JASON 10 : L'initiation de Ludo

 JASON 10 : L'initiation de Ludo




Ludo était assis dans un large fauteuil au milieu de la pièce. Le jardinier Jerry l'avait invité à s'y installer. Ils étaient dans un endroit tranquille, ils étaient sûr que personne ne viendrait les déranger, ils avait tout le temps qu'ils voulaient.


Le lendemain Ludo allait recevoir son dispositif de chasteté pour l'essai traditionnel, il le garderait autant que nécessaire pour le tester, et s'il était adapté il le garderait pendant les mois à venir, au moins jusqu'aux prochaines vacances. 


Il y avait eu une petite bagarre entre son père et sa mère. Elle voulait qu'il le garde jusqu'à la fin de ses études, ce qui pouvait faire pas loin de dix ans. Son père, moins exigent ne demandait que jusqu'à la fin de l'année scolaire. Il ne souhaitait pas que son fils Soit obligé de le porter pendant les vacances.


Ludo était sorti, en les laissant à leurs discussions. Jerry l'attendait.


– Alors mon bonhomme pas  trop inquiet pour demain ?

– Oh non, … , enfin si un peu …

– Tu ne pourras plus te branler tu sais !

– Oui et bien je vais en profiter jusqu'à ce soir, et toute la nuit si il faut …

– Si tu veux, je peux te donner des tuyaux, ou plus.


Ludo l'avait suivi.


– Alors Ludovic, tu en penses quoi de cette tradition ?

– Je ne sais pas quoi en penser, ça fait mal ?

– Non !

– Mais tu peux plus te branler ?

– Non plus !

– Et tu peux encore te faire plaisir ?

– Disons que c'est spécial !


Devant Ludo, le jardinier retirait ses vêtements. Le jeune Ludovic n'était pas bien vieux mais il avait atteint la maturité sexuelle. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il pouvait porter un dispositif PK.


– Tu devrais te mettre à l'aise bonhomme.


Jerry était nu devant Ludo, son corps était ferme et parfaitement proportionné. Musclé d'un peu partout mais pas difforme, son corps était harmonieux. 


Ludo ne savait pas trop ce qui allait se passer, il en avait une vague idée, il se relevait d'un mouvement rapide et retirait en quelques secondes tous ses vêtements. Jusque là il avait toujours porté un maillot de bain autour de la piscine, sauf les rares fois ou il s'était baigné nu, sans le dire.


– Il y a plein d'endroit ou tu ne seras plus obligé de le porter, ce maillot de bain.


Ludo le savait, il avait souvent vu des  homme entièrement nus sur les plages ou encore à la piscine. Mais là il bandait ferme en voyant le corps de Jerry, ou alors c'est parce qu'il était nu lui même.


Il allait se laisser tomber sur le fauteuil quand Jerry lui attrapait la main et le tirait vers lui.


– La douceur de la peau et sa chaleur est un plaisir que tu pourras toujours éprouver.

– On m'a dit qu'avec le dispositif de chasteté c'est une sensation frustrante et qu'il vaut mieux éviter ce genre de …


Jerry embrassait Ludo pour le faire taire et le serrait fort contre lui. Ludo n'a pas eu le moindre réflexe pour résister, bien au contraire il serrait bien fort le corps du jardinier contre lui et lui rendait son baiser. 


Il avait raison se disait Ludo, la douceur de la peau est déjà un vrai plaisir. Mais c'est vrai que là, il pouvait toujours bander. Il sentait le dispositif en titane que portait Jerry, ça l’excitait encore plus, ça lui plaisait. Il se disait que le lendemain il en aurait un aussi pour un période que ses parents étaient en train de déterminer.


Jerry entraînait Ludo dans une sorte de danse dans laquelle les caresses et les baisers étaient les principaux mouvement. D'abord sur le visage, avec douceur, ensuite on descend sur les épaules puis les lèvres rattraperont les mains qui déjà se promenaient sur le torse, dans le dos.


Ludo, très attentif à ce cours, tentait de suivre. Il ne prenait pas d'initiative, il suivait le mouvement puis sans prévenir Jerry poussait son jeune compagnon sur le fauteuil, plongeait sur lui et le couvrait de baiser sur le ventre pour rapidement descendre sur le haut des cuisses pendant que ses mains masturbaient avec une grande délicatesse la queue de Ludo.


Il était en forme Ludo, on le serait à moins. C'était la première fois de sa vie qu'on le touchait ainsi. Il gémissait de plaisir et continuait à caresser son amant partout ou ses mains pouvaient aller.


Jerry relevait la tête, regardait Ludo dans les yeux, lui faisait un grand sourire et '' Tu vas aimer ça bonhomme !''. Baissait de nouveau la tête mais en prenant la queue de Ludo bien à fond dans la bouche. En quelques seconde le visage de Jerry s'écrasait contre le ventre de Ludo. Sa queue avait totalement disparu dans sa gorge. Ludo tremblait et gémissait de plaisir.


Il avait regardé la scène avec de grand yeux incrédules. C'était tellement bon, chaud, doux, humides, un court instant il avait pensé aux dents mais il ne les sentais pas. Il ne sentait que du plaisir.


Jerry lui caressait les couilles dans un même temps et relevait la tête pour mieux pouvoir la rabaisser et de nouveau Ludo sentait son gland s'écraser contre quelque chose de chaud, de doux et d'humide. Il gémissait fort maintenant.


Ludo tremblait de plaisir, il gémissait vraiment fort maintenant. Il était soudainement submergé par un plaisir intense, il jouissais et il éjaculait généreusement dans la bouche de Jerry qui ne perdait rien. Ludo se contractait, il ne contrôlait plus ses mouvements, il ne pouvait pas retenir ses coups de bassin mais Jerry encaissait et retenait Ludo fermement contre lui. Quand Ludo s'est calmé, quand il ne bougeait plus, Jerry se relevait. En un instant le fauteuil se dépliait en position allongée et Jerry s'allongeait sur Ludo qui refermait ses bras sur lui et l'embrassait. 


D'abord surpris, Ludo avait le reflexe de tourner la tête mais il avait décidé de tout essayer et ce baiser juteux qui lui faisait goùter son sperme pour la première fois de sa vie était le meilleur baiser qu'il n'avait jamais reçu.


Longuement les deux corps se caressaient l'un l'autre et les bras y participaient.


– Alors bonhomme, tu as aimé ?

– C'était génial … Mais il faut, je crois qu'ils vont m'attendre.

– Je crois même qu'ils vont t'attendre encore un moment.


Jerry entraînait Ludo sur un grand tapis. On est toujours plus à l'aise sans les accoudoirs qui gênent. Et tous les deux partageaient un long, un très long moment de tendresse. 


Par moment c'était Jerry qui allongé sur Ludo le caressait et l'embrassait, lui suçait la queue aussi et lui caressait les fesses. À d'autres moment c'était Ludo qui s'allongeait sur le corps de Jerry, il le caressait, l'embrassait, lui gobait les couilles ( on venait de lui montrer ). Ludo en redemandait.


– Je veux que tu m'encule, je sais que vous utilisés des godes, je veux que tu m'encule, tu dois bien en avoir un pas trop gros.

– Tu auras tout le temps pour découvrir ce plaisir  plus tard mon garçon, aujourd'hui tu vas découvrir des plaisirs qui te seront interdits pendant de nombreux mois. 


Jerry se relevait, tout en caresses, tout en douceur .


– Aujourd'hui c'est toi qui m'encule, et on n'aura pas besoin de gode.


Ludo sentait comme un nœud se former au niveau de son cœur, un petite panique, un peu au niveau de l'estomac aussi, il n'avait pas prévu ça. D'ailleurs il n'avait rien prévu en fait, un homme magnifique avait pris l'initiative, et c'était très bien comme ça.


De nouveau les corps roulaient l'un sur l'autre, les baisers se posaient sur toutes les parties des deux corps. Et pour finir, Jerry se retrouvait allongé sur le ventre, les cuisses bien écartées.


– A toi de  jouer bonhomme.


Ludo à un peu paniqué un court instant. Oh il ne débandait pas, pour ça il n'y avait rien à craindre. Jerry lui donnait un tube de lubrifiant et le guidait. Ludo préférait qu'on le guide un peu. Il se disait qu'il aurait bien réussi tout seul mais il préférait qu'on le guide. 


C'était un cours qu'il recevait là le jeune Ludo, mais c'était bien mieux qu'à l'école. Les travaux pratiques étaient passionnant. Ludo était très attentif et faisait tout ce qu'on lui disait. Il prenait position, allongé sur le corps de Jerry. Puis au moment ou il le sentait, ou moment qu'il décidait il poussait sa queue contre le cul de Jerry.


Jerry à gémi très fort, c'était un cris de plaisir. Ludo sentait ce muscle circulaire se détendre et envelopper sa queue, c'était génial, il croyait rêver, il poussait plus fort. Jerry le rappelait à l'ordre, Ludo se retenait et poussait toujours mais moins fort, sa queue entrait, milimètre par millimètre et finalement c'est son ventre qui s'écrasait contre les fesses de Jerry. 


Il était détendu Jerry, il ne semblait pas avoir la moindre douleur.


– Ça ne fait pas mal dis Jerry ?

– Seulement la première fois … et un peu les suivantes mais je n'en suis plus là.

– Doucement Ludo se retirait.


Jerry râlait de plaisir encore plus fort, dans sa tête Ludo avait la cervelle en feu, il ne pensait plus vraiment, il était dans un autre monde. Il poussait sa queue dans le cul de son jardinier, il la retirait, il aimait ça et le jardinier aussi.


Ses mouvements devenaient rapides, violents, il râlait à son tour à chaque fois que sa queue entrait complètement. Le jardinier aussi gueulait de plaisir. Le ventre de Ludo claquait quant il s'écrasait contre les fesses de Jerry.


Ludo passait un bras sous le ventre de Jerry et le soulevait, Jerry se retrouvait sur les genoux, appuyé sur ses mains et Ludo penché sur lui le burinait de toutes ses forces en lui tripotant les couilles. C'est là que Jerry à joui, c'est là qu'il a éjaculé, deux petites giclées de spermes on réussi à sortir de la cage par la petit ouverture, le reste coulait lentement.


Ludo éprouvait une étrange sensation dans son cœur à ce moment et c'est à ce moment qu'il a éjaculé lui aussi. Tout son corps s'est crispé, ses coups de bassin sont devenus d'une extrême violence, il râlait il prenait son pied. 


Quelques instants plus tard, Jerry était allongé sur le ventre, Ludo était allongé sur lui, il était encore en lui et chacun n'avait plus que quelques convulsions à peine perceptibles. 


Leurs respirations étaient synchronisées mais fortes, les battements de leurs cœurs faisaient de même. 


Il leur a fallu un moment avant de se relever, ils étaient en sueur. Encore quelques câlins.


– On remettra ça dis Jerry ? Demandait Ludo.

– Quand tu voudras bonhomme ! Lui répondait le jardinier.

– La prochaine fois que je t'encule … Continuait Ludo.

– Ce ne sera pas avant quelques temps tu sais.

– Alors ce sera toi et on prendra un gode. 

– Ça aussi tu devrais aimer, tu verras. Concluait Jerry.


Rien ne les pressait aussi ils ont continué à parler. Jerry lui prodiguait des conseils Ludo était très attentif … 


Il finissait par se décider à revenir à la maison. Il se sentait bien, terriblement bien. Il était content de lui, un peu euphorique et ne prenait même pas la peine de se rhabiller, il avait ses vêtements dans la main. En arrivant près de la piscine, il jetait ses vêtements à côté des douches et se lavait longuement. Il ne se sentait pas salle, Jerry a  un corps très propre, très beau, très lisse … Il était en sueur, c'est tout. Ensuite il plongeait et faisait quelques longueurs. 


Ses parents l'avaient entendu arriver et sortaient pour lui parler.


– Mais enfin Ludo, tu es nu. Tu ne pourrais pas attendre demain, tu sais que sans un dispositif de chasteté c'est interdit ici. Lui lançait sa mère.

– M'en fou ! C'est la dernière fois que je peux me retrouver totalement à poil, dans l'eau, à l'aise, avant longtemps alors je m'en fou !

– Il a raison, rajoutait son père, laisse le faire pour ce soir. En plus il se comporte correctement !

Il voulait dire par là qu'il ne bandait pas. C'est vrai que là Ludo s'était bien vidé les couilles mais, bon, on sait qu'à cet âge il faudrait pas grand chose pour qu'il remette ça.


Sa mère reprenait.


– Je voulais que tu le portes jusqu'à la fin de ton université. Disait sa mère.

– Sadique ! Ça me ferait cinq à sept ans minimum ça ?

– J'ai trouvé que c'était excessif, et moi je voulais que tu puisses le retirer pendant toutes les vacances. Rajoutait son père.

– Je t'aime papa, ça ferait tous les trois mois plus les grandes vacances !

– C'est ridicule, selon mon expérience, il faut le faire porter plus longtemps, pendant une période réellement représentative. Insistait sa mère.

– Uniquement pendant les grandes vacances alors ? C'est ce qui est souvent conseillé ! Moi je trouve que c'est déjà très long. Râlait Ludo.

– Nous avons finalement trouvé un compromis …

– Vas y papa je t'écoute.

– Tu le garderas jusqu'à la fin de ton cycle scolaire secondaire. Tu le retireras alors pour les vacances si tu le désires ensuite tu le remettras pour toute la durée de l'université. 

C'est sa mère qui avait dit ça sur un ton décidé et autoritaire.


– Mais on te fera un super cadeau si tu acceptes. Terminait le père.

– Et j'ai le choix ?

– Mai bien sûr mon chéri. Tu as la possibilité de répondre oui ! Répondait sa mere.


Ludo levait les yeux au ciel, Bien sûr qu'il allait répondre oui mais de là à dire qu'il le ferait avec anthousiasme … Mais il acceptait tout de même, C'était la règle, c'était la coutume, tout le monde le faisait, il se pliait aux règles de bonne grâce et puis … Ce n'était pas définitif et c'était aussi une sorte de rituel de passage qu'il ne voulait pas louper .


La nuit qui a suivie était bizarre, Ludo a beaucoup rêvé, il a mal dormi.


Le lendemain, c'était la cérémonie, elle avait lieu en fin de matinée. Ludo s'était branlé trois fois avant. Il savait qu'il n'était pas près de pouvoir faire ça avant longtemps. Il ne bandait pas et tout se passait bien. 


Ils ont vraiment l'habitude pour déterminer les tailles à la PK, le dispositif proposé était parfaitement ajusté. Ludo ne l'avait pas encore retiré depuis plus de deux ans.




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast


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