L'expo photo ( ep 1 à 3 / 3 )

L'EXPO PHOTO 1



Vous avez vu la dernière expo photo au ' Musée d'expression photographique néo-moderne ' ?

NON !

Alors là vous avez loupé quelque chose, mais il n'est pas trop tard, l'exposition dure encore jusqu'à la fin du mois prochain. Je vous la conseille, c'est superbe et je ne dis pas ça parce que j'y suis en photo … Si, si j'y suis exposé !

Bon évidemment je suis pas tout seul. Il y a plein d'autres mecs en photo,  c'est que du noir et blanc, c'est superbe. J'y suis allé l'autre jour avec Bernard. Bernard c'est mon doudou, ou alors c'est moi son doudou. Enfin c'est quelque chose dans le genre en tous cas.

Je l'avais prévenu que j'étais en photo, il voulait absolument me voir.

Bernard : On ne se connaissait pas encore à l'époque ou tu as posé ?
Moi : Non, nous nous somme rencontré bien plus tard.

L'exposition se tenait dans plusieurs salles.

Dans la première on montrait sur chaque photo un couple d'hommes. Les deux partenaires se ressemblaient, nous avions été sélectionnés pour cela. Mon partenaire me ressemblait tellement qu'on aurait cru mon jumeau, enfin sur la photo, en vrai il me ressemblait un peu sans plus.

On avait la même coupe de cheveux, c'était fait exprès. On avait la même silhouette, la même musculature. Je ne suis pas particulièrement musclé, j'ai un silhouette mince, une jolie petite fourrure fine châtain clair sur tout le corps. Il était comme moi. Même taille, un visage un peu ovale, tout comme moi. Nous avions la même musculature, pas terrible je sais. Mais même si je ne suis pas un musculeux je ne suis pas ridicule pour autant.

Il y a même des filles qui se retournent dans mon dos ! Heureusement pour moi il y a aussi des mecs, c'est que je préfère moi … Les mecs je veux dire parce que les filles, on me dit souvent que je ne sais même pas comment ça s'écrit …

Sur la photo, sur chaque photo et sur toutes les photos, les modèles posent dans la même position. Debout les bras croisés, côte à côte, le regard droit vers l'appareil photo, les spectateurs peuvent ainsi croiser le regard des modèles. Ils gardent les jambes légèrement écartées, un léger sourire et un nu intégral frontal.

Il y avait des garçons grand, petits, trapus. Certains étaient musclés, d'autres plus rachitiques. Nous on était dans la moyenne. Il y en avait des black, des roux, des métis … Il y en avait pour tous les goûts. C'était troublant, tous ces corps nus, sur chaque photo les deux modèles se ressemblaient tellement, ils avaient même une bite de même taille.

Là aussi il y en avait pour tous les goûts, il y avait des mec qui en avaient une toute petite, d'autre une grosse, une longue, une mince, une grosse longue … Avec mon collègue, sur la photo, on était dans la moyenne … Dans la moyenne mais mignons !

On s'est arrêté devant un duo, deux mecs rouquins, ils en avaient une, je ne vous dit pas. En érection ils devait donner dans la catégorie plus de vingt centimètres. Mais là personne n'était en érection. Tous avaient une bite qui pendouillait mollement entre leurs cuisses légèrement écartées.

Avec Bernard nous nous attardions quelques instants sur chaque photo. On arrivait à ma photo mais il ne me reconnaissait même pas. Je m'y attardais plus longtemps et c'est là qu'il réagissait.

Bernard : Mais c'est que tu es mignon sur cette photo avec ton sosie !

Je me souvenais du jour ou on avait pris cette photo. Il y avait toute une équipe, deux maquilleurs, trois autres personnes qui tenaient les réflecteurs, s'occupaient de l'éclairage, le photographe bien sûr, encore un assistant qui portait les appareils photo … Le décor était sobre, en arrière plan un mur gris peint à l'éponge ce qui donnait un rendu irrégulier.

Les photos étaient prises individuellement, je veux dire par là que pour chaque prise de vue il n'y avait qu'un couple présent. Je n'avais jamais vu les autres duos, personne ne s'était rencontré. Les personnes qui avaient posé ne connaissaient que l'équipe du studio.

Les souvenirs me revenaient. On m'avait recruté dans un bar. Le photographe m'avait abordé et m'avait demandé si j'accepterais de poser nu en duo et de me faire enculer … Je vous rassure le bar était une club privé. Et il rajoutais aussitôt … '' Enculer mais pas sur la photo, ça, ça restera privé ''.

Il avait l'air rigolard, le lascar … Je ne l'ai pas pris au sérieux mais c'est ma curiosité qui lui répondait et je voulais en savoir plus … Il me racontait sommairement le projet. Il ne me disait pas tout, et ne me cachait pas qu'il faudrait lui faire confiance et qu'il y aurait des surprises amusantes.

Moi : Donc poser nu et se faire enculer ?
Lui : Ouai !
Moi : Et tout ça juste pour rigoler ?
Lui : Tout à fait !
Moi : Mais j'adore ça moi je suis partant !

Il voulait voir ma bite, je me levais et la lui montrait. Ça faisait rigoler tout le monde dans le bar …

Sans doute rassuré de voir que ne n'étais pas trop timide il m'avait recontacté trois semaines plus tard, il m'expliquait qu'il fallait me trouver un partenaire compatible pour la photo. C'était fait et si personne n'avait d'objection on pouvait procéder, on fixait un rendez-vous.

Je me retrouvais aux studios, dans une salle d'attente autour de la machine à café je rencontrait une jeune homme de mon âge, j'ai les cheveux mi courts, il avait les cheveux long. On faisait la même taille, la même carrure. Mais comme je vous disais je suis dans la moyenne et à part ça je ne voyais pas vraiment de ressemblance.

On faisait connaissance, il avait été recruté dans une boite de nuit. Le photographe ne nous faisait pas attendre bien longtemps, il nous recevait et nous présentait à l'équipe. On discutait un moment puis …

Le photographe : Bien … Vous pouvez vous déshabiller maintenant.

On ne cachait pas notre amusement, puis on retirait nos vêtements sans se compliquer la tête d'avantage. Évidemment à  poil je trouvais que mon double me ressemblait un peu plus. On avait la même carrure, la même fourrure, le même sourire la même queue et rapidement on s'en amusait. On passait entre les mains du coiffeur puis sous la douche pour faire disparaître les cheveux qui traînaient, les maquilleurs arrivaient juste après, un peu de poudre de je ne sais quoi sur les épaules, sur le nez. Un petit coup de brosse douce sur la fourrure, on rigolait avec Eric ( mon jumeau ) mais quand à la fin de tout ça on s'est regardé dans un miroir, on ne rigolait plus, on était bluffé. On était devenus de vrais jumeaux.

On était face à un miroir et on s'amusait à prendre la pose. Le photographe nous regardait faire, il avait lui aussi un sourire amusé. Il nous invitais à prendre place. Suivait une longue suite prise de vue, il nous demandait de nous déplacer vers la droite, un peu à gauche, parfois de quelques millimètres. Le regard devait être droit, le sourire à peine visible. Il voulait que nos coude ne se touchent pas mais se frôlent, à peine. Il nous interdisait formellement de bander, ça nous faisait rire mais on obéissait.

Je suppose qu'il y en a eu d'autres qui ont eu du mal, qui devaient s'exciter un peu. Quand plusieurs photos semblaient bonnes on nous invitait à prendre une douche rapide pour retirer le peu de maquillage qu'on avait sur le corps.

On revenait sur la piste.

Le photographe : Bien maintenant j'aimerais que vous baisiez ensemble !

Eric et moi nous regardions. On pouffait de rire.

Le photographe : Le mieux serait que chacun encule l'autre au moins une fois et que chacun jouisse au moins deux fois.

Eric et moi étions pliés de rire.

Eric : Il m'avait dit qu'il y aurait une surprise.
Moi : C'est ça la surprise ?
Le photographe : En  partie, en partie seulement …

Je me retournais vers Eric, je ne riais plus et déjà je commençais à bander.

Le photographe : C'est parfait Charly, toi tu bandes déjà. Maintenant c'est à toi Eric, on n'attend plus que toi.

Il commençait à bander lui aussi, là, moi je bandais ferme. Ma queue se relevait presque à la verticale. Eric n'hésitait pas, se mettait à genoux et me suçais la queue. Il savait y faire, avec la main il me décalottait, et avec la langue il me donnait une caresse d'une grande douceur. Je baissais les yeux, je le regardais faire, il relevait les yeux, nos regards se croisaient et j'avais l'impression de bander encore plus fort.

Moi : Et vous ne photographiez pas là?
Le photographe : Non. C'est autre chose que je veux photographier. Mais pour que ça marche il faut que vous ne sachiez rien de ce projet et que vous me fassiez confiance.



Le photographe : Charly, tu pourrais enfoncer ta queue complètement dans la bouche d'Eric …

Je lui jetais un regard de surprise mais je lui faisais confiance, Eric aussi. J'appuyais sur la tête d'Eric qui ne résistait pas et ma queue s'enfonçait lentement sur toute sa longueur. Eric fermait les yeux, je voyais que pour lui ce n'était pas  trop facile mais il encaissait. Il encaissait bien même, quand ma queue ressortait, il me la masturbait un moment et y revenait. De nouveau il me la prenait en entier dans la gorge.

On échangeait les position.

Lui debout, moi à genoux, j'y mettais toute ma douceur, je voulais faire au moins aussi bien que lui. Je prenais sa queue bien à fond, avec douceur il m'appuyait sur la tête et commençait à donner des coups de bassin. Doucement il se lâchait, doucement il commençait à apprécier vraiment la situation. On était resté sur une sorte de réserve, mais là il se lâchait, je n'avais plus qu'à faire de même.

Quand on échangeait de nouveau de position. Je ne me retenais plus, je le laissais me sucer avec douceur puis sans prévenir lui enfonçait ma queue bien à fond dans un mouvement rapide et ferme.

Autour de nous on applaudissait. On n'avait pas fait attention mais toute l'équipe s'était installée autour de nous. Chacun avait pris une chaise et regardait le spectacle qu'on leur offrait. Ça me faisait rire. Mais je continuais mes mouvements et ma queue s'écrasait au fond de la gorge d'Eric.

Il se relevait, on s'embrassait, on se caressait. Chacun goûtait l'autre avec sa bouche, ses lèvres, sa langue. Il me mordillait dans le cou, je lui pinçais doucement les tétons. On oubliait de nouveau qu'on n'était pas seuls. On nous déroulait un tapis, et pas un petit truc ridicule mais quelque chose de très épais, de très moelleux, de très doux.

Enlacé l'un dans l'autre on s'allongeait. La position était plus confortable. On pouvait rouler l'un sur l'autre, on ne s'en privait pas. Ma bouche partait explorer le corps de mon camarade, il en faisait de même et rapidement on se retrouvait en position de tête à queue. J'entendais quelques commentaires d'approbation dans le public. On avait de la chance c'était un bon public.

Je lui suçais la queue, il me tripotait les couilles. Je lui glissait un doigt dans le cul, il se contractait et m'écrasait les couilles avec sa main. J'y mettais deux doigts, il tirait alors sur mes couilles et me faisait un peu mal. Je je lâchais pas et agitais les doigts et frappais contre sa prostate. Toujours en tirant fort sur mes couilles il me gobait la queue et la suçait avec frénésie.

J'entendais de nouveau quelques commentaires d'approbation.

Moi : Lâche moi, je vais t'enculer.

Eric me lâchait, je retirais mes doigts. On était un peu mélangé mais on faisait le tri sans difficultés, il se retrouvait à quatre patte, le cul bien offert. Une main me tendait un flacon de gel intime … Ils gardaient leur sang froid dans le public et étaient organisés.

Je me lubrifiait, je respirais fort mon pote Eric aussi. Je prenais position et lui lubrifiais généreusement le cul. Puis, sans prévenir j'enfonçais ma queue bien à fond et terminais avec un coup de bassin violent. Eric gueulait, le public applaudissait.

J'attrapais fermement Eric par les hanche et le tirais vers moi avec force. Il gueulait de plaisir, de surprise, de douleur … Je ne sais pas mais à ce moment je m'en moquais. J'étais en sueur lui aussi. Je lui limais le cul avec force de plus en plus vite, mon ventre claquait contre ses fesses.

Il relevait le corps et se masturbait. Je ne m'arrêtais pas pour autant, je lui caressait la queue et je l'ai senti quand il a éjaculé. Il a alors passé ses bras dans mon dos comme pour me retenir, j'avais la queue bien enfoncée dans son cul et le masturbais longuement. Il gémissait, il tremblait, il s'abandonnait totalement à mes caresses. On ne bougeait plus.

On était essoufflé. On récupérait, puis je reprenais mes mouvements. Il râlait, me laissais faire et s'effondrait au moment ou je ressortais ma queue de son cul. Je jutais alors sur son dos, je gémissais fort de plaisir et le public applaudissait de nouveau.

On était en sueur, on respirait vite et fort …

Le photographe : Bonne première partie les filles ( des commentaires approuvaient ce qu'il venait de dire ) . Bon on passe à la suite, Eric c'est toi qui encule Charly maintenant.

Eric pouffait de rire puis d'un mouvement vif se dégageait, se retournait, me déséquilibrait, me renversait sur le dos et me sautait dessus. Il bandait de nouveau, je ne débandais pas totalement. Il commençait par des gestes très doux, très câlins. Mais sa douceur ne durait pas. Quelques instants plus tard il avait posé mes cheville sur ses épaule, et me repliant totalement les jambes contre moi il me dégageait le cul. Je le sentais me lubrifier le cul, il posait sa queue contre mon anus et poussait.

Je hurlais de surprise et un peu de douleur. Il n'y prêtait pas attention et sans plus attendre il me limait le cul sans se retenir. Je lui caressais les bras, il me masturbait. Je bandais ferme à ce moment et lui aussi je peux vous le garantir. Je m'en rendais bien compte.

Il se lâchait l'animal et il me faisait payer le plaisir que je m'étais donné avec son cul. Son ventre claquait fort contre mes fesses. Il me masturbait avec une dose de gel. Je tremblais, je ne contrôlais plus ma respiration et gémissait au moment ou je jouissais, je crachais encore une bonne dose de sperme. Mon cœur tapait fort contre mes cotes et son ventre claquait fort contre mes fesses.

Il gémissait à son tour et terminait par quelques cris quand il jouissait dans mon cul. Ensuite il dégageait mes jambes que j'enroulais autour de sa ceinture, je le retenais un petit moment, le temps de reprendre mon souffle, il finissait pas se dégager. Il restait un moment allongé sur moi. On respirait fort, on avait oublié le public.

Le photographe : On en reste là les filles ?

Tout le monde éclatait de rire. Eric se relevait et me tendait la main pour m'aider à me relever également.

Le photographe : Bon sans attendre on fait la seconde photo. Vous reprenez la pose, la même qu'au début.

En quelques secondes tout était rangé, le tapis, les chaises qui formaient un cercle autour de nous, chacun était à sa place. On ne nous donnait aucune consigne pour les expression du visage, sauf pour le regard, toujours droit vers l'appareil photo. Les pieds au même endroit, nos coudes devait se toucher et nos épaules aussi.

Pour y parvenir on se penchait l'un ver l'autre. Le photographe voulait que le contacte de notre bras de l'épaule au coude fasse une ligne droite parfaitement verticale au milieu de la photo. Cette seconde séance photo était plus courte que la première.

Je me souvenais de cette photo. Nous étions en sueur, nos deux queues n'avaient pas totalement débandé, on devinait qu'il avait du se passer quelque chose à ce niveau et surtout, nos regards étaient totalement différents. Nos yeux, toujours fixés à la caméra n'exprimaient plus du tout le même sentiment que sur la première photo.

Dans cette première salle du musée il n'y avait que la première photo. La seconde se trouvait dans la seconde salle d'exposition, avec les autres …

Bernard prenait le temps d'admirer les cinquante photos, on avait fait le tour de la première salle .

Moi : Allez on passe à la deuxième salle ?



L'EXPO PHOTO 2



On passait tranquillement dans la seconde salle. Bernard avait un large sourire, il avait bien aimé la première série de photo. Cinquante photos, cinquante duos qu'on pouvait aussi appeler couples. Cent modèles sur la totalité des photos.

Dans la deuxième salle les photos étaient exposées deux par deux. Pour chaque duo il y avait la seconde photo et à côté une troisième, la troisième série. Je les avais vues au moment ou on les avait réalisées. Elles étaient brutes à ce moment là , mais pour l'exposition les photos avaient été retravaillées.

Comme je vous l'ai raconté la seconde série nous montrait après avoir fait l'amour, nous n'avions pas eu le temps de nous doucher, de nous apprêter, de nous préparer, nous n'avions même pas eu le temps de nous reposer ou de reprendre notre souffle. Ça se voyait, notre expression n'était plus du tout la même que sur la photo de la salle précédente.

Bernard regardait les photos de la seconde série, il les trouvait troublantes. Le regard des personnages sur les photos avaient changé.  Il était plus trouble, plus perturbant. Les spectateurs du musée ne savaient pas ce qui s'était passé entre les deux séries.  Ils ne savaient pas que les personnages sur les photos avaient baisé. S'étaient donné du bon temps, et s'étaient fait jouir au moins deux fois.

Toutefois on percevait parfaitement le trouble qui se dégageait de cette seconde série de photo. L'ambiance de l'exposition avait changé, le ton était plus lourd, on ne parlait plus aussi fort.

A droite de chaque photo de cette deuxième série il y avait donc une autre photo d'une troisième série.

Je me souvenais avec une très grande précision du moment ou on prenait cette troisième photo. Quelques minutes séparaient la deuxième photo de la troisième.

Le photographe ne nous avait pas laissé le temps de reprendre notre souffle après la deuxième série de photo. Il nous avait apporté à Eric et à moi un dispositif de chasteté PK Sécure , un modèle céramique. Son reflet blanc mat serait du meilleur effet sur les photos en noir et blanc.

Le nom céramique n'a rien à voir avec la céramique qui nous sert pour la vaisselle. C'est à sa couleur que ce modèle doit son nom. Il avait été choisi un modèle mat, pour éviter tout reflet brillant sur la photo.

C'était ça la surprise ?

Eric et moi éclations de rire. Alors c'est à cela que nous devions ressembler sur la dernière photo. J'en revenais pas. J'avais souvent penser à ce dispositif, je n'en avais jamais essayé un mais … Qui n'y a pas pensé au moins un jour.

Reconnaissez qu'avec toute cette propagande qu'on fait autour de ce dispositif vous aussi vous y avez pensé. Moi j'avais jamais osé sauté le pas …

On commençait juste à reprendre notre souffle que déjà il nous en manquait tant on riait. Remarquez ça nous faisait débander totalement. Je passait mes couilles dans l'anneau de maintient, ma queue devenue toute molle suivait sans résister. C'est toujours en rigolant que j'ajustais l'anneau, Eric faisait comme moi. On se regardait faire l'un l'autre.

Puis le ton devenait un peu plus grave au moment de glisser sa queue dans la cage. C'était un tube aéré, qui permettait une hygiène parfaite ce qui n'obligeait pas le porteur de retirer le dispositif … jamais …

On pouvait garder le dispositif en permanence vingt quatre heures sur vingt quatre sans limite dans le temps. Ça me faisait tout drôle d'y penser. Mais bon c'était juste pour la photo. Et en même temps j'allais satisfaire un peu à ma curiosité. Je prenais une longue inspiration pour tenter de rester calme et pouffais de rire au moment ou je glissais ma queue dans la cage.

Bon c'était pas bien grave, ça marchait quand même. Eric était dans le même état que moi, il se marrait comme un pingouin. Autour de nous toute l'équipe rigolait, on nous donnait la clé sur laquelle il y avait le cadenas. Je glissais le cadenas dans la fente, verrouillais et rendait la clé à l'accessoiriste.

Avec Eric on se regardait dans le miroir. Peu à peu à la demande du photographe on reprenait notre calme et on prenait la pose pour la troisième photo.

Le photographe tenait absolument à ce que la photo soit identique à la première, je veux dire notre position et il nous a fallu près d'une heure pour obtenir un résultat satisfaisant.

A côté de la précédente, dans cette salle d'exposition, cette photo qui au départ m'avait parue amusante prenait un tout autre relief. Dans le regard qui ressortaient de la photo on pouvait voir maintenant un peu d'angoisse, sur certains visage on croyait pouvoir lire un peu de panique même.

Plus la séance photo avait duré dans le temps plus la question se posait dans la tête des modèles … Combien de temps cela va-t-il durer ? Et si ça devait durer ? On ressentirait quoi si on ne pouvait plus le retirer ?

Certains visages semblaient rassurés, d'autres affolés.

Dans cette seconde salle d'exposition ce n'était plus que murmures. Si dans la première on parlait, on commentait, on ne se privait pas d'exprimer ses impressions à haute voix, dans cette seconde salle on préférait murmurer, seulement murmurer.

Il restait une dernière salle. Avant d'y entrer je me remémorais la suite de la séance photo. Eric et moi nous retrouvions donc, toujours à poil, avec un dispositif de chasteté masculin sur nous. Les deux maquilleurs s'étaient déshabillé et s'approchaient de nous.

Eux ne portaient pas de dispositif de chasteté et déjà ils bandaient. Je sentais la main de l'un qui me caressait le torse en s'attardant sur mes tétons. Déjà je bandais, enfin, déjà je sentais ma queue qui tentait de prendre du volume. Elle poussait contre les parois de la cage qui résistait. La sensation n'était pas vraiment désagréable, c'était seulement bizarre. Je sentais cette pression a la fois forte et douce contre toute la longueur de ma queue.

Forte car le dispositif résistait, douce ça c'était sans douleur. Ce n'était même pas inconfortable, enfin pas vraiment inconfortable … Il m'embrassait, je lui rendais son baiser, il continuait à me caresser tout le corps, j'en faisait de même.

Quand il appuyait sur mon épaule je comprenais ce qu'il voulait et sans attendre je me mettais à genoux et lui suçait la queue. Il en avait une belle, pas géante mais une belle. Elle rentrait rapidement bien à fond dans ma gorge. Il appuyais sur ma tête et me donnait des coups de bassin. J'étais un peu surpris mais j'encaissais.

Ce jeux devait durer un moment, d'un œil vers ma droite je pouvais constater que Eric subissait le même traitement. Son partenaire se retirait, Eric reprenait son souffle, et se plaçant en position enfonçais sans ménagement sa queue dans le cul de mon camarade. Un technicien ou je ne sais qui prenait place devant Eric et lui enfonçait la queue bien au fond de la gorge.

Le garçon devant moi se retirait et se plaçait juste derrière moi … Quelque instant plus tard je me faisait limer le cul et la bouche avec force. Il m'avait défoncé le cul sans ménagement lui aussi. Quand au mec que je suçais, je ne savais même pas qui c'était. C'était  un des membres de l'équipe, c'est tout ce que je savais.

Lui aussi il mettait du cœur. Il tirait sur ma tête et avançait son bassin avec force. Je sentais sa queue s'écraser contre ma glotte, je sentais l'autre queue m'envahir, me remplir jusqu'au nombril. Ce n'était pas vraiment douloureux, j'avais été bien élargi par mon camarade Eric un peu plus tôt, mais je le sentais passer.

Je sentais mon anus dilaté, à chaque mouvement je sentais ma prostate écrasée et je sentais je ne sais pas quoi au milieu de mon ventre, c'était dur et un peu douloureux tout de même. J'ai adoré, j'en voulais encore. Chaque mouvement de va et viens me massait l'anus, le plaisir montait.

Les coups sont devenus plus violents et vraiment très rapide juste avant qu'il ne jouisse dans mon cul en gueulant très fort. Il se retirait alors, se faisait remplacer pas le mec que je suçais et un troisième le remplaçais.

Un court instant je pouvais regarder autour de moi. Eric avait  une bite dans le cul et une dans la bouche. Il avait du mal à suivre mais il encaissait, que pouvait-il faire d'autre …

Il y avait le photographe, a poil, confortablement installé sur une chaise. Le mec qui venait de m'enculer s'installait à côté de lui pour se reposer un peu, un autre venait prendre sa place. Lui il en avait une grosse, et je commençais à me demander comment je pourrait me la prendre dans la bouche  celle là. Lui, ça ne semblait pas le préoccuper.

Il se posait juste devant moi et … '' Bien on ouvre grand la bouche et on range les dents . ''. J'ouvrais la bouche il me l'enfonçait dans la gorge avec violence. Il appuyait sur ma tête et poussait avec son bassin.

J'ai bien cru que j'allais étouffer là. Il poussait fort, il se retirait puis revenait sans se retenir. Il fallait que ça rentre, ça devait rentrer, ça rentrerait et ce n'ait pas vraiment rentré ! Je me déboîtait la mâchoire pour le satisfaire mais il râlait, il trouvait que je pouvais faire mieux.

Les coups que je recevais dans le cul devenaient soudainement plus rapide, très rapides, plus violents, très violents. Le mec qui me limait le cul allait jouir, il gémissait de plaisir et le dernier coup qu'il me donnait me propulsait en avant et j'en prenais plein la bouche.

Sans plus attendre le mec devant moi se plaçait derrière moi. Il bandait ferme et je commençais à m'inquiéter. Sans ménagement il poussait sa queue contre mon anus, comme pour la bouche il fallait que ça rentre, ça devait rentrer, ça rentrerait et c'est rentré. Non sans douleur pour moi mais c'est rentré.

Il a poussé bien à fond, directe sans plus de précautions pour moi. J'avais été bien dilaté mais je vous jure que je l'ai senti passé. Le photographe était assis en face moi, totalement nu, les jambes écartées. J'ai pas compris tout de suite mais il portait lui aussi un dispositif de chasteté. J'ai cru voir un éclair argenté et doré à la fois. Juste avant qu'un mec me rentre sa queue dans la bouche et ne se mette à me limer la bouche sans ménagement.

Je manquais d'air, je pleurais, je voulais gueuler mais j'étais comme bâillonné. Je fermais les yeux et j'encaissais. On ne me demandais plus mon avis. J'étais devenu un jouet sexuel entre les mains de toute l'équipe photo.

A ce moment je me demandais vraiment ce que j'étais venu faire ici. J'aime bien me faire défoncer le cul mais il étaient six, et tout comme il nous l'avaient demandé au début, chacun allait jouir deux fois. Ce dernier mec qui me limait la bouche avait déjà enculé Eric, il se retirait et se masturbait devant mon visage.

J'en profitais pour reprendre mon souffre et me réajuster la mâchoire. Je recevais toujours des coup de butoir dans le cul. Là je ne savais plus qui c'était, qui était qui et qui faisait quoi. D'un coup d’œil je remarquais qu'Eric était dans la même situation que moi. Il avait une tête à faire peur. Je recevais une giclée de sperme dans la figure, puis une autre et enfin une troisième.

Le mec retournait s'asseoir, je pouvais constater que le photographe en effet portait lui aussi un dispositif de chasteté. C'était un modèle en métal argenté et doré … Je ne pouvais pas y croire, il ne porte tout de même le fameux modèle PK OR. Celui qu'on ne peut pas retirer … Jamais … Il est riveté  et n'a pas de serrure ?

On m'enfonçait de nouveau une belle bite dans la bouche, je ne savais plus ou j'en étais. Je ne savais plus à qui j'avais affaire. Quelques coups violent contre mes fesses m'indiquaient que quelqu'un jouissait dans mon cul, je recevais encore une giclée de sperme dans la figure.

On finissait pas me lâcher, je m'écroulais sur le sol. Eric en était déjà là. Il était allongé, il me regardait, le rictus sur son visage devait être un sourire, j'avais mal au cul et à la mâchoire. Eric avait une tête à faire peur et je devais être dans le même état.

Le photographe ne nous laissait récupérer que pendant quelques minutes seulement.

Le photographe : Bien les filles, maintenant on va faire la dernière photo.

On se relevait comme on pouvait, il nous autorisait à nous essuyer devant le miroir mais uniquement avec les mains, le résultat était épouvantable. C'est ainsi qu'il voulait qu'on soit.

On prenait la pose. La dernière photo était faite rapidement. Nous prenions la même position que pour la première photo, le regard toujours droit vers l'appareil photo. Pour le reste il ne nous donnait que des consignes sommaires. Les bras croisés, le regard fier …

Mais là par contre on avait une tête de zombies …

La photo terminée, on passait à la bouche, j'avais presque du mal à rester debout, j'étais sonné. J'étais un peu endolori, la mâchoire, le cul mais j'étais surtout sonné. J'avais joui, je ne sais pas comment mais j'avais joui. Je me demandais si j'avais éjaculé ou pas. Je ne le savais même pas. Par moment c'était le pied, par moment c'était l'horreur. Par moment javais voulu que ça ne s'arrête jamais, à d'autres moment je voulais me sauver, me dégager et m'enfuir.

Peu à peu le calme revenait dans mon corps et dans mon esprit. Je laissais l'eau couler longuement sur mon corps. Eric était sorti de la douche avant moi. Je le retrouvais il regardait les premières épreuves des photos. Il s'était séché et était à poil au milieu de l'équipe photo. Tout le monde s'était déjà habillé et était très présentable. Il y avait d'autres douches dans le studio. 

Eric et moi étions les seuls à être encore à poil. Je le rejoignais et regardais moi aussi les épreuves. Mon dispositif de chasteté ne me gênait pas du tout, au contraire même je trouvais très agréable cette pression autour de ma queue, l'objet était en titane et on ne sent pas vraiment le poids de l'objet qui est très léger.

On se rhabillait.

Eric : La surprise c'est que le truc, on le garde. Le photographe nous en fait cadeau, c'est super non ?

Je faisais oui de la tête mais je ne vous cacherai pas qu'à ce moment j'étais sonné et je ne réagissais pas vraiment à ce qu'il me disait. On était en fin d'après midi et le photographe nous invitait au restaurant. Dans l'état ou j'étais je ne comprenais plus tout à fait ce qui m'arrivait. Mais c'était cool, je me sentais bien, très bien !



L'EXPO PHOTO 3



Bernard paraissait amusé par la troisième série de photos. On passait dans la salle suivante, la dernière. La réaction des visiteurs semblait mitigée. Certains semblaient choqués, d'autre ne cachaient pas une certaine indignation. Tout le monde avait deviné la situation. Tout le monde comprenait qu'on venait de partouzer juste avant la photo. Juste avant cette quatrième photo. 

C'était presque un silence pesant dans cette dernière salle. En plus des expressions de surprises on devinait que certains étaient tout simplement scandalisés. Sur les photos, les modèles avaient  une tête de mort-vivant. 

Les yeux regardaient toujours la caméra mais cette force et cette tranquillité  qui avaient caractérisé la première photo en particulier avaient disparu du regard. Le regard était perdu dans le vide. La pose était un peu moins droite et si les bras étaient croisés ils n'inspiraient plus la stature du début, sur la première photo. Les cheveux étaient collés sur le crâne avec un gel dont on devinait la nature suspecte qui laissait aussi quelques traces sur les visages.

Bernard était un des rares à en rire de bon cœur. Il faut bien dire aussi qu'il s'amuse d'un rien. Moi aussi je m'amusait de la tête qu'on avait tous, dans ma mémoire, ce souvenir était un peu flou. A ce moment de la séance photo j'étais un peu perdu dans mes pensées, dans mon plaisir, j'avais pris un pied terrible. Bon d'accord j'avais mal au cul, j'avais mal à la mâchoire mais j'avais pris mon pied, même si ça avait été violent. 

Comme prévu un peu plus tôt, toute l'équipe descendait au restaurant. Il y en avait un pas très loin, un endroit sympa. On y mangeait bien, je buvais quelques verres de vin et rapidement je sentais que j'allais m'écrouler aussi je ne traînais pas. J'étais le premier à me retirer. Cet après-midi complet avait été épuisant, riche en rebondissement mais épuisant. 

J'appelais un taxi et rentrais directement chez moi ou je me couchais sans attendre. 

Le lendemain je me réveillais très reposé, j'avais cette gêne au niveau de ma bite et une petite douleur juste en dessous de mes testicules. Je glissais ma main et c'est seulement là que je réagissais, j'avais toujours sur moi le dispositif que le photographe nous avait donné.

Je me souvenais, Eric m'avait dit qu'on gardait le dispositif et je l'avais toujours sur moi. Je ne me souvenais pas qu'on m'ait donné la clé de ce truc. Je sortais du lit et passait directement dans la salle de bain. Là je restais un long moment à me regarder. C'était un truc de fou. 

C'était à la fois inquiétant et séduisant. Inquiétant parce que j'avais entendu parlé de la solidité de ces dispositifs et je savais qu'on ne le découpait pas avec une simple petite scie à métaux. Séduisant parce que je me trouvais terriblement sexy avec ce truc sur moi, ça me faisant bander encore plus. 

Oui encore plus, j'avais déjà l'érection du matin et je rajoutais une stimulation érotique que je ne contrôlais pas. La pression dans la cage devenait infernale, désagréable mais pas douloureux non, ou alors à peine. Un petit peu tout de même la ou l'anneau de maintient appuie. 

Je ne bougeais plus, je me regardais et je me souvenais de la journée de la veille. Ça avait été une journée de fou. Mon sentiment était mitigé lui aussi. Par moment je regrettais d'avoir participé, par moment je me disais que je m'étais bien éclaté et j'étais prêt à recommencer. Mais il fallait que je parte au travail, je ne pouvais pas traîner.

Je m'habillais rapidement, le dispositif est décidément bien étudié, sous des vêtements normaux il est totalement invisible. Sous des vêtements moulants je supposais qu'on devait le voir ou au moins deviner sa présence. Il ne gênait pas les mouvements. Au bout d'un moment je n'y pensais plus et je ne ressentais plus aucune gêne. Par contre il ne fallait pas grand chose pour que l'objet se rappelle à la mémoire et là je le sentais, je le sentais bien. Je ne sentais alors plus que ça. 

Je ne sais pas combien de fois l'objet s'est rappelé à ma mémoire dans la journée. Au moment ou je m'installais à mon bureau, au moment ou je m'approchais d'une table que ma cuisse s'appuyait contre le rebord de la table, là je sentais quelque chose de dure entre mes cuisses. 

Je ne sais pas combien de fois j'ai bandé en ressentant ce truc sur moi pendant cette première journée, mais rien n'était visible.

Je finissais par m'en amuser et je n'en tenais plus compte. J'ai débauché tard ce jour là, je suis passé voir au studio photo mais il n'y avait personne. Au bout de vingt quatre heures je commençais vraiment à avoir envie de le retirer …

Ça voulait dire quoi ce qu'il avait dit Eric la veille '' le truc on le garde '' ? Ça voulait dire quoi ? Il avait dit quoi exactement le photographe ? '' On peut le garder ''  ou '' on le garde '' . Moi je veux bien le garder ce sera un nouvel amusement érotique amusant ( excusez moi pour le pléonasme mais là je commençais à ne plus penser uniquement avec ma tête ), mais dans ce cas alors il faut pouvoir le retirer à volonté … 

Et si il a dit '' on le garde '', si ça veut dire qu'on n'a pas le choix … Là évidemment un peu plus discutable … 

Durant les jours qui suivaient j'étais très occupé au boulot, je passais plusieurs fois au studio mais il n'y avait jamais personne. A la télé un soir ils parlaient de ce photographe ( il faut dire qu'il est célèbre ), il était parti en reportage à l'autre bout du monde et ne reviendrait pas avant on ne sais pas combien de temps, il n'y avait plus personne au studio !

Le week-end arrivait vite, je décidais de sortir. Il n'y avait aucune raison d'avoir honte de porter se genre de truc, vous savez une partie non négligeable de la population masculine de mon âge en porte un d'une manière permanente ou pas. J'en avais déjà rencontré plus d'un. Quand je dis rencontré je veux dire baisé ( Éh, éh ) ! Bernard n'était pas encore mon doudou, on ne s'est rencontré que l'année suivante. Je sortais dans un bar que je connaissais bien, j'y retrouvais des amis, on me présentait un mec qui était de passage dans la région. 

En temps normal je l'aurais enculer celui-là. Il était bien bâti, bien large, plus d'une tête de plus que moi et je fais tout de même mon mètre quatre-vingt. Il avait l'air bien costaud. Je sentais ma bite qui protestait dans sa cage. Ça faisait maintenant cinq jour qu'elle n'avait eu aucune liberté, même pas conditionnelle !

Toby, tout le monde l'appelait Toby, je suppose que ce devait être un surnom. A un moment dans la soirée je l'ai entendu, il parlait avec un de mes amis.

Toby : Un dispositif de chasteté mais tu n'y penses pas ? C'est pas pour moi ça !

Je suis actif, sexuellement actif … Je m'exprime mal là, évidemment qu'à mon âge j'étais sexuellement actif … Je voulais dire que c'est moi qui encule ! Enfin je ne suis pas seulement actif, je suis aussi passif. On peut dire auto-reverse sans devenir trivial ? Ça correspondrait mieux à ma situation, à l'époque, je savais me retourner tout seul, et sans les mains …

Plus sérieusement, j'ai l'air de rigoler là mais je peux vous dire que ça commençait à me prendre la tête cette histoire. Ce qui ne m'empêchait pas de rentrer avec Toby ce soir là. J'avais passé la soiré à le regarder et il l'avait remarqué. 

On n'avait pas passé la porte de l'appartement qu'on se sautait dans les bras. Il était plus grand que moi, il était large, ses bras étaient bien musclés. Je me sentais tout petit dans ses bras.

Toby : Tu es plutôt actif ou passif ?
Moi : Actif ! … Euh ( la je réagissais que j'avais dit une connerie ) … Je serais plutôt passif en ce moment, en fait !

On arrêtait là nos discours et je commençais à le déshabiller, je m'en doutait, je n'étais pas surpris, il y avait du muscle. Je glissais mes mains sous sa chemise et lui caressais le corps. Il était totalement imberbe, tout comme moi … Enfin tout comme moi si je n'avais pas porté cette douce et légère petite fourrure châtain clair. En fait donc, pas du tout comme moi !

Mais ça ne dérangeait personne, j'aimais cette peau douce et lisse il aimait ma fourrure soyeuse. Je le couvrais de baiser sur le torse, il en profitait pour retirer sa veste et sa chemise que j'avais ouvert. Il me serrais contre lui et appuyait sa cuisse sur mon entre jambe, il me regardait avec un sourire de surprise complice, il avait compris.

Au moment ou il allait me retirer la veste je me laissais tomber à genoux devant lui et sans lui demander son avis lui ouvrais et lui baissait son pantalon. Il avait l'air un peu surpris, j'avais été rapide mais il ne tentait pas de m'en empêcher. Il en avait une grosse, j'avais espéré que tout soit à l'échelle, c'était le cas. Je savais que j'allais la sentir passer et j'en avais envie, une envie folle. Je vivais une période d'abstinence totale depuis plusieurs jours … 

Je prenais sa queue dans ma bouche et rapidement la suçait jusqu'à la garde. Là non plus il n'avait pas de poil. Tout comme moi, et là c'est pas une connerie … J'étais en manque, mon visage s'écrasait sur son ventre, il me caressait les cheveux, il n'appuyait pas sur ma tête il se contentait de suivre mes mouvements, j'appuyais ma tête tout seul, j'étais en manque et j'avais envie, j'avais une folle envie de cette queue. Un peu plus de vingt centimètres, c'est la longueur idéale. Un peu plus de cinq de large, c'est la taille idéale. 

Bon il faut savoir faire pour se prendre ça dans la gorge mais je sais faire, vous pouvez me croire. Je sais faire et je le lui prouvais. Son pantalon continuait à tomber sur ses chevilles, il s'en débarrassait d'un mouvement des pieds. Il était nu entre mes mains, je lui caressait les cuisses, les fesses, je le tirais vers moi quand je prenais sa queue au fond de ma gorge. Je remontais mes mains sur son ventre et lui dessinais les muscles du bout des doigts . 

Il me laissait faire un moment, je l'entendais gémir de plaisir. Puis, avec force et douceur il me soulevais en me prenant par les bras. Je me retrouvais devant lui. Dans ma cage de chasteté c'était la pression maximum. Ma queue protestait, se révoltait, c'était sans espoir mais elle ne voulait pas le savoir. Même là le dispositif n'était pas douloureux à porter, seulement désagréable et inconfortable.

Il me faisait un grand sourire, me donnait un baiser sur les lèvres et me retirait mes vêtements. Mes yeux parcouraient tout son corps, ses épaules carrées, ses bras fort, son torse musclé. Je lui caressais l'avant bras, je sentais la force de ses muscles et une très légère fourrure à peine perceptible.

Sa main passait sur mon torse et repoussait ma chemise qui tombait. Ses doigts se glissaient dans mon pantalon, l'ouvrait, il faisait glisser mon pantalon, faisait un large sourire.

Toby : Je me doutais de quelque chose comme ça !
Moi : Ça te plaît ?
Toby : Les porteur comme toi ont souvent le feu au cul, et j'aime ça.

Pour ce qui est d'avoir le feu au cul, j'avais le feu au cul. C'est pas humain ça cinq jours d'abstinence totale. C'est pas humain ! Même pas un petit coup de gode dans le cul, mais là, j'avais mieux sous la main.

Chacun se retrouvait de nouveau dans les bras de l'autre on partageait un moment de grande tendresse. Je m'abandonnais dans ses bras, je m'y sentais bien. Ma queue ne se calmais pas mais je faisais comme depuis cinq jours, je ne m'en occupais pas. 

Avec force et douceur il me retournait contre le mur. Il m'embrassait sur  les épaules, dans le cou, il se serrait contre moi en m'écrasant avec douceur contre le mur. Je tournais la tête sur le coté, on s'embrassait et c'est à ce moment qu'il a choisi de placer sa bite contre mon cul et de pousser. J'avais envie de crier mais il me bâillonnait avec sa bouche. Nos deux souffles se mélangeaient, j'avais le vertige, c'était un peu douloureux, ma queue hurlait de colère et ma prostate paniquait. Mon anus se dilatait et je le sentais me pénétrer, il avançait avec force, il avait bien lubrifié et ça ne résistait pas, sinon que je sentais mon anus se distendre. C'était très exactement entre le cauchemar et l'extase, la panique et le calme profond. J'avais le souffle coupé au moment ou son ventre touchait mes fesses.

Il y allait tout doucement, il savait qu'il pouvait blesser avec un tel outil. J'ai aimé d'autant plus ! Quand il s'est retiré, j'ai commencé à gémir, il s'est retiré totalement. Il se penchait sur moi et me couvrait de baisers et de caresses, il me lubrifiait le cul et avec douceur revenait en moi. Avec douceur mais sa queue faisait preuve d'une extrême violence en entrant lentement dans mon cul en écartant tout ce qui la gênait.

Je manquais d'air, je sentais mon anus de dilater de nouveau, je me demandais si je n'avais pas les yeux plus gros que le ventre quand je disais que c'était la taille idéale …

Il entrait avec plus de force, un peu plus vite, ma prostate s'affolait et me donnait un plaisir inattendu, enfin un plaisir que je ne m'attendais pas à éprouver aussi vite et aussi fort. Ma queue ne se manifestait plus. Elle était toujours aussi volumineuse mais toute molle, elle ne poussait plus contre ma cage, elle prenait toute la place, c'est tout ;

Sa queue également semblait prendre toute la place, il me serrait fort contre lui et ce contact aussi me donnait un grand plaisir. Il se retirait, revenait, de plus en plus vite, je tremblais et finissais par jouir, il s'en rendait compte, je n'éjaculais pas mais il s'en rendait compte. Il le devinait à mes tremblements, mes gémissement et mon souffle.

Il continuait encore un moment, j'étais pris de convulsions, de gestes que je ne contrôlais plus. Il me retenait contre lui avec force. Lui aussi respirait fort, son souffle aussi devenait irrégulier. Ses mouvements devenaient plus violents, plus rapides et un coup de bassin qu'il n'avait pas contrôlé m'annonçait avec ses gémissements qu'il allait jouir.

Il ne bougeait plus, son souffle était fort, il me tenait toujours dans ses bras, je ne pouvais plus bouger mais je n'en avais pas envie. Encore un dernier baiser dans le cou et il se retirait lentement. Je n'avais pas juté mais au moment ou il se retirait totalement c'est un flot de sperme qui coulait de ma cage et qui semblait ne pas vouloir s'arrêter.

C'était le pied. On a bien sûr dormi ensemble et on a continué à se voir pendant quelques temps. C'était la première fois que je baisais alors que je portais ce dispositif.

Mais tout ça c'était il y a longtemps, javais pas beaucoup plus de dix huit ans à cette époque. Par la suite je suis repassé au studio, mais il n'y avait plus rien. Le local avait été loué pour seulement quelques mois. C'était une mauvaise blague de la part du photographe. Et puis il y avait Toby, et puis je m'amusais bien quand même et puis l'année suivante j'ai rencontré Bernard, et puis Bernard il me trouvait tellement sexy avec mon dispositif sur la queue, et puis … Et puis le temps à passé mais là, à la fin de l'exposition j’apercevais le photographe, il était là cet enfoiré !

Je m'approchais de lui bien décidé à réclamer la clé. Je lui faisais signe, je ne sais pas s'il me reconnaissait, c'est vrai qu'il avait ma photo mais.

Le photographe : Il me semble que je vous connais. 
Moi : Ah que oui, je suis sur une de vos photos.
L p : Vous vous êtes reconnus, alors vous trouvez ça comment.
Moi : Très bien mais c'est pas ça le problème … J'aimerais bien pouvoir le petit cadeau que vous m'avez fait il y a cinq ans !

Il me regardait d'un air surpris puis il éclatait de rire. Il appelait son assistant. 

L p : Bill, vient vite je l'ai retrouvé.

Bill arrivait …

Bill : Mais qui ça ?
L p : Celui qui avait oublié la boite de sa PK et la clé !

Puis se retournant vers moi !

L p : Mais la clé, ainsi que les boucliers amovible qui permettent de changer la déco du dispositifs, chacun des participants l'avait emporté avec lui en repartant, tu étais le seul à nous les avoir laissé, tu sais !

Bernard qui comme je vous le disais au début s'amuse d'un rien était plié de rire lui aussi.

Ils ne l'avaient pas avec eux bien sûr la boite d'origine de la PK aussi ils me proposaient de passer la récupérer un autre jour.

Bernard : Demain tu termines plus tard il me semble, si tu veux doudou je passerai pour toi. 

Il continuait à discuter avec le photographe et Bill, il en profitait pour boire quelques flûte de champagne, mais je faisais à moitié la gueule. Il faut reconnaître que là j'avais l'air un peu con !

Finalement Bernard est bien passé chercher la boite de la PK, c'est super on peut changer la déco, le bouclier avant du dispositif est interchangeable et il y a cinq modèle différents dans la boîte mais pour les changer il faut la clé, évidemment.

Et la clé, moi je ne l'ai jamais vue. Bernard l'a gardée … Évidemment !


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

INDEX

                  Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'ACCUEIL ...