Philippe saison 2 ( Episode 15 à 27 )

PHILIPPE
EP 15 : LA MAISON EST HANTEE !



On soupait sur la terrasse, au début mes camarades restaient un peu coincés en présence de mon grand père, surtout que j'étais torse nue et que dans notre éducation nous étions habitués à nous habiller pour passer à table. Mon grand père était en tenue décontractée, un short et une chemise légère à fleur. 

Rapidement l'ambiance se détendait, il nous racontait comment cette maison était faite. Elle faisait la surface de trois terrains de foot au sol, sans compter la piscine olympique bien sûr ( ni les autres ). Il y avait un total de six étages regroupés par deux, trois terrasses donc. La perspective était très étudiée pour qu'on ne puisse pas voir ce qui se passait sur la terrasse inférieure, sur chaque terrasse on ne pouvait même pas détecter la présence de l'étage du dessus et donc en aucun cas voir ce qui s'y passait …

GP : Selon vous les jeunes nous somme sur qu'elle niveau ?

Comme je connaissais la réponse je ne disais rien.

Théo : Si j'en juge par la taille de la terrasse, je suppose que chaque étage doit être légèrement plus petit que le précédent … Je suppose que nous somme au niveau le plus bas.
Victor : Au hasard moi je dirais que nous somme sur la troisième terrasse, il y a encore un étage au dessus de nous qu'on voit d'ici. 
Théo : Toi Philippe tu vas nous dire que nous sommes sur la seconde terrasse …
Moi : Nous sommes sur la troisième terrasse, tout en haut, il y a deux terrasses et quatre étages en dessous de nous. La piscine olympique se trouve sur la première terrasse, qui est d'ailleurs au même niveau que notre piscine. 

Mes camarades étaient impressionnés par les lieux, on discutaient encore un long moment.

GP : Cette maison est conçu comme un village, les couloirs peuvent être vus comme des rues. Il est possible d'isoler chaque étage ou groupe d'étage en quartiers, appartements. Il suffirait de claquer des doigts pour faire de cette maison un hôtel par exemple,  Les ascenseurs peuvent être considérés comme des transports en commun. Ils ne se contentent pas de monter et de descendre, ils se déplacent aussi au travers de la maison. Vous pouvez monter dans un ascenseur ici et en ressorti au même étage mais à l'autre extrémité de la maison. Quand vous aurez compris comment ça marche, je suis sûr que ça va vous amuser. 
Théo : Et on peut aller partout ?
GP : C'est ça l'intérêt de cette technologie, si certains quartiers vous sont interdits, pour une raison ou pour une autre, vous risquer de ne même pas vous en rendre compte. Ces destinations ne vous seront tout simplement pas proposées.
Victor : Et si on se perd ?
GP : La maison veille sur vous et vous ramènera à vos quartiers, de même si vous veniez à faire une chute, à vous blesser par exemple, La maison appellera du secours, de plus il y a du personnel dans cette maison …

Finalement mes camarades arrivaient à faire fonctionner d'instinct les ascenseurs. Dès que nous montions dans un d'entre eux, nous étions identifiés, et nos destinations les plus logiques nous étaient proposées. On n'avait plus qu'à se laisser guider.

On traînait encore un long moment  sur la terrasse à parler avec mon grand père, mes deux camarades s'étaient détendus mais c'est vrai que mon grand père sait mettre à l'aise les gens quand il le désire. On finissait par rejoindre nos quartiers. La journée passait vite, on prenait nos repères et le soir arrivait, on soupait avec mon Grand Père et on parlait de ce qu'on pourrait faire pendant notre séjour.  Victor restait encore un peu tendu, mais ce n'était plus à cause de mon papy, il préférait aller se défouler dans la piscine olympique. Il y serait tout seul, il avait de l'énergie à dépenser …

C'est donc vers deux heures du matin qu'il déboulait dans notre quartier en hurlant, il était tout pâle et tremblait. Théo et moi dormions tranquillement chacun dans notre chambre quand les cris de Victor nous réveillaient.

Victor : Dans la maison, c'est pas normal, y a du monde, y a pas personne … Ça va pas là … Il était là … Puis il était plus là .
Moi : Mais de quoi tu parles ?
Victor : Il était là puis il était plus là. Je l'ai appelé, je m'était trompé dans la destination, j'étais perdu.
Théo : Mais de qui il parle !
Victor : MAIS J'EN SAIS RIEN MOI DE QUI JE PARLE !
Victor : J'ai peur !

Théo et moi nous regardions, on poussait un grand soupir puis j'attrapais la main de Victor et l'entraînait vers ma chambre, Théo lui prenait l'autre main puis le tirait vers sa chambre.

Victor : Non mais ça va pas, c'est fini, je vous raconte que je viens de me faire agresser par un fantôme et vous … En réponse vous essayez de m'écarteler !

Je regardais Théo.

Moi : Un fantôme maintenant !
Théo : Je suis sûr qu'il n'y a pas de fantôme dans cette maison, elle est trop récente.
Victor : Mais le fantôme, il était peut être là avant. On a profané sa sépulture et maintenant il ère dans les couloirs de cette maison démesurée. 

Finalement on entraînait Victor dans ma chambre. Je le prenais dans mes bras, c'est vrai qu'il avait l'air un peu secoué le pauvre. Je ne savais pas ce qu'il avait vu, peut être n'avait-il rien vu mais il était convaincu du contraire. Je tentais de le réconforter comme je pouvais, je lui parlait doucement dans l'oreille et lui donnais quelques baisers. Théo s'était joint à nous, dans le dos de Victor il nous serrait fortement contre lui. Je pouvais voir qu'il embrassait Victor dans le cou.

Théo nous lâchait, il avait une autre idée en tête. Avec force il baissait le short de Victor et le faisait tomber sur ses chevilles. Je sentais ses mouvements, je sentais aussi Victor qui se détendait. Finalement c'est de ça qu'il avait besoin le pauvre petit bonhomme. On avait un peu exagérer la veille, Théo glissait ses mains contre le torse de Victor, je les sentais qui remontaient sous la chemise de Victor. 

Si vous avez bien suivi tous les événements, nous dormions Théo et moi et par conséquent nous étions à poil tout les deux … Rapidement nous nous retrouvions donc à poil tous les trois. 

J'embrassais Victor avec beaucoup de tendresse et de passion. Je pouvais voir le visage de Théo, il avait les yeux fermés. Ce que je ne savais pas c'est si c'était par passion un peu comme quand on ferme les yeux pour embrasser ou uniquement parce qu’il n'était pas bien réveillé et qu'il avait encore envie de dormir.

Il se collait contre Victor, mes mains descendaient sur ses fesses ou elles rencontraient la queue de Théo qui prenait position juste sur l'anus de Victor. Je refermais fermement mes doigts et les agrippaient au cul de Victor et je sentais la queue de Théo s'enfoncer doucement mais avec régularité bien à fond. Quand il arrivait presque à fond il donnait un violent coup de bassin. Victor râlait.

Victor : Vous abusez les mec … ( nouveaux râles ) … Là vous me faites mal … ( nouveau râles ) … Je vous parle d'un fantôme et vous …

Je le faisais taire en l'embrassant. Il me serrait alors contre lui avec force. Si à ce moment il tremblait encore ce n'était pas à cause de l'émotion, ce n'était pas à cause de ce qu'il avait cru voir. Théo se retirait puis revenait. Nous étions tous les trois debout, accrochés l'un à l'autre. Victor écrasé entre nous gémissait maintenant de plaisir.

Théo gardait toujours les yeux fermés, mais il se lâchait. J'avais toujours mes mains sur les fesses de Victor et je sentais bien les mouvement de Théo. Il ressortait sa queue avec vigueur et l'enfonçait ensuite avec violence. Par moment il la retirait même en entier, il donnait alors un baiser sur l'épaule de Victor, une seconde de tendresse suivie par une seconde de violence, une seconde pour enfoncer sa queue jusqu'à la garde, toujours suivie d'un violent coup de bassin. Victor râlait mais ne demandait rien, il encaissait et se serrait contre moi. C'était de plaisir qu'il frissonnait maintenant. Je le sentais se raidir, se redresser, je l'entendais gémir, par moment c'était comme une plainte, à cet instant il me serrait encore plus fort et tremblait également un peu plus.

Théo respirait plus fort, de plus en plus fort. Il avait toujours les yeux fermés. Il continuait à embrasser Victor dans le cou puis à le mordiller . Pour finir il relevait la tête et poussait un long râle de plaisir, je le sentais contracter tous ses muscles et balancer des coups de bassin plus violents. Il jouissait dans le cul de Victor. Il n'ouvrait toujours pas les yeux. Il nous lâchait, passait quelques secondes dans la salle de bain, en revenait, toujours les yeux fermés, pour s'effondrer sur le lit.

Victor ne me lâchait pas, je l'embrassait avec douceur, mon cœur battait fort, maintenant j'étais bien réveillé, je ne vous dis pas. On entendais Théo ronfler.

Je prenais l'initiative, le le retournais, lui faisait signe de se pencher et de s'appuyer sur le lit. Il avait compris ou je voulais en venir et ne résistait pas. Il se penchait, m'offrait son cul, il a un beau cul Victor, il est très mignon mais il fait du bruit quelquefois quand on l'encule … En tout cas ce soir il en a fait, je l'ai entendu hurler quand je lui ai enfoncé ma queue dans le cul. Pourtant j'y suis allez en douceur. Je lui ai doucement caressé les fesses, j'ai mis quelques goûtes supplémentaires de gel, j'ai posé délicatement mon gland juste sur l'ouverture de son petit anus, il faut toujours y aller délicatement en amour  … Puis j'ai poussé de toutes mes forces … Et là il a gueulé !

Mon ventre frappait contre ses fesses, il gueulait, je râlait de plaisir, Théo ronflait … 

Moi je commençais à fatiguer il était presque trois heures du matin aussi je m'activais. Je ne suis pas sûr que Victor appréciait mais c'est un peu de sa faute aussi, il n'avait qu'à pas nous réveiller et nous parler de fantômes à deux heures du matin. Non mais c'est vrai ça aussi ! Mes yeux commençaient à se refermer tout seuls. Je ne lâchait rien surtout que je bandais ferme, surtout que Victor gueulait de plus en plus fort, surtout que mon bassin claquait fort quand je le frappais contre ses fesses … 

Surtout que Théo ronflait de plus en plus fort aussi …

Non mais c'est du boulot que d'être à la hauteur dans ce genre de situation, même quand on a dix sept ans … Essayez donc pour voir ! Ah vous n'avez plus dix sept ans … Eh, éh, éh fallait y penser plus tôt … 

Je me concentrais, m'endormir dans une telle situation ! Ce serait le déshonneur, la honte … Tiens je préférerais encore porter un dispositif de chasteté … et ça il n'en est pas question !

Je finissais enfin par me lâcher. Oué ! Cool, j'ai cru un instant que je n'y arriverait pas, à mon âge … Je hurlais de soulagement, pardon je voulais dire plaisir, Victor chialait apparemment. Mais comme je vous dis, il n'avait qu'à pas nous réveiller. Je balançais encore quelques derniers coups de bassin puis me retirais, je passais à mon tour dans le salle de bain, Victor m'y retrouvait il se passait de l'eau fraîche sur le cul.

Victor : Tu me laisses pas dormir tout seul !
Moi : Gong, nong, bong. ( Excusez moi mais, moi non plus j'ai pas très bien compris ce que j'ai répondu ).

On est alors allé rejoindre Théo qui ronflait toujours. Victor s'installait entre nous, les lits sont larges dans cette maison, enfin je fermais les yeux ...  

J'entendais une voix connue, j'ouvrais les yeux, c'était mon grand père.

GP : Je me disais bien aussi, personne dans la première chambre, personne dans la seconde, évidemment il y a du monde dans la troisième.
Moi : C'est à cause de Victor, il a vu un fantôme hier en revenant de la piscine !
GP : Tous les prétextes sont bons ! Je vous retrouve au petit déjeuner d'ici une petite demie heure ?
Moi : Ça marche Grand Père, si on n'arrive pas tu nous téléphone !

Théo se réveillait. '' Il y avait quelqu'un ? J'ai entendu une voix.''. Je le rassurait, '' Non c'est rien, tu as du rêver trop fort ! ''

Théo : Mais qu'est ce que tu racontes comme conneries encore toi ?

On se retournait vers Victor, il dormait paisiblement.

Moi : Tu penses que c'est pour avoir un câlin qu'il a inventé toute cette histoire ?
Théo : Le fantôme ?
Moi : Ouai !
Théo : Ça serait futé, et en plus ça a marché.
Moi : Il a pris de quoi dans le cul !
Théo : C'est vrai que j'étais en forme moi hier soir !
Moi : Moi aussi.
Théo : Ah bon parce que … Et j'étais ou moi à ce moment ?
Moi : Tu ronflais !
Théo : Je ne ronfle pas !
Moi : Si tu ronfles !
Théo : NAN . C'est pas vrai !
Victor : Si tu ronfles.
Théo : Et toi tu te réveilles pour dire une connerie.
Moi : Bon allez on se lève on s'habille, on va prendre le petit déjeuner.

On enfilait tous les trois un short de bain, ils me suivaient dans l'ascenseur. 

Victor : On ne pourrait pas se faire servir le petit déjeuner sur place ?
Moi : Bein si !
Théo : Alors pourquoi …

La porte de l'ascenseur s'ouvrait sur le grand salon, sur la table, le petit déjeuner était prêt, en bout de table mon grand père. En short avec sa chemise ouverte, nous on était en maillot de bain, je les avait eu par la ruse, ils n'auraient jamais osé venir à table avec mon grand père en cette tenue. 

GP : Alors vous avez bien dormi les jeunes ?
Moi : Victor a vu un fantôme !
Théo : Il nous a réveillé à deux heure du matin !
Victor : C'était affreux. C'est en revenant de la piscine, je m'était perdu … et …
GP : Tu t'es perdu en revenant de la piscine ! Mais votre piscine est sur votre terrasse sur laquelle précisément ouvre chacune de vos chambres … ?
Moi : Il était allé à la piscine Olympique.
Victor : J'ai voulu voir ou je pouvais aller avec l'ascenseur, je pensais aller  à l'autre bout de la maison, on m'a dit qu'il y a un parc, je n'arrivais pas dormir … Je me suis perdu, sur le palier c'était marqué '' REPOS ET QUIETUDE '' … Et c'est là que je l'ai vu, une silhouette, elle est passée au bout du couloir, je l'ai suivi pour demander ou j'étais, j'ai appelé, je suis arrivé au bout du couloir et … Rien , il n'y avait personne … Et pire, le couloir ou s'était engagé la silhouette n'existe pas, rien, il n'y avait rien, enfin si mais c'était un mur … j'ai paniqué, je suis revenu à l'ascenseur et j'ai tapé '' Maison '' … 
GP : C'est tout ?
Victor : J'ai eu très peur, une silhouette est entrée dans le mur et a disparue …

En disant cela on voyait qu'il ne plaisantait pas, il tremblait de nouveau.

GP : Je savais que ça pouvait arriver, je n'ai pas voulu vous en parler plus tôt, j'aurais peut être du !

Victor était pétrifié, Théo avait l'air idiot avec sa petite cuillère dans la bouche et ses yeux tout rond. Moi je mangeais !

Mes deux camarades se regardaient, il avaient un peu l'air inquiets. J'en profitais pour me tartiner une tranche de brioche avec une louchée de confiture, personne ne faisait attention à moi. Mon grand père continuait.

GP : Quand on a découvert cette île, il y a des siècles, il y avait des indiens qui y vivaient. Jamais ils ne montaient sur cette falaise ou cette maison a été construite. C'était un territoire sacré, des sacrifices y étaient pratiqués, les âmes des morts ainsi que celles des non nés ( ce sont les pires ) s'y retrouvaient souvent. La nuit on voyait des lumières depuis la plage. Des lumières qui s'allumaient alors qu'il n'y avait personne. La nuit il n'y avait jamais personne. Seuls les sorciers venaient ici pour les cérémonies et uniquement en plein jour. Les âmes de ces disparus et de ces non encore apparus passent de temps en temps nous rendre visite la nuit. Je vous ai placé dans l'aile ouest car c'est un endroit calme et non maudit mais  pour ce qui est de l'aile  REPOS ET QUIETUDE, il y a bien longtemps que nous n'y logeons plus personne … Philippe si tu continues à te goinfrer comme tu le fais là tu vas grossis et tu ne plaira plus aux gar... aux filles !

Mes deux camarades se retournaient vers moi, j'avais une énorme tranche de brioche recouverte d'une louchée de confiture ( ouai, louchée,  c'est pas exagéré ) dans la bouche, je ne pouvais plus parler et j'essayais d'avaler très vite histoire de ne pas avoir l'air trop con mais je crois que sur ce dernier point, c'était loupé !

Cette intervention de mon grand père était suivie par un long silence, tout le monde faisait brusquement attention à ne pas mettre trop de confiture également. 

Victor : Mais qu'est ce qu'on peut faire ?
GP : La malédiction prendra fin le jour ou au moins deux jeunes hommes qui, lors de leur premier séjour, trouveront l'entrée de la crypte qui a été cachée par l'architecte de cette maison ! On ne peut donc compter sur personne ici, et encore moins sur l'autre goinfre qui a déjà bouffé la moitié de la brioche ( là je me sentais visé ). Vous êtes les seuls à pouvoir nous aider ! 

Mes deux camarade avaient le visage grave et se regardaient.

Moi : Dis moi Papy, c'est pas mon tonton Luc qui a dessiné cette maison ?
GP ! Bouffe donc ta brioche et tais toi !
Moi : Avec la confiture ?
Victor : Philippe ! S'il te plaît, c'est sérieux ce que nous dit ton grand père !

Mon grand père continuait cette histoire. '' Il y a une crypte sous la maison, dans la falaise, et dans cette crypte il y a … 

Si seulement on le savait ! '' .



PHILIPPE
EP 16 : LA VIE NOCTURNE …



Les jours qui suivaient nous prenions de la distance avec mon grand père, on n'était pas fâché mais comme on était en vacances on préférait se faire livrer nos petit déjeuners dans notre quartier. On prenait toujours le souper avec lui. 

Il ne nous reparlait plus du fantôme.

Victor : Je voulais vous parler du … Vous savez … Ce que j'ai vu l'autre soir …
GP : Mon garçon, tu devrais oublier cette histoire, dis-toi que tout va bien, évite de retourner dans ce quartier de la maison. Il faudra que je demande à la sécurité de fermer définitivement cette partie de la maison !

Ça c'était la réponse à ne pas donner, sauf bien sûr s'il voulait exciter notre curiosité. '' Bien joué Papy ! ''.

Théo : Moi aussi ça m'inquiète vous savez Monsieur Brosso !
GP : Je peux vous garantir qu'il n'y a aucun danger. Des gens on vu des choses mais rien de malheureux n'est jamais arrivé depuis les deux siècles que cette maison existe !
Moi : Mais c'est pas mon tonton Luc qui a dessiné cette maison Papy ?
GP : Mais tu n'as rien manger toi. Termine ton assiette tu parleras après !

Je ne disais plus rien, mais vous avez sans doute deviné que cette histoire ne me paraissait pas sérieuse du tout. Je le connais mon Papy, c'est un farceur quand il veut. Je me disais qu'il faudrait que j'en parle à mon tonton Luc justement, il saura m'en dire plus lui. Parce que je suis formel, c'est lui qui a dessiné cette maison ! Qui d'autre serait assez fou pour dessiner un truc pareil ?

Dans un immeuble normal un étage, ça fait environ trois mètres. Cette maison fait quarante mètres de haut donc ça ne nous fait que six étages, c'est qu'il aime bien les grandes hauteurs de plafond mon tonton … 

Et là je ne vous parle pas de la surface au sol …

GP : Au fait les jeunes, je voulais vous dire, je vais repartir demain …
Moi : Ouééééééé ! Ça va être la teufe !
GP : Je m'attendais un peu à cette réaction ! J'ai donc prévu plusieurs personnes pour veiller sur vous.
Moi : Beuheuheuheu ! C'est pô juste on est jamais tranquille !
GP : Philippe si tu continues je t'envoie dormir sans souper. ( là je vous rassure c'était pour rigoler )
Moi : Mais Papy je viens de terminer ma gamelle, il ne me reste plus que le dessert … Tu ne vas pas … ?
GP : Ta gamelle … ! C'est de la porcelaine ta gamelle tu sais ?

Mes camarades nous regardaient en rigolant. 

Moi : Et qui va-t-on avoir sur le dos pour nous garder ?
GP : Il apporte le dessert !

Alex arrivait à ce moment avec un plateau juste derrière moi. Il me posait mon dessert devant moi.

Alex : Monsieur Philippe, j'ai été le seul volontaire pour une mission aussi périlleuse !
Moi : Alex ! Woué c'est Alex ! Wouéééé c'est super, moi je l'aime bien Alex … Papy tu es un as !
Victor : Vous avez l'air de bien connaître Philippe, Alex?
Alex : Oui Victor, C'est moi qui le gardait quand il était tout petit ( en faisant le service ). Et Philippe je te préviens si jamais tu n'est pas sage je montre les photos à tes camarades …
Moi : Fais pas ça, je t'en supplie, fais pas ça, je ferai tout ce que tu voudras.
Alex : Mais j'espère bien ! … Vous avez encore besoin de moi Monsieur  Brosso.
GP : Ce sera parfait Alex, tu penses t'en sortir avec cette bande de voyous ?
Alex : Je n'ai aucune inquiétude sur le sujet.

Il se retirait. On terminait le souper tranquillement puis on allait s'habiller pour sortir. L'ascenseur nous conduisait à notre terrasse.

Victor : Dis moi Philippe, '' nous habiller pour sortir tu dis ? ''. Mais je te rappelle qu'on a rien emporté …
Théo : On s'habille avec quoi ? Tu es un gros malin toi !
Alex : J'ai entendu '' S'habiller pour sortir '' ?. Il vous faut quoi les jeunes ? Dites ce que vous voulez, je l'ai.
Moi : Tu es là toi maintenant ?
Alex : Oui il va falloir vous y faire les jeunes. Comme je te connais depuis toujours Philippe on m'a demandé de prendre soin de vous !
Victor : Je ne sais pas ce qu'il nous faut moi, on a prévu une sortie en boite, un bar, la plage …
Alex : Bien je vois ! Détendez-vous, vous pouvez commencer à vous déshabiller et à passer sous la douche je reviens tout de suite. 

On ne se prenait pas la tête et on se douchait sur la terrasse. Alex revenait quelques  instants plus tard avec les bras chargés, des pantalons et des chemises de toile légère, très confortables, chaussures très souples qu'on pouvait porter sans chaussette, la tenue idéale pour sortir ici.

On se séchait devant Alex, qui nous regardait avec le sourire.

Victor : ( en attrapant son pantalon ), moi je ne met pas de sous vêtements, j'en ai pas besoin.
Théo : Tiens moi pareil !
Moi : Bein je vais faire comme vous alors !

On se retrouvait très vite tout à fait présentable. On s'admirait un petit moment dans le miroir, puis on fonçait vers le premier ascenseur. C'était amusant, plus on découvrait la maison, plus il y avait de destinations possibles qui s'affichaient. A chaque fois qu'on entrait dans une ascenseur la destination '' REPOS ET QUIETUDE '' apparaissait sur l'écran de contrôle comme seule destination puis s'effaçait au bout d'une seconde pour laisser le menu normal. Il était alors impossible de revenir à ce menu '' REPOS ET QUIETUDE '', mon grand père m'avait dit qu'il allait fermer cette aile de la maison mais … Ce devait être un bug.

Les nouvelles options nous proposaient de nous rendre directement sans changer de cabine d'ascenseur  jusque tout en bas de la falaise, sur la plage … le système vocal aussi s'activait. Nous n'avions qu'à dire '' Sur la plage '' et c'est là que nous arrivions.

Depuis plusieurs jours que nous étions arrivés, peu à peu on découvrait l'île. Je faisais découvrir les lieux à mes camarades. Il y avait la plage, en haut de la plages des installations qui pouvaient sembler légères, elles étaient surtout discrètes. C'est là qu'on pouvait se procurer des transats ou des parasol pour se détendre sur la plage, suivait ensuite une zone boisée enfin, très verdoyante et fleurie, des chemins qui la traversait, puis un boulevard piéton avec un tramway. Cette partie du village étaie très éclairé et haute en couleurs. On était arrivé au village, au pied des tours, plus de cent trente mètres d'appartements et sur les premiers étages, des casinos, des restaurants, boites de nuit, bar, dancing … Sur les derniers la même chose. Entre les deux des ascenseur ultra rapides publics assuraient les échanges et des ascenseurs privés assuraient l'accès aux appartements.

On prenait le tramway, en un peu plus d'une heure on faisait le tour du quartier, de l'autre côté du village ( c'est ainsi qu'on nommait le quartier des tours ), on se retrouvait sur un remblai qui donnait directement sur la mer, plus à l'ouest c'était un peu plus l'ambiance port de pêche ou de je ne sais quoi, c'est de là que partaient les navettes vers les autres îles de l'archipel. Pour le moment elles étaient surtout réservées aux employés et il y en avait, et il en fallait.

Je finissais par ouvrir ma ceinture d'un cran puis de deux au moment ou on sortait de la cinquième crêperie. Mes camarades commençaient à s'amuser de la manière de payer, une empreinte digitale ou palmaire et … Clic … C'était fait ! Il y avait un monde fou, l'ambiance était calme mais il y avait foule, pas de mouvement rapides, chacun marchait à son rythme. C'était à la fois bruyant et calme … 

Beaucoup moins calme toutefois dans les boites de nuit ! Dans la première ou nous nous glissions il n'y avait que des filles … ! On n'y restait pas !

Dans la suivante, des hommes et des femmes qui dansaient ensemble, là on se regardait on faisait la grimace puis on ressortait en rigolant. On trouvait enfin un endroit tout à fait comme il faut, les corps se frôlaient, se collaient les uns aux autres, les torses étaient nus et les bras étaient entreprenants. Il n'y avait que des hommes !

On se regardait, on se faisait un sourire puis on fonçait. Mes camarades avaient disparus quand j'arrivais au bar, j'avais soif, il faisait chaud, je me commandait un super cocktail multicolore sans alcool. Ça il ne voulaient pas m'en donner, vous imaginez bien que j'ai essayé mais mon crédit me le refusait, rien à faire, pas d'alcool, j'étais trop jeune. Mais il faisait chaud et les cocktails aux fruits sont tout simplement divins. Rapidement je commençais à discuter avec mon voisin de bar.

Vous avez du le remarquer je ne suis ni trop farouche ni trop associable et lui il était … Craquant ! J'aurais mieux fait de mettre un sous vêtement moi. Un petit conseil en passant, si vous sortez pour draguer comme ça dans une boite de nuit par exemple … Mettez des sous vêtements. Rapidement je me retrouvais  avec une belle grosse dure entre les jambes, qui se relevait et heureusement que ce genre d’endroit n'est pas très bien éclairé sinon … Je ne me serait presque pas fait remarqué ! Eh, éh, éh ! Non presque pas !

En tout cas Ethan l'a remarqué lui ! Ou alors j'ai surinterprété le message qu'il m'a envoyé au moment ou il s'est rapproché de moi et ou sa cuisse s'est écrasée contre mon entre jambe et que son entre jambe s'est écrasée contre ma cuisse. Vous savez il m'arrive d'être entreprenant mais là il m'avait doublé de vitesse. Deuxième cocktail, il m'embrassait et déjà j'avais la tête qui tournait et pourtant c'était des cocktails sans alcool. Il me dépassait d'une bonne tête, sa peau était mate, très foncée. Il devait être métissé.

Le verre terminé on se retrouvait tous les deux enlacés sur la piste de danse, par réflexe je me serrais contre lui. C'était bien un peu pour dissimuler le fait que je bandais mais pas que … C'était aussi par plaisir.

Mince, musclé, bien monté, ce que j'avais ressenti contre ma cuisse me laissait imaginer le meilleur et je peux vous garantir que j'ai de l'imagination depuis cette nuit dans la maison close. Je frissonnais à chacun de ses contacts. Sa peau était douce, d'un grain très fin. 

Son corps bougeait bien et déjà je regrettais les douze crêpes que j'avais avalé depuis qu'on était sorti, surtout que en plus on sortait de table. Je me sentais ballonné, un peu lourd. 

Je m'accrochais à lui, je me pendais à son cou. À la fin du slow je ne voulais plus le lâcher et je rêvais déjà de l'épouser. Oui je sais je suis un rapide mais c'est vrai ça … '' Pourquoi chercher plus loin quand on a trouvé tout ce qu'on pouvait espérer de mieux pour la vie … ? '' . En y repensant je me demande si ils étaient vraiment sans alcool les cocktails. 

Enfin bref, on a passé la soirée ensemble, on ne s'est plus lâché, on a couru sur la plage, on a pris le tramway plusieurs fois on a fait le tour de l'île plusieurs fois aussi. On s'est embrassé, on s'est baigné … Je répondais gai comme un pinçon quand mon téléphone sonnait, c'était Victor …

Victor : J'ai rencontré un mec incroyable, il est beau, sexy, musclé, bronzé, et en plus il ne porte pas de PK ! Dis Philippe tu penses que ça poserait un problème si … Je l'embarquais avec moi ?
Moi : Aucun problème ! Mon grand père m'a expliqué, la maison est très sécurisée et peut se protéger autant que nous protéger de tout intrus, y compris d'intrus que nous aurions nous même fait entrer …

Théo ne se posait pas autant de questions lui ne me prévenait pas . 

Avec Ethan nous remontions toute la plage, on était à poil, régulièrement on posait nos vêtements sur le sable, on plongeait, on se faisait un câlin puis on continuait à marcher vers la falaise. 

Ethan : Il paraît que la maison la haut c'est un truc de fou. 
Moi : Tu vas voir, c'est là bas qu'on va !

A ce moment je remarquais une lumière, mais je n'aurais pas pu dire dans quelle partie de la maison elle était. Certainement pas un employé, les quartiers de mon grand père donnait à l'extrémité de la maison, c'était pas ça non plus … La maison n'était occupée que par nous en ce moment …

Il rigolait à ma réponse mais quand nous arrivions au portail il me regardait en rigolant.

Ethan : Bon maintenant il ne reste plus qu'à repartir dans l'autre sens !

D'une main j'ouvrais le portail, il sursautait : '' Tu es fou, moi je ne te suis pas dans cette histoire ! ''. J'ai insisté un long moment, je lui ai montré que le portail était en fait verrouillé sauf quand c'était moi qui tentait de l'ouvrir. Je lui demandais d'ouvrir le portail alors que je faisais semblant de m'éloigner, il résistait alors que moi je pouvais l'ouvrir sans efforts. Je lui expliquais que j'habitais bien ici et que c'est pour cela que la maison me laissait entrer, lui, seul, il ne pourrait pas entrer. Il finissait pas se laisser convaincre, on prenait l'ascenseur qui nous déposait sur ma terrasse, juste à côté de ma chambre.

Une dernière crainte …

Ethan : Tu es sûr que ?

Je l'entraînais vers le miroir de ma salle de bain …

Moi : Miroir, mon beau miroir montre à notre ami Ethan que je suis le plus beau !

Le miroir affichait mon portrait : '' Le plus beau, le plus beau, tu as grossi mon pauvre aussi je ne sais pas si tu es encore le plus beau … Et toc '' !

Moi : Bob est un enfoiré, il aurait pu me prévenir, quand je pense qu'il voulait installer un truc pareil dans ma chambre …
Ethan : Bon ça va on est bien chez toi mais, c'est qui Bob ?
Moi : Un oncle, c'est lui qui a programmé cette machine qui se fout de ma gueule, il va m'entendre !

Ethan était rassuré, il me prenait dans ses bras et m'embrassait, je sentais son corps chauds et ferme, il faisait chaud, je l'entraînais sous la douche. Je pouvais enfin admirer sa queue en pleine lumière, il en avait une grosse, une belle bite bien large, bien longue, plus grosse que la mienne, il était circoncis et commençait à bander avant de se retrouver sous la douche. Moi j'étais tout frétillant, je bandais déjà bien avant de me déshabiller. 

Sous la douche fraîche brusquement il faisait chaud. Je sentais ses bras partout sur mon corps. Je sentais ses mains sur mes fesses, sur mes hanches. Je sentais ses doigts se glisser entre mes fesses, à la base de mon sexe, sur l'ouverture de mon petit cul. Je sentais ses lèvres se promener dans mon cou, sur mes épaules puis descendre le long de mon corps, il s'accroupissait devant moi et je sentais sa langue me caresser le gland. 

Avec science sa langue tournait autour de ma queue, ses lèvres se refermaient et enveloppaient mon gland puis je sentais ma bite s'enfoncer dans sa bouche, lentement, c'était chaud et humide, c'était doux également. Ses lèvres s'allongeaient comme pour déposer un baiser sur mon ventre, il gardait la position encore un moment puis se retirait. Je lui caressais les cheveux et lentement commençait à avancer puis à reculer mon bassin, il encaissait. Ma queue entrait et ressortait avec fluidité jusqu'au fond de sa gorge. Son visage s'écrasait sur mon ventre, il fermait les yeux, il semblait aimer presque autant que moi.

Il se relevait, on inversait les rôles. 

Je m'inspirait de ce qu'il venait de me faire. Je n'arrête pas de vous dire que je suis novice moi dans la débauche sexuelle, c'est vrai quoi, je suis encore en phase d'apprentissage. Mais je suis très doué. En tout cas c'est ce que je pouvais conclure à ses réactions bruyantes, il me caressait la tête, appuyait dessus. Je ne parvenais pas à avaler sa queue aussi facilement que lui mais j'y mettais de la bonne volonté, je vous jure, et finalement je m'en sortais bien. 

J'aime bien les grosses queues, bien épaisses sur toute leur longueur, bien larges et bien longues aussi. Là j'étais gâté, un peu trop peut être même, c'est ce soir là que j'ai commencé à comprendre l'importance de synchroniser sa respiration si on veut bien avaler à fond. Je parvenais à lui faire une gorge profonde, une première avec un bazar aussi gros, il avait en plus un gland un peu plus large que le reste de sa queue et quand je l'ai senti s'écraser mollement dans ma gorge j'ai cru que j'allais étouffer. C'est bien de faire du sport, comme ça on a du souffle et là vous pouvez me croire, il en fallait !

Il s'amusait avec moi pendant un long moment, j'aimais tellement cette queue que je ne la lâchais plus. Au bout d'un moment il a voulu se retirer, sans doute pour inverser les positions, mais je ne voulais plus le lâcher, je me cramponnais à ses cuisses, coupais ma respiration et tentais de garder mon visage serré contre son ventre le plus longtemps possible … Un peu comme si je faisais un caprice ! L'eau froide coulait sur nos corps, il faisait toujours aussi chaud sous cette douche froide.

Ethan : Mais lâche moi enfin, je voudrais t'enculer. 

Doucement, lentement je desserrais l'étreinte.

Ethan : Tu sais moi je suis exclusivement actif. Ça veut dire que …
Moi : Vas y encule moi, mais vas y doucement tout de même, elle est grosse et j'ai un peu peur.

On était d'accord, il me prenait dans ses bras, m'embrassait tendrement tout en me retournant sur moi même. Il se retrouvait dans mon dos, ses deux bras fermement refermés sur moi, mes deux mains fortement accrochées à ses bras. Je commençais un peu à paniquer, il devait être à peu près de la même taille que le mec qui m'avait tenu dans ses bras quelques mois plus tôt dans la maison close, c'est à dire qu'il était balaise. Je ne savais pas, je ne savais plus. Pour une première fois ça n'avais aucune chance de passer mais c'est vrai que depuis quelques semaines ce n'était plus la première fois.

Je le sentais prendre position, nous avions refermé l'eau, il m'avait abondamment lubrifié le cul autant qu'il s'était lubrifié la queue. Son gland appuyait sur mon anus, j'avais l'impression que mon cœur allait s'arrêter, j'avais le souffle coupé, pourtant il n'avait encore rien fait. Il me tirait vers lui, ses bras passés juste sous mes épaules se refermaient doucement mais avec force. Son visage se penchait contre mon épaule et je sentais la douceur de ses baisers. Je lui tendais mes lèvres, il m'embrassait et quand ma langue touchait la sienne, je sentais une pression infernale contre mon anus.

Je continuais à l'embrasser mécaniquement, en état second. La douleur contre mon cul aurait du me faire réagir mais j'y prenais en même temps un plaisir intense. J'avais le souffle coupé. Mon cœur ne battait plus, la seule chose que je ressentais c'était la dilatation de mon cul, suivait cette friction douce mais d'une force effrayante qui m'éclatait les intestins. Je sentais cette masse se glisser jusqu'au niveau de mon nombril puis de mon estomac puis enfin de mes poumons puis encore ma gorge. Mais je suppose que mes sensations devaient être légèrement amplifiées par l'idée que je m'en faisais.

La douleur était intense mais j'étais comme paralysé, je ne pouvait rien dire, je ne pouvais pas me débattre, je ne  pouvais plus bouger … Je jouissais, au niveau de ma queue, je jouissais comme jamais. Devant c'était divinement bon, c'était l'extase, derrière c'était l'horreur, l'enfer. Je jouissais, je jutais, enfin j'avais l'impression que je jutais, en fait pas une goûte ne coulait, je jouissais à sec. Je n'aurais jamais cru que c'était possible !

Quand Ethan se retirait j'ai cru que j'allais mourir. Il s'enfonçait de nouveau, il y allait doucement, je gémissait, je tremblais puis je chialais. J'étais pris de  convulsion mais je ne voulais pas qu'il s'arrête. À chaque mouvement j'avais l'impression que mon cul allait déchirer mais peu à peu ce qui était de la douleur devenait un plaisir dingue. Un plaisir qui fait peur au moment ou on le ressent, une peur qui nous dit de tout arrêter, un plaisir qui nous interdit d'intervenir et nous fait crier '' ENCORE '' … '' OUI VAS Y '' … '' DEFONCE MOI LE CUL '' …

Dans ma tête tout était à l'envers, il me ramonait encore un long moment, je n'ai rien ressenti de spécial au moment ou il a joui dans mon cul, pourtant il l'a fait, mais quand il s'est retiré c'est un flot de sperme qui coulait de ma queue sans que je ne ressente rien sinon un bien être, un grand vide au milieu de mon ventre. Il a voulu me lâcher, depuis le début nous étions debout l'un contre l'autre mais il m'a senti tomber aussi il m'a retenu. On est encore resté un moment sous la douche, il m'a lavé le cul avec une extrême douceur puis m'a presque porté jusqu'à mon lit, là il m'a lâché. Je suis tombé sur mon lit, je l'entendais rigoler quand il me soulevait les jambes pour m'installer . Il est mignon tout de même, on se connaît depuis quelques heures et déjà il prend soin de moi … C'est vrai qu'il vient de m'enculer, aussi … 

Il s'installait ensuite à côté de moi, me prenait dans ses bras, je profitais alors du confort de ses bras après avoir goûté à la violence de sa bite. Je m'endormais.



PHILIPPE
EP 17 : AU SON DU CLAIRON



Le lendemain on était réveillés à l'aube ! Non là je déconne, Alex qui comme tout le monde le sait est un amour nous avait laissé jusqu'à dix heures du matin. Bon pour nous c'était encore le milieu de la nuit, j'avais dû m'endormir vers cinq ou six heures du matin.

Ce matin c'était au clairon, oui au clairon, ils ont osé nous réveiller au clairon, comme à l'armée. Sur le coup je n'ai pas eu le temps de voir qui nous faisait cette blague, et je vous garantis que je ne l'ai pas trouvée drôle. La porte s'est ouverte, le clairon nous a fait exploser les oreilles, Ethan et moi on a fait un bond sur le lit, Ethan était un peu paniqué moi j'étais hébété, ont suivi les hurlements d'un sergent du corps des marines, vous savez comme on voit dans les films, on a l'impression qu'il aboie tout le temps le sergent : '' DEBOUT TOUT LE MONDE BANDE DE PETITS BRANLEURS. AU GARDE A VOUS TOUT DE SUITE DEVANT CETTE PORTE ! '' .

Ethan : Mais c'est qui ? C'est quoi ? Qu'est ce qui se passe ici ?

Il n'y avait plus personne mais la porte était restée ouvert. On entendait alors la même chose, la même musique, les mêmes hurlements qui venaient de la chambre à côté.

Moi : Bon, le mieux c'est d'aller voir ! J'ai ma petite idée, il me semble que je connais cette voix.

Je me levais et sortais de la chambre, Ethan suivait. Quand on arrivait à l'extérieur, on entendait la même musique, les mêmes cris qui venaient de la troisième chambre. Victor sortait de la seconde chambre, il était suivi par un mec de plus de deux mètres de haut, un black, monté comme un âne. Je prenais sur moi, je vous jure qu'à ce moment j'avais envie de lui sauter dessus. Enfin pas sur Victor, soyons clairs, mais sur le mec qu'il avait ramené … C'est vrai quoi moi j'aime bien la couleur, je m'était trouvé un garçon métissé mais lui il avait trouvé encore mieux … Quoi que … En regardant de plus prêt, les deux étaient canons.

C'est bien Dave qui sortait de la troisième chambre avec le clairon sous le bras, Alex suivait, visiblement sans conviction. Théo sortait en se grattant les fesses, il était suivi par un garçon un peu plus petit que lui, très mignon, bien proportionné … Qui portait un dispositif de chasteté Céramique ( on les appelle comme ça à cause de leur couleurs et de leurs aspect, c'est en fait du composite ).

Vous imaginez la scène, à part Dave et Alex nous étions tous les six à poil, on se saluait, on échangeait nos impressions sur les copains des autres avec quelques signes.

Dave : Pas de distraction dans les rangs les filles. GARDE A VOUS !

Nos trois nouveaux amis et Victor obtempéraient. Théo et moi ne bronchions pas.

Dave : Je vois qu'ils ont bien fait de m'envoyer pour veiller sur vous, il y a du relâchement. Mais regarde toi Philippe tu as pris trois kilos et ça ne fait que quelques jours que tu es là … ( Il appuyait fermement un doigt sur mon ventre )
Moi : Mais ? … que ! … enfin …

Il s'arrêtait devant Ethan, le regardait de la tête au pieds : '' Oui là c'est pas mal, ça peut aller ''. Il passait ensuite à Victor : '' Bon toi ça peu presque aller, tu as pris l'habitude de sauter l'entraînement matinal mais à part ça … Il ne faut pas que tu te laisses aller si tu veux continuer à la PK Université à la rentrée, sinon tu vas souffrir . ''

Victor : Oui M'sieur !

Il passait alors au compagnon de Victor, le regardait lui aussi de la tête au pieds, son regard faisait une pause au niveau de sa queue, au repos elle devait déjà dépasser les vingt centimètres.

Dave : Et toi tu es ?
Billy : Billy M'sieur ! ( en réajustant sa position du garde à vous )
Dave : Bien Billy, c'est très bien ça Billy, c'est très bien …

Suivait le camarade de Théo.

Dave : Et toi tu es ?
Max : Max Monsieur ! ( Celui-là il portait un dispositif de chasteté )
Dave : Dis moi Max, tu as l'intention d'entrer à l'université PK ?
Max : Oh non M'sieur.
Dave : Et tu portes ce dispositif …
Max : Par choix M'sieur !
Dave : Et bien je crois que c'est toit qui a le plus de chance avec Victor de se faire apprécier dans cette famille de dingues.



Dave : Famille de dingues ! Il lui fallait un coach de dingue, c'est moi … DAVE … On va se remettre en forme, un petit footing … Vous commencez à courir sur place et on me suit …

Dave aboyait comme une caricature d'officier des Marines et avait fini par impressionner tout le monde. Comme d'un seul geste tout le monde le suivait, sauf moi ! Je recevais alors une claque sur la fesse, c'était Alex.

Alex : C'est ton grand père qui l'a envoyé, il m'a aussi demandé de m'assurer que tu suivrais le mouvement. Alors …

Dave nous entraînait dans un coin du jardin ou nous n'étions jamais allé, un énorme portail qui fermé ressemblait à une palissade était ouvert, on courait dans un chemin large comme une route qui conduisait au parc derrière la maison ( au nord de maison ) il y avait une entrée de ce côté qui était réservée aux livraisons.

Moi : Tu es un marrant toi Dave mais je te ferais remarqué qu'on est tout à poil, et que toi, tout habillé tu es là à nous aboyer dessus … C'est humiliant !

Deux secondes plus tard je recevais son pantalon de training dans la figure. Bon il est comme ça Dave. J'en profitait pour me rincer l’œil, il est super bien foutu et il porte toujours un dispositif de chasteté en titane. Sexy le mec !

Dave : Alex tu as entendu, c'est humiliant ! Tu sais ce qu'il te reste à faire !

Alex me suivait et je l'entendais, un grand soupir, je me retournais il retirait ses vêtements lui aussi ! Il ne porte toujours pas de dispositif Alex, mais il est sexy quand même …

On arrivait au parc derrière la maison.

Dave : Nous somme dans un parc de un kilomètre de long sur cinq cent mètres de larges ce qui nous fait une circonférence de …

Max : Deux kilomètres ?
Dave : Bon toi, tu fais bien de ne pas postuler pour l'université …
Billy : Trois M'sieur !
Dave : Bien ! Trois c'est un peu mieux ! On en fait cinq fois le tour ce qui nous fera … ? … Si il y en a un qui répond douze kilomètre il le fait deux fois de suite !

On finissait par revenir, un peu essoufflé, moi j'étais sur les rotules. Il avait raison Dave j'avais grossi ! En tout cas j'étais aux anges. Il y avait huit corps superbes ( même si un d'entre eux avait un peu grossi ), huit corps nus, trois petites bites en cages. J'étais aussi entouré par quatre bites qui se balançaient à chaque mouvement dont deux bites de compétitions portées chacune par un corps magnifique, au passage je vous rappelle que je m'en était pris une dans la nuit et j'avais une violente envie de me prendre la seconde là, ici, maintenant …

Dave : Je vois que Monsieur Brosso fait le fier après chaque séance de sport !

Je bandais bien ferme, tout le monde me regardait et rigolait. Je prenais l'air vexé : '' Peuhhh, vous vous moquez, peuhhh, oui bein c'est parce que je me sens bien moi '' … je faisais des manière et m’exhibais un peu.

En fait je me donnais de la contenance parce que je ne savais plus ou me mettre! On prenait une douche à l'extérieur, j'avais un mal fou à me calmer. Ou que je regardais, mes yeux étaient attirés par la queue de Ethan ou mieux encore celle de Billy. Il s'en était rendu compte Billy et savait en jouer, il savait m'allumer.

Nos invités nous quittaient après le petit déjeuner c'est à dire vers l'heure du dîner. Bein oui on était en vacances. Dave avait retrouvé son calme et nageait dans la piscine. Il nous faisais la morale, à moi surtout, j'avais pris trois kilos, et c'est vrai mon miroir électronique me l'a confirmé. Il décidait donc de prendre des mesures draconienne, Séance de sport tous les matins, il nous laisserait tranquille jusqu'à dix heures mais à dix heures tous debout et en forme pour un footing et un peu plus … '' Philippe c'est ton grand père qui m'a envoyé alors on ne rigole pas, sauf bien sûr si tu préfères que ce soit ton père qui impose les mesures nécessaires … ''.

L'argument était fort et faisait mouche, je me disais qu'il fallait mieux que ce soit un employé de mon grand père que de mon père. Celui là plus on le gardera éloigné de notre quotidien, mieux on sera !

Dans le reste de la journée on faisait une descente sur la plage et on passait une bonne partie de l'après midi à nous initier au ski nautique. Le soir on se faisait une petite sortie comme la veille mais on ne retrouvait pas nos camarades de l'autre jour, je me souvenait que Ethan m'avait dit qu'il devait repartir. C'est Billy que j'aurais bien aimé retrouvé, j'avais toujours dans la tête cette énorme matraque et je me l'imaginais dans le cul. On devait la sentir celle là, en plus il faisait deux mètres de haut, on devait se sentir enveloppé dans ses bras.

Victor me disait que Billy n'était que actif et ne s'intéressait qu'à des mecs qui portent un dispositif de chasteté, il les trouvait plus chaud, souvent plus chaud que les femmes. Victor a rajouté : '' Il m'a dit en plus qu'il me trouvait trop mignon ''.

Moi : Mais c'est que moi aussi je te trouve très mignon.

Finalement on restait sage ce soir là. Moi j'en avait pris plein le cul, ça m'avait calmé, Victor également. Pour ce qui est de Théo il traînait un peu, il entrait après nous mais, seul !

Il est mignon Victor, un soir, le soleil se couchait je l'admirais allongé sur une transat à côté de la piscine, il semblait bien s'habituer à ce mode vie. Nous étions nus, enfin moi j'étais nu lui presque … Je prenais beaucoup de plaisir à admirer son corps, il n'avait pas grossi lui et avec l'intervention de Dave il s'était même embelli. De plus moi j'avais perdu mes trois kilos de trop.

Victor avait maintenant la peau ambrée, je ne vous ai pas dit que j'aimais bien la couleur, le ciel était encore bleu sur l'horizon mais devenait noir de l'autre côté ou au zénith.

Victor : C'est moi qui te met dans cet état ?

Je bandais, et pour une fois ce n'est pas à ça que je pensais mais à la beauté des formes, des courbes musculaires de Victor, à son visage doux qui tenait encore quelques traits de l'enfance. Je réagissais, me caressais la queue, lui souriais et en guise de réponse, d'un geste de la main je l'invitais à s'approcher.

Quelques secondes plus tard, il était installé entre mes jambes et me suçait la queue, je lui caressais les cheveux. Je l'encourageais en le félicitant sur sa technique, il s'améliorait de jour en jour. Je le complimentait sur sa musculature, la douceur de sa peau, je vous jure que là j'avais pas besoin d'inventer. Je lui parlait de Billy, il ne pouvait pas me répondre, bon il ne faut pas déconner je retenais sa tête et je n'avais pas envie de faire causette. Je lui parlais juste histoire d'avoir un échange social quoi !

C'est vrai que je lui caressais la tête, qu'il avait ma queue dans la bouche, sa langue qui s'enroulait autour de mon gland … Pour ce qui est de l'échange social on était très proche. On fera causette plus tard !

Plus ma queue s'enfonçait dans sa bouche, plus je pensais à Billy. J'imaginais Victor avec la queue de Billy dans la bouche, s'il avait réussi à l'avaler celle-là je comprenais ses progrès. Mais en érection elle est comment la queue à Billy, j'aimerais bien voir ça moi. Elle fait déjà ses vingt bon centimètre au repos, en érection elle doit être à … trente, trente cinq, plus ?

Victor faisait des bruits bizarres et me tapais sur le haut des cuisses. Je réagissait, sans m'en rendre compte, perdu que j'étais dans mes pensées je lui retenais la tête avec force et le pauvre ne pouvait plus respirer, il était tout rouge. Je le lâchais, il relevais la tête.

Victor : Mais tu veux me tuer ou quoi ? Je ne pouvais plus respirer.
Moi : Excuse moi, j'étais perdu dans mes pensées.
Victor : ( en reprenant son souffle ) Et tu pensais à quoi ?
Moi : Ton pote Billy tu l'as trouvé ou ?
Victor : Mon pote Billy ! Avec lui aussi j'avais du mal à respirer !

Victor continuait, ma queue entrait rapidement jusqu'à la garde, je n'osais plus appuyer sur sa tête moi. J'entendais la voix d'Alex.

Alex : Tu vas bien Philippe besoin de rien, ton copain Théo n'est toujours pas rentré ?
Moi : Continue Victor, il ne peut pas te voir ! … Non Alex tout va bien !

Alex descendait de l'étage avec un plateau sur la main. Il posait un cocktail de fruits juste à côté de moi.

Alex : Monsieur Philippe n'aura besoin de rien, je ne sais pas, un gode, un plug, un gode ceinture par exemple ?

Victor n'avait pas entendu Alex approcher, et je sentais une réaction de surprise, il tentait de se dégager.

Moi : Non merci Alex, tout va bien, j'ai tout ce qu'il me faut !
Alex : C'est ce que je vois ! Et monsieur Victor n'aura besoin de rien non plus, je vous dépose un rafraîchissement sur la table basse à côté de vous. Vous êtes comblé monsieur Victor ?

Victor tentait de relever la tête, je le retenais et ma queue ne sortait pas totalement de sa bouche. C'est donc en relevant les yeux qu'il regardait Alex en lui faisant non, puis oui, puis non encore de la tête.

J'entendais Alex qui s'éloignait en rigolant.

Moi : Là Alex tu es un enfoiré !
Victor : Philippe tu n'aurais pas pu me prévenir qu'il approchait ?
Moi : Si, j'aurais pu !
Alex : Alors là Monsieur Philippe, je crois que c'est pas moi l'enfoiré !

Je l'entendais pouffer de rire quand la porte de l'ascenseur se refermait. Victor me regardait il faisait la gueule.

Victor : Pourquoi tu m'as pas dit qu'il approchait ?
Moi : J'ai pas pensé.
Victor : Tu m'as dit qu'il ne pouvait pas me voir …
Moi : Tu veux pas te rafraîchir, il t'a apporté un cocktail de fruits qu'il a fait avec amour …
Victor : Tu es vraiment un enfoiré !
Moi : Bon tu continue à me sucer ou tu préfères que je t'encule ?

Il me regardait avec de grands yeux ronds mais finalement me laissait faire. C'est donc avec mon romantisme habituel que je le lubrifiais généreusement, je me lubrifiais la queue tout aussi généreusement, prenais position puis enfonçais ma queue bien à fond en un mouvement rapide. Il gueulait !

Victor : Tu me fais mal, j'aime pas quand tu me prends comme !

Je me calmais, je ne bougeais  plus. Il serrait les dents et finissait pas se détendre. Doucement je reprenais alors mes mouvements de va et vient. Je me retirais presque en entier, je l'entendais soupirer. Je revenais bien à fond, je l'entendais gémir et se crisper.

Progressivement j'accélérais les mouvement. Victor râlait de plaisir maintenant. Finalement il aime bien se faire démonter le cul le petit Victor. Je me lâchais. Mes mouvements devenaient rapides, toujours très amples, je ressortais ma queue complètement, par moment je rajoutais une grosse goutte de gel puis je replongeais avec violence, je m'amusais à faire claquer mon ventre contre ses fesses, il hurlait, se redressais mais il aimait.

Je passais mes bras autour de ses épaules et le serrais contre moi, il passait ses bras dans mon dos. C'était pour me caresser ou pour me repousser ? Je ne sais pas, je n'arrêtais pas mes mouvements qui étaient maintenant rapides et violents. Il gémissait de plaisir, penchait la tête sur le côté, j'en profitais pour l'embrasser sur l'épaule et dans le cou.

A cet instant nous entendions une voix très claire et très forte juste derrière moi. On sursautait, Victor hurlait !

Alex : Je venais seulement m'assurer que Monsieur Philippe et Monsieur Victor n'avaient besoin de rien …
Moi : Alors là Alex je te le dis … TU ES UN ENFOIRÉ !
Alex : Alors là Monsieur Philippe je veux bien le concéder !

Il traversait la terrasse prenant un air dégagé, entrait dans l'ascenseur, nous regardait en faisant la moue. Nous étions debout, un genou appuyé sur un transat, je tenais Victor contre moi, j'étais toujours bien en place, ma queue bien enfoncée dans son cul.

Alex : On passe à table dans une heure, vous désirez quelque chose de précis. Théo a téléphoné il ne rentre pas il se fait une pizza. Il ne faudrait pas oublier que je suis là pour vous chaperonner les jeunes … Je vous ai à l’œil !

Victor et moi éclations de rire.

Victor : Il est toujours comme ça ?
Moi : Uniquement quand on est entre nous !

On rigolait, je reprenais et continuais à lui pilonner le cul, il râlait , je continuais à rigoler mais pas lui … Je n'avais pas débandé pendant tout ce temps. Remarquez j'avais dix sept ans, c'est peut être un peu pour ça. On ne débande pas si facilement que ça quand on a dix sept ans.

Mes coups étaient violents, rapides, Victor s'était penché en avant et se retenait au transat, c'est tout ce qu'il avait trouvé. Je hurlais au moment ou je jouissais dans son cul, mes derniers coups de bassin étaient particulièrement violents, je le tirais contre moi, je tremblais, je le sentais trembler également puis je le lâchais. Il avait joui aussi, il avait juté, je le regardais avec un petit sourire victorieux. Il s'était laissé tombé sur le sol, il passait une main sur son cul et me regardait en fronçant les sourcils.

Rapidement on passait sous la douche, il y en a une à côté de la piscine, puis, histoire de taquiner Alex on se rendait à la petite salle à manger à poil.

Alex : Mais vous auriez du me prévenir que c'était un repas habillé messieurs …

Il repartait en rigolant, quelques instants plus tard quand il revenait pour nous servir, il était à poil lui aussi. Victor regardait ça avec envie, Alex est bien foutu et ne porte pas de dispositif de chasteté …



PHILIPPE
EP 18 : LE QUARTIER DES EMPLOYÉS



Le lendemain, on se réveillait un peu plus tôt. Dave passait voir si tout allait bien et comme il était tôt il s'invitait à notre petit déjeuner. 

Je ne sais pas qui c'est ce mec, c'est vrai ça il est gonflé, que Alex s'invite, pourquoi pas, je le connais depuis ma naissance et on est entre nous mais Dave, il vient d’où ? Il faisait quoi ? Il n'y a pas longtemps qu'il travaille chez mes tontons et c'est le seul employé qui tutoie tout le monde ! Et quand je dis tout le monde … Même mon papy y a droit et je ne connais personne étranger à la famille qui ose faire une chose pareil, sauf ses vieux amis bien sûr. 

On est entre nous, j'invitais donc Alex à se joindre à nous, après le petit déjeuner il nous accompagnerait pour la séance de sport. Avec Victor on était à poil, Dave retirait ses vêtements et voyant ça Alex en faisait de même. On s'installait à table sur la terrasse, c'était déjà un plaisir.

Dave : On est quatre …
Alex : Oui il manque quelqu'un j'ai l'impression !
Moi : Théo !
Alex : Théo ! C'est ça, il manque Théo … Il est rentré hier soir ?

La porte de Théo s'ouvrait, il en ressortait en baillant, il était à poil lui aussi et était suivi par un petit gars d'une tête de moins que lui et qui portait un dispositif de chasteté céramique. C'est vraiment très beau comme objet, c'est du composite, je vous rassure, mais ça ressemble vraiment à de la céramique, c'est insalissable, tellement lisse que même l'eau n’adhère pas. Tout comme le modèle titane il peut être porté en permanence sans limite de durée.

Théo prenait son camarade par la main et l’entraînait vers la table avant qu'il n'ai le temps de disparaître dans la chambre. Au moment ou ils arrivaient, un couvert pour notre nouvel invité était déjà installé, il est rapide Alex. On faisait les présentations, il s'appelle Lionel, et il avait l'air embarrassé de nous avouer qu'il travaillait dans un bar, au centre du village. Le village c'est comme ça qu'on appelle la zone construite en dur, c'est au centre de l'île, le grand quartier ou tout se passe, de loin ça ressemble à Manhattan en plus petit.

Comme prévu on faisait ensuite notre petit entraînement matinal quotidien. J'avais rapidement retrouvé ma silhouette élégante et sportive. Lionel nous laissait, il travaillait dans l'après midi. On descendait sur la plage pour le reste de la matinée, on se baignait, on jouait au ballon, il y avait des jeunes de notre âge un peu partout et on faisait des équipes, on bronzait, le reste de la journée on a fait de la plongée ou alors c'était un autre jour, je ne sais plus.

Là bas il y avait de quoi s'occuper, au nord de la maison à l'ouest de l'île, coincé entre les arbres, sur la route qui montait à notre parc privé il y avait un immense bâtiment. C'était un frigo, un frigo géant ou on produisait de la neige artificielle avec deux pistes de ski, autant vous dire qu'il était vraiment géant ce '' frigo '' . On y est allé régulièrement aussi, ça nous rafraîchissait un peu des trente cinq, quarante degrés. Tout les jours on s'occupait. 

Le ski, on le faisait aussi sur l'eau, du surf, de la planche à voile, du parachute ascensionnel … Puis il y avait les corps des moniteurs, ils étaient tous musclés, leur peau était ambrée, plus d'un étaient totalement imberbe et ça ne pouvait pas être naturel. Sur l'île il y avait plusieurs salon de beauté destinés aux hommes ( il y en avait aussi pour les femmes bien sûr ). Soin des cheveux, des sourcils, de la barbe, massage et bien sûr épilation … Ils ne désemplissaient pas ! Il y avait aussi le célèbre bureau PK, vous savez ces endroits ou on peut se procurer un de ces dispositif de chasteté, tous les conseils vous y seront prodigués avec une grande générosité et une patience infinie, même si vous n'achetez pas.

Sur la plage les porteurs de dispositif de chasteté avaient le droit de faire du naturisme. Beaucoup ne s'en privaient pas. On pouvait admirer sans se sentir gêné, des fesses musclés, des hanches fines et dessinées et quand le monsieur se retournait on voyait un éclair, un reflet de soleil sur le dispositif de chasteté en métal brillant comme un miroir. Il l’exhibaient tous avec une certaine fierté. Surtout ceux qui portaient un modèle en métal. On voyait aussi de nombreux modèles en plastic. 

Les plus étonnant étaient les modèles ambrés, marron clair. De loin avec le bronzage, on pouvait croire que le porteur était nu, de près l'impression changeait on pouvait admirer par transparence la bite du monsieur bien confinée qui pouvait même remplir généreusement le tube de chasteté, juste en dessous les deux testicules, bien ronds, bien pleins et souvent épilés. 

Oui, je dis admirer parce que même si c'est pas pour moi ce genre de truc je trouve ça tellement sexy sur les autres, j'adore ça moi. Ce me fait bander, par prudence je gardais un maillot de bain. Et puis de toutes façons comme je ne porte pas de dispositif de chasteté, j'ai pas le choix. Je vous rassure je ne porte pas de ces maillot de bain qui couvrent de la ceinture jusqu'au milieu des cuisses. J'avais un modèle plus léger, c'était un modèle taille basse qui s'arrêtait tout en haut des cuisses, il couvrait parfaitement mon sexe et retenait également mes érections … C'était le but ! 

Théo faisait comme moi mais, seul Victor en profitait pour nous allumer un peu, il savait que ça nous allumait de le voir avec pour seul vêtement son dispositif de chasteté. Il était peut être en manque mais ça ne l'empêchait pas de nous allumer. 

Le soir pour sortir on s'habillait, un polo de marque, un bermuda et marque également, avec des chaussures légères et des chaussettes pour faire plus habillé … On était tous les trois tout à fait craquant. Victor s'y faisait bien finalement à cette vie, au bout de deux semaines à peine il ne se posait plus de question et se contentait de profiter de la situation. On était un peu comme des princes, on habitait dans une maison gigantesque, tellement gigantesque qu'on n'a pas réussi à en faire le tour pendant notre séjour. On y occupait une aile, avec terrasse et piscine, on avait à notre service un petit personnel de maison, un valet de chambre adorable que je connaissais depuis mon enfance … On avait aussi un coach sportif pour rester en forme et c'était lui le plus pénible. 

On pouvait rentrer, sortir quand on voulait, manger si on voulait et quand on voulait mais pour ce qui est du sport il y avait Dave, et là … Pas question d'y échapper ! Vous imaginez il tutoies mon papy ce phénomène alors c'est pas moi qui vais l'impressionner … Si on voulait résister on se faisait engueuler et on se retrouvait rapidement en short ou à poil à courir dans notre  parc privé ! Pour le reste il est sympa Dave.

Il nous a encadré pour une initiation à la plongée sous marine, nous avions un moniteur pour chacun d'entre nous, il y avait même un caisson de décompression au cas ou, mais bon on plongeait à dix mètres … La plongée se passait au nord de notre île, en plein milieu de l'archipel, il y avait des coraux, des poissons de toutes les couleurs, c'était tout simplement fabuleux. On revenait à la surface avec des étoiles de mer dans les yeux. Il était tôt, aussi Dave nous proposait de revenir à la maison en faisant le tour complet de l'île. 

Elle faisait plus de trente kilomètre d'Est en Ouest, elle était recouverte d'arbres, la partie nord était rocheuse, il y avait donc surtout des bâtiments en dur, villas, hôtels, parc. Attention seule notre villa était une propriété privée, les autres étaient en location. Notre bateau était un vedette rapide qui dépassait les soixante kilomètres-heure, ça nous faisait quelques heures de promenade, un truc pareil ça remue et c'est génial. Les autres îles se trouvaient toutes au nord. Il y en avait une pour loger le personnel, on pouvait y accéder avec un aéroglisseur en un bon quart d'heure de trajet, ça me rappelait quelques souvenir de les voir passer au moment ou nous traversions cette zone très fréquentée.

Nous avions encore passé une merveilleuse journée. Le soir après le souper, nous nous préparions à sortir comme d'habitude, Théo avait un rendez-vous, Victor aussi, à ce qu'il nous disait …

Je décidais d'aller voir comment ça se passait du côté des embarcadères, au Nord Ouest de l'île. C'est à cet endroit que les employés prenait les aéroglisseurs pour rentrer chez eux, vers l'île nord. 

C'était un quartier un peu fermé, refermé sur lui même. Ici on ne recherchait pas à faire venir les touristes, c'était réservé au personnel qui travaillait sur place, mais il y avait un petit quartier vivant avec quelques bar qui faisaient aussi brasserie, on pouvait manger en attendant l'aéroglisseur. C'est ici qu'on déchargeait tout ce qu'il fallait importer sur l'île, il y avait toujours de l'activité, quelque soit l'heure de la journée. J'entrais dans une brasserie et j'entendais une voix qui m'interpellait.

'' Ah le revoilà lui ! Ça faisait longtemps, on te croyait mort dans un autre naufrage bonhomme … Ça va Philippe ? ''

Tout le monde se retournait vers moi, je sursautais et tentais d'identifier la personne qui m'avait interpellé. C'était un homme au bar, je ne l'avais jamais vu mais il semblait me connaître.

Moi : On se connaît ?
Lui : Pierre Henri. Pour te servir petit naufrageur … Je faisais partie de l'équipe des sauveteurs en mer, il y a six ans quand tu as coulé l'aéroglisseur, je faisais partie de l'équipe qui t'a secouru. Bein dis donc bonhomme tu as fait du propre ce jour là ! On en rit encore tu sais !

D'une voix forte il me présentait à tout le monde. Il faut dire que tout le monde connaissait cette histoire. Six ans plus tôt, j'avais donc onze ans, histoire de rigoler j'avais pris les commandes d'un aéroglisseur pour faire un tour en mer, ça s'est mal terminé, j'ai coulé l'appareil, on m'a secouru. Tout le monde s'en souvenait. Ce souvenir me faisait rigoler.

Pierre Henri : Je t'offre une petite bière ?
Moi : Ah ouai je veux bien ! ( c'est que je ne peux pas me procurer ce genre de truc ici moi ).

Deux heures plus tard j'étais saoul, j'avais pas bu beaucoup de bière mais je n'étais pas habitué. Voyant ça Pierre Henri préférait m'emmener chez lui, enfin, dans sa capsule. Il logeait dans une sorte de petit appartement qu'on appelait capsule sur l'île nord, juste la place pour dormir confortablement, ici tout le monde vivait à l'extérieur, la capsule c'était juste pour dormir, dix mètres carrés c'est tout. Dans la capsule d'à côté il y avait un gars rigolo et sympa, Joey, un black, grand, musclé à point, il était en week-end.

Moi : Ça veut dire quoi en weed-end. 
Joey : Ça veut dire que si je reste sur cette île, j'ai le droit de retirer mon dispositif de chasteté.
Moi : Tu veux bien le retirer dis ?
Joey : C'était pas prévu mais si c'est pour satisfaire un p'tit gars en manque, pourquoi pas ?
Moi : Oué vas y retire le !

Il me faisait signe de le suivre dans sa capsule. Il refermait la porte derrière moi. Il retirait ses vêtements, je ne loupais rien, il était magnifique et … Je ne sais pas si je vous l'ai déjà dit mais j'adore la couleur … Il déverrouillait son dispositif et le retirait. J'admirais le mouvement, j'admirais sa queue qui se développait tout doucement, je me penchais sur lui et sans plus de manière lui suçais la queue, elle se développait alors plus vite dans ma bouche et rapidement prenait toute la place.

Il appuyais sur ma tête sans me ménager, il ne savait pas qui j'étais et c'était mieux ainsi. Pierre Henri était reparti avant que je ne suive Joey et devait penser que je dormais dans sa capsule. En fait non ! Dans la capsule à côté il y avait mieux.

Mais c'est qu'il ne me respectait pas vraiment Joey. Il tenait fermement ma tête avec ses deux mains et m'enfonçait violemment sa queue jusque dans gorge, balançait un coup de bassin en me tirant la tête vers lui. Quelques instants plus tard il me repoussait contre le mur, me coinçait dans un angle et me baisait la bouche là encore sans ménagement. Il s'amusait avec moi pendant un long moment, par moment je suffoquais, il faisait alors une pose me laissais respirer puis reprenais. 

Je trouvais qu'il abusait le gars et j'avais envie de m'en aller mais il me retenait avec force. Il s'amusait, il faisait durer le plaisir, j'avais du mal à encaisser, je voulais me dégager mais je ne parvenais pas bouger, il me bloquait contre l'angle du mur.

C'est un long moment plus tard qu'il m'ordonnait de retirer mes vêtements.

Joey : Mais tu ne portes pas de dispositif toi. Et moi qui pensais que tu était en  manque, tu peux te branler quand tu veux, te soulager, te faire plaisir … 

Il me tirait alors vers lui, me jetais sur le lit, tirait mon pantalon sur mes pieds …

Joey : Mais c'est pas grave, ma queue vient de passer deux semaines dans cette cage, tu as voulu me libérer, tu vas en payer le prix !

Disant cela il me lubrifiait abondamment le cul et sans prévenir m'enfonçait la queue dans le cul. Je voulais gueuler, il posait sa main sur ma bouche et sans aucun préliminaires me limait le cul avec force. Il se retirait complètement puis revenait à fond. Ses mouvements étaient rapide et violents. Il me faisait vraiment mal, je voulais me dégager mais je ne sais pas si c'est parce qu’il était bien plus fort que moi ou si c'était les effets de l'alcool mais je ne pouvais pas bouger. 

Il me tenait fermement contre le lit, les bras dans le dos. Il était bien plus fort que moi, je ne pouvais pas bouger. Je ne pouvais qu'encaisser. J'avais rêver de me faire prendre sauvagement plus d'une fois mais maintenant que j'y étais, ça me faisait mal, ça me faisait vraiment très mal. A chaque fois que je tentais de me dégager, il me tordait le bras un peu plus dans le dos et me bloquait encore plus. Maintenant j'avais aussi mal au bras.

Si je gueulais il me mettait sa mains sur la bouche et j'avais du mal à respirer, si je tentais de me dégager il me tordais le bras encore plus fort, si je serrais les fesses, ça faisait encore plus mal. Je n'avais pas le choix, je ne pouvais que subir. En plus il était bien monté, il devait être dans la catégorie du mec que j'avais rencontré dans la maison close le soir de mon anniversaire. 

Je serrais les dents, je respirait fort, je gémissait mais j'essayais de ne pas faire trop de bruit. Il commençait à me faire un peu peur le gars en plus de me faire vraiment mal au cul. C'est là que j'ai commencé à chialer. Il s'en moquait, voyant que je ne résistais plus, il s'était relevé, ne tenait plus mes bras que d'une main et ses coups de bassins contre mes fesses devenaient de plus en plus violents. Il ne se retenait plus, il se lâchait, sa queue était longue et large, elle ressortait complètement de mon cul puis y revenait avec une extrême violence, bien à fond, en appuyant bien son ventre contre mes fesses. 

Il respirait plus fort, plus vite. 

Joey : Tu as l'air d'aimer ça toi ! Tu es une vrai petite salope, à te voir on n'y croirait pas …

Il me prenait fermement par les hanches, en râlant il me donnait des coups particulièrement violent et finissait pas jouir dans mon cul. Il me retenait alors encore un long moment bien serré contre lui, me lâchait et se laissait retomber sur moi. Il bandait encore, sa queue était encore dans mon cul et il m'arrachait encore quelques gémissements. Puis je ne disais plus rien.

Il était plus lourd que moi, il m'écrasait mais c'était pas le pire, il reprenait son souffle puis au bout d'un long moment se relevait, se retirait puis se dirigeait vers le coin douche …

Joey : Bon va falloir rentrer dormir ! C'était bon mais la nuit avance, ça fait du bien de se vider les couilles … Tu m'excuse si je te chasse un peu mais demain je suis en week-end, j'ai qu'une journée et je n'ai pas de temps à perdre. Tu repasses quand tu veux, enfin un soir ou je suis libre.

Je me retrouvais sur le seuil de la porte, à poil avec mes vêtements sous le bras, j'avais mal au cul, j'avais mal au bras et j'avais mal à la mâchoire. Avec une démarche en canard je me dirigeais vers la capsule de Pierre Henri. Elle était restée ouverte mais il n'était pas encore de retour, je m'installais et rapidement je m'endormais. 

Le lendemain matin, ça allait mieux. J'avais encore un peu mal au cul mais ça allait. J'étais réveillé par une voix connue qui me gueulait dessus. 

Alex : Philippe mais bon dieu qu'est ce que tu fous ici ? On te cherche partout depuis ce matin ! J'ai été obligé de faire appel à la sécurité.

Je sortais de la capsule, à poil, l'air hagard. Je me grattais la tête.

Moi : Bon ça va j'ai découché, enfin Alex arrête de m'engueuler j'ai rien fait de mal … ( je me grattais le cul ) … Enfin presque … 
Alex : C'est pas ça, je ne sais pas ce que tu as fais et je m'en moque mais … Ton père est dans le train il sera là dans quelques heures !
Moi : Qué ?
Alex : Mais tu es bourré ou quoi ? Ton père Monsieur Brosso Antoine sera là dans quelques heures et tu as intérêt à te remuer le cul si tu ne veux pas avoir des ennuis !

Joey était sorti également de sa capsule et je voyais dans ses yeux comme un éclair de panique quand il entendait ces mots. Il commençait à comprendre qui j'étais, j'enfilais mon short et suivais Alex avec le reste de mes vêtements sous le bras. 

Il était venu avec une vedette rapide, c'était pas le moment de traîner, mon père descendrait du train pour prendre un hélicoptère et serait rapidement à la maison. On prenait par la côte Ouest, on arrivait en bas de la falaise, en contrebas de notre terrasse qui était invisible de la mer. A cet endroit il y avait des petite cryptes et une entrée ascenseur … On arrivait sur notre terrasse quelques instants plus tard, au moment ou l'hélicoptère de mon père se posait. Juste le temps de passer des vêtements de sport, de les arroser d'eau pour laisser croire que je m'entraînais depuis un moment, et je retrouvais mes camarades. 
Dans la maison il n'y avait que des employés qui travaillaient pour mon grand père, ils me couvraient, accueillaient mon père, lui expliquaient que tout se passait bien, que nous étions à notre séance de sport sans lui dire que d'habitude nous la faisions à poil … 

Quand mon père arrivait sur notre terrasse, il nous voyais revenir de notre séance de sport, en sueur, comme il convient …

Dave : Monsieur Brosso, mais c'est une surprise !
Mon père : Tout se passe bien ici ?
Dave : Tout se passe parfaitement bien Monsieur Brosso, si vous le permettez j'envoie les gamins prendre une douche et je les libère …
Mon père : Je serai dans le salon d'honneur !



PHILIPPE
EP 19 : MONSIEUR BROSSO PERE



C'est tout propre que nous nous présentions dans le salon d'honneur ou mon père avait fait servir le petit déjeuner. Évidemment l'ambiance avait changé, nous étions en tenue présentable, Alex nous avait supervisé. Un polo et un short qui s'arrêtait juste au dessus des genoux restait une tenue acceptable pour cette période de vacances. 

Mon père nous invitait à le rejoindre. On s'installait.

Mon Père : J'espère que tout se passe bien pour vous les jeunes.
Moi : On fait beaucoup de sport, on s'occupe.
Théo : On a fait de la plongé il y a deux jours !
Victor : Du ski aussi, c'est incroyable de pouvoir faire du ski quand il fait quarante degrés à l'hombre. 

… 

MP : Au fait Victor, j'ai un document à te remettre, une lettre. Ne t'inquiètes pas c'est rien de grave, c'est le comité d'attribution des bourses qui te confirme que ta bourse est acceptée à cent pour cent, comme je te l'avais dit, maintenant c'est officiel. Tu n'a rien à faire sinon te présenter à l'accueil de l'école dans les deux jours qui précèdent la rentrée …
Victor : Je ne sais comment vous remercier Monsieur Brosso …
MP : Il aurait été dommage que le meilleur élève de notre école ne puisse pas faire les études de son choix, de plus, je suis président de ce comité …

Les jours suivant on restait calme, on sortait tous les jours dans la journée, on s'occupait, de ce côté rien ne changeait. Parachute ascensionnel et je ne sais plus qu'elle bricole dans le genre. On prenait le petit déjeuner, le dîner et le souper avec mon père. Il ne cachait pas une sympathie particulière à l'intention de Victor, il était le meilleur élève et il portait un dispositif de chasteté sans faire de manières. C'était pas mon cas ! Pour ce qui est de porter un dispositif de chasteté, mon père n'avait pas oublié comment ça s'était terminé un an plus tôt ( Ep 07 ), de plus je n'étais pas non plus le meilleur élève. 

Bien sûr il n'en parlait plus mais je me doutais bien qu'il n'avait rien oublié. 

Un jour à la fin d'un repas il prenait la parole. 

Mon Père : Bon les jeunes, j'ai décidé de prendre quelques mesures pour cette maison, elle est vraiment tenue n'importe comment !

Juste derrière lui Alex fronçait les sourcils.

MP : Ce n'est pas à cause du personnel qui fait ce qu'il peut, il n'y a presque personne pour prendre soin de cette maison qui est absolument gigantesque … Mais le résultat est là ! Il y a de la poussière un peu partout et de toutes façons, même si on ne l'habite pas une maison doit être tenue comme il convient !

Alex semblait dubitatif. Bien sûr il ne disait rien. C'est le grand patron qui parlait … 

MP : Alex, s'il vous plaît. Nous allons recevoir dès demain tout un tas de candidats pour pallier à cette situation. J'aimerais que vous vous chargiez de la sélection et que vous supervisiez le nettoyage complet de cette demeure. 
Alex : Bien Monsieur.
MP : Je pense que si nous voulons que ce travail soit fait dans un délai raisonnable une cinquantaine de personnes devraient suffire.
Alex : Cela me semble raisonnable Monsieur. Nous pourrions organiser des équipes en confiant la direction de ces équipes au personnel présent à l'année.
MP : Ils sont nombreux ?
Alex : Cinq Monsieur !
MP : Ah ! ( il sortait de sa poche un gant blanc en tissus ) J'avais prévu de démontrer la négligence du personnel avec ceci, ( il montrait sur l'extrémité des doigts du gant des traces de poussière ) j'ai en effet passé ce gant dans différents endroits de la maison, on y voit des traces de poussière qui ne seraient pas acceptable si le personnel était plus nombreux, mais si vous me dites qu'ils ne sont que cinq, en tenant compte de la taille démesurée de cette demeure. Je dois réviser mon jugement et reconnaître que leur travail est tout à fait satisfaisant ! 

De la part de mon père c'était un compliment inespéré !

MP : Vous voudrez bien leur transmettre mon appréciation !
Alex : Je pense qu'ils seront ravis de l'apprendre Monsieur !

C'était là le maximum que mon père pouvait faire mais il faut reconnaître qu'il avait quand même plombé l'ambiance ! Dès le lendemain nous recevions donc tout un tas de candidats, un petit personnel qui était recruté sur l'île du nord. J'avais demandé à Alex de me brancher le visiophone pour voir comment ça se passait. 

Je regardais ça d'un œil distrait, mes camarades étaient descendus sur la plage, moi je n'osais plus bouger, il y avait mon père dans les murs et ça faisait comme une sorte de panique dans mon ventre. Une tête passait sur l'écran, je sursautais, c'était Joey. Le mec qui m'avait déboîte la rondelle juste avant l'arrivé de mon père ( Ep précédent ), je regardais maintenant avec attention et je mettais le son et j'entendais Alex …

Alex : Je ne sais pas si votre candidature pourra être retenue, vous n'avez jamais fait ce genre de travail …

Joey argumentait, mais je n'écoutais pas je prenais le téléphone, sur l'écran je voyais Alex décrocher …

Moi : Il faut que tu le prennes …
Alex : Bien !
Moi : Si, si c'est pas des conneries …
Alex : Bien !
Moi : Je te revaudrai ça …
Alex : Bien !
Moi : Je te jure je ne suis pas un ingrat …
Alex : Bien !
Moi : Tu l'embauches dis ? Tu l'embauches dis ? Tu l'embauches dis ? Tu l'embauches dis ?
Alex : Tu me fatigues !

Il raccrochait. Je l'entendais alors reprendre …

Alex : Finalement ce travail ne demande en effet pas d'expériences particulières, présentez-vous demain à neuf heures à l'ascenseur de la plage.
Joey : Je vous remercie mais je dois tout de même vous informer que je suis en ce moment en période de repos, et … Que je ne porte pas actuellement …

Je prenais alors le téléphone à nouveau, je voyais Alex décrocher. 

Alex : Mais je vous assure monsieur que c'est pas nous qui avons commandé une pizza !
Moi : Ne te moques pas Alex, c'est sérieux ça, je te jure, tu lui dis que c'est pas grave … Il y en a d'autres qui ne portent pas de dispositif de chasteté ici …
Alex : Tu me fatigues !

Il raccrochait.

Alex : Les extras peuvent être dispensés de ce protocole !
Moi : Alex je t'adorrrrre !

Bon d'accord il n'a pas entendu mais je l'ai dit quand même !
Le lendemain, mes camarades descendaient sur la plage moi je restais sur la terrasse. Je demandais à Alex de m'envoyer le petit nouveau … Joey ! Il arrivait donc tout surpris d'être envoyé seul sur ma terrasse, les autres étaient en équipe mais lui était chargé de nettoyer la piscine, ma piscine. En me voyant il semblait pâlir. Oui je sais il est black mais … 

Joey : Monsieur Brosso, je m'excuse, on m'a dit qu'il n'y avait personne …
Moi : Oui je sais, mais je te garantis que personne ne viendra !
Joey : Je ne voudrais pas avoir d'ennuis …
Moi : Tu n'auras pas d'ennuis …
Joey : Je vois le genre ! Tu es un de ces fils de riche, une grosse tafiole qui s'amuse avec le personnel !
Moi : L'autre jour j'ai plutôt l'impression que c'est toi qui s'est bien amusé avec moi !
Joey : Je ne savais pas qui tu étais !

Là je trouvais qu'on avait assez parlé.

Moi : Je sais que tu ne portes pas de dispositif de chasteté.

Je me mettais à genoux devant lui, tirait sur son pantalon et sans lui demander son avis commençais à lui sucer sa queue. Elle est énorme. Là elle me paraissait encore plus grosse que l'autre nuit. Brusquement j'avais un peu peur. 

J'avais peur mais j'étais tellement excité que ça ne me faisait pas reculer, je l'avalais jusqu'à la garde, même s'il fallait me déboîter la mâchoire je ne renoncerais pas, je la massais avec force et douceur.

En quelques secondes la douceur disparaissait, il appuyait sur ma tête et si je tentais de résister il forçais.

Joey : J'espère que personne ne va nous déranger ?

Au moment ou il me laissait relever la tête je lui répondais .. ;

Moi : On nous préviendra, si quelqu'un qu'il ne faut pas approche, on nous préviendra !

Il me prenait alors la tête à deux mains, me tirait vers lui et m'enfonçais sa queue bien à fond, sans ménagement. Il me baisait par la bouche comme il me l'avait fait quelques jours plus tôt dans sa capsule. Il y allait sans retenue, je bavais, si je tentais de me rebeller je recevais une tape sur la tête. 

Il était virile, pas tendre, très virile mais dépourvu de tendresse. Ça me faisait peur mais au fond de moi, j'adorais ça !  Il était tellement beau, sa taille, sa carrure, ses muscles, ses cuisses, sa bite énorme. Je me sentais tout excité rien que de la voir, de la sentir me défoncer la bouche. Il y avait aussi sa force, il était bien plus fort que moi. Je bandais comme un fou et pendant qu'il m'enfonçait sa queue dans la gorge, je me branlais.

Joey : Tu arrêtes ça tout de suite ! Tu ne te branles pas, je ne veux pas voir ça !

Je lui caressais alors les cuisses, les fesses. Je passais une main sur son ventre, il avait des muscles partout, il était vraiment balaise. Là je me faisais peur, il allait encore me défoncer le cul. La dernière fois je l'avais senti passer, en plus maintenant je savais qu'il ne me ménagerait pas. Je me disais '' C'est pas un tendre !''

J'avais brusquement envie de me sauver, de lui dire que … '' Non, c'est bon, on en reste là '' . Mais j'étais fasciné, il me plaisait, je voulais sentir sa queue me défoncer le cul, ça me faisait peur mais je ne bougeais pas. C'était un sentiment étrange, entre le besoin d'aller jusqu'au bout et la peur, une vrai peur. Je savais qu'il pouvait, qu'il allait me faire mal !

J'avais mal à la mâchoire, j'avais du mal à respirer, lui il respirait fort, de plus en plus fort moi je suffoquais. Il s'en moquait et ne faiblissait pas. Ses mouvements étaient violents quand il à juté dans ma gorge. 

Il me lâchait, je me retirais. Je reprenais mon souffle, j'avais mal à la mâchoire, à la gorge, je toussais un bon moment. Il me regardait de haut.

Joey : Tu la voulait dans le cul ma queue ?

Je lui faisait oui en toussant et en me remettant la mâchoire en place.

Joey : Et bien tu ne l'auras pas !

Je le regardais l'air un peu con, enfin je suppose. Il rigolait.

Joey : Si tu veux ma bite il faudra que tu fasses un petit effort, un petit sacrifice.
Moi : Tu veux quoi, si tu veux tu peux rester ici jusqu'à mon départ, tu ne seras pas obligé de travailler mais tu seras payé quand même … 
Joey : Je suis pas une pute. Si tu veux ma queue dans ton cul …
Moi : Oui ! Je t'écoutes !
Joey : Tu porteras un dispositif de chasteté jusqu'à ton départ !
Moi : Mais tu es fou, il n'en est pas question !
Joey : Alors je ne travaille plus ici si je dois te rencontrer de nouveau !
Moi : Mais pourquoi tu ne veux pas !
Joey : Tu es le fils du big-boss , tu ne portes pas de dispositif, et je ne suis pas ta pute. Si tu veux ma queue tu sais ce que je veux !

Il repartais à poil, et faisait ce pour quoi on l'avait fait venir, il nettoyais la piscine qui était déjà nickel. Régulièrement il se retournait, comme pour me narguer. Il s'amusait à balancer sa queue devant moi. Je le regardais, j'avais tellement envie de sa queue, je voulais tellement la sentir me défoncer le cul. Il repartait un peu plus tard.

Je restais là comme un con, je me tripotais la queue, je bandais. 

Je ne bougeais plus du reste de la journée. J'étais vexé, excité, en chaleur, je ne me branlais même pas. Le lendemain Joey passait de nouveau dans nos quartiers, mais là je ne pouvais que le regarder, je n'avais pas le droit de le toucher …

Joey : Si tu veux je peux me branler devant toi mais c'est tout ce que tu auras !

Je craquais, il m'avait tellement allumé, j'avais tellement envie de sa queue que j'allais chercher un de ces dispositif à clé unique, en titane, comme un fou en état second j'y glissait ma queue. Je respirais fort et finalement je le refermais. Je partais avec la clé, Joey était encore dans mes quartiers.

Je me mettais à poil devant lui sans rien dire, je lui donnais la clé. J'avais la tête en feu et je ne savais plus vraiment ce que je faisais. Il prenait la clé …

Joey : Elle est ou ta chambre ?

Je lui montrais la porte de gauche au premier. Il me faisait signe de le suivre, il refermait la porte derrière lui.

Joey : Penche toi en avant contre le fauteuil !

Je m'exécutais, je tremblais, j'avais un peu la trouille, et puis il y avait ce dispositif. J'ai tant de fois hurlé que … '' Jamais au grand jamais '' … et finalement je me retrouvais là, le cul bien offert. Il bandait bien ferme, ne faisait pas de manières. Il se lubrifiait bien la queue, me lubrifiait bien le cul puis enfonçait brutalement sa queue dans le cul. Bien à fond en un mouvement, sans préliminaires. Ça me faisait un mal de chien, je hurlais !

Il ressortait, revenait. Il me tenais fermement par les hanches et quand je tentais de me dégager je recevais une tape bien violente sur la tête aussitôt suivie par un violent coup de rein qui m'arrachait un cri de douleur.

D'autres coups de bassin suivaient, je tentais encore de me dégager. Il m'attrapait alors par les bras et me faisait une prise d'étranglement en passant un bras autour de mon cou. J'étais coincé, il me faisait mal, j'avais peur.

Mon cœur battait comme un fou, je me demandais pourquoi je lui avait demander de me prendre, j'aurais du savoir qu'il était violent quand il baisait. Je regrettais, j'avais une boule dans l'estomac. Là je ne voulais qu'une seule chose … Que ça se termine. Qu'il en finisse. Je me jurais de ne plus recommencer.

Il finissait par jouir dans mon cul, il me lâchait et je m'écroulais sur le sol. Sans s'inquiéter de moi, il passait à la salle de bain, en ressortait un peu plus tard et avec un petit sourire.

Joey : Bien ! Je te laisse, je retourne à mes activités. On remet ça demain !

Je faisais oui de la tête. J'avais mal au cul, au bras, à la mâchoire et à la tête … Mais c'est qu'il ne fait pas semblant quand il cogne le con ! Dans ma tête, c'était la panique, je ne savais plus quoi faire, mon cœur allait exploser, je sentais que j'allais défaillir mais quelque part au fond de moi … C'était cool, j'avais pris mon pied !

Je ne pensais plus qu'à une chose … Recommencer ! Pourtant je savais qu'à l'instant ou je recommencerais j'éprouverais cette peur, cette panique, cette angoisse. Je savais aussi que juste après …

Plus tard, bien plus tard je passais sous la douche. J'avais mal au cul pendant un long moment. Pendant le repas je ne bougeais pas, je ne disais rien. Personne ne faisait attention, mon père était là. Tout le monde pensait que c'était à cause de lui. En sa présence j'ai pas trop l'habitude de faire le mariole. 

J'étais sous clé, ici je ne pouvais demander à personne de me libérer. Plus tard, à la maison, j'ai un atelier et je pourrai me libérer sans trop de problème mais ici je n'ai aucun outils. Il n'a pas de solution. J'avais honte de raconter ce que j'avais fait, j'avais même honte rien d'y penser. 

Le lendemain je ne voyais pas Joey, mon père l'avait fait venir avec toute une équipe pour nettoyer la piscine olympique ou je ne sais quelle partie de la maison, le surlendemain non plus. 

Le jour suivant, six heures du matin, le clairon !

On se précipitait sur notre balcon. Pour une fois j'avais un short sur moi. C'était Dave, il avait l'air content de lui.

Dave : Ça va les jeunes, le big-boss est dans le train, il est parti il y a dix minutes, vous pouvez vous rendormir …
Moi : Mais c'est pas vrai ça, tu nous réveilles pour nous dire qu'on peut dormir ?
Dave : Bein oui, j'ai pensé que ça vous ferait plaisir de le savoir !

On rentrait tous les trois dans notre chambre en râlant avec l'intention de continuer notre nuit. A six heures il faisait déjà jour depuis peu, une demie heure plus tard on était tous les trois à poil, sauf moi, sur la terrasse à profiter des premières heures de la journée. Alex l'avait deviné, il a un sixième sens pour deviner ce genre de truc et notre petit déjeuner arrivait très vite sur la table. 

Je gardais un short de bain sur moi, on me le faisait remarquer mais je préférais ne pas relever. Tout le monde voyait bien que je n'étais pas comme d'habitude mais ils pensaient tous que j'avais du me faire engueuler par mon père. Il était parti, je ne devrais pas tarder à retrouver le sourire.



PHILIPPE
EP 20 : EN PRISON



On se retrouvait de nouveau entre nous. Le nettoyage profond que mon père avait demandé était loin d'être terminé et l'équipe de cinquante extras resterait donc encore quelques temps. Je me trouvais un peu balourd, mal à l'aise. Je gardais toujours mon short sur moi, je ne m’exhibais plus à  poil autour de la piscine. Mes camarades ne disaient rien mais se posaient des questions. En fait mon comportement avait changé, et un peu plus que je ne le supposais.

Au bout d'une semaine, je n'avais toujours pas revu Joey. Je savais qu'il était là mais je ne le revoyais pas et me demandais s'il ne le faisait pas exprès, s'il ne prenait pas soin de m'éviter.

Je décidais de partir à sa recherche. 

Je vous avait parlé de ce bug dans l'ascenseur il me semble. Depuis que mon grand père nous avait parlé du fantôme et avait bloqué l'accès au quartier ''  REPOS ET QUIETUDE '', à chaque fois que nous montions dans un ascenseur cette destination apparaissait à l'écran, même pas une seconde, à peine le temps de la voir puis cette destination disparaissait et il était impossible de la faire apparaître de nouveau, la destination nous était bloquée. Ce message n'apparaissait pas s'il y avait une autre personne que nous trois dans l'ascenseur …

Une fois de plus cette destination apparaissait de nouveau et j'étais surpris de voir que cette fois-ci la destination restait dans le menu. 

Je me rendais dans le bureau de mon grand père, il y a des écrans témoin qui permettent de surveiller toute la maison et je cherchais si je pouvais voir Joey. Je ne pensais plus qu'à lui, ce dispositif qu'il m'avait fait mettre et dont il avait gardé la clé, pourquoi j'avais fait ça ? Comment récupérer la clé, me libérer ?

Ma queue était en prison depuis une semaine et je voulais avant tout … En fait je ne savais plus si je voulais avant tout me libérer ou me prendre la queue de Joey dans le cul. 

Rapidement je retrouvais Joey, il travaillait au premier niveau avec une équipe, je m'y rendais. Dans l'ascenseur, juste avant d'arriver je me donnais de la contenance, je respirais bien à fond … La porte s'ouvrait, j'entrais dans le couloir, je me donnais un peu le genre de l'inspecteur des travaux finis … J'étais très mal à l'aise. J'appelais Joey et lui demandais de me suivre, prétextant qu'on avait besoin de lui. Il me suivait sans rien dire. On disparaissait dans l'ascenseur.

Moi : Pourquoi tu as disparu ? J'ai fait ce que tu voulais !
Joey : Je travaille moi, je ne passe pas mon temps à me branler !
Moi : A parce que tu crois que je me branle ?
Joey : Je voudrais voir ça ! Éh, éh, éh !


Puis brusquement sans prévenir il me retournait et me  plaquait, face contre la paroi de la cabine, me tordais le bras dans le dos pour m'immobiliser …

Moi : Arrête, tu me fais mal ! ( je gueulais )

Joey : Ferme là et laisse toi faire.

Il tirait sur mon short qui se retrouvait sur mes chevilles, il ouvrait son pantalon, il bandait le mec, il bandait ferme. Je ne sais pas d'où il sortait du gel mais il me lubrifiait le cul et sans plus de formalité, sans me demander mon avis il m'enfonçait sa queue dans le cul.

Je hurlais, il me faisait mal, je lui demandais d'arrêter, mon cœur battait si fort que j'ai cru avoir une crise cardiaque. Je tentais de me dégager.

A chaque fois que je bougeais il resserrais son étreinte et ne tardait pas à me balancer des coups de butoir douloureux, très douloureux et violents, très violents. Je chialais … Je l'avais cherché mais je ne voulais pas, je ne voulais plus. 

Finalement je ne résistais plus, et en larme, appuyé sur la cloison de l'ascenseur je le laissais faire. Je chialais, je tremblais, je gémissais. Il ne lâchait rien et continuait à me défoncer le cul sans aucune tendresse. Il est efficace le bonhomme. Un vrai marteau piqueur, j'en prenais plein le cul, je voulais que ça cesse, je ne pouvais pas me dégager sans qu'il me torde le bras encore plus fort et qu'il me fasse encore plus mal. J'avais vraiment peur, il me faisait peur mais il était trop … Viril ! … Fort ! … Musclé ! … 

Je l'avais dans la peau et pas seulement dans le cul. Son ventre frappait fort contre mes fesses, mon anus était totalement distendu et n'offrait plus aucune résistance, les coups étaient bruyants et ses râles de plaisir étaient bruyants aussi au moment ou il jouissait dans mon cul.

Encore quelques coups de butoir et il me laissait tomber sur le sol, relevait son pantalon, se rendait présentable. Un petit coup de pied dans mon cul …

Joey : Reste pas comme ça ! Si on te vois comme ça tu vas te faire remarquer. 
Je ne gémissais plus, je ne faisais plus aucun bruit mais je continuais à chialer, je relevais mon short, et me rendais présentable à mon tour. Il avait bloqué l'ascenseur, nous repartions, il descendait de l'ascenseur …

Moi : Je veux récupérer ma clé !
Joey : Je ne l'ai pas sur moi !

Il appuyait sur le bouton de l'ascenseur et m'envoyait dans mes quartiers. J'avais mal au cul, j'avais mal au cœur, j'avais mal au bras … J'avais honte de moi, j'avais pris mon pied !

En traînant je me rendais à ma chambre, et restais un long moment sous la douche, je me lavais, je rageais contre ce dispositif de chasteté, je voulais le retirer mais pour le moment il n'y avait pas moyen, je devais le supporter. Je me disais que je l'avais cherché. Je me retrouvais dans une situation que je n'aurais jamais cru possible, à la merci d'un obsédé sexuel violent à qui je donnais plein pouvoir sur moi … J'étais pas fier !

A partir de ce jour, tous les après midi Joey passait dans mes quartiers. On attendait que mes camarades soient partis à la plage ou ailleurs, enfin bref on attendait de pouvoir être tranquille. Oh il ne restait pas longtemps, parfois vingt minutes. Le rituel était toujours le même … 

Pas de temps à perdre, quelquefois il me laissait le sucer mais rapidement il me retournait et me défonçais le cul.

A chaque fois il y avait cette peur, cette panique dans mon ventre, mon cœur s'affolait dès qu'il apparaissait dans l'ouverture de l'ascenseur. 

A chaque fois il ne fallait pas bien longtemps avant que je ne me retrouve à quatre pattes le cul bien offert et tremblant de trouille car je savais qu'il allait me faire mal. Il me défonçait alors le cul sans ménagement comme il aime tant le faire. Au bout d'une semaine, j'avais toujours un peu mal au cul mais ça rentrait de plus en plus facilement. Je ne gueulais plus mais je gémissais il me faisait mal et j'avais horreur de cette situation, pourtant pour rien au monde je n'y aurais mis fin. 

Il me limait pendant un long moment, c'était douloureux mais aussi jouissif, j'adorais cette situation. Je ne lui demandais plus la clé ! Pendant deux semaines au total, je me suis fait défoncé le cul tous les jours jusqu'au jour ou …

Il arrivait comme d'habitude, sa silhouette apparaissait dans l'ascenseur, il avait un sourire qui ne m'inspirait pas confiance. 

Joey : C'est bon, c'est terminé. Je ne te défoncerais pas le cul aujourd'hui !
Moi : … 

Je ne savais pas quoi dire, en fait on ne discutait pas, on ne discutait jamais, il arrivait, il me baisait et il repartait. C'est tout ! Là il baissait son pantalon et me montrait son dispositif de chasteté, sa période de relâche était terminée et comme tous les employés sur l'île il devait porter un dispositif de chasteté. 

J'admirais avec un certain regret ce truc, j'ai toujours trouvé ça très sexy sur les autres, et il était sexy je peux vous le garantir.

Joey : Tu n'auras plus ma quéquette mais je garde ta clé ! Tu vas voir petit branleur ce que ça fait que de se retrouver sous clé. Tu as le droit de rester libre, mais ça c'est pas normal !

Il repartait sans me laisser le temps de lui répondre. Il se moquait de moi le mec. J'étais furieux mais j'avais envie de lui et déjà il me manquait. C'était la première fois que j'éprouvais un truc pareil. Ma cervelle était en feu. 

Après son passage je descendais rejoindre mes camarades sur la plage. Là bas je gardais toujours un short de bain aussi personne ne remarquais que je portais une PK. Je trouvais toujours les corps nus avec un dispositif de chasteté terriblement sexy et ça me faisait bander. Au bout de deux semaines j'avais envie de me branler, de jouir d'une manière ou d'une autre mais avec ma queue et c'est à ce moment que Joey me laissait tomber, seul avec ma prison portable. Pendant toute cette période je n'avais pas dragué. 

Peu à peu j'avais recommencé à sortir faire la fête mais je rentrais toujours seul. Un soir, peu après que Joey m'ait laisser seul, la queue séquestrée dans cette prison en titane, nous étions tous les trois dans cette boite de nuit pour garçons ou nous avions pris nos habitudes. Je reconnaissais un mec au bar … C'était Billy le gars que Victor avait ramené à la maison le premier soir. Mon cœur battait soudainement très fort, je l'avais vu à poil et je savais comment il était foutu. Ma queue protestait dans sa cage, mon anus paniquait, le souffle me manquait. 

Je ne le lâchais pas, il finissait par le remarquer surtout qu'il m'avait reconnu. Mes camarades avaient disparu et tard dans la nuit c'est avec Billy que je rentrais à la maison.

Toujours cette lumière dans la maison, la lumière avait des teintes rouges et semblait danser, un peu comme une flamme, pas comme une lampe électrique. À chaque fois je me demandais ce que ça pouvait être.

Dans l'ascenseur Billy me prenait dans ses bras.

Billy : Je te préviens, je suis actif. Je te dis ça parce que j'ai vu que tu ne portais pas de dispositif de chasteté. Ton copain Victor lui il en portait un …
Moi : En ce moment je suis très passif moi aussi.

Il passait une main sur mon entre jambe.

Billy : Je vois …

Dans ma chambre, je lui sautais dessus, il en faisait de même. Ses vêtements se retrouvaient rapidement à l'autre bout de la chambre, les miens suivaient.

Billy : Tu as fini par devenir sage ?

Je ne répondais pas, je tombais à genoux devant lui et lui suçais la queue. Au repos elle faisait déjà près de vingt centimètres de long mais fort heureusement elle ne se développait pas en proportion. Elle ne gagnait que quelque centimètres en longueur, en largeur ça ne changeait pas vraiment mais elle devenait dure, très dure et se redressait presque à la verticale. C'était rassurant mais ça restait un gros morceau. 

Je m'attendais à le sentir me défoncer la bouche mais il me prenait la tête à deux mains avec douceur. C'était pas désagréable, j'avais un peu perdu l'habitude de la douceur. Il me tirait vers lui avec fermeté bien sûr mais il faisait attention à moi, à mes réactions, si je tentais de me dégager il ne me retenait pas ou alors seulement avec douceur, juste pour m'inciter, m'encourager. 

Au bout d'un long moment il se retirait, me relevait, me prenait dans ses bras et avec une immense tendresse m'enlaçait et m'embrassait. C'était bon. J'ai vraiment aimé. Je sentais ma queue qui se révoltait dans sa prison, je sentais la sienne qui se glissait entre mes cuisses. Il me soulevait et me déposait doucement sur mon lit.

Il m'embrassait tout le corps en me caressant, je lui rendais chacune de ses caresse, chacun de ses baisers. Ses lèvres se promenaient sur moi, elles étaient suivies par le bout de son nez, il me chatouillait délicatement avec le bout de son nez … Le front, le cou, les épaules, les tétons, son visage explorait tout mon corps. 

Il passait la langue sur ma cage de chasteté, je la sentais au travers des ouvertures d'aération. Il me suçait les couilles, puis sa langue continuait à la base de mon sexe, entre les cuisses. Son doigt avançait et je le sentais qui déjà préparait mon anus à recevoir plus gros. Je frémissait un peu de peur, Joey m'avait habitué à de la violence. Je frémissais aussi de désir, j'aimais de plus en plus sentir une grosse queue s'enfoncer entre mes reins. Et lui aussi en avait une grosse, lui aussi il pouvait faire mal.

Je lui suçait longuement la queue pendant tout ce temps en le tenant fermement contre moi mais je le laissais partir au moment ou il se relevais. Il me faisait signe de m'allonger sur le ventre, j’obtempérais, il écartait mes jambes, glissait un puis deux doigts entre mes fesses. Il me lubrifiait longuement le cul, y glissait un doigt, avec douceur.  Puis il y glissait deux doigts, toujours avec douceur … Il s’allongeait alors sur moi, je sentais son énorme queue qui faisait pression contre mon anus. Il poussait, je gémissait, il poussait plus fort, je me détendais et je le sentais s'enfoncer lentement, doucement mais avec fermeté. Je gémissais, j'avais un peu mal mais à peine, c'était surtout un grand plaisir, un plaisir intense quand son bassin s'écrasait sur mes fesses.

Il me serrait alors dans ses bras, me couvrait de caresses et de baisers, rapidement ce n'était plus qu'un plaisir qui me submergeait. Il se retirait, revenait et commençait alors ce mouvement lent et fort, il entrait, il sortait … Je gémissais de plaisir …

J'ai pleuré, un moment j'ai pleuré, il ne bougeait plus quand il l'a vu. Je tournais la tête et l'embrassais, ce n'était que l'émotion. J'étais comblé, je me sentais bien, tellement bien. C'était mieux, tellement mieux qu'avec Joey. Je ne sais pas s'il avait donné autant de plaisir à Victor quelques semaines plus tôt mais il m'en donnait. Je frémissais, je tremblai, je retenais ses bras contre moi, il accélérait le mouvement.

Nous avions bougé, j'étais allongé sur le côté, lui aussi bien serré contre moi, sa queue sortait et rentrait dans mon cul de plus en plus vite. Il l'a senti au moment ou j'ai joui, je n'ai pas éjaculé mais j'ai joui. Il s'est alors laissé aller, c'était imperceptiblement qu'il se laissait aller. Il m'avait donné du plaisir, il allait maintenant prendre le sien. 

Son souffle accélérait, ses caresses devenaient moins ordonnées, les mouvement de son bassin devenaient un peu plus rapides, un peu plus violents, c'était toujours aussi bon. 

Un coup de bassin plus violent, incontrôlé. Un gémissement qui se transformait en un cri dans mon oreille, il jouissait dans mon cul. Un gémissement de ma part répondait à son cri, quelques convulsions de ma part répondait à ses mouvements désormais plus désordonnés puis nos muscles se relâchaient en même temps. 

Il ne bougeait plus, son souffle redevait plus calme. Il se retirait, un long filet de sperme coulait de ma cage de chasteté. Je me sentais tellement bien, j'avais de nouveau un sanglot, une larme de joie qui coulait de mon œil.

On passait sous la douche, il faisait chaud, on était chauds et on était en sueur. Une heure s'était passée, j'étais heureux comme rarement auparavant. On s'allongeait sur mon lit et rapidement on s'endormait.

Le lendemain matin vers dix heures … 

Réveil au clairon !

On sursautait sur mon lit. 

Billy : Il est encore là celui là ?
Moi : Bein oui … Toujours, il nous fait le coup de temps en temps !

Billy se levait, me tirait par le bras, m'enlaçait, m'embrassait et me tirait sur le balcon, je me sentais tellement bien que je ne résistais pas … J'étais à poil !

Dave faisait les trois chambre l'une après l'autre. Je passais toujours en premier car j'habitais sur le côté. Ensuite au centre c'est Victor qui y avait droit, il sortait lui aussi de sa chambre suivi par un mec assez mignon de sa taille mais qui ne portait pas de dispositif de chasteté, en dernier venait Théo, suivi lui aussi par un petit gars, tout mignon qui portait bien sûr un dispositif en titane comme le mien !

Et c'est là que je réagissait … C'est là que je me souvenais que je portais un dispositif de chasteté en titane ( un modèle classique quoi ), que mes camarades ne le savaient pas et … 

Ils avaient tous le regard rivet sur mon dispositif !



PHILIPPE
EP 21 : LA VENGENCE DE THEO



Dave faisait comme une inspection, il avait l'air perplexe.  

Dave : Tiens on t'a déjà vu ici toi ! ( A l'intention de Billy )

Des yeux il parcourait le corps de Billy du haut vers le bas, il faisait une pause quand il arrivait au niveau de son sexe …

Dave : C'est bien ça, c'est très bien, je me souviens maintenant … 

Il s'arrêtait devant moi, regardait mon dispositif, je ne savais plus quoi faire.

Dave : Bon ça c'est nouveau et un peu inattendu … Bon je ne ferai pas de commentaires ! Bon allez on ne traîne pas, échauffement, on me suit …

Billy rigolait, et suivait le mouvement, il connaissait, il avait déjà participé la fois ou il avait passé la nuit avec Victor. Ça ne le dérangeait pas de faire un peu d’exercice, et ça se devinait à son physique. Il suivait Dave en rigolant …

Tout le monde enchaînait et comme tous les matins on était parti pour un petit footing dans le parc privé, on était tous à poil … 

Dave : Au fait Philippe tu pourrais me dire ce qui t'arrive ? C'est vrai j'avais dit pas de commentaires.
Dave : Mais Philippe tu est tombé sur la tête après toute la comédie que tu nous a fait au sujet de … C'est vrai j'avais dis pas de commentaires !
… 
Dave : Rassure moi Philippe tu vas bien ? C'est vrai pas de commentaire !
Dave : Tu ne te drogues pas Philippe ? Parce que là tu m'inquiètes ! Oui pas de commentaires je sais.

Bon il en rajoutait, il se moquait un peu de moi ! Il rigolait !

Dave : Il y a des fois ou je me dis que … Il y en a qui ne vont pas bien … Bon c'est vrai, j'avais dit pas de commentaire !

A chacun de ses commentaires, c'est vrai il avait dit pas de commentaires,  tous mes camarades se retournaient vers moi en rigolant.

Théo : Mais qu'est-ce-qui t'a pris ? Tu nous bassines depuis toujours '' Ça moi Jamais … JA – MÉ ! … '' !
Victor : Quelqu'un te fait chanter ?
Billy : Moi j'ai rien fait, c'est pas moi, mais j'aime bien !

Les autres ne me connaissaient pas et n'osaient pas en rajouter. L'entraînement terminé Dave nous laissait en rigolant. 

Dave : Moi qui ai toujours pensé que tu étais un branleur mon petit Philippe …

Peu après c'est Alex qui arrivait pour nous apporter le petit déjeuner, il marquait une pause, totalement immobile quand il m'a vu.

Alex : Bein voilà autre chose ! … C'était pas des conneries finalement ! Tu es sûr que tu vas bien Philippe, tu veux en parler, tu n'as pas perdu la clé j'espère …
Moi : Et si j'avais perdu la clé ?
Alex : Le dispositif que tu as choisi est très sécurisé, pour le retirer sans la clé et en toutes sécurité il faut un appareil spécial qu'on n'a pas ici, et je pense même pas sur cette île donc …
Moi : Et merde !
Alex : ( En terminant de mettre la table ) Donc tu as perdu la clé !
Moi : Mouai, mouon, bé, bon … Pfff !

Oui je sais, quelquefois je suis éloquent. 

On descendait sur la plage, et pour une fois je ne mettais pas de maillot de bain, comme Victor. Maintenant j'avais le droit. Nos camarades de la nuit nous laissaient un peu plus tard. On ne remontait pas avant l'heure du repas. Ensuite mes camarades Théo et Victor repartaient, je restais comme je le faisais depuis quelques temps. Alex venait me voir.

Alex : Tu vas bien Philippe ?
Moi : Oui ça va, c'est rien, c'est …
Alex : Tu veux bien me raconter ?
Moi : Oui, mais non. Il n'y a rien à raconter …
Alex : Joey ?

Je regardais. J'hésitais puis finalement lui racontais toutes l'histoire, toute la relation que j'avais eu avec Joey.

Alex : Bien, je te donne mon avis. Joey n'est pas quelqu'un de très sérieux, je ne lui fais pas vraiment confiance. Il a fini sa mission ici, et s'il ne te remet pas la clé tu devras rester comme ça jusqu'à la fin des vacances, encore un bon moi. A la maison on te retirera ce truc en quelques seconde mais ici je ne pense pas qu'il y ait le matériel pour le faire !

Par la suite j'ai bien tenté de retrouver Joey. Quand je passais voir à sa capsule, il n'était pas là. J'ai réussi à le revoir là ou il travaillait sur les dock mais il n'avait pas la clé sur lui … Une autre fois il m'a dit que je n'avais qu'à être patient, qu'il l'avait perdue !

J'ai compris qu'il se moquait de moi. Un moment je n'insistais plus il ne me restait plus qu'à garder ce truc pendant encore quatre semaines, nous n'étions qu'au début du deuxième mois ! Je vous garantis que jamais, plus jamais !

Même pas pour rigoler !

Et puis d'abord c'est pas drôle !

Bon c'est pas parce que j'étais sous clé que je devais me faire du mouron et gâcher tout le reste de mon séjour. Je recommençais à sortir et à m'amuser, le partenaire que je recherchais était un peu différent de celui que je recherchais au début de mon séjour ! Désormais il devrait être actif et bien monté !

Et toujours cette lumière sur une des fenêtre Est de la maison, quand nous rentrions le soir, il y avait toujours cette lumière. Un jour Théo n'en pouvant plus me demandait de téléphoner à mon grand père pour en savoir plus. Je lui passait le téléphone, et les laissais se débrouiller tous les deux. Mon grand père l’exhortait seulement à ne pas chercher à en savoir davantage. Il nous confirmais également que nous ne pouvions plus aller dans le quartier ou Victor avait vu son fantôme, la destination avait été retirée du menu de l'ascenseur, pourtant elle était de nouveau disponible.

On en parlait, on ne parlait plus que de ça autour de la piscine.

… Moi je te dis qu'il y a quelqu'un dans cette maison !
… C'est un fantôme je vous dis !
… Mais non il n'y a pas de fantôme !
… Alors c'est quoi cette lumière ?
… Et pourquoi brusquement le quartier ou Victor a vu le fantôme nous est à nouveau accessible ? On ne devrait pas pouvoir y aller !


Il faut reconnaître que là c'était vrai, normalement ce quartier devait nous être interdit. Nous n'avions pas d'invité ce soir là. Victor venait me retrouver dans ma chambre pour discuter. 

Victor : Moi je suis sûr qu'il y a un fantôme dans cette maison. Et puis ton grand père nous l'a confirmé, tu ne peux pas dire le contraire.
Moi : Mais c'est des conneries, il s'amusait, il voulait juste vous faire peur. Cette maison n'est pas hantée, elle a été dessinée par mon oncle Luc. Et il faut dire que Luc est un peu fou-fou dès qu'il s'agit de faire un plan ou une décoration …
Victor : Je sais que tu dis ça pour me rassurer …

On frappait tout doucement à la porte, Victor hurlait !

La porte s'ouvrait doucement …

Théo : Tout va bien, je viens d'entendre crier quand j'ai frappé ?
Moi : Entre Théo, tout va bien, C'est Victor qui a peur du noir !

Théo entrait.

Théo : Vous parlez de quoi ? Vous êtes sages au moins tous les deux ? ( il rigolait ). Enfin vous êtes bien obligés … Éh, éh, éh !


Théo : Fais voir ton truc Philippe.

Agacé, je retirais le peu de vêtement que j'avais sur le moi, un short c'est rapide à retirer. 

Théo : J'aurais jamais cru que je verrais ça un jour. 

Il s'approchait de moi et venait s'asseoir juste à côté de moi.

Théo : Mais c'est que tu es sexy comme ça mon petit Philippe …

Victor rigolait à l'entendre, il venait lui aussi s'asseoir à côté de moi et me caressait le torse sans faire plus de manière. La main glissait rapidement sur le côté de mon torse, une caresse douce, instantanément ma queue protestait dans sa cage. A ma grande surprise ce n'était pas douloureux, désagréable parce que je devinais que je ne pourrais pas faire de ce que je voudrais ce soir encore. 

Théo : Je me souviens, il n'y a pas si longtemps on se retrouvait dans la situation inverse …
Moi : Moi aussi je me souviens, j'ai bien aimé !
Théo : Pauv con ! Tu m'as fait mal ce jour là …
Moi : Tu es râleur tout de même !

En quelques gestes il retirait tous ses vêtements, il bandait et je devinais ou il voulait en venir. Il attrapait mes jambes, me tirait vers lui, posait mes chevilles sur ses épaules, il était en position.

Moi je gardais le sourire, je ne râlais pas moi ! Je ne suis pas comme lui qui râle quand il va se faire enculer. Je gardais le sourire, il s'appuyait sur moi repliant mes jambes contre mon torse. Il n'est pas lourd mais je sentais son poids sur mes jambes. 

Victor venait s'installer au dessus de moi,juste au dessus de ma tête, je voyais son visage se pencher sur moi, il m'embrassait et me caressait les bras et les épaules, je lui rendais ses caresses. Théo nous regardait et je sentais une pression contre mon anus. Ma queue protestait dans sa cage, c'était rapidement désagréable mais en aucun cas douloureux. Un peu tout de même mais uniquement au niveau de mon cul. 

C'est qu'il se vengeait le petit Théo, il poussait fort. Je sentais mon anus se dilater, je poussais un cri au moment ou sa queue s'enfonçait. Il n'en tenait pas compte, il continuait à pousser et rapidement son ventre s'écrasait contre mes fesses. Il se vengeait, ça ne faisait aucun doute, il se vengeait, il me faisait mal, très mal. Je gémissais de douleur, Victor s'était penché sur moi et m'embrassait, je ne lui rendais pas vraiment ses baisers, j'avais mal … 

J'avais vraiment mal, je gardais la bouche ouverte et intérieurement je hurlais de douleur mais pratiquement aucun bruit ne sortait de ma bouche. Victor aidait Théo à maintenir mes jambes, je ne pouvais plus bouger. Je voulais me dégager mais c'était impossible. Victor avait posé ses genoux sur mes coudes, et me coinçait totalement. C'était pas confortable, ses couilles me caressait le front et sa cage de chasteté tapait sur mon nez à chaque mouvement. Je voulais me dégager mais je ne pouvais pas bouger.

J'avais du mal à respirer, je voulais hurler mais aucun son ne sortait de ma bouche. Théo s'était retiré et sans attendre il enfonçait de nouveau sa queue bien à fond dans mon cul. Il ne se retenait pas, il me faisait mal mais il s'en moquait. Victor aussi semblait s'en moquer. C'est sans attendre qu'il passait à la vitesse supérieure. Il me limait le cul avec force, violence même, je sanglotais, je gémissais, la douleur montait et devenait insupportable mais je ne pouvais rien faire, je n'arrivait même pas à crier. J'aurais cru qu'après Joey je pourrais un peu mieux encaisser mais il y a des jours je suppose.

Le ventre de Théo frappait avec régularité contre mes fesses et claquait avec force. J'avais le souffle coupé. Victor m'avait libéré les bras, il était allongé sur moi, j'avais la tête au niveau de son nombril, je le serrais dans mes bras, il m'embrassait le ventre. Je respirais fort, je gémissais fort, je pleurais presque. Au fond de mon ventre c'était la panique, il y avait une sensation de plaisir qui montait mais je n'appréciais par vraiment, il y avait mis trop de violence. Il y avait aussi cette douleur, elle ne passait pas, il faut dire que Théo ne se calmais pas.

Quand il se retirait c'était pour revenir avec encore plus de force. Il se vengeait !

Je n'ai pas vraiment senti quand il à joui dans mon cul mais je l'ai entendu. Il hurlait de plaisir, il en rajoutais c'est sûr, puis il ne bougeait plus. Victor se relevait, je regardais Théo, il avait l'air content de lui, il me regardais avec un grand sourire satisfait. 

A ce moment je ne sentais plus aucune pression dans ma cage de chasteté, j'avais juté et je ne m'en étais même pas rendu compte, j'avais juté sans rien ressentir mais au niveau de mon cul, là j'avais senti quelques chose, je vous le garanti. Je m'étais pris des bites plus grosse dans le cul mais il y étaient allé doucement, enfin à part Joey peut être … Là, Théo,  il m'avait fait mal … Et quand il s'est retiré je me sentais tout de suite beaucoup mieux. 

Victor se retournait vers Théo pour lui faire un câlin et peut être aussi parce qu'il avait chaud au cul lui aussi. Enfin moi je n'avais plus chaud au cul, j'avais mal au cul et j'avais aussi envie de me plaindre mais bon, sur ce dernier point je me retenais. 

Je regardais Victor qui faisait un câlin à Théo. Mais à voir comment Théo débandait je me disait que Victor resterait sur sa faim ce soir. Finalement Théo est moins bien membré que quelques uns de mes partenaires récents mais c'est lui qui m'a fait le plus mal. Il y est allé comme une brute. Il faut y aller avec douceur, virilité mais douceur. 

Je restait là sans bouger, je récupérais. En face de moi mes camarades s'étaient installés sur un fauteuil, un seul, il se faisait un câlin. Victor avait l'air d'en vouloir, son dispositif de chasteté se relevait et je devinais qu'il y avait de la pression là dedans, de mon côté tout était calme, j'avais une grosse molle qui remplissait bien la cage mais c'est tout. Théo avait l'air satisfait de lui.

Théo : Alors Philippe, tu as aimé ?
Moi : Pauv con !

Il éclatait de rire !



PHILIPPE
EP 22 : PHILIPPE DECOUCHE 



Dans nos esprits le calme revenait, sauf peut être pour Victor. Il gardait une grosse tension dans sa cage de chasteté. Ça l'avait excité de voir Théo m'enculer. Moi ça m'avait calmé et je somnolais un peu en écoutant mes camarades.

Victor : Je te dis que j'ai pas rêvé l'autre jour, j'ai vu un fantôme traverser un mur.
Théo : Tu as rêvé, et les histoires du grand père de Philippe t'ont fait imaginer le reste …
Moi : ( je sursautais ) Mon grand père ?
Victor : Non je te jure, je m'en souviens clairement.
Théo : Et ça s'est passé ou ? Tu t'en souviens au moins ?
Victor : Je me souviens parfaitement. Je sortais de l'ascenseur, ça s'est passé au bout du couloir à droite. Il portait un plateau, il arrivait de gauche, il a fait une  pause puis il a avancé et a disparu … Mais quand je suis allé voir il y avait bien un couloir à gauche mais à droite, là ou je l'ai vu disparaître il y avait un mur !

Plus personne ne parlait …

Moi : ( je sursautais ) Mon grand père ?
Théo : Allons bon il se réveille lui !

Cette discussion avait réveillée une certaine inquiétude dans l'esprit de Victor et ça se voyait.

Théo : Bon, on va aller voir ou tu l'as vu ton fantôme !
Victor : Non moi j'y vais pas, j'ai la trouille !
Moi : Fantôme ? Ou ça un fantôme ?
Théo : Mais rendors toi , tout va bien. On va à la chasse au fantôme.
Victor : Non moi j'y vais pas !
Moi : Chasse au fantôme ! Ça c'est une idée, ça va nous réveiller … Aller c'est parti !

Victor faisait la gueule, il se levait à contre cœur. Il n'avait pas envie d'y aller mais comme on était bien décidé il se sentait obligé de nous suivre.

Ce quartier de la maison était tout à fait normal, à l'image du reste de la maison. Il n'y avait pas une trace de poussière, l'équipe des nettoyeurs était passé par là. Au bout du couloir il y avait bien un autre couloir à gauche et une fenêtre …

Victor : Oui mais maintenant il y a une fenêtre ! Il n'y avait pas de fenêtre l'autre jour … On s'en va j'ai peur !
Théo : Ce n'était peut être pas à cet endroit ?
Victor : Ne restons pas là les gars, là j'ai la trouille !

On reprenait l'ascenseur mais on ne rentrait pas. Victor voulait retourner à la chambre mais on n'en faisait rien. Un autre couloir, puis encore un autre … A la fin on ne savait plus ou on était. On sortait de l'ascenseur et on entendait une voix humaine. 

Théo : Bon là c'est bien une voix humaine, c'est pas un fantôme donc !

Victor était tétanisé, il ne voulait pas sortir de la cabine d'ascenseur. On le sortait de force, il n'y avait plus aucun bruit. Au bout du couloir il y avait une fenêtre, on s'en rapprochait et à l'extérieur on pouvait voir une sorte de petit  jardin en terrasse avec des plantes et au loin on voyait ce Manhattan, d'immeubles et de tours au centre de l'île. 

Les plantes de cette petites terrasse étaient éclairées d'une lumière rouge dont nous ne pouvions pas voir la source. Victor était tout pâle et voulait rentrer on finissait par remonter dans l'ascenseur et on rentrait dans la chambre.

Il n'était pas tard, on s'habillait donc pour sortir.

Je m'étais résigner à garder mon dispositif de chasteté jusqu'à la fin de mes vacances mais ce soir là j'étais pris d'une violente envie de tirer mon coup. Il fallait que je me libère ! Sans rien dire à mes camarades je décidais de retourner voir Joey. J'étais décidé à exiger de lui qu'il me donne mes clés, ça me semblait facile et logique. J'arrivais, je l'engueulais, il me donnais la clé, je revenais et on n'en parlait plus.

Je suivais mes camarades pendant un long moment dans la soirée puis pendant qu'ils étaient tous les deux occupés à se trouver un partenaire pour la nuit je prenait la direction du quartier des ouvrier, l'île du nord. Je ne sais pas si le gardien m'a vu passé, reconnu ou seulement repéré mais je suis monté sur une navette sans que personne ne me pause la moindre question. Comme il y avait en permanence du personnel en service, il y avait aussi un mouvement permanent de navettes, c'était mieux, comme ça je pourrais rentrer quand je le déciderais.

Je retrouvais rapidement l'habitation de Joey, il n'était pas là. Un voisin me disais d'aller voir sur la côte, plus loin vers les rochers. Il y avait une maison, un ancien entrepôts ou on déchargeait l'approvisionnement il y a bien longtemps. 

Il était là, derrière le bâtiment avec d'autres hommes. Ils étaient torse nue autour d'un feu, bien dissimulés pour ne pas être vu depuis la mer. Ils parlaient fort, il y avait des bouteilles d'alcool à côté d'eux. C'est interdit ça pourtant. 

J'approchais.

Moi : Salut Joey, il faut que je te parle.
Joey : Tiens te voilà toi. Tu es venu te faire éclater la rondelle, ça tombe bien je suis libre pour deux jours.
Moi : Non ! JOEY IL FAUT QUE JE TE … 
Joey : La ferme, tu te crois ou là ? Ici C'est pas toi qui commande !

Sa voix était très autoritaire, il parlait fort, il était ivre.

Joey : Viens ici toi. Assis, là !
Moi : Joey …
Joey : Tu me fatigues, ouai, JOEY c'est moi. Dans toute sa splendeur ! Je suis beau, c'est pour ça que tu es venu ?
Moi : … 

Il m'attrapait par le cou et me tirait vers lui. 

Joey : Tu vas trinquer avec nous !

Il me donnait un ver en me disant sur un ton ferme … '' Bois ! '' …

J'hésitais puis, un peu intimidé, je buvais d'un trait. C'était une horreur, du feu dans ma bouche. Il m'en servait un deuxième et me le proposait. Je refusais mais Joey insistait. Il me posait fermement sa main sur ma nuque … '' Bois je te dis ! Tu ne vas pas refuser de boire à ma santé ''.

Il empestait l'alcool. Je buvais, je toussais, je crachais.

Peux après je me retrouvais allongé sur le dos, je rigolais, j'avais le vertige, la tête me tournait mais c'était cool. Je remarquais que seuls deux de ses copains étaient restés, les autres avaient disparu. J'en redemandais. 

Ils continuaient à rigoler et à picoler. Joey m'attrapait les couilles, me les serrait fort en me faisant gueuler de douleur. Ses copains rigolaient. 

Joey : Enlève ton pantalon et  montre à mes potes que le petit chef est tout aussi ridicule que nous.

Je retirais mon T-shirt et me retrouvais torse nue. Ils rigolaient !  

… C'est bien. Maintenant enlève ton T-shirt …

Je retirais mon pantalon en ricanant ( je suppose bêtement ) je me retrouvais nu devant Joey et ses deux potes. Un d'entre eux retirait son pantalon et commençait à se masturber.

Moi : Oué mais tu n'as pas de … ?

D'un bras Joey me poussait fermement vers son pote qui m'attrapait  la tête et sans plus de formalité m'obligeait à le sucer. Au début je résistais un peu mais la tête me tournait un peu et je finissais par le laisser faire. Il appuyait sur ma tête sans aucun ménagement, il relevait le bassin. Je l'entendais commenter, je ne comprenais pas ce qu'il disait mais il rigolait. 

Une main me caressais les fesses, sans aucune douceur le mec glissait ses doigt entre mes fesses. Je le sentais me lubrifier le cul y introduire un puis deux ou trois doigt, je ne sais pas, je ne sais plus mais ce que je sais c'est qu'il me faisait mal. Je râlais.

J'entendais la voix de Joey, elle venait de loin, il s'était éloigné, il disait qu'il ramenait de la gnôle. Mais c'est que je veux y goûter moi à la gnôle, je relevais la main et essayais de réclamer.

J'entendais les deux autres rigoler … '' Il a l'air d'aimer ça le gnome, Joey avait raison ''. Le second m'enfonçait sa queue dans le cul et me rassurant '' Ne t'inquiète pas bonhomme, on va te donner à boire, surtout que tu as l'air d'aimer ça ''. Puis sans plus attendre il me limait le cul. 

Il me faisait mal et par réflexe je tentais de me dégager mais ils me retenaient avec force. Derrière moi, le mec frappait son ventre contre mes fesses. Il me faisait vraiment mal mais je ne pouvais plus bouger, plus parler, plus me dégager. Je suçais, si je résistais une main m'appuyait sur la tête me forçant à avaler la queue. 

Joey revenait.

Joey : Alors les mecs ça se passe bien ?
Un des gars : Super, c'est une perle que tu nous a trouvé là !

L'autre rigolait : '' Une perle … Comment tu dis ça toi ? Une grosse pute comme j'en ai pas vu souvent ''.

Joey : J'ai ramené de la gnôle. Qui en veut ?

Je tentais de lever la main comme je pouvais pour réclamer.  Ça les faisait rire. Je relevais la tête et on me faisait boire directement au boulot. 

Finalement seuls les premières gorgées son un peu difficiles à avaler, les suivantes … Ça coule tout seul. Je crois que à ce moment j'étais à moitié saoul. Mais bon j'en voulais encore …

je recommençais à sucer mon lascar, mais cette fois-ci, il n'avait pas besoin de me forcer, j'y allais de bon cœur. Je gueulais toujours à cause de l'autre qui me défonçais le cul, c'est qu'il me faisait mal mais j'en redemandais, je ne relevais la tête que pour gueuler '' A boire, encore j'ai soif '' ou '' Tu me fais mal toi mais vas y défonce moi le cul '' …

Sans prévenir le mec me jutais dans la bouche, je tentais de me retirer mais il me retenait. Il me forçais à avaler, aussitôt après j'avalais une gorgée de gnôle puis … finalement ils étaient obligés de m'arracher la bouteille des mains.

Pendant que son pote continuait à me défoncer le cul, Joey prenait la place devant moi et m'enfonçait sa queue dans la bouche. Je ne résistais pas et là encore j'en redemandais. 

Avec des coups violents et bruyants son pote jouissait dans mon cul et Joey prenait la place avec sa douceur habituelle. J'ai hurlé dès son premier coup de butoir. Il est monté comme un âne Joey et c'est une vraie brute. C'est ce qui me fait peur chez lui, c'est aussi ce qui m'attire chez lui. 

Je me souviens qu'à plusieurs reprises je lui faisais signe d'arrêter pour avaler une gorgée de gnôle. 

Je ne me souviens plus vraiment comment ça s'est terminé cette histoire. Je sais seulement que je me suis effondré à côté du feu. Plus tard dans la nuit je me suis réveillé dans la cabane à Joey, on appelle ça des capsules. C'est pas très grand mais il y a largement la place pour dormir. J'étais toujours à poil, enroulé dans une couverture, mes vêtements en paquet à côté de moi et quelques bouteilles de cette gnôle juste devant le nez.

J'en attrapais une, il en restait, je la vidais. Je m'effondrais aussitôt. 

Un peu plus tard je me réveillais de nouveau, j'avais mal à la tête, mal au cul, j'avais la nausée. Rien n'avait bougé par rapport à mon premier réveil peu avant. J'avais soif, j'attrapais la bouteille d'eau qui était là juste devant moi et j'en avalais une grande rasade … Pas de bol c'était pas de l'eau !

Je m'effondrais de nouveau. 

Un peu plus tard, un mec entrait dans la capsule, je ne sais pas qui c'était, il se penchait vers moi. Je glissais ma main et remarquais qu'il ne portait pas de dispositif de chasteté. Javais brusquement une violente envie de sexe. Je sentais ma queue qui protestait contre les barreaux de ma cage, je glissais ma main dans son short et le tirais vers moi. Il ne résistais pas, baissait son short et s'accroupissait à côté de moi.

Je relevais la tête, je n'ouvrais pas les yeux, ma tête tournait et j'avais peur de vomir si j'ouvrais les yeux. Je le suçais goulûment. Ça ne durait pas longtemps, il m'a juté dans la bouche au bout de quelques instants seulement. Je m'effondrais de nouveau.

Je me disais bien que demain j'aurais la gueule de bois mais je m'en foutais. Je ne me sentais pas vraiment bien, je sais que j'ai vomi à plusieurs reprise. 

Je me souviens aussi qu'à un moment un mec, deux peut être sont entrés dans la capsule, il y avait peut être Joey, je ne sais pas … Ils m'ont enculé proprement et m'ont remué un peu comme dans une machine à laver. C'était l'horreur, je me souviens, enfin plus ou moins, j'ai gueulé, je les ai insulté, j'en voulais encore, je les ai traité de p'tites bite, d'impuissants, de couilles molles … Ils m'ont enculé, ça m'a calmé. J'avais vidé la bouteilles d'eau à côté de moi.

Le soleil n'était pas encore levé, Joey est venu, il m'a donné un sandwich et du soda. J'ai avalé la bouteille de soda, je mangé le sandwich, j'avais une faim de loup et j'ai tout vomi …

Il m'a aussi donné une autre bouteille d'eau mais celle là se buvait plus facilement, je crois que là c'était bien de l'eau, pour les autres bouteilles avant, j'ai des doutes …

La nuit avait été terrible, mais le lendemain, en fin de nuit, je ne lâchais pas Joey. J'étais venu pour quelques chose de précis, je m'y tenais. Je gueulais, je le menaçais, je l'insultais, je crois que je n'ai jamais été dans un tel état ni avant ni depuis. Bref avant le lever du soleil il ne pouvait plus me supporter. 

Joey : Tu l'as veux ta clé, viens voir par là, je vais te montrer ce que j'en fais de ta clé !

Je le suivais en gueulant et toujours en l'insultant. Il avançait sur les rocher, les premiers rayons de soleil allaient se montrer, le ciel prenait des couleurs flamboyantes, j'avais mal aux yeux.

Joey sautait sur les rocher de plus en plus loin de la côte et me gueulait '' Regarde ce que j'en fait de ta clé ! ''. Il la jetais alors dans la mer de toutes ses forces, le plus loin possible.

Ma colère redoublait, je l'insultais, je le menaçais, je chialais.

Il revenait vers moi en rigolant.

Joey : Tu peux dire ce que tu veux, pauv-con, et tu vas faire quoi maintenant ?

Je lui sautais dessus et frappait de toutes mes forces avec mes petits bras. Ouai je dis petits bras parce que, au niveau bagarre c'est pas vraiment mon fort. Il me saisissait les poignets pour essayer de me calmer mais je lui donnais des coups de pieds. 

Exaspéré il me balançait une violente gifle. Je lâchais tout et je tombais sur le sol. Je ne suis plus très sûr de rien mais je crois qu'à ce moment j'ai encore un peu vomi … 

En tout cas c'est à ce moment que j'ai entendu une voix connue qui hurlait mon nom. C'était Alex. Je me relevais et courais me réfugier dans ses bras. 

Alex : Mais tu fais quoi là Philippe ? 
Moi : J'ai un peu  picolé, mais il y avait aussi de l'eau.
Alex : De l'eau de vie oui, tu as vu dans quel état tu es ?
Moi : Bein oui, beuh non. Mais bon … Rien …
Alex : Tu n'est même pas dessaoulé, tu t'es vomi dessus, tu es dans un état lamentable, sale et tu à une tête de mort vivant !

Il jetais un œil vers Joey qui était livide ( pourtant il est métissé et habituellement d'un teint très mat ). 

Alex : Mais enfin Philippe, c'est pas sérieux. Tu te rends compte que toute la sécurité de l'île est à ta recherche. Dans la nuit j'ai encore eu ton grand père au téléphone il y a à peine plus d'une heure, il ne sait pas comment il pourra cacher cette affaire à ton père. Il m'a dit qu'il venait sans délais.
Moi : Il n'y a pas de train dans la matinée, et puis je vois pas ou est le problème, j'ai découché une nuit et tout de suite on alerte la sécurité. Et pourquoi pas l'armée ?

Là Alex me remuait un peu pour tenter de me remette les idées en place.

Alex : Mais enfin Philippe tu n'as pas découché une nuit, tu as disparu depuis avant hier. Ça fait deux jours, on te cherche partout depuis deux jours !



PHILIPPE
EP 23 : GUEULE DE BOIS


Alex ne se privait pas de m'engueuler, il ne regardait même pas Joey, pas un regard.  

Alex : Bon je te ramène à la maison, je crois que ton grand père ne va pas être content du tout !
Moi : On ne le verra pas avant cet après midi !
Alex : Et pourquoi ça ? Je l'ai eu au téléphone il n'y a pas deux heures, il m'a dit qu'il arrivait !
Moi : Le train n'arrive qu'en début d'après midi.

Je voulais me redresser mais je tombais en avant, Alex me retenait. Il me soulevait et me portait presque jusqu'au bateau, c'était une petite vedette de la sécurité elle était très rapide, le pilote nous attendait et démarrait dès que j'avais le pied sur le bateau.

Finalement j'ai fait le retour la tête penchée par dessus bord, j'étais malade pendant tout le trajet. 

Alex : Ton grand père va tenter d'étouffer l'affaire, dans l'espoir que ton père n'en entende pas parler, sinon …
Moi : Rhaaa , Rheuuu, heuh, heuh !

Je m'excuse auprès du lecteur mais je vous jure que je ne pouvais pas faire mieux à ce moment précis, j'étais malade et en plus Alex ne semblait pas vraiment compatissant. 

Alex : Si jamais ton père à vent de cette histoire … Tu es mal mon petit père !

J'entendais bien ce qu'il me disait mais … Je n'arrivais même plus à relever la tête … Et en plus on allait vite, j'étais secoué, j'étais malade … Pfff !

On arrivait tout en bas de la falaise, il y a une porte d'ascenseur. En descendant du bateau j'allais tomber mais Alex me retenait. Je l'aime bien moi Alex … 

Alex : Tu n'as même pas dessaoulé depuis deux jours je paris !

Un hélicoptère survolait la falaise et se posait sur le toit de la maison.

Alex me soutenait dans l'ascenseur, me montait dans ma chambre, me jetait sur le lit.

Alex : Bon maintenant tu vas faire un effort, tu te déshabilles, tu prends une douche et tu essayes de te rendre présentable. Ton grand père vient d'arriver, il faut que j'aille l'accueillir. 
Moi : Mais non ! Tu dis n'importe quoi ! Le train n'arrive qu'en début d'après midi …

Je me laissais tomber sur mon lit, je roulais, tombais du lit et me retrouvais allongé sur le ventre le visage sur le sol …

Moi : Oups, chuis tombé par terre moi … Aïe … M'ai fait mal au nez moi !

Alex sortait de ma chambre quelques instants plus tard ce sont mes camarades qui arrivait à mon chevet.

Victor : Mais qu'est ce qui t'arrive tu saigne du nez ?
Moi : M'ai fait mal . Bobo ! Poum tombé du lit !
Théo : Mais il est dans un état !
Victor : Bon on le passe sous la douche. Ils me retiraient mes vêtements et pendant qu'un des deux me tenait l'autre m'arrosait.

Je ne les laissais pas faire, je gueulais, je m'agitais. On se retrouvait rapidement tous complètement trempés, et couverts de sang. Je ne m'étais pas loupé en tombant du lit et m'était réellement cassé le nez. Un peu paniqué Victor allait donner l'alerte, le coach Dave arrivait, il me prodiguait les premiers soins et envoyait Victor pour demander un médecin. 

C'est donc trempé et couvert de sans qu'il arrivait devant Alex et mon Grand Père. Alex paniquait, décrochait le téléphone et demandait un médecin en urgence. Mon Grand Père paniquait et venait tout de suite avec Victor qui lui racontait la situation.

Moi je pleurait, je gémissait … '' Je vais mourir, ne me laissez pas tout seul. Tu sais Victor je t'aime beaucoup … ''

Théo : Moi c'est pas Victor, moi c'est Théo !
Moi : Et toi Alex tu sais que je t'aime vraiment beaucoup …
Dave : Et moi c'est Dave.
Moi : J'ai beaucoup aimé quand on a fait l'amour Alex, tu sais …
Mon grand père : Vraiment ? ( en regardant Alex qui venait d'arriver ) 
Moi : Victor, tu étais ou Victor ?
… 

Je ne me calmais pas, Alex préférait sortir, le médecin arrivait, Théo et Victor sortaient également. Le médecin finissait par me calmer et m'examiner. Un autre de ses collègues arrivait peu après. J'étais bien tombé sur le nez, il était cassé et ils n'étaient pas trop de deux pour me poser l'espèce de pansement, atèle je ne sais pas comment ça s'appelle ce truc. J'étais pas beau à voir. Je ne me sentais pas mieux mais je ne bougeais plus, ne disais plus rien, je me ratatinais sur moi même et finissais par m'endormir. 

Un peu plus tard …

Mon Grand Père : Bon qu'est ce qui lui est arrivé exactement à son nez ?
Alex : Il est tombé du lit !
GP : Sur le nez ?
Alex : Sur le nez !
GP : Dommage qui ne soit pas tombé sur la tête, elle aurait amorti le choc, et là il n'y avait rien à craindre … Il n'y a rien dedans !

Mes copains pouffaient de rire en entendant ça.

GP : Et pour cette relation dont il parlait … Ça remonte à quand ?

Là Alex se retrouvait mal à l'aise, il baissait la tête …

Alex : Quelques semaines Monsieur Brosso !
GP : Quelques semaines ! Bon, et bien alors ça va dans ce cas là. Si tu m'avais répondu '' Il y a quelques années … ''  je peux te garantir que tu aurais été mal mais si ça ne fait que quelque semaines, ça ne regarde que vous !
GP : Pour la peine tu vas le veiller et prendre soin de lui !

C'était là, la seule sanction que mon Grand Père à appliqué à Alex. Il est cool mon grand père tout de même. Il considère que tant que ce n'est qu'une histoire de cul, ce n'est pas bien grave ! Sur ce point il n'est pas comme mon père ! Il est vrai que techniquement Alex ne travaille pas pour lui mais pour mes oncles mais il est vrai aussi que si mon Grand Père prenait une décision, une sanction par exemple, mes oncles le suivraient !

Alex veillait sur moi, il s'assurait que je buvais suffisamment, un peu plus tard dans la matinée il me passait de nouveau sous la douche, la première fois le résultats n'était pas idéal. J'avais mal au cul, j'avais mal au nez, j'avais mal à la tête … Je ne vous parle pas du ventre, le vertige qui ne passait pas … Enfin, j'étais pas en forme. Alex me faisait manger à la petite cuiller à midi, j'étais complètement calmé, je faisais ce qu'on me disait.

Plus la journée avançait plus je bandais, mais c'était sans espoir, l'autre là, le pfff, il avait jeté la clé et je me trouvais condamné à garder mon dispositif jusqu'à mon retour … Je vous jure, c'est pas facile tous les jours !

Pendant ce temps mon grand père avait convié mes amis à table. Son passage n'était pas prévu mais il en profitait pour se renseigner sur ce que nous faisions.

GP : Donc ça se passe bien pour vous, à ce qu'on me dit !
Victor : Bein oui !
GP : On m'a dit aussi que vous vous étiez fait des amis …
Théo : Oh ça oui Monsieur Brosso !

Victor était devenu tout rouge !

Théo : Et pour Joey vous allez faire quoi ?
GP : Il prend le prochain train, il est viré !

… 

A la fin du repas mon Grand Père semblait réfléchir un moment, puis il appelait un valet, lui demandait de préparer des costumes pour chacun de mes deux camarades.

GP : Je n'avais pas prévu de passer ici et il faut que je reparte mais vous allez venir avec moi. Je vous rassure vous serez juste absent pendant une journée ou à peine plus. Nous partons dès que vous serez prêts. 
Théo : Et Philippe ?
GP : Dans l'état ou il est il ne survivrait pas là ou nous allons !

Alex prenait soin de moi, je ne savais même pas que mes camarades étaient partis. On ne me dit jamais rien à moi ! Mais j'avais Alex pour moi tout seul, j'en profitais, je faisais  un caprice. Il s'en rendait compte Alex mais c'est vrai qu'il m'aime bien lui aussi et il est adorable.

Alex : Tu veux encore quelque chose Philippe ?
Moi : Câlin !
Alex : ( Avec le sourire ) Ça ne t'a pas suffi la nuit dernière, pardon je voulais dire … Hier et les deux dernières nuits ?
Moi : C'étaient des brutes, pas comme toi. 
Alex : Tu sais mon petit Philippe, j'aurais bien aimé te faire une petite gâterie, mais par distraction il semblerait que tu ais perdu la clé.
Moi : C'est malin !
Alex : Mais toi, tu es sûr de pouvoir me faire un petit plaisir, avec ton nez qui est deux fois plus large et deux fois moins long ?
Moi : Ouin ! Tu m'embêtes Alex, moi je voulais juste un petit câlin. J'ai passé un  moment difficile, et j'ai été malade.

Il rigolait, s'asseyait à califourchon sur moi et me caressait le corps, doucement. Il commençait par me masser les épaules, les bras. Je me laissais faire, il fait ça bien quand il veux. Je me laissais aller et rapidement je me sentais tout mou !

Je sentais ses lèvres se promener sur mon torse, il me chatouillait avec le bout de son nez. J'aurais bien aimé lui en faire autant mais mon nez … Enfin vous savez … Je l'avait explosé sur le sol le matin même et là, rien qu'à l'idée qu'on puisse le regarder de trop prêt ça me faisait mal. 

Mais Alex lui, il ne me faisait pas mal. Ohhhhhhh non mais pas mal du tout. Ses lèvres s'attardaient sur mon cou, ma gorge, mon menton puis il arrivait à la commissure des lèvres, je le laissais faire. Il me posait un baiser d'une extrême douceur sur les lèvres …

Il savait ne pas insister là, ça me rassurait parce que … Enfin vous savez … ( remarquez pour vous ça doit être pareil … j'espère ) mais juste au dessus de mes lèvres il y a mon nez et … Bon vous , '' pas pareil '' bein oui je m'en doute, vous le vôtre vous ne l'avez pas explosé en choux fleur mais ne rigolez pas comme ça. Ça pourrait vous arriver aussi !

Bref !

Alex continuait à me chatouiller du bout du nez et son nez me chatouillait maintenant juste en dessous de l'oreille, là ça ne faisait pas mal. De plus on ne peut pas tomber sur une oreille ? Je gémissais de plaisir, je ne résistait pas, j'appréciais vraiment cette douceur, ça me changeait des deux nuits passées. 

Ses lèvres se promenaient ensuite sur tout le corps, les tétons, il me mordillait doucement. Le torse, il descendait ensuite vers mon ventre, me chatouillait le nombril puis glissait son visage entre mes cuisses. Il ne pouvait pas vraiment me sucer mais il glissait sa langue, ses doigts dans les parties les plus intimes de mon corps. 

Ses doigts se dirigeaient doucement vers mes fesses, je les relevais pour l'aider. Je me souvenais brusquement que Alex ne portait pas de dispositif de chasteté. Je le laissais faire quand il me glissait un doigt dans mon cul. 

J'avais eu mal au cul pendant toute la journée mais là, ses caresses me soulageaient, il ne me faisait pas mal, bien au contraire, il me faisait du bien beaucoup de bien. Il glissait un doigt puis deux, il y allait doucement. Mon anus avait été tellement stimulé depuis deux nuits que le moindre contact me donnait une sensation incroyable. Je jouissais, en quelques instants je jouissais. Je respirais fort, je relevais le bassin et me tortillais dans tous les sens.

Je me cramponnais au draps. Alex continuait à me masser l'anus, toujours avec cette grande douceur. Il ne se concentrait que sur mon plaisir. Le plaisir montait encore plus, je frémissais, je tremblais et finalement j'éjaculais. C'était le pied, ces deux derniers jours, je m'était fait baiser par des brutes, Alex est différent, lui c'est un amour. Il n'avait pensé qu'à moi, qu'à mon plaisir.

Il me laissait me reposer, je me sentais mieux et je terminais l'après midi sous un parasol à côté de la piscine. J'aurais bien fait quelques plongeons mais vous savez, mon nez … Enfin oui je crois que vous savez !

Moi : Ils sont sortis mes copains ?
Alex : Ils sont parti avec ton Grand Père !
Moi : Ils sont partis ou ?
Ales : Je ne sais pas !
Moi : Et moi alors ?
Alex : Ton Grand Père a dit que dans ton état tu ne survivrais pas là ou ils vont !
Moi : Au fait il était pas venu en train mon Grand Père ?
Alex : Tu le sous estimes, il est venu en avion supersonique !
Moi : Ah ouai, quand même !
Alex : Le premier jour on n'a pas paniqué, on s'est à peine inquiété. On se demandait quelle connerie tu avais encore bien pu faire. La deuxième nuit l'inquiétude à monté puis en fin de nuit c'était la panique. Il a failli faire intervenir l'armée tu sais. Si je n'avais pas retrouvé ta trace vers trois heures du matin, l'armée débarquait !
Moi : La vache !
Alex : Non, pas la vache, la troupe d'intervention. Il était prêt à faire retourner chaque grain de sable sur tout l'archipel.
Moi : Et mon père ?
Alex : Espérons qu'il n'entende pas parler de cette histoire !

En début d'après midi mes deux camarades bien habillés, bien présentables étaient monté dans l'avion de mon Grand Père. C'était un petit supersonique fabriqué par une de nos filiales, il pouvait transporté sur une distance de dix mille kilomètres six passagers et deux membres d'équipage, dans le confort douillet d'un vrai salon. 

Théo connaissait bien sûr ce genre d'appareil, ce n'était pas la première fois pour lui mais Victor avait des étoiles dans les yeux, il n'en revenait pas.

Victor : Mais ça vole à quelle vitesse ce genre de truc ?
Mon Grand Père : Mac deux virgule cinq, pas loin de trois mille kilomètres heures. Nous serons arrivés dans moins de deux heures. 
Théo : Oui mais on va ou ?
GP : De l'autre côté de l'océan !
Théo : Mais on ne peut pas, j'ai pas pris mon passeport !
Victor : Moi non plus !
GP : Ne vous inquiétez pas les jeunes, c'est un détail qui a déjà été réglé avec la douane ! J'ai demandé à mon secrétariat de s'en occupé juste avant de partir.

Une fois de plus Victor avait l'impression d'être tombé dans la quatrième dimension. Décidément ce monsieur que toute la planète admirait ne connaissait pas les frontières et semblait avoir un passe qui ouvrait toutes les portes.

Deux petites heures plus tard l'avion se posait. Un voiture de luxe longue comme un autobus arrivait, ils montaient tous à bord, les douaniers les saluaient mais n'intervenaient pas … La voiture filait ensuite vers une destination inconnue, enfin inconnue de mes camarades. Ils m'ont raconté par la suite que mon Grand Père avait un petit sourire malicieux sur le coin des lèvres.

Il n'était pas tard, ils étaient partis juste après le repas, surtout qu'avec la vitesse de l'avion il avaient gagné quelques heures, et là bas il n'était pas encore l'heure de passer à table. 

Mes deux amis ouvraient de grands yeux quand ils ont vu qu'il entraient dans le Centre de Recherche Aéronautique : Le Comte. Ils se regardaient comme pour se rassurer qu'ils ne rêvaient pas.

Mon Grand Père : J'avais rendez-vous ici avec le conseil d'administration aussi je me suis dit que vous aimeriez visiter le centre. 

Victor : Et en plus il y a un lancement prévu ce soir. On pourra y assister ?
Mon Grand Père : Mais bien sûr, il y en a aussi un autre demain matin. Je vous promet que vous serez au premières loges.

La voiture s'arrêtait devant un bâtiment immense. Mon Grand Père sortait de la voiture puis il présentait mes deux amis à un officier …

GP : Voilà les deux amis de mon fils dont je t'ai parlé. 
L'officier : Il n'a pas pu venir ?
GP : Il est souffrant, je te les confie, tu leur fait faire une visite ?
L'officier : Comme prévu !

Il les faisait monter dans une jeep décapotable et leur lançait : '' Et si on commençait par un petit vol parabolique les jeunes, ça vous tente ?''.



PHILIPPE
EP 24 : DANS LES ETOILES



La soirée avançait tout doucement. Alex m'avait préparé un repas léger. Je me sentais toujours barbouillé au niveau du ventre, il valait mieux que je me lève avec douceur sinon … vertiges. J'étais déjà tombé sur le nez je n'avais pas envie de recommencer. Mais je commençais à me remettre de mes égarements.

Alex, avec une patience infinie était toujours au petits soins avec moi. Il m'avais préparé un potage léger. Il s'installait devant moi, j'étais allongé sur le transat.

Moi : Je m'ennuie!
Alex : On ouvre la bouche !

J'ouvrais la bouche, il y enfournait la cuillère de potage. 

Alex : Maintenant tu refermes la bouche et tu avales !
Moi : Et tu as l'intention de me faire manger comme ça …
Alex : On ouvre la bouche !

Il recommençait … La réponse était  oui !

Après le repas, je recommençais à me plaindre.

Moi : Je m'ennuie !
Alex : Bon maintenant tu vas te coucher et dormir !
Moi : Meuhhh ! Il y a encore du soleil!
Alex : C'est vrai que tu n'as pas du le voir hier le soleil !
Moi : Tu te moques, je veux un câlin !

Alex m'emmenait à mon lit, il l'avait changé, c'était un lit de malade. Ce genre de lit avec une barrière un peu comme dans les lits d'enfants, un garde fou pour éviter que je ne tombe de nouveau. Là je me suis demandé si c'était par prudence uniquement ou peut être par taquinerie … Mais bon, ça restait un grand lit de deux places, c'était pas un lit de bébé, j'ai rien dit.

Moi : Je veux pas dormir, je veux un câlin.
Alex : Tu me fais un caprice là !

Il s'allongeait à côté de moi, il avait retiré mes vêtements, les siens aussi remarquez. Ça devenait intéressant cette affaire ! 

Il s'allongeait juste à côté de moi, glissait son bras sous ma tête et me donnait un baiser dans le cou, là, juste au dessus de l'épaule. Ça chatouillait un peu et il me faisait frémir. 

Je sentais la douceur de sa peau contre la mienne. Il repliait son bras et me caressait le torse. Il a un léger duvet très doux sur l'avant bras et je me laissais aller à lui caresser le bras.

Dans sa cage, ma queue protestait de plus en plus, c'en était presque douloureux. Mais qu'est ce que je pouvais faire ? Subir et attendre de rentrer à la maison pour pouvoir retirer le dispositif. 

Alex me donnait des baiser sur l'épaule, avec son autre main il me caressait le corps, depuis les tétons jusqu'aux fesses, de temps en temps il glissait sa main entre mes cuisses, toujours avec une grande douceur, uniquement avec une grande douceur.

Il me tenait contre lui, il bandait et je sentais sa queue qui glissait entre mes cuisses, entre mes fesses. Il n'essayais pas de me pénétrer, enfin pas encore.  Il voulait juste me détendre, c'est ce que je faisais, je me laissais aller. J'étais en confiance, je savais qu'il n'aurait pas un geste violent ou brusque.

Je n'avais presque plus mal au cul, et si ce n'était pas Alex qui était là derrière moi, contre moi, je pense que j'aurais eu de l’appréhension. Mais je savais qu'avec lui je n'avais rien à craindre. 

Il se relevait et me couvrait de baisers sur tout le corps, partout ou il m'avait caressé avec tant de douceur il me donnait un baiser avec toujours autant de douceur.  A ce moment j'étais complètement détendu, je commençais enfin à me sentir vraiment mieux. Je m'allongeait sur le dos, il déposait un baiser sur mes lèvres, je lui souriais en fermant les yeux.

J'avais à moitié dormi pendant toute la journée, mais j'avais eu des émotion la veille, et le matin aussi j'en avais encore mal au nez. En fait j'étais épuisé, je commençais à me sentir mieux mais j'étais vraiment épuisé. J'étais en confiance, parfaitement bien détendu. Je me laissais aller et je m'endormais dans les bras d'Alex. 

Quand je me suis réveillé au milieu de la nuit, il était là endormi juste à côté de mon lit. Il avait déplié un fauteuil, il était là prêt à intervenir si je poussais un cri, faisais un bruit ou si j'avais besoin de quelque chose …


Moins d'une demie heure plus tard mes camarades étaient en tenue de vol. Une combinaison dans le genre de celle que portent les pilotes. Ils avaient l'air contents, les photos en témoignent. 

Ils avaient rejoint un groupe qui participait aussi à ce vol. Mais eux avaient dû réserver longtemps à l'avance. Pendant une heure ils se sont tous éclaté. L'avion a fait une série de vol paraboliques, à chaque fois vingt secondes d'apesanteur. 

A leur retour au sol, ils avaient sympathisé avec les autres participants  qui avait à peut près leur âge. Ils étaient aux anges et ne se posaient plus de questions. Ils revenaient dans les vestiaires et enfilaient une tenue de détende, genre tenue de sport, et se retrouvaient tous au réfectoire. Pour eux l'heure du repas était déjà passée depuis plus de deux heures et ils dévoraient comme des goinfres.

Ils avaient rejoint le groupe d'astronaute en herbe et avaient complètement oublié mon Grand Père avec qui ils étaient venus. L'officier qui les encadrait depuis le début arrivait …

L'officier : Ça c'est bien passé les jeunes ?

Ils lui répondaient par un large sourire. Ils ne cachaient pas leur joie …

L'officier : Bien Monsieur Brosso s'est absenté, il m'a chargé de m'occuper de vous. Le programme maintenant, juste après le repas c'est le décollage de la fusée qui va lancer une sonde vers Mars. Vous serez aux premières loges. Ensuite, repos à l'hôtel et demain, une petite promenade, fin du programme et retour à la maison …
Théo : Et il est ou Mr Brosso ?
L'officier : En Chine ! Mais ne vous inquiétez pas s'il n'est pas revenu demain, nous avons un avions qui sera mis à votre disposition.

Après le lancement de la fusée, mes deux camarades aventuriers avaient des étoiles dans les yeux et des étoiles dans la tête. Ils étaient toujours avec leurs camarades de vol. Tous ces jeunes étaient logés dans des chambres qui se touchaient, deux lits par chambres.

Deux étudiants en école d'ingénieurs retrouvaient mes camarades dans leur chambre. Ils avaient sympathisé un peu plus tôt dans la journée.

John : Alors vous êtes tous les deux à la PK Scool ?
Théo : Ouai !
Sam : C'est bien la PK Scool ! Après vous entrez directement à la PK Université et ensuite ce sont les employeurs qui vous recrutent …
Victor : Ça n'a pas que des avantages !
Sam : Vraiment ?


Ils discutaient un long moment et …


Vous n'avez jamais remarqué ? Mais quand vous vous retrouvez à plusieurs comme ça, à discuter de tout et de rien, quand on parle de la PK il y en a toujours un qui vous demande si vous portez le fameux dispositif, à moins qu'il ne vous demande directement de le lui montrer !


Ça ne vous est jamais arrivé ? 
Et bien une fois de plus c'est comme ça que ça se terminait.
( note de l'auteur )


Victor baissait son pantalon, Théo rigolait, les deux autres baissaient leur pantalon, eux ils n'en portaient pas bien sûr, Théo rigolait …

Et quand Victor lançait à Théo : '' Et bien on n’attend plus toi ! Tu ne montre pas à nos camarades ton dispositif … ? ''.

Théo baissait son pantalon, leurs deux nouveaux amis rigolaient en voyant qu'il ne portait rien. 

Sam : Oui mais là tu triches, tu ne portes rien !
Théo : Je suis en vacances. 
John : Mais je croyais que ?
Victor : Non ce n'est pas obligatoire pendant les vacances.


Sam et John bandaient et n'essayaient pas de le cacher, ils retiraient leurs vêtements sans rien demander, d'un geste tout à fait naturel. Ils se retrouvaient à poil et chacun s'asseyait sur un lit à côté de Victor et de Théo. Ces deux là les avaient vu venir. Victor se penchait sur la queue de Sam et la prenait dans sa bouche. Théo, lui, se rapprochait de John.

Soyeux sérieux, c'est pas parce qu'ils s'étaient envoyé en l'air pendant un heure en vol parabolique que … Là ils avaient les pieds sur terre. Quelques instants plus tard ils étaient à poil, cette fois-ci tous les quatre.

Théo et John se prenaient dans les bras l'un de l'autre, et commençaient à s'embrasser. Sam prenait une position plus confortable pour lui. Le torse relevé, douillettement appuyé sur les oreillers, les jambes écartées, il regardait Victor lui sucer la queue.

Théo s'installait finalement à côté de Victor, il entraînait également John avec lui et les trois garçons se retrouvaient agglutinés autour de Victor qui n'en avait pas demandé autant. Il suçais longuement Sam, les deux autres lui caressaient le corps sans oublier d'insister longuement sur ses parties intimes, ses tétons, le bas de son ventre, ses fesses, l'intérieur de ses cuisses, ses fesses. Chacun son tour un des garçons glissait un doigt dans son cul. Si Victor semblait protester c'était uniquement pour la forme. Il n'essayait pas des les retenir ou de les en empêcher. 

San laissait alors sa place à John. Théo se relevait et enlaçait John pendant que Victor lui suçait la queue avec expertise. Ils s'embrassaient avec passion, John caressait la tête de Victor et malicieusement appuyait dessus par moment en relevant le bassin. 

Sam enlaçait Victor qui était toujours les jambes repliés, le cul bien offert.  Il se penchait sur le dos de Victor, lui donnait des baisers un peu partout, sur les épaules, dans le cou. Il passait une main dur le ventre de Victor, prenait position et avec douceur et fermeté enfonçait lentement sa queue bien à fond dans le cul de Victor. 

Depuis plus d'un moi qu'il était en vacances sur l'île, Victor s'était trouvé plus d'un partenaire et il se prenait la queue de Sam sans difficultés, il commençait à avoir de l'entraînement. Il gémissait de plaisir, Sam était bien monté mais il était également très doux. Ses mouvements amples et lents affolait Victor qui gémissait de plaisir.

Théo parvenait à se faire une petite place juste à côté de John, Victor passait de l'un à l'autre maintenant Théo gémissait également de plaisir. Sam ne se laissait pas distraire et accélérait le mouvement il respirait plus fort, il se relevait, cambrait complètement son dos en retenant fermement Victor par les hanche, ses coups de bassins devenaient de plus en plus violents et son ventre claquait fort au moment ou il frappait les fesses de Victor. Il mouvements devenaient irréguliers, rapides mais désordonnés. Sam poussait quelques gémissements et on devinait qu'il jouissait dans le cul de Victor. Ses derniers coups de bassins étaient violents. Il se laissait retomber sur le dos de Victor, l'enlaçait une dernière fois avec beaucoup de tendresse puis se retirait.

Sans attendre John prenait la place. Victor semblait vouloir dire quelque chose mais Théo le faisait taire en lui enfonçant sa queue dans la gorge. Il est taquin Théo ! Victor ne se débattait pas vraiment, il laissait faire !

Rapidement John reprenait là ou Sam s'était arrêté. Victor était totalement détendu, John s'en rendait compte et passait tout de suite à des mouvements rapide et francs. Il se retirait largement, et revenait à la charge sans aucune retenue. Son ventre claquait fort d'un claquement sec quand il s'écrasait contre les fesses de Victor.

Théo devait maintenant retenir Victor qui tentait vraiment de se dégager. En fait il voulait seulement se relever pour gueuler '' Encore, oui vas y ! … ''. Et c'est ce qu'il faisait au moment ou Théo le relâchait. John se lâchait, ses coups de bassins étaient vraiment violents maintenant. Victor replongeait et avalait de nouveau la bite de Théo qui en profitait pour appuyer de nouveau sur sa tête avec un plaisir non dissimulé. Il est taquin Théo !

Cette situations amusait beaucoup Sam qui regardait depuis un coin de la chambre, il avait pris du recul et contemplait la scène.

Théo appuyait sur la tête de Victor, John entrait et sortait de son cul et concluait sans prévenir par un cris de plaisir un mouvement du bassin incontrôlé et violent  puis tout comme son camarade quelques instants plus tôt il se laissait tomber sur le dos de Victor et l'embrassait tant qu'il pouvait. Il finissait par se retirer. 

Victor se laissait retomber sur le dos, il ne s'occupait plus de Théo.

Théo : Bein moi alors ?
Victor : Tu me fatigues !

Théo ne répondait rien, il laissait un peu de temps à son camarade pour récupérer puis sans prévenir lui sautait dessus, lui relevait les jambes, plaçait ses chevilles sur ses épaules, s'appuyait lourdement contre lui et le pénétrait à son tour. Victor râlait '' Te m'écrase ! '', mais laissait faire.

Théo avait été longuement stimulé, il ne retenait pas ses mouvements et ne tardait pas à jouir dans le cul de Victor. Il y avait moins de violence à ce moment, ils s'enlaçaient avec passion. Victor avait les jambes complètement repliées sur lui même mais fort heureusement pour lui, il était souple et ne souffrait pas de cette position.  

Il avait joui, je veux dire Victor avait joui. Oui c'est vrai que ses camarades ne s'en étaient pas vraiment préoccupé mais il avait joui, plusieurs fois même peut être. Sa queue prenait toute la place dans sa cage, mais il n'y avait pas de pression importante. C'était juste une grosse molle qui prenait de la place mais sans prétention, sans essayer de sortir. On pouvait voir aux traces qui restaient qu'il avait éjaculé.

Plus personne ne bougeait pendant un long moment. Quand Sam et John se relevaient c'était pour rejoindre leur chambre.

John : Bon on se revoit demain …
Sam : Vous participez au vol demain ?
Théo : Le vol ? Quel Vol ?
Victor : On n'a pas de vol de prévu !
Sam : Dommage, on aurait bien rigolé.
John : Ils n'avaient pas prévu de venir aujourd'hui, et tu sais qu'il faut réserver longtemps à l'avance …

De bonne heure le lendemain matin l'officier qui les encadrait frappait à la porte. 

L'officier : Alors prêts pour la petite promenade promise ?
Victor : La petite promenade ?
L'officier : Quatre révolutions autour de la terre, six heures de vol dans l'espace … Ça vous tente ?

Mes deux amis n'avaient jamais enfilé aussi rapidement un uniforme ! Ces enfoirés ils se sont bien amusé pendant que moi avec mon atèle sur le nez je m'ennuyait, tout seul. C'était donc ça la petite promenade, une promenade dans l'espace. A cet instant ils avaient complètement oublié Mr Brosso (Mon grand père), moi leur copain Philippe, l'île … Enfin tout quoi !

Dans la sale à manger ils retrouvaient leurs amis de la veilles qui les voyant en uniforme de vol …

Sam : Finalement vous faites partie du vol ?
Victor : Oui, c'est génial, mais on ne nous avait rien dit, c'était une surprise …
John : J'ai du mal à y croire, il faut réserver à l'avance et j'ai du mal à croire que vous n'étiez pas au courant !
Sam : Qui vous a organisé cette sortie ?
Victor : On est venu avec Mr Brosso !

Les deux garçons se regardaient incrédules.

John : Mr Antoine Brosso ?
Théo : Non son père … Mr Jérémy Brosso !
Sam : La vache !!!  Mais c'est que vous avez des relations vous !
John : C'est sûr qu'avec des relations comme celles là on n'a pas besoin de réserver …

Finalement le vol se passait très bien, six heures d’apesanteur dans l'espace en orbite basse, quatre coucher de soleil, quatre lever de soleil, quelques aurores boréales vues depuis l'espace, les galaxie de lumière qui éclaires les villes la nuit … Cette toute petite île perdue au milieu de l'océan, depuis l'espace on ne pouvait pas voir le pont rail. 

Ils m'ont dit que c'est uniquement à cet instant qu'ils ont pensé à moi. En apercevant la petite île ou j'étais. Il se sont dit que je devais aller mieux et me remettais de ma gueule de bois ?



PHILIPPE
EP 25 : RETOUR SUR TERRE



Après ce vol mémorable, les jeunes se retrouvaient tous au restaurant, l'heure du repas était passé, le vol avait duré un peu plus de six heures et ils ne manquaient pas d'appétit. 

A la télévision, on pouvait voir une émissions diffusée depuis la Chine. Mr Brosso père ( Mon grand père ) apparaissait à l'écran, il venait de signer avec le numéro Un Chinois un contrat pour la production de fusées et de satellites ( un truc compliqué ). On était dans un centre astronautique et partenaire, il était donc logique que ce film d'actualité soit diffusée ici. 

L'événement s'était passé quelques heures plus tôt en Chine … 

Victor : Bien ! J'ai l'impression qu'il ne sera pas de retour avant notre départ.
Théo : Bah … On nous as dit qu'on aurait droit à un avion privé … 

Il y avait toute l'équipe des astronautes en herbe dans la sale à manger … On entendait une vois !

…  C'est des conneries, c'est pas vrai vous ne le connaissez pas !
… Ouai ils racontent n'importe quoi, rencontrer Mr Jérémy Brosso, c'est aussi facile que de prendre le thé avec la reine d'Angleterre sans rendez-vous !

Plusieurs commentaires de ce genre fusaient, de toutes évidences on ne les croyait pas ! Mais brusquement plus un bruit, personne ne disait plus rien … Mr Brosso en personne (mon papy) venait d'entrer dans la salle à manger ! ( il est comme ça mon papy quand il arrive quelque part, il ne passe pas inaperçu ) 

Il se dirigeait vers mes deux amis … 

Djé : Alors les jeunes, la surprise vous à plus ?
… C'était génial !
… Merci !
… Vraiment super ! Merci !
… On ne s'y attendait pas !
… Vraiment Merci ...
Etc
… 

Théo : Mais on vient de vous voir à la télé, il y a deux heures vous étiez à Pékin !
Djé : Je voulais absolument entrer avec vous pour voir comment allait mon petit fils. J'ai pris une navette spéciale, une heure de vol depuis Pekin … Moi aussi je suis allé dans l'espace !

Ouai ! Et bien mon papy il pense à moi, lui … C'est pas comme certains de mes amis !

Victor : Une navette spéciale ?
Théo : Une navette spatiale ?
Djé : On peut aussi le dire comme ça !

Mon grand père saluait tous les jeunes qui étaient dans la salle à manger .

Djé : Alors vous avez tous fait ce petit voyage dans les étoiles ? J'espère que vous avez apprécié. 

Puis il discutait un moment avec eux. Le groupe de jeunes astronautes en herbe prenait désormais mes amis très au sérieux. Victor commençait à se sentir tout à fait à son aise dans ce milieu. Il se sentait très motivé pour la suite de ses études. Mon père ne lui avait-il pas dit qu'il pourrait devenir ce qu'il voudrait, qu'il n'y avait pas de limites sinon celles de son propre travail.

Le repas se terminait dans une certaine effervescence due à la présence de mon grand père. Il invitait mes deux amis à aller se préparer pour le retour, ils allaient se changer et revenaient avec le costume qu'ils avaient quand ils sont arrivés. On leur remettait un disque numérique, il contenait une reportage avec photo et vidéo de leur voyage ainsi qu'une médaille avec leur nom qui témoignait de quatre révolutions autour de la terre. Ils pouvaient aussi garder les tenues de sport et uniformes qu'ils avaient porté pendant le vol parabolique. Un beau souvenir qu'ils pourraient avoir le plaisir de montrer à tous leurs proches. 

Ils étaient dans une base aéronautique, militaire certes mais équipée d'un terrain d'aviation et, nul ne sait si c'était à cause du contrat signé avec les Chinois ou autre chose mais l'avion de mon grand père était autorisé à décoller de là.  Ils ne reprenaient donc pas la limousine longue comme un camion. Deux petites heures plus tard il se posaient sur la piste de Magic-Island. Ils étaient restés étrangement silencieux pendant tout le retour, ce qui ne dérangeait pas mon grand père qui commençait à fatiguer de tous ces voyages, lui aussi avait largement fait le tour de la terre depuis la veille. 

Je sursautais en les entendant arriver, il faut dire qu'ils faisaient beaucoup de bruit, ils me racontaient tout en détails. Je commençais juste à me remettre de mes émotions et tout ce bruit me donnait brusquement envie de dormir. Ils étaient épuisants, tant ils étaient enthousiastes.

Moi : Beuh ! C'est pô juste ! Moi aussi je voulais y aller dans le ciel !
Victor : Hier tu n'arrivais même pas à tenir debout et tu voulais faire du vol parabolique !
Théo : Ton grand père avait raison, tu n'aurais pas survécu !

On passait à table.

Grand père : Vous n'être pas trop dépaysés par le décalage horaire ?

Victor et Théo faisaient non de la tête.

Grand père : Je parlais aussi de toi Philippe !
Moi : Pfff ! J'ai pas bougé moi !

Mon grand père rigolait de ma réaction. 

Grand père : Moi je dois dire que ça commence à me fatiguer cette histoire. C'est le second souper de la journée et le prochain repas sera aussi un souper dans quelques heure en Australie. Heureusement à Pékin j'ai soupé léger ! Je repars dans la nuit !
… 
Grand père : Tu seras sage mon petit Philippe ?
Moi : Meuhhh !
Grand père : Mouais ! Tu sais Philippe ton propre argument '' Au moins là je ne pourrai pas faire de conneries comme j'en ai l'habitude … '', je l'ai utilisé avec ton père pour le convaincre de te laisser venir ici …
Moi : Ouai ! Je sais mais c'est pas ma faute ! Il y avait une bouteille d'eau et …
Grand père : Tu avales de l'eau de vie sans te rendre compte que c'est pas de l'eau toi ? Alors ça, et bien ça ne m'est jamais arrivé !

Mes deux camarades rigolaient, ils étaient resté en costume cravate, juste pour le plaisir de porter leur médaille tellement ils étaient contents de leur voyage. Moi j'étais  en short, torse nue, les yeux violets comme si je m'étais fait boxé la figure, le nez derrière une sorte d'atèle, un pansement qui était tout sauf discret, un peu comme si j'étais tombé sur le nez … A part ça, à ce moment, ça allait bien.

Les vacances se prolongeait comme elles avaient commencées sauf pour moi. Le soir j'étais consigné, pas le droit de sortir et comme dans la journée je préférais ne pas sortir à cause de la tête que  j'avais, là, enfin je ne pouvais pas faire de conneries comme j'en avais l'habitude. Les ordres me concernant  venaient de mon grand père et les employés n'avaient pas l'habitude de discuter les ordres qui venaient du grand chef, même l'ascenseur refusait de me conduire aux portes de la maison passée l'heure du souper.

Victor et Théo continuaient à sortir et à draguer comme ils le faisaient depuis le début de leur séjour. Il n'était pas rare qu'ils ramènent un partenaire, sur ce point on ne leur faisait aucune remontrances. Ils se retrouvaient tous, le matins quand Dave venait les réveiller. Moi je faisais la gueule !

Ils partaient tous faire leur entraînement matinal quotidien, moi je m'en dispensais. Je me faisais plaindre, Alex avait renoncé à m'en demander plus. Quelques jours passaient ainsi, mon grand père était reparti. Je m'ennuyais …

Un soir je laissais mes camarades se préparer, je ne disais rien, je restais dans mon coin en les regardant et en faisant la gueule. Ils avaient à peine tourné le dos que je m'habillais également. Sur la pointe des pieds je me faufilais jusqu'au portail, je grimpais par dessus, ça ne me prenait que quelques secondes. Je traversais ensuite le petit parc privé puis je faisais le mur. 

Vous savez je fais beaucoup de sport et il ne me fallait pas longtemps pour descendre les quelques kilomètres qui me séparait du village. Je pense même que j'y arrivais avant mes camarades. Dans la partie nord de l'île il y avait des groupes de jeunes qui discutaient ici et là. Je me joignais à l'un d'entre eux, j'en choisissait un ou il n'y avait que des garçons et ou ils avaient des sac à dos, ils étaient trois. 

J'avais en effet remarqué qu'un d'entre eux venait de sortir une bouteille de bière de son sac à dos. Rapidement je sympathisais. Vous savez je ne suis pas vraiment associable ! … Rapidement on m'offrait une bière … Puis une autre … Ils étaient rigolos, ils me demandaient ce qui m'était arrivé.

Moi : Oh c'est rien, juste avant de venir sur cette île, à la gare j'ai croisé trois mec qui s'en prenaient à une fille. Je leur ai expliqué que ça ne se faisait pas ça !
Un mec : Et ils ne t'ont pas loupé !
Moi : Oui mais eux, ils ne sont pas encore sortis de l'hôpital !

Les gars étaient impressionnés. Vous ne vous imaginez pas que j'allais leur dire '' J'étais bourré, je suis tombé de mon lit … Sur le nez ! ''. Là ils se seraient moqué de moi, c'est sûr !

Un peu plus tard, ils décidaient de prendre un bain. A cette heure de la nuit le bain c'est toujours à poil, je commençais à bien sentir les effets de la bière aussi j'oubliais mon dispositif de chasteté, je me disais seulement qu'il ne faudrait pas que je mette la tête sous l'eau. Aucun d'eux n'avais de dispositif de chasteté. Sur cette île les touristes ne sont pas obligé d'en porter. Quand ils l'ont vu il ont éclaté de rire. 

On a rigolé un moment, on s'arrosait, je nageais, ils plongeaient depuis un rocher puis, une bouteille dans chaque main on se retrouvait derrière les rocher, bien à l’abri des rochers. Il fait toujours beau sur cette île, on ne prenait pas la peine de se rhabiller, nos vêtement dans un coin. On rigolait, on racontait des conneries, on picolait, une main se glissait sur mon dispositif et me caressait les couilles. 

Vous devinez que j'ai pas laisser les choses se passer comme ça, j'ai immédiatement réagi ... J'ai écarté les jambes !

La main est devenue plus entreprenante, une autre main arrivait, c'était pas la seconde main du même bonhomme. Je terminais rapidement la bouteille que j'avais dans la main droite puis celle que j'avais dans la main gauche et m'installait à mon aise les jambes bien écartées. Rapidement c'étaient quatre puis six mains qui me caressaient tout le corps. Elle s'attardaient sur mes couilles, passaient sur mes cuisses, sur mon torse. On me tendait une autre bière, je la buvais cul-sec !

Un des garçon se penchait sur moi et m'embrassait, il était mignon, il faisait attention à mon nez, il m'embrassait dans le cou. Je me retrouvais allongé sur le sol, la tête posée sur un paquet de vêtements, trois visages, trois bouches penchés sur moi. Six mains qui me caressaient tout le corps avec de plus en plus d'insistance. Régulièrement quelques doigts se glissaient entre mes fesses, et tentaient même un passage en force. Là encore je réagissais rapidement en soulevant le bassin.

J'avalais une autre bouteille de bière.

Une voix : Retourne toi … A genoux …

Je me mettais à quatre patte, on me lubrifiait le cul, déjà je gémissais à l'idée du plaisir qui venait, qui se présentait. Une forte pression contre mon anus, une petite douleur, délicieuse petite douleur, le membre viril était de taille normale, j'ai vu pire … 

Le garçon qui avait pris position ne perdait pas de temps. Il s'enfonçait bien à fond en quelques secondes, son ventre frappait mes fesses, il se retirait puis me labourait le cul sans se retenir. Quelques coups violents, des mouvements plus doux, plus lents. Il me tenait par les hanches, quand il se retirait il me tirait vers lui juste au moment ou il allait s'enfoncer de nouveau. Il revenait à la charge et poussait de toutes ses forces m'arrachant au passage quelques cris, quelques gémissements de plaisir.

Les mouvements devenaient plus rapides, plus violents. Un autre garçon me proposait sa queue, je la prenait dans la bouche. Il voulait appuyer mais là je réagissais immédiatement, mais je veux dire par là que je ne laissais pas faire. Je lui expliquait avec deux gestes que … Mon nez … Cassé … Attention … Bobo ! Il comprenait et n'insistait pas. 

Je reprenais.  J'avalais sa queue sur toute sa longueur. Je le masturbais, je le léchais, finalement je m'en sortais bien avec mon nez cassé.

Les coups de bassins que me donnait le premier devenaient violent, rapides et violents. Il jouissait dans mon cul, retombait sur mon dos, me donnait un baiser, se retirait et était immédiatement remplacé par celui que j'étais en train de sucer.

Lui était moins violent, il entrait sa queue tout doucement, il se retirait de la même manière. Ses mouvements de va et vient étaient lents, amples et doux. J'étais déjà bien stimulé et rapidement un vrai plaisir naissait dans mon cul puis plus profond dans mon anus et envahissait tout mon ventre. Je respirait fort, je soufflait, je gémissais … C'était le pied.

On me tendait une bière, le gars ne bougeait plus, j'avalais la bière en une gorgée, il reprenait ses mouvements, je hurlais de plaisir. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, il faisait durer le plaisir, doucement je sentais sa queue me pénétrer, m'envahir. Doucement je la sentais ressortir, pas complètement mais presque, puis il revenait. 

De temps en temps on avalait une bière. La tête me tournait mais je me sentais bien. Ce massage sur mon muscle anal était un régal, par moment le plaisir montait plus fort, par moment seulement. Mais c'était bon, vraiment bon … Son étreinte devenait plus serrée, plus câline, ses baisers plus pressants, sa respiration plus forte. Juste quelques convulsions au moment ou il jutais en moi, un baiser, il se retirait, une bière, le troisième garçon prenait la place qu'avait occupée les deux premiers. 

Sa queue était plus large, pas plus longue mais plus large et il me l'enfonçait avec force. Je couinais au moment ou son ventre frappait contre mes fesses. Il se retirait avec un mouvement lent et régulier et revenait d'un mouvement rapide et violent. Il frappait mes fesses avec force, ça claquait, je couinais. 

Il faisait durer le plaisir lui aussi et ne faisait une pause que pour enfiler une bière, enfin pour me laisser avaler la bière. Ça semblait les amuser de me voir boire comme ça. Il Me serrait fort contre lui, son bassin bougeait avec force, violence et vitesse.

Par moment les mouvements devenaient vraiment très rapides et très violents. Sa queue ne ressortait alors presque pas mais le mouvement provoquait sur ma prostate une véritable panique. Je jouissais par la prostate, à ce moment j'ai juté, j'ai éjaculé sans éprouver de plaisir au niveau de ma queue mais au niveau de ma prostate c'était l'extase …

Ils me proposaient une petite bière, ils avaient tous les trois pris leur plaisir, moi aussi … On se rhabillait, on se saluait et c'est en titubant que je prenais la direction de la plage …

Pendant ce temps là, Alex était au téléphone. 

Alex : Passez moi la sécurité tout de suite, c'est urgent !
Au téléphone : C'est ça on n'a que ça à faire et c'est de la part de qui ?
Alex : La maison Brosso !
Au téléphone : Oh ! Je vous demande de bien vouloir m'excuser je vous passe tout de suite le chef de la sécurité !

Alex expliquait la situation, je venais de faire le mur !

Moins de cinq minutes après mon départ la sécurité de l'île me localisait au niveau de la piste de ski, j'entrais ensuite dans la zone boisée, et là on me perdait. J'avais ensuite traversé le quartier des employés, c'est beaucoup moins surveillé, j'étais ensuite passé sur les rochers, et par moment sous les quais. Les caméras ne me repéraient plus nulle part jusqu'au moment ou je traversais le village pour aller sur la plage. Ça m'avait semblé plus court pour rentrer.

Je me retrouvais rapidement sur la plage ou on me perdait de nouveau, là c'est la maison qui surveillait et attendait mon retour … J'étais allongé sur le sable les pieds dans l'eau, les chaussures donc, pleine d'eau quand je voyais un visage se pencher sur moi …

Moi : Qui t'es toi ? Je te connais ?
La personne : Et bien il est encore torché.

La personne se penchait sur moi, mais je voyais son visage à l'envers, et en plus dans le noir je n'avais pas la moindre idée de qui c'était. Mais il me semblait …

Moi : Qui t'es toi ? J'ai l'impression que je te connais moi !
La personne : Oui mon petit Philippe, je crois qu'on se connaît !

La je hurlais. '' Luc mon tonton Luc c'est toi ''. Je me relevais, en titubant et me retournais vers  lui … C'était mon tonton Bob, Luc lui, était à côté, il était plié de rire. Nous prenions la direction de la maison, ils me soutenaient pour avancer, j'étais complètement saoul !



PHILIPPE
EP 26 : OUÉÉÉ MES TONTONS SONT LA



Sur la route du retour, mes deux oncles me soutenaient, j'avais passé mes bras sur leurs épaules et je rigolais tout le temps, par moment je regardais mes pieds, les soulevaient, ils ne touchaient plus le sol mais j'avançais quand même.

Luc : Je commence à mieux comprendre l’embarras des agents de sécurité à l'aéroport !
Bob : Jérémy à du passer la consigne pour que les conneries de Philippe restent discrètes, que son père ne soit pas au courant !
Luc : Et de fait ils ne voulaient rien nous dire !
Bob : Si les ordres viennent de Jérémy, pour tous les employé du groupe c'est une priorité absolue !
Luc : Bon je vais appeler Alex, ça devrait être amusant !
Luc : Allo ! Alex, tout se passe passe bien ?
Alex : Euh ! ... Oui ! … Monsieur Brosso ! … Non ! … Oui ! … Oh là,là !
Luc : Allons ! Quelque chose ne va pas ! Tu sais j'ai vu mon frère, il m'a raconté !
Alex : Non, c'est pas ça ! Mon dieu, mon dieu, mon dieu . Oh là, là Philippe !
Luc : Oui c'est bien ça il m'a tout raconté. C'est bien de Philippe qu'il s'agit ! Tu peux me le passer ?
Alex : Oh mon dieu, oh mon dieu, non Monsieur Luc, je ne peux pas vous le passer … Oh là, là !
Luc : Il a fait le mur ?
Alex : Mais comment avez-vous deviné Monsieur Luc ?

Le haut parleur du téléphone était branché et Bob lui lançait : '' On l'a retrouvé !''.

Alex : Il va bien ? Dites moi qu'il va bien ? Oh là , là ! Je ne sais pas quoi dire, je suis vraiment … 
Moi : Moi aussi je t'aime Alex !
Alex : Philippe, tu vas m'entendre quand je serai rentré !
Luc : Et tu es ou Alex ?
Alex : Sur l'île des employés, c'est là que je l'avais retrouvé la dernière fois !
Luc : Bon on t'attend à la maison.

Une heure plus tard, on m'avait passé sous la douche, j'étais dans mon lit et je dormais. Alex ne m'a pas réveillé, il a du se faire engueuler un peu tout de même, heureusement que mes tontons sont cool, si ça avait été mon père il aurait été viré avec aucune chance de retrouver un emploi du même genre pendant au moins cinquante ans !

Le lendemain je me réveillais la tête dans le cul. Personne ne m'avait réveillé. Dave le coach était déjà passé récupérer mes camarades mais ne m'avait pas dérangé. Je me levais, regardais par la porte fenêtre, je les voyais revenir. Alex n'était pas avec eux.

Alex frappait à ma fenêtre quelques secondes plus tard. Je ne répondais pas mais il entrait. Il n'avait pas l'air vraiment content Alex et me regardait de travers.

Alex : Bravo bonhomme ! C'est une réussite … Je suis viré ! Je quitte la maison tout à l'heure.
Moi : Non c'est pas vrai, tu déconnes, c'est pas possible, pas de la part de mes oncles !

Alex tournait les talons et ressortait de ma chambre. Je fonçais comme un malade dans l'ascenseur. Je ressortais de l'ascenseur et revenais à ma chambre, j'étais à poil … Une fois habillé je fonçais de nouveau dans l'ascenseur. J'arrivais dans le salon il y avait mon oncle Bob.

Moi : Vous pouvez pas faire ça, c'est pas sa faute. Il n'a rien fait, vous pouvez pas le virer comme ça ! 
Bob : Je veux bien négocier ça avec Luc mais ça fait deux grosses conneries qu'il te laisse faire coup sur coup …
Moi : C'est moi le seul responsable ! Et je te jure tonton, je serai sage, je ne bouge plus, promis, juré … Je crache par terre si tu veux !
Bob : Non ça c'est pas nécessaire mon bonhomme !

J'insistais encore un moment, j'étais au bord des larmes. J'avais réussi à faire virer Alex, je le connaissais depuis toujours moi Alex. C'est lui qui m'avait appris à nager, à faire du vélo et tellement de choses encore. Oui récemment il m'avait un peu initié aussi … Vous voyez ce que je veux dire ? Non ?

On avait couché ensemble quoi ! Bon c'est des choses qui arrivent il n'y a pas de quoi en faire un fromage … Pfff ! J'avais fait virer Alex !

On dînait tous ensemble, tenue décontractée mais on dînait tous ensemble. Je faisais la gueule mais j'essayais de ne pas indisposer mon tonton Luc. 

Luc : Alex ne fera pas le service aujourd'hui et il me semble que tu sais pourquoi. 
Moi : Mais tonton Luc …
Luc : Tu serais mignon de ne pas en rajouter, je n'ai pas encore décidé, pour le moment Alex est reparti à la maison. Les vacances ne vont plus durer encore bien longtemps, Bob et moi les termineront ici, nous rentreront tous ensemble et je prendrais alors ma décision.

Je voulais insister lourdement.

Luc : Si c'est pour t'entendre gémir pendant les jours qui restent on peut écourter le séjour !

Sous la table Théo m'envoyait un coup de pied dans le tibia.

Théo : T'as pas intérêt !

Il me regardait l'air méchant. Théo et Victor continuaient à profiter sagement de leur séjour. Le jour même Théo avait fait du parachute et Victor avait fait de la plongée. Je me rendais compte que, en fait, j'étais en train de me     saboter moi même mon propre séjour !

Moi : Et si je te promet d'être sage ? ( d'une toute petite voix à l'intention de mon tonton Luc ).
Luc : Contente toi d'être sage pour commencer au lieu de le promettre !

Nous sortions de table. 

Luc : Tu peux sortir si tu le veux vraiment, j'ai levé le couvre feu !

Je ne répondais pas et suivait mes camarades. Le cœur n'y était plus ! J'avais réussi à faire virer Alex, je n'aurais jamais cru que mon oncle Luc puisse réagir comme ça. Ça faisait plus de vingt ans que Alex était au service de mes oncles. J'étais dégoûte. C'est sans conviction que je m'habillait pour suivre mes camarades. 

On a traîné un moment comme ne ne l'avais plus fait depuis un moment. Je ne cherchais pas à me procurer de l'alcool, j'avais fait virer Alex … Je ne cherchais pas vraiment non plus à draguer. Il y avait pourtant du beau monde, je veux dire par là il y avait des mecs tout à fait comme il faut, jeunes, bronzés, musclés et avec une jolie bosse là ou il faut … Le cœur n'y était plus, j'avais fait virer Alex !

Mes camarades trouvaient rapidement un compagnon, ils avaient la technique. Ils sont bien foutus mes deux camarades et ils attaquaient directement de front. Quelques regard échangés, un geste de la tête, un salut, un mouvement d'invitation puis ils abordaient le garçon. Quelquefois ça ne marchait pas, il y avait méprise, mais le plus souvent c'était bon. 

Victor gardait sur lui un badge de l'université PK. Comme ça au moins il n'y avait pas méprise le garçon savait tout de suite qu'il avait affaire à un porteur. Pour Théo ce n'était pas bien plus compliqué, un porteur ou un non porteur lui convenait. J'étais assis dans un recoin du bar et je les observais.

Les corps se frôlaient rapidement, ils ne se cachaient pas. Il ne s’exhibaient pas non plus.  Ce n'est pas dans le bar qu'ils allaient se sauter dessus, se prendre dans les bras, s'embrasser, glisser la main dans le pantalon de l'autre, le lui ouvrir avant de lui sucer la queue, ou de le laisser faire dans le cas de Théo. Non ! Pour ça ils savaient attendre de se retrouver dans un coin tranquille. 

J'étais assis sur un banc et je les regardais, en face de moi Théo tenait sa conquête du soir par la main, les corps se touchaient et échangeaient des baisers. Victor était à l'ombre d'un buisson, là aussi les corps se serraient l'un contre l'autre, les chemises étaient ouvertes, ils s'enlaçaient.

Je n'avais pas le sourire, le cœur n'y était pas, je n'avais pas rencontré un beau garçon pour me tenir compagnie jusqu'à l'aube. J'avais fait viré Alex et je ne pensais qu'à ça !

C'est le visage d'Alex qui me regardait droit dans les yeux quand je voyais Théo embrasser son mec. Ils se tenaient, la main passée derrière la nuque, ils partageaient un moment de tendresse tout simplement. Je les regardais sans rien dire.

Plus tard dans la nuit on prenait la route vers la maison. Je traînais derrière, j'étais seul, je n'avais même pas essayé de me trouver un beau mâle bien membré et surtout très actif. Je ne sais pas si vous avez tout suivi mais depuis quelques temps le rôle de l'actif m'était un peu interdit. J'aime bien aussi être passif. Dans moins d'un an j'aurai mes dix huit ans et je devrais avoir une petite partie de mon héritage, c'est sûr je vais embaucher Alex, je lui donnerais du boulot. J'ai fait virer Alex.

J'étais perdu dans mes pensées, un pantalon sur le sable, un peu plus loin deux autres, suivaient des chemises. Je relevais la tête, mes camarades étaient tous à poil, il couraient vers l'eau. Un bain de minuit ça se prend toujours à poil ! Je les regardais s'éloigner, plonger, nager se caresser, se toucher, le mec que Théo avait trouvé ne portait pas de dispositif, ils bandaient tous, enfin tous sauf Victor. Avec moi Victor devait être le seul à ne pas bander mais à en avoir une bien dure pourtant. 

Je réajustais mon dispositif, eh non finalement, j'en n'avais pas une bien dure comme on aurait pu y penser. Non, le cœur n'y était pas, je ne bandais pas dans mon dispositif, le cœur n'y était vraiment pas. J'avais fais viré Alex ! Je restais toujours en retrait et je regardais. 

Quand ils remontaient de l'eau le premier s'effondrait sur le sable le suivant se laissait tomber sur lui et les deux corps s'agrippaient l'un à l'autre et ils roulaient. Je ne savais plus qui était qui, il faisait sombre. Mécaniquement j'avais ramassé les vêtements, je les regardais.

Les deux couples roulaient sur le sables, ils roulaient l'un vers l'autre puis s'éloignaient pour finalement ne faire plus qu'un. Ils étaient là enlacés tous les quatre. Ce n'était plus que caresses, câlin, douceur, baisers. Ce devait être Victor qui s'était replié sur le corps de … En fait je ne sais pas qui était allongé sur le dos mais ce devait être Victor qui lui suçait la queue. Je savais par expérience qu'il savait faire ça très bien Victor mais je n'enviais même pas son partenaire. Je ne bandais pas dans ma cage de chasteté, le cœur n'y était pas, j'avais fait virer Alex.

Mes camarades m'avaient un peu oublier, Théo s'approchait de moi et voyant que j'avais ramassé tous les vêtements il me disait juste ; '' Ça va ? '', puis retournait voir ses amis. C'est à poil qu'il prenaient tous la direction de la maison. Je suivais.

Ils ne m'attendaient pas et quand j'arrivais ils avaient déjà pris l'ascenseur. Je prenais le suivant. Quand j'arrivais dans notre quartier, ils étaient déjà tous les quatre dans la piscine. Seul Victor portait un dispositif et ses trois partenaires se suivaient autour de lui. Ils s’agglutinaient. Je jetais les vêtements dans un coin et montait à ma chambre, je n'avais pas vraiment envie de participer. Je n'avais pas le moral, j'avais fait virer Alex !

Je restais là devant la porte de ma chambre, assis sur le sol. À côté de la piscine Victor s'était allongé et un des deux garçons que nous avions trouvé se penchait sur lui. Ils se caressaient, Victor se retournait sur le ventre, avec beaucoup de douceur et une certaine force le garçon pénétrait Victor qui gémissait. Le second garçon s'approchait de Victor et lui glissait la queue dans la bouche. Théo s'installait et admirait le spectacle, il se caressait, se masturbait doucement.

Je n'avais même pas envie de les rejoindre … J'avais fait … Vous savez, Alex. Je me sentais mal !

Victor recevait des coups de bassin de plus en plus violent. Chacun des deux garçons se retirait et revenait enfonçant bien à fond sa queue, l'un dans la bouche de Victor l'autre dans son cul. Les deux garçons gémissaient de plaisir, Victor, lui ne pouvait rien dire, il encaissait.

Devant Victor le garçon se retirait et se masturbait, Victor lui donnait encore quelques coup de langue puis recevait une giclée de sperme dans la figure, Théo prenait la place et enfonçait à son tour sa queue bien à fond. Victor ne semblait pas se plaindre.

Quand le second garçon jouissait à sont tour dans le cul de Victor, Théo prenait la place. J'entendais alors les râles de plaisir de Victor qui se laissait aller et retombait sur ses coudes. Théo se lâchait, il ne retenait pas ses coups.

Vous vous imaginez à quel point j'étais mal, à dix sept ans ce spectacle ne me faisait rien. J'avais fait virer Alex !

Le lendemain Dave ne me réveillait pas il faisait les deux autres chambres mais pas la mienne. Je me réveillais tout seul, ils n'étaient pas encore revenus de la séance d'entraînement. Je m'attendais à voir apparaître Alex avec le petit déjeuner mais c'est un autre employé qui sortait de l'ascenseur. J'avais envie de pleurer, je ne vous dis pas mais j'étais pas fier de moi.

Le petit déjeuner était prêt quand Dave et le reste de la bande arrivait de la séance de sport. Tout le monde était à poil et chacun se douchait tranquillement sous les douches de la piscine pendant que Dave disparaissait dans l'ascenseur.

Mes deux oncles Luc et Bob ne nous dérangeaient pas, ils nous laissaient vivre la fin de nos vacances comme nous le voulions. On prenait seulement l'habitude de souper ensemble, en tenue décontractée bien sûr.

Plusieurs jours passaient les vacances approchaient de leur fin. Mon père devait passer nous voir mais il avait appris la présence de mes deux oncles aussi il annulait son déplacement. C'était donc décidé, nous reviendrions avec mes deux oncles. 

Un jour vers l'heure du repas nous les cherchions, je ne sais plus, ce devait être Victor qui voulait leur demander quelque chose , je ne sais plus ... Nous arrivions dans la salle à manger, le repas n'y avait pas été servi. Je trouvait un employé de maison.

Moi : Mes oncles ne sont pas ici ?
L'employé : Non Monsieur Philippe ils n'ont pas dîné ici voyons !
Moi : Et ou ont-ils dîné ?
L'employé : Mais ils ont dîné avec notre hôte comme d'habitude, quartier  REPOS ET QUIETUDE.
Victor : ( en hurlant ) Le fantôme ! Je vous avais bien dit moi qu'il y avait un fantôme !
Moi : Et tu penses que mes oncles sont en train de dîner avec un fantôme ?
Théo : Ça va pas mieux toi !
L'employé : Je vous rassure jeune homme, il n'y a pas de fantôme dans cette maison. Je ne sais pas qui vous a raconté cette histoire mais c'était un farceur.
Victor : C'est le grand père de Philippe !
L'employé : Bien sûr ! Si c'est Monsieur Brosso … Moi je ne vous ai rien dit !
Victor : Et bien si c'est pas un fantôme je veux savoir ce que nous cache cette maison de fous. 




PHILIPPE
EP 27 : ON LE CONNAIT LE FANTOME 



J'étais pas vraiment convaincu en montant dans l'ascenseur, la destination REPOS était accessible. Victor était très décidé et c'est cette destination qu'il validait. Dans les minutes qui suivaient l'ascenseur s'ouvrait sur le couloir ou nous étions déjà venus. Au fond du couloir la fenêtre que nous avions déjà repéré donnait sur un jardin. En fait le jardin faisait le tour de la maison, tout le pourtour de la maison était végétalisé. Si on y réfléchit bien, la falaise fait plus de cent mètre de haut et la maison plus de trente elle aurait dû être très visible depuis le sol… C'est à cause de cette ceinture de plantes que la maison parvenait à rester discrète depuis le bas de la falaise. À côté de la fenêtre un couloir très lumineux, des fenêtres sur le mur extérieur ouvraient sur la baie qu'on pouvait admirer au travers de la ceinture végétale.

Au fond du couloir la porte s'ouvrait. Alex en sortait il poussait un plateau sur roulettes.

Moi : Mais tu es là toi ? Qu'est-ce que tu fous ici ?
Alex : Oui euh … En fait … C'est que …
Moi : Quand je pense que j'en étais malade ! Je croyais t'avoir fait virer !
Théo : Finalement ça se termine bien cette histoire.
Victor : Ça me fait plaisir de te revoir Alex.
Alex : C'est gentil ce que tu dis là Victor. Tu cherchais tes oncles Philippe ? Ils sont là !

On entrait. Mon oncle Bob et mon oncle Luc étaient là en effet, ils terminaient de dîner, ils étaient en compagnie d'un homme très âgé que je ne connaissais pas. C'est lui qui s'adressait à moi en premier.

Charles : Entre Philippe, approche que je te vois, ça fait si longtemps ! Tu as changé, tu as grandi !
Bob : Il avait quoi, six ans la dernière fois que tu l'as vu Charles ?
Charles : A peu près oui, je me souviens très bien, c'était dans cette maison, dans cette suite qui m'est aujourd'hui réservée.
Je baissais les yeux, j'étais un peu intimidé, il semblait me connaître ce vieux monsieur, je me retournais le plus discrètement possible vers Alex … '' C'est qui ? ''. Alex rigolait de ma question.

Alex : Je te présente Charles, il a été pendant de nombreuses années le majordome de ton grand père. Aujourd'hui il est en retraire et une suite dans la maison a été mise à sa disposition … C'est lui le fantôme, c'est à lui qu'un valet apportait un thé et que notre ami Victor a vu. Bien sûr il aurait pu ouvrir le panneau, mais il était fatigué ce soir là et le valet n'a pas osé le faire.
Victor : Mais vous auriez pu le dire, j'ai eu une peur bleue moi !
Charles : Il ne faut pas m'en vouloir Victor, c'est mon côté taquin et Djé ne vaut guère mieux !

On entrait et on prenait place à table. Alex revenait un peu plus tard, nous servait un chocolat et déposait un gâteau devant nous. Théo commençait déjà à saliver.

Moi : Et qui a eu cette idée de me faire croire qu'Alex avait été viré.
Luc : C'est lui !
Bob : Ça va être de ma faute maintenant. J'ai juste dit '' Il faudrait le responsabiliser, si ses actes avaient des conséquences, il réfléchirait peut être un peu ! ''…

Puis Bob appelait Alex qui tentait de sortir sur la pointe des pieds …

Alex : Bon d'accord j'avoue, mais moi j'ai juste dit '' Si ses conneries faisaient virer quelqu'un … '' .
Moi : Ça va j'ai compris ! Vous m'avez donné une leçon et ça a marché vous savez … J'en menais pas large !
Charles : Bon puisque tout le monde est d'accord, si on goûtait un peu à ce superbe gâteau, c'est moi qui ai fourni la recette, j'espère qu'il est réussi.

Un gâteau aux fruits avec une crème légère, c'était une merveille. On me présentait plus longuement Charles, il avait été au service de mon grand père depuis plus de soixante ans. C'était plus qu'une relation employeur-employé qui les unissait. C'était une véritable, une sincère amitié qui les rapprochait. Charles avait passé les quatre vingt dix ans, il se déplaçait en fauteuil roulant mais uniquement parce qu'il se fatiguait rapidement, il n'était absolument pas handicapé, il était âgé c'est tout !

Mon grand père veillait sur lui, il y avait du personnel à son service et une suite privé dans une des maisons les plus convoitée de la planète. Normal elle appartenait à ma famille !

Finalement il y avait bien un hôte invisible dans la maison mais ce n'était pas un fantôme. Victor n'en rajoutait pas mais devait se sentir rassuré.

On discutait longuement avec Charles, il me parlait de mon grand père, de ma grand mère que je n'avais pas connue, il me racontait un peu l'histoire de ma famille, il était très sympa et je comprenais rapidement pourquoi lui et mon grand père étaient restés si proches.

Un peu plus tard on se retirait pour aller à la plage. Il ne restait plus que quelques jours avant la fin des vacances et déjà on se préparait pour le retour. Charles prévoyais de rester, la suite était à sa disposition sans limites ni contraintes, mon grand père et mes deux oncles avaient validé cette décision. Je ne sais pas ce qu'en pensait mon père, je suppose qu'il ne devait pas être d'accord mais ils avaient dû se passer de son avis, ils avaient même peut être choisi d'oublier de le lui demander. C'est toujours comme ça que ça se passe dans la famille, en théorie c'est mon père le big-boss, mon grand père est en retraite et mes deux oncles ne travaillent pas et n'ont jamais travaillé officiellement pour la PK, mais dans la pratique … Le big-boss c'est mon grand père et si un de mes oncle prend la parole devant le conseil d'administration tout le monde oublie la présence de mon père … Et je vous garantis qu'il n'aime pas ça !

Les derniers jours se passaient calmement, Alex était réapparu dans la maison, il n'avait plus aucune raison de se cacher. On continuait a faire la fête mais je restais sage. Cette histoire m'avais servie de leçon. Faire virer Alex ! Il faut dire aussi que ça m'avait étonné de la part de mes deux oncles.

Le dernier jour, on allait saluer Charles, il nous recevait avec le sourire, on discutait un long moment. Il nous racontait les début de l'université PK. C'est vrai qu'il y avait participé … On retrouvait finalement mes deux oncles à la gare. Ils avaient réservé un compartiment, les bagages avaient suivi tout seuls, enfin peut être pas tout seuls mais ils avaient suivi.

Quelques heures plus tard on arrivait sur le continent. Victor seul quittait le train, mon père avait prévu une correspondance avec un hélicoptère pour lui permettre de passer les deux derniers jours avec sa famille. J'avais de la chance il n'avait entendu parler de rien, mon nez commençait à guérir et décidément mon père appréciait vraiment Victor.

A la station suivante c'est Théo qui descendait du train, son père était venu le chercher avec une grosse voiture de sport italienne de couleur rouge ( ça vous dit quelque chose ?).

Pour terminer c'est nous, mes deux oncles et moi qui montions dans un hélicoptère qui nous conduisait directement chez mes oncles. Mon père m'avait laissé un message me disant qu'il était très occupé, qu'il me verrait plus tard, que je pouvais rester chez mes oncles en attendant la rentrée …

Mais c'est que ça m'arrangeait bien cette histoire. Je me disais que j'allais enfin pouvoir retirer mon dispositif. Le jour même je descendais au sous sol, et cherchais des outils de précision pour retirer mon dispositif de chasteté. Ça va faire plus d'un mois que je porte ce truc, pfff ! C'est de la saloperie je ne vous dis pas, mais ce que je vous dis c'est que jamais, non jamais plus … JA-MÉ … !

C'était une très mauvaise idée finalement, et en plus il n'y avait pas moyen de trouver des outils de précision avec lesquels je pourrais retirer ce truc …

Luc : Tu cherches quelque chose mon petit Philippe ?

Je sursautais. Je ne l'avais pas entendu venir celui-là.

Moi : Bein oui tonton, c'est pour retirer mon dispositif …
Luc : Je te déconseille d'essayer de le retirer avec un outils qui ne serait pas prévu pour ça.

Je le regardais incrédule !

Luc : Tu sais les dispositifs de ce type sont très sécurisés, tu aura un mal fou à le découper et si jamais tu dérape … Ouch …
Moi : Mais je ne peux pas garder ce truc pour toujours !
Luc : Tu le portes depuis plus d'un moi, tu devrais bien pouvoir attendre deux jours …
Moi : Pffff . Meuhh . C'est pô drôle !
Luc : Mais tu verras on s'y fait très bien !
Moi : Deux jours ?
Luc : Dans trois jours tu seras libre de faire ce que tu veux, et tu seras à l'école ou tu es connu pour être un petit branleur ! Je te rassure ta réputation ne vas pas en souffrir …
Moi : Là tu as une manière de dire les choses tonton !
Luc : Allez va prendre une douche et te changer, après tu pourras faire un tour, n'oublie pas qu'on passe à table un peu plus tôt, il y a le décalage horaire.
Moi : Au fait Alex il est revenu ou pas ?
Luc : Pas encore, il va rester quelques semaines avec Charles.

Je suivais ses conseils, je prenais une moto dans le garage et partais faire un tour dans le village. J'allais repartir et au moment ou j'allais quitter la place de l'église je voyais une tête connue. C'était Ludo. Je sursautais et bloquais les freins de la moto, je pilais net et je hurlais … '' Ludo !''.

Il se retournais vers moi et en me souriant me criait mon nom.

Deux minutes plus tard il était sur ma moto derrière moi, il me tenait bien serré contre lui. Je suppose qu'il avait peur de tomber, enfin je ne conduis pas si mal que ça tout de même ! On se retrouvait chez lui, il avait une chambre à l'écart de la maison, deux pièces ou il pouvait recevoir qui il voulait comme il le voulait. Ses parents lui laissaient une grande liberté, il faut dire que c'était un élève modèle et qu'il avait plus de vingt ans.

Je lui arrachais ses vêtements, il m'arrachait les miens. Nos deux corps se serraient l'un contre l'autre, se frottaient, se caressaient. Il me couvrait de baisers, sur tout le visage, sur les épaules. Je le couvrais de baisers à mon tour. Nos deux lèvres se cherchaient et se trouvaient. Nos langues se caressaient avant de se faufiler et de se promener sur tout le corps de l'autre.

Je glissais mes mains sur ses fesses et le tirait contre moi. Puis je glissais mes mains sur ses fesses dans son pantalon, il n'avais pas de sous vêtements le coquin. J'aime bien ça moi. D'ailleurs j'en ai pas non plus.

Il ouvrait mon pantalon et le faisait tomber sur mes chevilles. Je sentais ses mains qui me caressait les couilles, il me souriait. Il tâtait mon dispositif de chasteté.

Ludo : Mais c'est que c'est nouveau ça !
Moi : Oui je sais, c'était pas prévu au départ … De plus normalement j'aurais dû le retirer …
Ludo : Ne te cherches pas d'excuses. Pour un membre de ta famille c'est normal.
Moi : Pas pour moi.

Je ne bougeais plus, je veux dire que je ne le caressais plus, j'avais mes mains posées sur ses fesses, sa peau était douce et je ne bougeais plus. Il m'embrassait de nouveau et ouvrait son pantalon en même temps. Son pantalon tombait sur ses chevilles, sa queue se relevait avec une grande virilité. J'avais oublié qu'on était en vacances et que en vacances les étudiants de la PK peuvent retirer leur dispositif.

Un instant je me demandait ce que nous allions faire mais là, c'était une surprise qui me redonnait le sourire. Je tombais à genoux devant lui et sans hésiter lui suçait la queue, je l'avalais sur toute sa longueur. Il appuyait sur ma tête et avançait le bassin.

La dernière fois ça s'était passé dans l'autre sens mais je commençais déjà à bien aimer aussi dans ce sens. Je commençais à savoir faire et c'est avec plaisir que j'avalais sa queue. Il gémissait de plaisir et faisait durer un long moment. Il me tenait fermement la tête avec les deux mains et me donnait maintenant des coups de bassin violents et rapides.

Son ventre s'écrasait sur mon visage, mon nez ne me faisait plus mal du tout et j'y prenais beaucoup de plaisir. Je lui en donnais aussi beaucoup. Par moment il me maintenait le visage bien appuyé contre lui, sa queue bien enfoncée dans ma gorge.

Quand il se retirait il me relevait avec force et me prenait dans ses bras. La pression dans ma cage de chasteté me rendait fou. Ça faisait quelques semaines que je portais ce dispositif et je commençais à m'y habituer mais là ! Il n'y avait rien à faire, c'était l'enfer.

Je serrais Ludo dans mes bras avec passion et le couvrais de baisers …

Ludo : Retourne toi !

Je m'exécutais, je me retournais et me penchais sur le lit. Il se penchait sur moi, me couvrait de baisers sur les épaules, le cou. Il me caressait, ses mains se promenaient sur tout mon corps, depuis mes épaules jusqu'à mes fesses en passant par mon dispositif de chasteté.

Sans plus attendre il me lubrifiait me cul et je sentais une pression contre mon anus, une pression de plus en plus forte. Il me tenait fermement par les hanches et me tirait vers lui. Là je sentais mon anus se dilater, une légère douleur puis un immense plaisir, un plaisir profond, profond dans mes entrailles. Ma tête tombait en avant et je gémissais de plaisir.

Il se penchais contre moi et me prenait dans ses bras, il se relevait, je me relevais aussi. La position changeait, la pression dans mon cul changeait et je gémissais de plus en plus fort, le plaisir montait d'un cran supplémentaire.

Je passais mes bras dans mon dos, juste pour le plaisir de sentir sa peau. Je tournais le visage vers lui, il m'embrassait. Doucement son corps se balançait de gauche à droite, je suivais le mouvement, c'était comme une danse qui m'arrachait des cris de plaisir. Il penchait son visage vers le mien, je l'embrassais.

Sa queue se déplaçait doucement à l'intérieur de mon corps, me massais l'anus, me massait la prostate avec une infinie douceur, avec d'infinis mouvements lents et doux. Je frémissais de plaisir. Ma queue ne me tourmentait plus, elle prenait toute la place disponible et en aurait certainement pris bien d'avantage si elle avait eu le choix mais c'était sans espoir. Ma queue remplissait bien le dispositif mais sans pression excessive pour autant, une grosse molle qui pendait lourdement devant moi.

Ludo s'assurait que tout allait bien de ce côté en me tripotant les couilles, je sentais sur ses lèvres un sourire quand il faisait cela. Nous étions debout et il me tirait vers lui ce qui m'obligeait à me cambrer. C'est à ce moment qu'il ressortait sa queue, juste un peu, puis l'enfonçait de nouveau bien à fond. Il poussait alors son ventre contre mes fesses et ce mouvement m'arrachait des cris de plaisir. La position amplifiait le plaisir c'était de la folie, je jutais, je jouissais. Je jutais sans mes mains que j'avais passé dans mon dos. Je jutais sans ses mains qu'il promenait sur mon torse.

Pas de violence, pas de mouvements violents, de la force et de la douceur et c'était le pied. Ma respiration était irrégulière, un long filet de sperme coulait de ma cage en me laissant à la fois une impression de pisser ou d'éjaculer. C'était une nouvelle sensation pour moi ça, et quand il a éjaculé en moi il n'a pu retenir quelques mouvement un peu plus violents qui m'ont arraché de petits cris de plaisir, comme des plaintes.

Je m'écroulais alors sur le lit, en sueur et tremblant de bonheur, il suivait le mouvement et s'écroulait lui aussi, sur moi, il était toujours en moi. On restait là sans bouger encore un long moment. Un peu plus tard il se retirait, je soupirais de plaisir, on passait sous la douche, encore quelques câlins, on se rhabillait et je faisait route vers la maison, le cœur léger et parfaitement détendu.

Tout le monde était à table, ils ne m'avaient pas attendu. Les barbares !

Bob : Ah te voilà toi ! Décalage horaire ?
Moi : Décalage horaire !

Chez mon père ça aurait fait un drame, surtout que je ne m'étais pas changé, j'étais en tenue de motard. Mais j'avais faim, et j'ai mangé de bon cœur.

Luc : Tu sais Philippe j'ai contacté la PK pour leur expliquer ton problème.
Moi : Oui.
Luc : Il vaut mieux, comme je te le disais …
Moi : Tout à fait !
Luc : … Donc ils vont m'envoyer …
Moi : Très bien …
Luc : Dans deux jours …
Moi : C'est parfait …
Bob : Tu as l'air de bien le prendre ?

Je relevais la tête, regardais bob puis Luc …

Moi : Vous disiez quelques chose ?
Bob : Luc, il y a des jours ou je renonce à comprendre ton neveux !

Évidement le lendemain j'étais un peu plus impatient mais ça ne devait durer que deux jours et deux jours plus tard …

Luc : Un léger retard de rien du tout nous recevrons le matériel demain et on pourra te retirer ton dispositif mon petit bonhomme !
Moi : Ouai, des promesses, toujours des promesses !

Je devais partir pour mon interna, j'avais toujours le dispositif sur moi !

Moi : Mais tonton Luc je comptais vraiment sur toi ! Tu ne me laisses pas tomber ? Dis ! Tu me le jures ?
Luc : C'est promis, je passe te voir en personne très vite je te le jure !

J'arrivais à mon interna, j'y retrouvais mes camarades mais je peux vous garantir que je n'avais pas le sourire. Je tombais sur Théo qui était ravis des vacances qu'il avait passé.

Théo : Au fait Philippe, ton oncle Luc m'a donné un petit truc pour toi la dernière fois que je l'ai vu. Il a bien insisté …

Théo me donnais une petite boite, je l'ouvrais et j'y découvrais une clé et une lettre :

'' Mon petit Philippe, il faut que tu saches que l'appellation ' dispositif à clé unique ' ne signifie qu'une chose : une seule clé est donnée au client ! Il est toutefois possible d'obtenir une autre clé sur demande avec le numéro de série du dispositif. A la maison nous avons toujours un double de la clé. On aurait donc pu l'ouvrir le premier jour !
Alors soit mignon mon petit Philippe et ne joue plus avec ce genre de dispositif si tu ne veux pas y rester coincé un jour pour très longtemps.
Tes oncles qui t'aiment : Luc/ Bob ''.

...

Voilà qui conclut la seconde saison des tribulations du jeune Philippe. Une troisième saison est en préparation mais il faudra faire preuve d'un peu de patience …




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast

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