PHILIPPE EP 20 : EN PRISON

PHILIPPE
EP 20 : EN PRISON


On se retrouvait de nouveau entre nous. Le nettoyage profond que mon père avait demandé était loin d'être terminé et l'équipe de cinquante extras resterait donc encore quelques temps. Je me trouvais un peu balourd, mal à l'aise. Je gardais toujours mon short sur moi, je ne m’exhibais plus à  poil autour de la piscine. Mes camarades ne disaient rien mais se posaient des questions. En fait mon comportement avait changé, et un peu plus que je ne le supposais.

Au bout d'une semaine, je n'avais toujours pas revu Joey. Je savais qu'il était là mais je ne le revoyais pas et me demandais s'il ne le faisait pas exprès, s'il ne prenait pas soin de m'éviter.

Je décidais de partir à sa recherche. 

Je vous avait parlé de ce bug dans l'ascenseur il me semble. Depuis que mon grand père nous avait parlé du fantôme et avait bloqué l'accès au quartier ''  REPOS ET QUIETUDE '', à chaque fois que nous montions dans un ascenseur cette destination apparaissait à l'écran, même pas une seconde, à peine le temps de la voir puis cette destination disparaissait et il était impossible de la faire apparaître de nouveau, la destination nous était bloquée. Ce message n'apparaissait pas s'il y avait une autre personne que nous trois dans l'ascenseur …

Une fois de plus cette destination apparaissait de nouveau et j'étais surpris de voir que cette fois-ci la destination restait dans le menu. 

Je me rendais dans le bureau de mon grand père, il y a des écrans témoin qui permettent de surveiller toute la maison et je cherchais si je pouvais voir Joey. Je ne pensais plus qu'à lui, ce dispositif qu'il m'avait fait mettre et dont il avait gardé la clé, pourquoi j'avais fait ça ? Comment récupérer la clé, me libérer ?

Ma queue était en prison depuis une semaine et je voulais avant tout … En fait je ne savais plus si je voulais avant tout me libérer ou me prendre la queue de Joey dans le cul. 

Rapidement je retrouvais Joey, il travaillait au premier niveau avec une équipe, je m'y rendais. Dans l'ascenseur, juste avant d'arriver je me donnais de la contenance, je respirais bien à fond … La porte s'ouvrait, j'entrais dans le couloir, je me donnais un peu le genre de l'inspecteur des travaux finis … J'étais très mal à l'aise. J'appelais Joey et lui demandais de me suivre, prétextant qu'on avait besoin de lui. Il me suivait sans rien dire. On disparaissait dans l'ascenseur.

– Pourquoi tu as disparu ? J'ai fait ce que tu voulais ! Lui demandais-je.
– Je travaille moi, je ne passe pas mon temps à me branler !
– A parce que tu crois que je me branle ?
– Je voudrais voir ça ! Éh, éh, éh !


Puis brusquement sans prévenir il me retournait et me  plaquait, face contre la paroi de la cabine, me tordais le bras dans le dos pour m'immobiliser …

– Arrête, tu me fais mal ! Lui gueulais-je.
– Ferme là et laisse toi faire.

Il tirait sur mon short qui se retrouvait sur mes chevilles, il ouvrait son pantalon, il bandait le mec, il bandait ferme. Je ne sais pas d'où il sortait du gel mais il me lubrifiait le cul et sans plus de formalité, sans me demander mon avis il m'enfonçait sa queue dans le cul.

Je hurlais, il me faisait mal, je lui demandais d'arrêter, mon cœur battait si fort que j'ai cru avoir une crise cardiaque. Je tentais de me dégager.

A chaque fois que je bougeais il resserrais son étreinte et ne tardait pas à me balancer des coups de butoir douloureux, très douloureux et violents, très violents. Je chialais … Je l'avais cherché mais je ne voulais pas, je ne voulais plus. 

Finalement je ne résistais plus, et en larme, appuyé sur la cloison de l'ascenseur je le laissais faire. Je chialais, je tremblais, je gémissais. Il ne lâchait rien et continuait à me défoncer le cul sans aucune tendresse. Il est efficace le bonhomme. Un vrai marteau piqueur, j'en prenais plein le cul, je voulais que ça cesse, je ne pouvais pas me dégager sans qu'il me torde le bras encore plus fort et qu'il me fasse encore plus mal. J'avais vraiment peur, il me faisait peur mais il était trop … Viril ! … Fort ! … Musclé ! … 

Je l'avais dans la peau et pas seulement dans le cul. Son ventre frappait fort contre mes fesses, mon anus était totalement distendu et n'offrait plus aucune résistance, les coups étaient bruyants et ses râles de plaisir étaient bruyants aussi au moment ou il jouissait dans mon cul.

Encore quelques coups de butoir et il me laissait tomber sur le sol, relevait son pantalon, se rendait présentable. Un petit coup de pied dans mon cul …

– Reste pas comme ça ! Si on te vois comme ça tu vas te faire remarquer. 
Je ne gémissais plus, je ne faisais plus aucun bruit mais je continuais à chialer, je relevais mon short, et me rendais présentable à mon tour. Il avait bloqué l'ascenseur, nous repartions, il descendait de l'ascenseur …

– Je veux récupérer ma clé !
– Je ne l'ai pas sur moi !

Il appuyait sur le bouton de l'ascenseur et m'envoyait dans mes quartiers. J'avais mal au cul, j'avais mal au cœur, j'avais mal au bras … J'avais honte de moi, j'avais pris mon pied !

En traînant je me rendais à ma chambre, et restais un long moment sous la douche, je me lavais, je rageais contre ce dispositif de chasteté, je voulais le retirer mais pour le moment il n'y avait pas moyen, je devais le supporter. Je me disais que je l'avais cherché. Je me retrouvais dans une situation que je n'aurais jamais cru possible, à la merci d'un obsédé sexuel violent à qui je donnais plein pouvoir sur moi … J'étais pas fier !

A partir de ce jour, tous les après midi Joey passait dans mes quartiers. On attendait que mes camarades soient partis à la plage ou ailleurs, enfin bref on attendait de pouvoir être tranquille. Oh il ne restait pas longtemps, parfois vingt minutes. Le rituel était toujours le même … 

Pas de temps à perdre, quelquefois il me laissait le sucer mais rapidement il me retournait et me défonçais le cul.

A chaque fois il y avait cette peur, cette panique dans mon ventre, mon cœur s'affolait dès qu'il apparaissait dans l'ouverture de l'ascenseur. 

A chaque fois il ne fallait pas bien longtemps avant que je ne me retrouve à quatre pattes le cul bien offert et tremblant de trouille car je savais qu'il allait me faire mal. Il me défonçait alors le cul sans ménagement comme il aime tant le faire. Au bout d'une semaine, j'avais toujours un peu mal au cul mais ça rentrait de plus en plus facilement. Je ne gueulais plus mais je gémissais il me faisait mal et j'avais horreur de cette situation, pourtant pour rien au monde je n'y aurais mis fin. 

Il me limait pendant un long moment, c'était douloureux mais aussi jouissif, j'adorais cette situation. Je ne lui demandais plus la clé ! Pendant deux semaines au total, je me suis fait défoncé le cul tous les jours jusqu'au jour ou …

Il arrivait comme d'habitude, sa silhouette apparaissait dans l'ascenseur, il avait un sourire qui ne m'inspirait pas confiance. 

C'est bon, c'est terminé. Je ne te défoncerais pas le cul aujourd'hui !

Je ne savais pas quoi dire, en fait on ne discutait pas, on ne discutait jamais, il arrivait, il me baisait et il repartait. C'est tout ! Là il baissait son pantalon et me montrait son dispositif de chasteté, sa période de relâche était terminée et comme tous les employés sur l'île il devait porter un dispositif de chasteté. 

J'admirais avec un certain regret ce truc, j'ai toujours trouvé ça très sexy sur les autres, et il était sexy je peux vous le garantir.

– Tu n'auras plus ma quéquette mais je garde ta clé ! Tu vas voir petit branleur ce que ça fait que de se retrouver sous clé. Tu as le droit de rester libre, mais ça c'est pas normal !

Il repartait sans me laisser le temps de lui répondre. Il se moquait de moi le mec. J'étais furieux mais j'avais envie de lui et déjà il me manquait. C'était la première fois que j'éprouvais un truc pareil. Ma cervelle était en feu. 

Après son passage je descendais rejoindre mes camarades sur la plage. Là bas je gardais toujours un short de bain aussi personne ne remarquais que je portais une PK. Je trouvais toujours les corps nus avec un dispositif de chasteté terriblement sexy et ça me faisait bander. Au bout de deux semaines j'avais envie de me branler, de jouir d'une manière ou d'une autre mais avec ma queue et c'est à ce moment que Joey me laissait tomber, seul avec ma prison portable. Pendant toute cette période je n'avais pas dragué. 

Peu à peu j'avais recommencé à sortir faire la fête mais je rentrais toujours seul. Un soir, peu après que Joey m'ait laisser seul, la queue séquestrée dans cette prison en titane, nous étions tous les trois dans cette boite de nuit pour garçons ou nous avions pris nos habitudes. Je reconnaissais un mec au bar … C'était Billy le gars que Victor avait ramené à la maison le premier soir. Mon cœur battait soudainement très fort, je l'avais vu à poil et je savais comment il était foutu. Ma queue protestait dans sa cage, mon anus paniquait, le souffle me manquait. 

Je ne le lâchais pas, il finissait par le remarquer surtout qu'il m'avait reconnu. Mes camarades avaient disparu et tard dans la nuit c'est avec Billy que je rentrais à la maison.

Toujours cette lumière dans la maison, la lumière avait des teintes rouges et semblait danser, un peu comme une flamme, pas comme une lampe électrique. À chaque fois je me demandais ce que ça pouvait être.

Dans l'ascenseur Billy me prenait dans ses bras.

– Je te préviens, je suis actif. Je te dis ça parce que j'ai vu que tu ne portais pas de dispositif de chasteté. Ton copain Victor lui il en portait un … Commençait par me dire Billy.
– En ce moment je suis très passif moi aussi.

Il passait une main sur mon entre jambe.

– Je vois …

Dans ma chambre, je lui sautais dessus, il en faisait de même. Ses vêtements se retrouvaient rapidement à l'autre bout de la chambre, les miens suivaient.

– Tu as fini par devenir sage ? Me demandait Billy.

Je ne répondais pas, je tombais à genoux devant lui et lui suçais la queue. Au repos elle faisait déjà près de vingt centimètres de long mais fort heureusement elle ne se développait pas en proportion. Elle ne gagnait que quelque centimètres en longueur, en largeur ça ne changeait pas vraiment mais elle devenait dure, très dure et se redressait presque à la verticale. C'était rassurant mais ça restait un gros morceau. 

Je m'attendais à le sentir me défoncer la bouche mais il me prenait la tête à deux mains avec douceur. C'était pas désagréable, j'avais un peu perdu l'habitude de la douceur. Il me tirait vers lui avec fermeté bien sûr mais il faisait attention à moi, à mes réactions, si je tentais de me dégager il ne me retenait pas ou alors seulement avec douceur, juste pour m'inciter, m'encourager. 

Au bout d'un long moment il se retirait, me relevait, me prenait dans ses bras et avec une immense tendresse m'enlaçait et m'embrassait. C'était bon. J'ai vraiment aimé. Je sentais ma queue qui se révoltait dans sa prison, je sentais la sienne qui se glissait entre mes cuisses. Il me soulevait et me déposait doucement sur mon lit.

Il m'embrassait tout le corps en me caressant, je lui rendais chacune de ses caresse, chacun de ses baisers. Ses lèvres se promenaient sur moi, elles étaient suivies par le bout de son nez, il me chatouillait délicatement avec le bout de son nez … Le front, le cou, les épaules, les tétons, son visage explorait tout mon corps. 

Il passait la langue sur ma cage de chasteté, je la sentais au travers des ouvertures d'aération. Il me suçait les couilles, puis sa langue continuait à la base de mon sexe, entre les cuisses. Son doigt avançait et je le sentais qui déjà préparait mon anus à recevoir plus gros. Je frémissait un peu de peur, Joey m'avait habitué à de la violence. Je frémissais aussi de désir, j'aimais de plus en plus sentir une grosse queue s'enfoncer entre mes reins. Et lui aussi en avait une grosse, lui aussi il pouvait faire mal.

Je lui suçait longuement la queue pendant tout ce temps en le tenant fermement contre moi mais je le laissais partir au moment ou il se relevais. Il me faisait signe de m'allonger sur le ventre, j’obtempérais, il écartait mes jambes, glissait un puis deux doigts entre mes fesses. Il me lubrifiait longuement le cul, y glissait un doigt, avec douceur.  Puis il y glissait deux doigts, toujours avec douceur … Il s’allongeait alors sur moi, je sentais son énorme queue qui faisait pression contre mon anus. Il poussait, je gémissait, il poussait plus fort, je me détendais et je le sentais s'enfoncer lentement, doucement mais avec fermeté. Je gémissais, j'avais un peu mal mais à peine, c'était surtout un grand plaisir, un plaisir intense quand son bassin s'écrasait sur mes fesses.

Il me serrait alors dans ses bras, me couvrait de caresses et de baisers, rapidement ce n'était plus qu'un plaisir qui me submergeait. Il se retirait, revenait et commençait alors ce mouvement lent et fort, il entrait, il sortait … Je gémissais de plaisir …

J'ai pleuré, un moment j'ai pleuré, il ne bougeait plus quand il l'a vu. Je tournais la tête et l'embrassais, ce n'était que l'émotion. J'étais comblé, je me sentais bien, tellement bien. C'était mieux, tellement mieux qu'avec Joey. Je ne sais pas s'il avait donné autant de plaisir à Victor quelques semaines plus tôt mais il m'en donnait. Je frémissais, je tremblai, je retenais ses bras contre moi, il accélérait le mouvement.

Nous avions bougé, j'étais allongé sur le côté, lui aussi bien serré contre moi, sa queue sortait et rentrait dans mon cul de plus en plus vite. Il l'a senti au moment ou j'ai joui, je n'ai pas éjaculé mais j'ai joui. Il s'est alors laissé aller, c'était imperceptiblement qu'il se laissait aller. Il m'avait donné du plaisir, il allait maintenant prendre le sien. 

Son souffle accélérait, ses caresses devenaient moins ordonnées, les mouvement de son bassin devenaient un peu plus rapides, un peu plus violents, c'était toujours aussi bon. 

Un coup de bassin plus violent, incontrôlé. Un gémissement qui se transformait en un cri dans mon oreille, il jouissait dans mon cul. Un gémissement de ma part répondait à son cri, quelques convulsions de ma part répondait à ses mouvements désormais plus désordonnés puis nos muscles se relâchaient en même temps. 

Il ne bougeait plus, son souffle redevait plus calme. Il se retirait, un long filet de sperme coulait de ma cage de chasteté. Je me sentais tellement bien, j'avais de nouveau un sanglot, une larme de joie qui coulait de mon œil.

On passait sous la douche, il faisait chaud, on était chauds et on était en sueur. Une heure s'était passée, j'étais heureux comme rarement auparavant. On s'allongeait sur mon lit et rapidement on s'endormait.

Le lendemain matin vers dix heures … 

Réveil au clairon !

On sursautait sur mon lit. 

– Il est encore là celui là ? Faisait remarquer Billy.
– Bein oui … Toujours, il nous fait le coup de temps en temps !

Billy se levait, me tirait par le bras, m'enlaçait, m'embrassait et me tirait sur le balcon, je me sentais tellement bien que je ne résistais pas … J'étais à poil !

Dave faisait les trois chambre l'une après l'autre. Je passais toujours en premier car j'habitais sur le côté. Ensuite au centre c'est Victor qui y avait droit, il sortait lui aussi de sa chambre suivi par un mec assez mignon de sa taille mais qui ne portait pas de dispositif de chasteté, en dernier venait Théo, suivi lui aussi par un petit gars, tout mignon qui portait bien sûr un dispositif en titane comme le mien !

Et c'est là que je réagissait … C'est là que je me souvenais que je portais un dispositif de chasteté en titane ( un modèle classique quoi ), que mes camarades ne le savaient pas et … 

Ils avaient tous le regard riveté sur mon dispositif !


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

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