantesque … Mais le résultat est là ! Il y a de la poussière un peu partout et de toutes façons, même si on ne l'habite pas une maison doit être tenue comme il convient !

Alex semblait dubitatif. Bien sûr il ne disait rien. C'est le grand patron qui parlait … 

– Alex, s'il vous plaît. Nous allons recevoir dès demain tout un tas de candidats pour pallier à cette situation. J'aimerais que vous vous chargiez de la sélection et que vous supervisiez le nettoyage complet de cette demeure. 
– Bien Monsieur.
– Je pense que si nous voulons que ce travail soit fait dans un délai raisonnable une cinquantaine de personnes devraient suffire.
– Cela me semble raisonnable Monsieur. Nous pourrions organiser des équipes en confiant la direction de ces équipes au personnel présent à l'année.
– Ils sont nombreux ?
– Cinq Monsieur !
– Ah ! ( il sortait de sa poche un gant blanc en tissus ) J'avais prévu de démontrer la négligence du personnel avec ceci, ( il montrait sur l'extrémité des doigts du gant des traces de poussière ) j'ai en effet passé ce gant dans différents endroits de la maison, on y voit des traces de poussière qui ne seraient pas acceptable si le personnel était plus nombreux, mais si vous me dites qu'ils ne sont que cinq, en tenant compte de la taille démesurée de cette demeure. Je dois réviser mon jugement et reconnaître que leur travail est tout à fait satisfaisant ! 

De la part de mon père c'était un compliment inespéré !

– Vous voudrez bien leur transmettre mon appréciation ! Concluait mon père.
– Je pense qu'ils seront ravis de l'apprendre Monsieur !

C'était là le maximum que mon père pouvait faire mais il faut reconnaître qu'il avait quand même plombé l'ambiance ! Dès le lendemain nous recevions donc tout un tas de candidats, un petit personnel qui était recruté sur l'île du nord. J'avais demandé à Alex de me brancher le visiophone pour voir comment ça se passait. 

Je regardais ça d'un œil distrait, mes camarades étaient descendus sur la plage, moi je n'osais plus bouger, il y avait mon père dans les murs et ça faisait comme une sorte de panique dans mon ventre. Une tête passait sur l'écran, je sursautais, c'était Joey. Le mec qui m'avait déboîte la rondelle juste avant l'arrivé de mon père ( Ep précédent ), je regardais maintenant avec attention et je mettais le son et j'entendais Alex …

– Je ne sais pas si votre candidature pourra être retenue, vous n'avez jamais fait ce genre de travail …

Joey argumentait, mais je n'écoutais pas je prenais le téléphone, sur l'écran je voyais Alex décrocher …

– Il faut que tu le prennes … Demandais à Alex.
– Bien !
– Si, si c'est pas des conneries …
– Bien !
– Je te revaudrai ça …
– Bien !
– Je te jure je ne suis pas un ingrat …
– Bien !
– Tu l'embauches dis ? Tu l'embauches dis ? Tu l'embauches dis ? Tu l'embauches dis ?
Alex : Tu me fatigues !

Il raccrochait. Je l'entendais alors reprendre …

– Finalement ce travail ne demande en effet pas d'expériences particulières, présentez-vous demain à neuf heures à l'ascenseur de la plage.
– Je vous remercie mais je dois tout de même vous informer que je suis en ce moment en période de repos, et … Que je ne porte pas actuellement …

Je prenais alors le téléphone à nouveau, je voyais Alex décrocher. 

– Mais je vous assure monsieur que c'est pas nous qui avons commandé une pizza !
– Ne te moques pas Alex, c'est sérieux ça, je te jure, tu lui dis que c'est pas grave … Il y en a d'autres qui ne portent pas de dispositif de chasteté ici …
– Tu me fatigues !

Il raccrochait puis reprenait.

– Les extras peuvent être dispensés de ce protocole ! 
– Alex je t'adorrrrre !

Bon d'accord il n'a pas entendu mais je l'ai dit quand même !
Le lendemain, mes camarades descendaient sur la plage moi je restais sur la terrasse. Je demandais à Alex de m'envoyer le petit nouveau … Joey ! Il arrivait donc tout surpris d'être envoyé seul sur ma terrasse, les autres étaient en équipe mais lui était chargé de nettoyer la piscine, ma piscine. En me voyant il semblait pâlir. Oui je sais il est black mais … 

– Monsieur Brosso, je m'excuse, on m'a dit qu'il n'y avait personne … Me faisait-il remarquer.
– Oui je sais, mais je te garantis que personne ne viendra !
– Je ne voudrais pas avoir d'ennuis …
– Tu n'auras pas d'ennuis …
– Je vois le genre ! Tu es un de ces fils de riche, une grosse tafiole qui s'amuse avec le personnel !
– L'autre jour j'ai plutôt l'impression que c'est toi qui s'est bien amusé avec moi !
– Je ne savais pas qui tu étais !

Là je trouvais qu'on avait assez parlé.

– Je sais que tu ne portes pas de dispositif de chasteté.

Je me mettais à genoux devant lui, tirait sur son pantalon et sans lui demander son avis commençais à lui sucer sa queue. Elle est énorme. Là elle me paraissait encore plus grosse que l'autre nuit. Brusquement j'avais un peu peur. 

J'avais peur mais j'étais tellement excité que ça ne me faisait pas reculer, je l'avalais jusqu'à la garde, même s'il fallait me déboîter la mâchoire je ne renoncerais pas, je la massais avec force et douceur.

En quelques secondes la douceur disparaissait, il appuyait sur ma tête et si je tentais de résister il forçais.

– J'espère que personne ne va nous déranger ?

Au moment ou il me laissait relever la tête je lui répondais .. ;

– On nous préviendra, si quelqu'un qu'il ne faut pas approche, on nous préviendra !

Il me prenait alors la tête à deux mains, me tirait vers lui et m'enfonçais sa queue bien à fond, sans ménagement. Il me baisait par la bouche comme il me l'avait fait quelques jours plus tôt dans sa capsule. Il y allait sans retenue, je bavais, si je tentais de me rebeller je recevais une tape sur la tête. 

Il était virile, pas tendre, très virile mais dépourvu de tendresse. Ça me faisait peur mais au fond de moi, j'adorais ça !  Il était tellement beau, sa taille, sa carrure, ses muscles, ses cuisses, sa bite énorme. Je me sentais tout excité rien que de la voir, de la sentir me défoncer la bouche. Il y avait aussi sa force, il était bien plus fort que moi. Je bandais comme un fou et pendant qu'il m'enfonçait sa queue dans la gorge, je me branlais.

Joey : Tu arrêtes ça tout de suite ! Tu ne te branles pas, je ne veux pas voir ça !

Je lui caressais alors les cuisses, les fesses. Je passais une main sur son ventre, il avait des muscles partout, il était vraiment balaise. Là je me faisais peur, il allait encore me défoncer le cul. La dernière fois je l'avais senti passer, en plus maintenant je savais qu'il ne me ménagerait pas. Je me disais '' C'est pas un tendre !''

J'avais brusquement envie de me sauver, de lui dire que … '' Non, c'est bon, on en reste là '' . Mais j'étais fasciné, il me plaisait, je voulais sentir sa queue me défoncer le cul, ça me faisait peur mais je ne bougeais pas. C'était un sentiment étrange, entre le besoin d'aller jusqu'au bout et la peur, une vrai peur. Je savais qu'il pouvait, qu'il allait me faire mal !

J'avais mal à la mâchoire, j'avais du mal à respirer, lui il respirait fort, de plus en plus fort moi je suffoquais. Il s'en moquait et ne faiblissait pas. Ses mouvements étaient violents quand il à juté dans ma gorge. 

Il me lâchait, je me retirais. Je reprenais mon souffle, j'avais mal à la mâchoire, à la gorge, je toussais un bon moment. Il me regardait de haut.

– Tu la voulait dans le cul ma queue ?

Je lui faisait oui en toussant et en me remettant la mâchoire en place.

– Et bien tu ne l'auras pas !

Je le regardais l'air un peu con, enfin je suppose. Il rigolait.

– Si tu veux ma bite il faudra que tu fasses un petit effort, un petit sacrifice.
– Tu veux quoi, si tu veux tu peux rester ici jusqu'à mon départ, tu ne seras pas obligé de travailler mais tu seras payé quand même … 
– Je suis pas une pute. Si tu veux ma queue dans ton cul …
– Oui ! Je t'écoutes !
– Tu porteras un dispositif de chasteté jusqu'à ton départ !
– Mais tu es fou, il n'en est pas question !
– Alors je ne travaille plus ici si je dois te rencontrer de nouveau !
– Mais pourquoi tu ne veux pas !
– Tu es le fils du big-boss , tu ne portes pas de dispositif, et je ne suis pas ta pute. Si tu veux ma queue tu sais ce que je veux !

Il repartais à poil, et faisait ce pour quoi on l'avait fait venir, il nettoyais la piscine qui était déjà nickel. Régulièrement il se retournait, comme pour me narguer. Il s'amusait à balancer sa queue devant moi. Je le regardais, j'avais tellement envie de sa queue, je voulais tellement la sentir me défoncer le cul. Il repartait un peu plus tard.

Je restais là comme un con, je me tripotais la queue, je bandais. 

Je ne bougeais plus du reste de la journée. J'étais vexé, excité, en chaleur, je ne me branlais même pas. Le lendemain Joey passait de nouveau dans nos quartiers, mais là je ne pouvais que le regarder, je n'avais pas le droit de le toucher …

– Si tu veux je peux me branler devant toi mais c'est tout ce que tu auras !

Je craquais, il m'avait tellement allumé, j'avais tellement envie de sa queue que j'allais chercher un de ces dispositif à clé unique, en titane, comme un fou en état second j'y glissait ma queue. Je respirais fort et finalement je le refermais. Je partais avec la clé, Joey était encore dans mes quartiers.

Je me mettais à poil devant lui sans rien dire, je lui donnais la clé. J'avais la tête en feu et je ne savais plus vraiment ce que je faisais. Il prenait la clé …

– Elle est ou ta chambre ?

Je lui montrais la porte de gauche au premier. Il me faisait signe de le suivre, il refermait la porte derrière lui.

– Penche toi en avant contre le fauteuil !

Je m'exécutais, je tremblais, j'avais un peu la trouille, et puis il y avait ce dispositif. J'ai tant de fois hurlé que … '' Jamais au grand jamais '' … et finalement je me retrouvais là, le cul bien offert. Il bandait bien ferme, ne faisait pas de manières. Il se lubrifiait bien la queue, me lubrifiait bien le cul puis enfonçait brutalement sa queue dans le cul. Bien à fond en un mouvement, sans préliminaires. Ça me faisait un mal de chien, je hurlais !

Il ressortait, revenait. Il me tenais fermement par les hanches et quand je tentais de me dégager je recevais une tape bien violente sur la tête aussitôt suivie par un violent coup de rein qui m'arrachait un cri de douleur.

D'autres coups de bassin suivaient, je tentais encore de me dégager. Il m'attrapait alors par les bras et me faisait une prise d'étranglement en passant un bras autour de mon cou. J'étais coincé, il me faisait mal, j'avais peur.

Mon cœur battait comme un fou, je me demandais pourquoi je lui avait demander de me prendre, j'aurais du savoir qu'il était violent quand il baisait. Je regrettais, j'avais une boule dans l'estomac. Là je ne voulais qu'une seule chose … Que ça se termine. Qu'il en finisse. Je me jurais de ne plus recommencer.

Il finissait par jouir dans mon cul, il me lâchait et je m'écroulais sur le sol. Sans s'inquiéter de moi, il passait à la salle de bain, en ressortait un peu plus tard et avec un petit sourire.

– Bien ! Je te laisse, je retourne à mes activités. On remet ça demain !

Je faisais oui de la tête. J'avais mal au cul, au bras, à la mâchoire et à la tête … Mais c'est qu'il ne fait pas semblant quand il cogne le con ! Dans ma tête, c'était la panique, je ne savais plus quoi faire, mon cœur allait exploser, je sentais que j'allais défaillir mais quelque part au fond de moi … C'était cool, j'avais pris mon pied !

Je ne pensais plus qu'à une chose … Recommencer ! Pourtant je savais qu'à l'instant ou je recommencerais j'éprouverais cette peur, cette panique, cette angoisse. Je savais aussi que juste après …

Plus tard, bien plus tard je passais sous la douche. J'avais mal au cul pendant un long moment. Pendant le repas je ne bougeais pas, je ne disais rien. Personne ne faisait attention, mon père était là. Tout le monde pensait que c'était à cause de lui. En sa présence j'ai pas trop l'habitude de faire le mariole. 

J'étais sous clé, ici je ne pouvais demander à personne de me libérer. Plus tard, à la maison, j'ai un atelier et je pourrai me libérer sans trop de problème mais ici je n'ai aucun outils. Il n'a pas de solution. J'avais honte de raconter ce que j'avais fait, j'avais même honte rien d'y penser. 

Le lendemain je ne voyais pas Joey, mon père l'avait fait venir avec toute une équipe pour nettoyer la piscine olympique ou je ne sais quelle partie de la maison, le surlendemain non plus. 

Le jour suivant, six heures du matin, le clairon !

On se précipitait sur notre balcon. Pour une fois j'avais un short sur moi. C'était Dave, il avait l'air content de lui.

– Ça va les jeunes, le big-boss est dans le train, il est parti il y a dix minutes, vous pouvez vous rendormir …
– Mais c'est pas vrai ça, tu nous réveilles pour nous dire qu'on peut dormir ?
– Bein oui, j'ai pensé que ça vous ferait plaisir de le savoir !

On rentrait tous les trois dans notre chambre en râlant avec l'intention de continuer notre nuit. A six heures il faisait déjà jour depuis peu, une demie heure plus tard on était tous les trois à poil, sauf moi, sur la terrasse à profiter des premières heures de la journée. Alex l'avait deviné, il a un sixième sens pour deviner ce genre de truc et notre petit déjeuner arrivait très vite sur la table. 

Je gardais un short de bain sur moi, on me le faisait remarquer mais je préférais ne pas relever. Tout le monde voyait bien que je n'étais pas comme d'habitude mais ils pensaient tous que j'avais du me faire engueuler par mon père. Il était parti, je ne devrais pas tarder à retrouver le sourire.


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

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