INITIATION ( episode 1 à 3 / 3 )

INITIATION 1


Pour moi c'est et ça restera un jour inoubliable, et ce même si je n'ai pas vraiment découvert ce que d'autres considèrent être une véritable révélation.

La journée avait commencé d'une manière tout à fait habituelle. Nous étions samedi, je faisais mon entraînement dans le parc et terminait la matinée à la piscine. Au réfectoire je retrouvait mes camarades, plusieurs avaient décidé de sortir ce soir là.

Ah oui avant d'aller plus loin il faut que je vous prévienne. Nous, les dernières années avons le droit de sortir le samedi soir. Je suis en effet interne à la PK Scool. C'est une école sympa mais … Bon c'est pas ça tout de même …

Je viens juste d'avoir dix huit ans, je suis boursier et comme tout le monde le sait dans ce cas il faut accepter un dispositif de chasteté. Moi je porte un dispositif titane décoré céramique. Ça ne vous dit rien ? Ça ne m'étonne pas, c'est un modèle fantaisie. Enfin quand je dis fantaisie, c'est un modèle tout à fait sérieux, rigoureusement équivalent au modèle titane classique mais lui, il est décoré avec des incrustations céramique. Quand je dis céramique, c'est une matière composite qui ressemble à de la céramique. C'est indestructible, au moins autant que le titane, insalissable, même l'eau n'y adhère pas. C'est joli à voir mais je m'en passerais bien.

J'ai pas trop le choix vu que je suis boursier. Je porte ce truc depuis deux ans, c'était pour mes seize ans. C'est la coutume, plus jeune c'est rigoureusement interdit. Il n'y a que les membres de la famille Brosso qui en portent un plus jeune. On dit même qu'il le portent dès l'âge de onze ans eux. Mais bon c'est une famille de malades, ils sont riches, très riches, mais ils sont fêlés.

Je ne sais pas si vous vous rendez compte, mais mettre un truc comme ça le jour de sa première érection … Pfff … Il faut être fêlé ! La je parle des parents, enfin moi je trouve que seize ans c'est déjà bien assez. Mais bon on ne choisi pas toujours ce qu'on fait !

Remarquez, c'est confortable ce truc, on s'y habitue bien, ça ne gêne pas les mouvements, c'est invisible sous les vêtements et tout et tout mais …

Bein oui !

Je ne me suis pas tripoté depuis bientôt deux ans. J'ai un petit stimulateur électrique, on me l'a donné avec la PK, mais c’est pas pareil. Pour autant que je me souvienne. Je rigole là, on n'oublie jamais et je me souviens très bien, c'est pas pareil ! Avec le stimulateur on jute, c'est efficace mais on ne sent rien, aucune sensation, on jute c'est tout. Le sperme coule, pas besoin d'érection, pas besoin de s'énerver. Et surtout on n'éprouve aucune sensation.

On se préparait donc à sortir. J’hésitais un long moment '' Cravate ou pas cravate ? '' … Bref nous avions soupé, et par petits groupes nous sortions. On se retrouvait un peut plus tard dans la soirée au hasard de nos déambulations.

C'est sur la piste de danse d'un bar tout à fait convenable que je l'ai vue. Nos regards se sont croisés, j'ai cru y voir comme une étincelle au moment ou elle m'a regardé. Nous avons échangé un sourire puis.

Je n'ai pas osé l'aborder.

C'est une peu plus tard dans la soirée que nous nous sommes retrouvé au bar, j'étais venu commander une bière et un soda. Elle était venu commander un cocktail léger. Nos mains se sont frôlées, nos regards se sont croisés de nouveau, nous avons échangé un autre sourire.

Elle : Salut ! C'est la première fois que je te vois ici toi.
Moi : Je ne viens pas souvent.
Elle : Tu habites dans le coin ?
Moi : Je fais mes études.
Elle : Université ?
Moi : PK School !
Elle : Ah ! Hmm ! Intéressant ! Et tu es un de ces porteurs ?
Moi : Bein … Oui, un peu …

C'est à ce moment que mon copain Chris qui m’accompagnait arrivait.

Chris : Alors Rémi on t'attend, la bière, tu es venu la chercher ou tu as décidé de la brasser toi même ? M'dame … ( C'est à peine s'il avait regardé la femme qu'il avait salué rapidement )

Il repartait avec sa bière.

Elle : Tu danses ?

Je me retrouvais dans les bras d'une femme superbe en train de danser. Elle se montrait rapidement entreprenante. Je ne savais plus trop comment réagir. Surtout que c'était la première fois que je me retrouvais dans les bras d'une femme.

Ma cage que j'avais tendance à oublier le plus souvent se rappelait avec violence. Je sentais ma queue se révolter. Il y a deux ans quand j'ai commencé à porter ce truc ça me le faisait tout le temps, puis je me suis habitué et c'était alors plus facile. Avec encore un peu de temps, ça a fini par passer, par se passer bien ou au moins pas trop mal.

Oh n'allez pas imaginez que le dispositif je l'ai oublié. J'y pense tout le temps, par moment j'y pense tellement que je ne pense qu'à ça ! C'est précisément ce qui se passait à ce moment. Je sentais ce corps, ferme et doux entre mes mains, contre moi. Je sentais sa poitrine qui s'écrasait contre mon torse. Et je sentais plus fort que jamais ma queue qui se révoltait même si elle savait, même si elle ne pouvait que savoir qu'elle n'avait aucune chance.

Malgré cette situation, le dispositif PK restait relativement confortable. De la gène, beaucoup de gène à la base de mon sexe, juste en dessous de mes couilles mais rien de plus. Enfin une pression intense à la base de mon pénis, à l'entrée de la cage mais c'est tout. Peut être aussi cette pression dingue tout autour de ma bite, sur toute sa longueur, cette pression qui me donnait l'impression que la cage écrasait ma queue. Mais tout ça c'était sans douleur, rien ne gênait mes mouvements et mon cœur battait fort.

La dame se penchait vers moi, et déposait sur mes lèvres un baiser très tendre. J'étais tétanisé, mes mains se sont refermées sur elle avec un peu plus de force, j'ai fermé les yeux et ma cage à bite aurait dû exploser.

Elle me regardait avec un regard plein de tendresse et de douceur. Finalement je ne suis pas retourné voir mes camarades. Ils ne m'ont pas attendu, Chris est juste venu me glisser à l'oreille '' On se casse '' au moment ou ils sont partis. Je restais avec Nathalie.

En fin de soirée je me retrouvais chez elle. C'est elle qui avait pris l'initiative. Doucement elle m'avait entraîné par la main pour sortir de la boîte de nuit. Puis sur le seuil de chez elle, elle m'avait doucement tiré vers elle et m'avait embrassé et ses baisers étaient des invitations auxquelles je ne pouvais résister.

Je ne savais plus ou j'étais au moment ou on franchissait la porte de son appartement, déjà sa main s'attardait sur mon torse et déjà l'autre main se glissait sous ma chemise. Une pression incroyable se manifestait dans ma cage à bite. Mon cœur battait très fort. Je ne savais pas comment cette histoire allait se terminer. Il y avait comme un petit truc dans mon ventre … '' Comment allait-elle réagir au moment ou elle découvrirait mon dispositif ? … '' .

Puis je me souvenais de notre discussion un peu plus tôt dans la soirée. Elle le sais déjà. Mais ou veut-elle en venir ? Ma queue est sous pression mais je ne pourrais pas en faire grand chose. Mon dispositif se relevait sous la pression interne. C'était très inconfortable, pas douloureux, sur ce point le dispositif tenait ses promesses mais vraiment inconfortable.

A peine la porte s'était-elle refermée qu'elle me tirait vers elle et ses baisers devenaient plus fougueux, moi, je ne sais pas. J'avais l'impression de devenir encore plus timide, je ne savais plus quoi faire. Elle s'en rendait compte.

Elle me retirait ma cravate, ma veste se retrouvait sur le fauteuil sans que je ne sache comment. Suivaient la chemise … Je me retrouvais torse nue.

Elle ne cachait pas qu'elle appréciait ce qu'elle voyait. Ne me dites pas que ça vous étonne, il faudrait être difficile. Dix huit ans, musclé de partout, presque pas de poils. C'est simple si j'étais une fille je serais folle de moi !

Elle semblait folle de moi.

Je sentais plus fort encore son corps quand elle se serrait contre moi, sa poitrine, la douceur de ses bras, la cambrure de ses reins … Je l'embrassais dans le cou, ma queue était en enfer, ma tête était en feu, je ne comprenait plus rien, je me laissais aller.

Doucement elle guidait ma main sur sa poitrine, entre sa poitrine, juste entre ses seins. C'est là que se trouvait un petit bouton, puis un autre, puis … Au début j'aurais pensé que la robe s'ouvrait dans le dos, mais c'est vrai qu'à ce moment je ne pensais plus. Tout avait disjoncté dans ma tête !

Je n'étais plus guidé que par ma bouche contre sa peau, contre ses lèvres, contres ses seins qui se dévoilaient quand la robe tombait sur ses pieds. Elle ne portait rien en dessous et quand ses chaussures retombaient à l'autre bout de la pièce elle était nue.

Je lui caressait alors tout le corps, je tombait à genoux devant elle, la couvrait de baiser. Son corps était ferme, mince. Sa peau était douce et ses seins superbes se relevait presque autant que ma cage de chasteté. Elle retenait ma fougue, il faut bien dire que là je ne contrôlais plus rien.

Nath : Doucement, vas y doucement, on a toute la nuit !

Toute la nuit ! Mon cœur ne tiendrait pas si longtemps. Je savais que je ne pourrais pas conclure, en tout cas pas d'une manière satisfaisante pour moi mais je m'en moquais.

Moi : Ouimaistusaismoij'ai !

Elle me faisait taire avec un doigt sur ma bouche !

Nath : Reste calme … Tout va bien …

Je parlais vite, trop vite, tellement vite. C'est elle qui maintenant se penchait sur moi, sans prévenir elle me poussait sur le canapé, elle en basculait le dossier et se laissait tomber sur moi. Elle s'allongeait sur moi. Je sentais encore plus fort son corps, ses seins qui s'écrasaient contre ma poitrine.

C'est elle qui maintenant me couvrait de baisers. Elle commençait par mes lèvres, puis passait sur le cou, les épaules, les tétons. Là ma queue se révoltait encore plus … avec ses mains elle me caressait tout le corps. Je les sentais se glisser sur ma ceinture, elle ouvrait mon pantalon. C'était amusant et nous rigolions, elle tirait sur mon pantalon, je soulevais mes fesses pour l'aider et me retrouvait à poil , ou presque, quelques instants plus tard.

Je baissais les yeux et voyais l'étendue des dégâts. Ma queue avait tellement gonflé qu'elle formait des petites bulle par les ouvertures d'hygiène. Le dispositif se relevait sous la pression et mes couilles formaient une grosse boule en dessous. C'était pas vraiment confortable, j'avais oublié comment le dispositif pouvait être aussi désagréable à porter. C'était pire peut être même qu'au début !

Nathalie s'amusait de me voir ainsi, et me tripotait les couilles. Puis de nouveau elle s'allongeait sur moi, me caressait, m'embrassait avant de me retourner, je me laissais faire et me retrouvais à mon tour allongé sur elle. C'est moi alors qui la caressais et l'embrassais. Elle me guidait, un peu plus à droite, un peu plus à gauche, plus bas … Elle guidait ma tête entre ses cuisses qu'elle écartais. J'étais sonné ! Ma queue devenait presque douloureuse mais je ne voulais pas arrêter.

Nathalie plongeait une main dans un tiroir et en tirait une laisse. Je regardais ça sans trop comprendre. En fait non c'était pas une laisse, c'était un harnais. Elle me passait une lanière autour de la ceinture, autour des cuisses juste en dessous de mes couilles, je la laissais faire sans comprendre. Elle sortait ensuite une grosse bite en plastique et la fixais sur moi.

Je me retrouvais alors avec une grosse bite en érection, là ou on s'attend à la trouver. Ma cage ne gênait pas, mais ma queue, la vrai cette fois protestait toujours de toutes ses forces. Je me masturbais un peu avec cette queue en plastique mou. Mais c'était sans espoir pour moi, je ne ressentais rien …

En un mouvement rapide elle me retournais sur le dos et se plaçait au dessus de moi. Elle me regardait droit dans les yeux, me chevauchait et doucement dans un très long mouvements s'enfonçait ma queue en elle, elle s'empalait sur moi et je voyais le plaisir sur son visage. Elle fermait les yeux, relevait la tête, gémissait. Sa respiration devenait plus forte, sa poitrine se balançait devant mes yeux. De nouveau j'avais la tête en feux.

Elle retombait sur moi, me caressait, m'embrassait. Je lui rendais toutes ses caresses, tous ses baisers et relevait le bassin puis le laissais retomber. Doucement au début puis plus vite. D'un sourire elle me confirmait que c'est ce qu'elle attendait.

On roulait l'un sur l'autre et je me retrouvais sur le dessus. Je me lâchais alors, je relevais le bassin puis m'enfonçais de nouveau. Elle passait ses jambes dans mon dos et continuait à me guider.  Je lui donnais des coups de bassin, doucement, tout doucement au début. Elle semblait apprécier et m'encourageait, mes mouvements devenaient plus rapides, plus violents.

Par moment elle m'attrapait les épaules et me tirais vers elle, je me laissait alors tomber sur elle et ne bougeais plus le bassin. La fausse bite enfoncée bien à fond en elle. On s'embrassait, on se calmait, elle se calmait et reprenait son souffle. Puis sur commande je recommençais.

Elle s'amusait avec moi et semblait y prendre du plaisir. Moi j'y prenais aussi un certain plaisir mais tellement plus de frustration, et ma queue qui protestait toujours, c'était à devenir fou.

C'est elle qui dirigeait, qui contrôlait, je faisais ce qu'elle me demandait, tout ce qu'elle me demandait. J'étais en sueur, mon cœur battait fort et vite, j'avais l'impression d'être au bord de l'asphyxie. Mais j'étais encore jeune à cette époque,  plus âgé on risquerait de ne pas survivre à de tels ébats … Mais j'avais juste dix huit ans à l'époque !

Puis complètement essoufflée, en sueur elle m'a demandé de me retirer. Nous nous sommes alors retrouvés allongés sur le dos elle satisfaite, moi frustré.

J'avais envie de recommencer de continuer encore et encore jusqu'à ce que … Mais ce n'était pas de cette manière là que je pourrais vraiment jouir comme j'en avais si souvent envie et là, ce jour là, à ce moment, tellement besoin.

Elle s'était bien amusée, elle m'avait utilisé comme un jouet, un sex-toy. Je n'avais été que son sex-toy pour un soir. Avec douceur elle me prenait dans ses bras, elle décrochait le harnais, je me retrouvais vers elle et la prenait dans mes bras, j'étais en manque mais j'étais prêt à prendre soin d'elle.

Elle s'est endormie peu après, j'ai admiré son visage d'ange pendant toute la nuit. Elle a bien dormi, très bien dormi même. Moi j'ai pas dormi, j'ai veillé sur ma princesse.

Toute la nuit ma queue à protesté dans sa cage.

J'étais là, à sa disposition, prêt à recommencer sur commande, quand elle le voudrait.





INITIATION 2


La semaine qui suivait était longue. J'ai compté les jours, et chaque jour j'ai compté les heures, et chaque heure …

Bon j'arrête là sinon vous allez dire que j'en rajoute. En tout cas je peux vous le dire sans en rajouter … La semaine a été longue !

Le week-end suivant, vous l'avez sans doutes deviné, j'ai passé toute ma soirée dans ce club. Je n'ai vu personne que je connaissais. Enfin je ne cherchais pas vraiment quelqu'un que je connaissais sinon la superbe créature que j'avais rencontré la semaine précédente. 

Je suis revenu à mon interna déçu, un peu dégoûté même. Elle n'est pas venue. La semaine qui suivait était longue … Oui je sais je me répète aussi pour éviter trop de redondance dans mon texte je vous invite à relire ( une fois ) les trois paragraphe précédents … ( avant de passer au suivant ) … Pfff !

La semaine qui suivait ( après tout ça ) n'en finissait pas. Chaque jour durait des semaines et la semaine m'avait semblé interminable. Une fois de plus je me retrouvais dans le même club, seul, mes camarades ne s'occupaient plus de moi, ils avaient renoncer à comprendre ce que je faisais. Là encore il n'y avait personne, j'étais un peu découragé de la revoir quand un peu après minuit elle apparaissait telle une vision, un rêve, une lumière qui venait de s'allumer. La salle de bar était soudainement plus lumineuse, plus joyeuse, je retrouvais le sourire, j'entendais de nouveau des rires et la musique dans la salle d'à côté devenait entraînante.

Elle me voyait et me lançait un large sourire. Elle venait vers moi, m'embrassait … '' Salut Rémi, tu es venu seul ?''

Je lui répondais que oui. Juste derrière elle il y avait un gars qui ne me plaisait pas. Il avait un mauvais genre. Costume parfaitement ajusté, veste, chemise blanche, pas de cravate ... même pas de cravate ! Il portait aussi un pantalon du même tissus que la veste, des souliers vernis. Mais il avait une salle tronche !

Il avait un visage viril carré avec toutefois des traits fins il portait une barbe de trois jours parfaitement taillée, des cheveux courts, il affichait un sourire charmeur et des dents blanches. Je remarquais que toutes les filles dans la salle se retournaient sur son passage, c'était que ce bellâtre était bien foutu. Il avait une belle musculature bien faites et on pouvait admirer une fourrure qu'on devinait très douce qui ressortait par les deux boutons du haut de sa chemise négligemment ouverts. 

Un beau mec, un charmeur, une salle tronche, moi il ne me plaisait pas !

Nathalie se retournait vers lui et nous présentait. André, il s'appelait André le gorille. Il me serrait la main avec un large sourire franc, j'avais du mal à lui rendre son sourire mais pour faire plaisir à ma princesse je prenais sur moi. Sous l'effet de l'agacement, je décidais de lui serrer la main de toutes mes forces, de lui broyer la main histoire de lui montrer un peu qui est le mâle dominant. Voyant cela il serrait sa main un peu plus sur la mienne, je ne bronchais pas mais je vous jure à cet instant je ne pouvais plus bouger les doigts, j'ai même entendu crac. Si, si je vous jure, il y a un truc qui a craqué dans ma main. J'ai mis trois jours à m'en remettre … Moi et mes idées à la con, il m'avait montré qui était le mâle dominant. En même temps il avait rajouté …

André : On voit là un jeune homme décidé avec un caractère franc, j'aime les personne avec une poignée de main ferme et franche.

En plus il se foutait de ma gueule ! Quand il m'a lâché la main je la glissais entre mes cuisses … Je vous jure … Bobo !

Nathalie voyant que mon verre était vide avait commandé pour nous trois et je préférais boire en tenant mon verre avec la main gauche. André retirait sa veste et je comprenais mieux, c'est qu'il était musclé le bestiau, il avait l'air bien carré avec sa veste mais juste avec sa chemise on voyait qu'il l'était encore plus qu'on ne le pensait au départ. 

Il attrapait Nathalie par la main et avec un mouvement à la fois élégant et fluide l'entraînait sur la piste de danse. La sono jouait un tango ! J'étais dégoûté ! Il dansait comme  un dieu ! 

Pfff , le bellâtre, un vieux beau ouai ! Il faisait son tombeur, il devait avoir pas loin de quarante ans ! Tout ça pour séduire une femme sublime bien plus jeune que lui qui elle, était dans la trentaine rayonnante. Par moment une douleur me relançait au niveau de ma main droite !

Je gardais le sourire, avec beaucoup de mal mais je gardais le sourire toute la soirée. Après la danse, on les installait à une table, bien en vue. Nathalie m'invitait à les rejoindre. Peu après une bouteille de champagne arrivait sur la table, avec trois verres. 

Nathalie s'installait entre King-Kong et moi et je me rassurait quand sa main me caressait la cuisse avec douceur. Je paniquais quand elle se retournait et que je la voyais embrasser avec fougue l’humanoïde velu !

Elle m'entraînait sur la piste de danse à mon tour puis c'était lui, puis moi de nouveau … Finalement avec Donkey Kong on s'est relayé pour faire danser la princesse. J'aimais l'imaginer avec une démarche pataude mais la réalité était toute autre, il était élégant svelte et il dansait vraiment bien !

Bon ça va, j'étais jaloux c'est tout ! Bein oui quoi moi j'ai juste dix huit ans, je suis un gamin, je ne suis pas de taille, je ne tiens pas la comparaison moi ! Pfff !

Je me rendais pas compte que c'était déjà la troisième bouteille de champagne qui s'en allait et qui était remplacer par une quatrième, mais c'est vrai que j'avais moins de mal à faire bonne figure et à garder le sourire. 

Nathalie s’absentait pour se refaire une beauté, comme si elle en avait besoin, elle est magnifique. Le primate s'asseyait à côté de moi et posait sa main sur mon épaule en marque d'amitié. Il est super sympa en plus, cultivé, instruit, et beau mec finalement.

Je le déteste !

Il avait remonté ses manches et quand son bras frôlait le mien je pouvais constater que sa fourrure était très douce l'ourse rêche donnerait donc dans le genre nounours en plus d'être doté d'une musculature d'athlète ? 

Je le hais !

C'est en taxi que nous rentrions, là encore Nathalie m'invitait à la suivre. Je suivais mais le regrettais au moment ou j'ai vu Frankenstein prendre dans ses bras ma princesse, il la tenait avec force et il l'embrassait avec passion, là, juste devant moi.

J'avais envie de l'étrangler mais ma main me faisait encore mal !

A la maison le barbare faisait comme chez lui. Il sortait les verres, et servait quelques alcools. Je me retrouvais avec un double truc qui arrache la gueule que je buvais cul sec. J'étais un peu en colère. Oui et bien, ça n'arrache pas que la gueule, ça arrache aussi la gorge et les boyaux ! A  ce moment si je devenais tout rouge c'était pas dû à la colère !

Je les regardais, il dansaient. Le monstre la retenait avec une force peu commune et quand la belle se laissait aller, se laissait tomber en arrière, la bête la retenait et l'embrassait sur la poitrine.

Bon là je décidais que ça suffisait, je me levais, bien décidé à lui donner la correction qu'il méritait. '' Il va voir qui est le mâle dominant ce sauvage !''. En me voyant arriver il m'a décoché un large sourire et dans un mouvement de danse aussi élégant que précis il relevait la compagne, la faisait tourner sur elle-même et je la recevais dans mes bras, elle s'accrochait à mon cou et m'embrassait avec passion. 

J'ai pas tout compris tout de suite ! Je me retrouvais à danser avec ma reine dans les bras, je la retrouvais, douce, chaude, pulpeuse. Elle savait ce qu'elle faisait, ce n'était pas l'alcool qui la faisait agir ainsi !

André s'était installé confortablement sur le fauteuil, il avait ouvert complètement sa chemise. C'était pas un ours c'était un grizzli. Il avait une fourrure magnifique, ouai bon là je m'égare ! C'était pas vulgaire mais c'est vrai qu'il était poilu quoi !

Une fourrure dense et très foncée sur une peau bronzée et des muscles un peu partout … Pfff … Je peux pas suivre la comparaison moi ! … Pfff … 

Je me suis bien rasé pour sortir ce soir mais ça n'a pas vraiment fait de différence même si la dernière fois c'était il y a une semaine … 

Nathalie donnait tout de même l'impression de m'apprécier. Elle ouvrait ma chemise et rapidement je me retrouvais torse nue. André aussi, il se relevait et prenait ma place, avec douceur, avec tendresse, avec tous ses muscles. Pendant qu'ils dansaient ensemble, pendant qu'il l'embrassait avec passion, elle me tenait toujours la main pour que je n'aille pas trop loin. 

Par moment elle me tirait vers elle, passait sa main autour de mon cou et m'embrassait également avec passion.  Avec une passion dévorante et douce, une passion qui sait prendre son temps. 

Je me collais alors à eux deux, dans le dos de Nathalie, je suivais le mouvement il l'embrassait dans le cou, je l'embrassait dans le cou aussi mais de l'autre côté. Il lui ouvrait son corsage, c'est vrai qu'il s'ouvre toujours par devant. Je lui caressait les seins, je sentais les mains et les bras d'André, il me caressait aussi les avants bras. Je lui rendais ses caresses.

Les mains de Nathalie se glissaient sur la ceinture de mon pantalon, elle l'ouvrait et mon pantalon tombait sur mes pieds. Elle tournait la tête vers moi et me glissait à l'oreille '' Enlève moi tout ça, tu veux bien ? ''. Fébrilement je m'exécutais. Je me retrouvais nu. Je la retenais contre moi. Ma queue se manifestait enfin. C'est sans doute la présence du gorille qui l'avait calmée, et il avait fallu la douceur de la peau de Nathalie pour la réveiller.  

Nathalie était torse nue, ses seins se relevaient sous mes caresses et celles d'André. Nos mains se croisaient sur la poitrine de Nath, il me caressait les avant-bras, puis ses mains remontaient sur mes bras, mes épaules pour terminer dans mon dos. Il me tirait contre Nath qui le tirait contre elle. Je passais moi aussi mes mains dans le dos d'André, il avait une fourrure épaisse comme je l'avais déjà remarqué mais je n'avais pas imaginé qu'elle était aussi douce. 

Mes mains se promenaient sur tout son dos puis passaient au torse, au ventre, à l'entre cuisse de Nathalie. Il suivait le même parcours et ses mains passaient de mes fesses à la poitrine de Nathalie. Son pantalon tombait, une bite énorme se relevait bien droite, bien ferme, bien longue, bien large, de proportions parfaites.

Mais il est vraiment détestable ce mec ... C'est simple, il est parfait !

Nathalie ne se privait pas de lui caresser la bite, à plusieurs moment je l'ai frôlé de la  main moi aussi en caressant le ventre de Nath. À plusieurs reprise elle à pris ma main pour la guider sur la queue d'André. Je la caressais alors, mais en essayant de ne pas trop y toucher.

Ma queue poussait désormais de toutes ses forces contre ma cage, la tête me tournait et ma cage me faisait presque mal. 

Nathalie me prenait la main qu'elle guidait vers son sexe et se masturbait avec ma main. Je sentais André qui lui caressait le sexe avec sa queue, j'étais un peu embarrassé mais je laissais faire, ça faisait plaisir à ma princesse. J'écartais les doigts et je sentais la queue de notre partenaire s'enfoncer en Nathalie, elle s'enfonçait lentement, je sentais chaque millimètre passer. J'étais en transe. Là je n'avais plus envie du tout de retirer ma main.

Une main me tripotait les couille, c'était … Non ce n'était pas Nathalie. Je laissais faire, il y allait avec force, il me faisait presque mal mais je le laissais faire. Ma queue protestait comme jamais. Il pénétrait Nathalie qui gémissait et se tordait de plaisir dans mes bras. Je sentais ses seins se dresser contre la fourrure d'André et à la fin je ne savais plus si c'était la peau de Nathalie que je trouvais si douce ou la fourrure du barbare. Son ventre frappait contre le ventre de Nath. Je glissais mes mains entre eux deux, bien posées sur les cuisses de Nath, je les rapprochais et je sentais la queue d'André glisser entre mes mains. Je sentais Nathalie gémir de plaisir entre nos corps. Je respirais fort moi aussi. Et ma queue me faisait souffrir, mais ça c'était plus dans ma tête que dans mon corps. 

André, se retirait et me mettait à genoux devant Nathalie, moi je ne bougeais pas je la caressais toujours avec douceur. Je m'attardais sur sa poitrine, elle retournait la tête et nous échangions des baisers pleins de fièvre. Quand ma mains descendait sur son ventre je rencontrait la tête d'André qui avait le visage enfoui entre ses cuisses, les cheveux d'André aussi étaient doux, je lui caressais les cheveux.

Sans prévenir Nathalie se retournait et me faisait face. Ma queue se révoltait encore avec plus de force, elle protestait, demandait grâce mais c'était sans espoir … Je n'ai même pas la clé ! André se relevait, Nathalie tournait la tête vers lui puis vers moi et nous donnait des baisers chauds puis elle se glissait lentement sur le côté. Je me retrouvais face à au gorille. Il me souriait, il avait l'air content de lui.

Une queue énorme se redressait devant lui, une cage minuscule se redressait devant moi. Là je me sentais mal.

Nath : Embrassez-vous !

Je restais tétanisé, André faisait un pas en avant, le pas qui me séparait de lui puis il passait une main juste derrière ma nuque. Il déposait ses lèvres sur les miennes, il ne faisait pas semblent tout de suite il y mettait la langue et me donnait un baiser auquel je ne m'attendais pas. Je bandais comme un fou et la douceur de ce baiser tranchait avec cette gêne intense entre mes cuisses.

André me prenait dans ses bras, je sentais sa queue qui se relevait entre mes cuisses. Je sentais la douceur de sa fourrure et la force de ses muscle. Je me sentais tout petit entre ses bras, il était plus large que moi, plus costaud aussi.

Nathalie nous regardait, elle se rapprochait de nous, m'écartait et prenait ma place devant André. Elle le prenait dans ses bras, elle s'allongeait sur le tapis très épais, il s'allongeait sur elle, je les regardais. Ma queue protestait à chacun de leurs baisers, à chacune de leurs caresses. 

Il roulaient l'un sur l'autre, elle était allongée sur le dos il la pénétrait avec douceur et force à la fois. Il était allongé sur le dos, elle s'empalait sur lui et le chevauchait, il relevait alors le bassin tel un cheval au galop, elle se cambrait, se penchait, se relevait. Ses seins se balançaient. Dans ma tête c'était un incendie. Dans ma cage c'était l'enfer. 

Je les ai regardé pendant plus d'une demie heure, ils faisaient une pause. Quelquefois toujours unis l'un à l'autre, puis reprenaient. Ils m'avaient oublié, ils ne s'occupaient plus de moi. Je l'ai entendu gémir, trembler de plaisir quand son corps s'est lâché, s'est libéré … Elle aussi, je l'ai vu se tordre de plaisir sous la douceurs des caresses qu'il lui donnait. 

Puis je l'ai vue, elle, quand elle s'est laissé tombé sur le corps de son amant. Ils étaient beau dans le plaisir, je me sentais minable dans ma frustration. Ma cage se redressait devant moi, ma queue tentait de toutes ses forces de pousser contre les parois de ce dispositif démonique. 

Je ne détestais plus André, je l'enviais. Je ne sais pas ce que j'aurais fait pour pouvoir prendre sa place. Je me serais damné. J'étais hors compétition face à lui, il était plus mature que moi, moi je n'étais qu'un gamin. Il était plus fort que moi, même si j'étais moi même pas trop mal. Il avait plus de carrure que moi, il était monté comme un âne, il avait une bonne tête, il dansait comme un dieu, il … 

Finalement la seule chose que je lui enviais c'était Nathalie !



INITIATION 3



Le lit était toujours aussi confortable que la première fois. Par moment Nathalie se blottissait contre moi, c'était un instant de douceur mais quand je posais ma main sur elle c'était les poil de l'autre primitif que je sentais.

Il dormais paisiblement, là, juste à côté de Nathalie, de l'autre côté du lit. Elle me fait faire de ces truc cette fille. J'aurais jamais cru qu'un jour j'embrasserais un homme … Et que j'y prendrais du plaisir.

Je n'aurais jamais imaginé qu'un jour je trouverais du plaisir à caresser les poils d'un mec, son torse musclé ou encore sa queue. C'est justement la poitrine d'André que je caressais avec le dos de la main à ce moment. C'est vrai qu'au départ c'était l'épaule de Nathalie que je caressais puis, peu à peu ma main s'était rapprochée du torse d'André et c'est lui que je finissais par caresser …

Dans ma cage la pression ne baissais pas. J'ai failli craquer cent fois, au début pendants les ébats, ensuite pendant la nuit. Je ne sais même plus si c'est la peau de Nathalie ou la fourrure d'André qui me fait cet effet.

La douceur de la poitrine de Nath ou la musculature d'André, la finesses du ventre de l'une ou la tablette de chocolat de l'autre, cet espace vide voluptueux entre les cuisses de Nathalie ou cette bosse impressionnante entre les cuisses du gorille, je ne savait plus qui, quoi me faisait bander. Ce que je savais par contre c'est que le port du dispositif de chasteté était particulièrement difficile à supporter cette nuit encore.

C'est décidément une habitude de mal dormir entre les bras d'une princesse.

En tout cas ce n'était pas le cas de notre compagnon. Il ronflait ! Ho, il ne ronflait pas trop fort, c'était un doux murmure. Même là il est encore au top, même quand il ronfle il fait ça bien. Je réajustais mon dispositif de chasteté plusieurs fois dans la nuit. Je finissais par m'endormir.

Il était tôt le matin quand Nathalie s'est levée. C'est elle qui s'était réveillée en premier et sans nous attendre elle s'était levée, douchée et habillée et était sortie.

C'est ce qui m'a réveillé. Au moment ou j'ai voulu la prendre dans mes bras, c'est la fourrure du barbare que j'ai caressé, elle est douce et dans mon sommeil j'ai pas réagi tout de suite puis c'est sur sa queue en érection que ma main s'est arrêtée … Là ça m'a réveillé ! Je l'ai senti réagir, il m'a caressé le bras. Je ne bougeais plus, j'étais tétanisé et bizarrement mon érection du matin se calmais. C'est vrai que je ne suis pas de taille moi. Il en a une grosse !

Il s'est retourné, m'a pris dans ses bras et m'a donné un baiser dans le cou, juste sous l'oreille. Je n'osais plus bouger. Dans ma cage, il y avait toujours un peu de pression, une grosse molle qui prenait toute la place mais ne cherchait plus à se sauver. Bizarrement je me suis endormi. Bizarrement j'ai bien dormi là. J'ai terminé la nuit paisiblement. J'ai rêvé que je me mariais avec Nathalie et André. Enfin j'ai rêvé que j'étais son premier époux, j'avais montré à l'autre néandertalien qui était le mâle dominant … Bon je ne sais plus comment je le lui avait montré, c'est dommage ça aurait pu me servir, mais je le lui avait montré. Vous savez dans les rêves il ne faut pas toujours chercher à tout comprendre.

C'est plus tard, beaucoup plus tard dans la matinée qu'il se réveillait complètement.

André : On nous a laissé. Elle t'a dit ou elle partait ?
Moi : ( j'ouvrais les yeux ) Non, je ne l'ai pas entendu partir.

Nous étions dans les bras l'un de l'autre, son visage était juste devant le mien. Il me souriait et me donnait un baiser sur les lèvres. Je frissonnais. Finalement c'était très agréable cette histoire. Je sentais sa queue se relever et se glisser contre ma cuisse, elle s'arrêtait au niveau de ma cage de chasteté. Je sentais la pressions monter dans ma cage de chasteté, elle était rapidement remplie par une grosse molle qui restait à son aise malgré le peu de place qui lui était réservée.

Il me serrait plus fort et ses baisers devenaient plus … intrusif … j'ai beaucoup aimé. Il embrasse bien André et finalement sa barbe de trois jours parfaitement taillée était agréable. Je lui rendais son baiser d'une manière toute aussi entreprenante. Ma queue devenait plus volumineuse et commençait à pousser contre ma cage. Ça devait arriver cette affaire, vu comment la soirée avait déraillé la veille, ça devait arriver qu'un mec me fasse bander !

Il me retournait sur le dos et s'installait sur moi, il me chevauchait, ses fesses se plaçaient juste au dessus de mon dispositif sur lequel il appuyait et qui se retrouvait écrasé entre mes cuisses. Mes couilles étaient bien fermes,bien pleines et ne formaient qu'une seule grosse boule qui se retrouvait compressée par son poids.

Je ne me défendais pas, je le laissais faire, j'étais complètement passif, mon cœur battait vite et je respirais fort. Il me caressait les bras puis remontait ses caresses jusque sur mes épaules. Il insistait longuement et revenait là ou il s'était déjà attardé. Quand ses deux mains caressaient ma gorge, c'était avec une grande douceur et il penchait son visage sur le mien et m'embrassait avec passion. J'étais un peu perdu et n'osais pas vraiment le toucher.

Je relevais la tête et je pouvais contempler son membre viril relevé devant lui. Ma cage était invisible écrasée sous ses fesses. Je me surprenais à contempler sa queue, c'était la première fois que je regardait la queue d'un mec de cette manière. Dans ma tête je faisais la comparaison avec ma virgule, lui c'était un point d'exclamation qu'il arborait !

Je laissais ma tête retomber sur mon oreiller, il avait posé une mains juste derrière ma nuque, il se penchait de nouveau sur moi et nos baisers devenaient chauds, fougueux, passionnés. Il s'allongeait sur moi, je le prenais dans mes bras, je me laissais aller à cette étreinte passionnée autant qu'imprévue. 

Nos deux corps roulaient l'un sur l'autre et roulaient encore. Je ne savais plus ou j'étais mais je ne me posais plus de questions. Après tout un câlin n'a jamais fait de mal à personne. Puis le câlin changeait de ton, il m'embrassait sur les épaules, sur le torse, sur les tétons … C'était terriblement bon. Je frissonnais à chaque fois que ses lèvres me touchaient, sa petite barbe me chatouillait et ma cage protestait désormais. Ce n'était plus une grosse molle qui se sentait à son aise dans un espace un peu confiné, c'était une grosse dure qui voulait prendre le contrôle de la situation. Enfin grosse, pas tant que ça finalement à cause de la cage mais dure ça oui ! Très dure même.

Je me retrouvais sur lui, je le chevauchais, ma cage pouvait se relever devant moi, il avait les jambes légèrement écartées. J'étais assis sur lui, les jambes repliées, les fesses au dessus de ses couilles, sa bite dépassait juste sous ma cage. Je me repliais ver lui et le couvrais de baiser. Sa fourrure était vraiment douce et me chatouillait le nez quand je déposais un baiser.

Il me caressait les cheveux, je sentais la force de ses muscle et la douceur de ses caresses. C'est pas pareil avec une femme … Enfin c'est vrai qu'avec une femme j'ai pas encore trop pratiqué !

André : Suce moi !

À cet instant j'allais lui déposer un baiser juste en dessous du nombril. Je ne bougeais plus. Doucement, presque imperceptiblement ma tête s'inclinait vers sa queue. Mes lèvres n'étaient pas bien loin mais je n'avais pas prévu de descendre aussi bas. Il me caressait les cheveux, comme pour m'encourager, il ne me forçait pas. S'il avait voulu appuyer sur ma tête je me serais déjà retrouvé avec sa bite dans le nez sans que je ne puisse rien y faire. J'étais tétanisé, je ne savait plus quoi faire.

Sa pression sur ma tête devenait plus entreprenante. Je décidais de ne pas résister et je posais mes lèvres sur son gland. Suivait ma langue qui doucement se posait à son tour sur le bout de sa bite. Je ne bougeais plus, une nouvelle caresse dans les cheveux me donnait le courage de continuer.

Ma langue léchait maintenant le bout de son gland, puis en faisait le tour et recommençait. Il gémissait de plaisir. '' Oui ! C'est bon comme ça ! Ça commence très bien ''.

Il posait ses deux mains sur ma tête mais c'était pas pour m'enfourner sa queue bien à fond en appuyant de toutes ses forces, je n'y aurais pas survécu. C'était juste pour me guider. Ce Cro-Mignon n'était pas si effrayant que ça finalement. Je me prenais au jeux et rapidement c'est son gland qui entrait en entier dans ma bouche. Je continuais à passer ma langue tout autour, j'ouvrais la bouche à m'en déboîter la mâchoire, j'y mettais tout mon cœur, et je parvenais à en faire entrer un plus gros morceau.

Dans ma tête il y avait un incendie, dans ma cage c'était l’horreur comme la veille, mon cœur battait tellement fort qu'il allait lâcher. Heureusement que je suis encore jeune et solide, sinon …

Quand je relevais les yeux je le voyais il me souriais, avec son pouce il me caressait le front, avec la paume de sa main il me caressait la joue, il passait son pouce sur mes yeux en prenant soin de ne pas appuyer. Il savait se montrer doux, tellement doux et pourtant il paraissait fort, tellement fort. Je comprenais le plaisir que les femmes peuvent éprouver de se retrouver dans de tels bras.

 Je sentais ses muscles rouler sous sa peau, sous la douceur de sa peau. Il aurait pu m'écraser la tête juste en me la serrant entre ses mains. M'étouffer sans effort en m'enfonçant sa queue dans la gorge. Il aurait pu mais il n'était que douceur. Je finissais par relever la tête et m'approchais pour lui donner un baiser.

André : Tu fatiques ?
Moi : Elle est énorme !
André : Oui on me le dit souvent.
Moi : La mienne est plus …
André : Enfermée !

On rigolait.

André : C'était pas la première fois ?
Moi : Bein si !
André : Alors tu es doué mon petit bonhomme.

Il me serrait dans ses bras et de nouveau nos deux corps roulaient l'un sur l'autre, de nouveau on partageait un long moment de tendresse virile.

André : Retourne toi, je vais te prendre !
Moi : Tu vas me prendre ?
André : Oui je vais te prendre !
Moi : Oui mais tu vas pas m'enculer alors ?

Je l'entendais rigoler.

André : Tu es un marrant toi !

Doucement il m'avais mis en position, j'étais allongé sur le ventre, les jambes écartées. Il me massait le dos, les hanches, me couvrait de baiser en commençant par le haut du dos, il descendait et je sentais sa barbe et ses baisers qui descendaient jusqu'à mes reins.

Avec un main il me caressait les fesses, il s'attardait sur mon petit trou du cul encore vierge. Je pense qu'il avait deviné que j'étais encore vierge, surtout qu'il savait maintenant que c'était la première fois que je suçais un mec.

Il me lubrifiait bien le cul et au moment ou il me mordillait le bas du dos, juste au moment ou je frémissait, il m'enfonçait un doigt dans le cul, le retirait et revenait à la charge avec deux doigts ce coups ci. Je poussais un râle de plaisir, je les sentais bien ses deux doigt mais ça ne faisait pas mal, c'était bizarre mais pas vraiment désagréable.

Il ne bougeait plus pendant quelques minute, seule son autre main me caressait toujours le dos, puis se mettait à bouger les doigts dans mon cul. Je poussais un cri, je jouissais, j'éjaculais, le souffle me manquais, la tête me tournait, c'était bon. Depuis je ne sais combien de temps je vivais sans aucun plaisir sexuel. Je me vidais bien les couilles régulièrement mais sans plaisir alors que la solution était là, à portée de main et que je ne le savais pas. Je me sentais bien tellement bien.

André : On va plus loin ?
Moi : Je lui gémissais alors un OUI qui ne prenait pas fin.

J'aurais pas dû ! Aussitôt je me disais que j'aurais pas dû. 

Il s'allongeait sur mon dos, glissait encore un doigt dans mon cul pour me lubrifier abondement, il m'écartait doucement les jambes et prenait position, son gland bien en face de mon cul. J'étais vierge, j'avais la trouille, je voulais lui crier d'arrêter, il appuyait.

Je résistais, je ne desserrais pas le cul, il penchais sa tête sur mon cou juste au dessus de mon épaule et me mordait assez fort pour me faire crier, je relevais la tête et hurlais, il enfonçait sa queue dans mon cul et venait de forcer la première résistance. Je hurlais, j'avais du mal à respirer, je ne pouvais plus bouger, plus parler, plus rien faire.

Il ne bougeait plus lui non plus pendant un long moment. Quand essoufflé je reposait mon visage sur l'oreiller il reprenait et avançait un peu plus. Je sentais mon anus se dilater, se distendre. Je respirais fort, je n'arrivais même plus à gémir, aucun son ne sortais plus de ma gorge.

Je sentais, complètement paniqué, son ventre s'écraser contre mes fesses. J'ai cru mourir, je n'avais pas seulement l’impression que mon cul allait déchirer, j'avais aussi l'impression qu'il avait fracturé mon os anal. Vous savez l'os qu'on a tous au fond du trou du cul ! Oui je sais il n'y en a pas mais j'avais l'impression que moi, à ce moment, j'en avais un et qu'il venait de le fracturer.

J'étais alors pris de convulsions et poussais des cris de plaintes désordonnés. Il comprenait la situation et se retirait lentement. Je l'avais senti rentrer je le sentais ressortir la sensation était aussi forte dans les deux sens. J'ai à nouveau hurlé quand il est totalement ressorti et là j'ai joui de nouveau, j'ai juté de nouveau.

J'avais mal au cul, mal jusque qu'au fond de mon ventre mais ça allait mieux.

André : Alors là tu m'impressionnes bonhomme. C'était vraiment la première fois ?

Je faisais oui de la tête. Il me donnait une claque sur les fesses et m'enfonçait sans ménagement deux doigts dans le cul. Ça passait tout seul maintenant, il m'avait bien dilaté.

André : Même pas une petite fois avec un mec moins bien monté ?

Je faisais non de la tête.

André : Même pas un petit gode ou un truc comme ça ?

Je faisais toujours non de la tête.

André : Alors c'est que tu es doué mon gars ! Avec un peu d'entraînement tu verras tu t'en prendras des encore plus grosses et tu verra tu y prendra beaucoup de plaisir.
Moi : Ça fait mal !
André : Au début ça fait mal mais ensuite ça ne fait plus mal du tout !
Moi : Du tout ?
André : Oui enfin avec un outil comme le mien ça peut faire un peu mal encore.

Il s'installait sur le dos et se masturbais, je finissait pas me retourner et je le regardais faire, je le regardais impressionné quand il éjaculait, je recevais une grosse giclée sur la figure et n'essayais même pas de l'éviter. Ça le faisait rire, je riais un peu aussi mais j'avais mal au cul, jusqu'au nombril, dans mon ventre.

On passait ensuite sous la douche, il était redevenu douceur et tendresse. Je commençais à bien l'aimer moi ce gros nounours.

Bilan final de cette histoire …

J'ai mis trois jours avant de pouvoir utiliser sans problème ma main droite et près d'une semaine avant de pouvoir m’asseoir normalement. Vous imaginez bien que j'ai pas raconté ma soirée à mes copains …



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast

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