Jérémy est un branleur (01)

 Jérémy est un branleur (01)




– Il est trop jeune et les lois sont très claires ! S'exclamait le directeur de l'école.

– Il est peut être très jeune mais il devrait tout de même savoir ce qu'il fait. Trop jeune n'est pas une excuse pour son comportement ! Lui répondait l'enseignante.

– Mais ce que vous me proposez là n'est pas possible, vous le savez bien !

– Il y a eu des dérogations dans le passé …

– C'est ce qui se dit. Mais moi je pense que ce sont des légendes. 

– On dit même que Mr Brosso Antoine n'avait pas quatorze ans ! Insistait l'enseignante.

– On dit beaucoup de chose sur Mr Brosso mais rien n'est prouvé, il est le seul à pouvoir le confirmer ou le démentir.


L'enseignante était exaspérée et le ton avait monté. 


– Et combien de fois avez-vous ?

– C'était la sixième fois Monsieur le directeur ! LA SIXIEME FOIS !


Elle craquait et les sanglots dans sa voix trahissait son émotion. 


– Six fois, bien sûr je comprends. Mais ne vous mettez pas dans cet état.

– JE NE LE SUPPORTERAI PAS UNE FOIS DE PLUS !


Elle fondait en larmes.


A l'extérieur du bureau, dans le couloir, le jeune Jérémy ( C'est un prénom très rependu depuis quelques années vous savez ) attendait sans sembler s'inquiéter, il s'amusait à balancer ses pieds sous sa chaise, il s'ennuyait le petit gars. Il allait bientôt avoir quinze ans, avait gardé un visage d'enfant, il restait de petite taille mais il faut savoir que son père faisait moins du mètre soixante cinq. 


Dans le bureau la discussion continuait, le ton avait monté et dans le couloir Jérémy entendait des éclats de voix. Ça ne le préoccupait pas ! On se demandait même s'il ne s'en amusait pas. Oh il n'était pas timide le petit Jérémy, un peu déluré, un peu dévergondé, un peu exhibitionniste ça oui, mais timide, certainement pas…


Il avait été surpris une fois de plus à se masturber pendant le cours !


Oui vous avez bien lu … Pendant le cours, pas dans toilettes, pas dans sa chambre, pas dans un coin discret … Dans la classe pendant le cours !


Il essayait de  ne pas trop se faire remarquer par la prof, mais pour le reste, ses camarades se rinçaient l'œil en rigolant. La prof n'a pas réagi tout de suite. Quand elle regardait dans sa direction il ne bougeait plus et il avait l'air tellement innocent le petit Jérémy. 


Au début quand on a rapporté cette affaire au directeur, il n'a pas voulu le croire. Mais c'était le deuxième enseignant qui s'était plein du comportement scabreux du jeune homme.


Non mais franchement vous vous rendez compte, à la Pk School … Si ça se savait ce serait un scandale. Enfin surtout si la direction ne faisait rien.


En fait c'était devenu une habitude, il s'était fait chopé six fois mais il l'avait fait bien plus souvent. Il avait ses profs préférés. Pour se branler pendant leurs cours je veux dire ! La prof de math, Mme Léquère et Mr Coton.


La première c'était parce qu'elle passait une grande partie du cours à écrire sur le tableau, donc elle tournait le dos à ses élèves, le second c'était le prof d'anglais et à part les anecdotes sur la familles royales, il ne comprenait rien. En  règle générale quand on lui demandait quelques chose il répondait par réflexe … '' What ? ''. C'est vrai que Mr Coton lui il ne comprenait rien et ne voyait rien.


Enfin il avait tout de même réussi à surprendre Jérémy deux fois.


Le petit gars avait sa technique, il se cachait en général derrière ses livre et son cartable posé sur son bureau. Il gardait une sorte de classeur sur ses genoux. Si le prof approchait il faisait semblant de l'utiliser comme bloque note ou je ne sais quoi mais quand le prof était parti dans ses démonstrations, il soulevait le classeur, ouvrait sa braguette, sortait sa queue et commençait à se l'astiquer en gardant un regard bien droit en direction du prof.


Au début les profs on beaucoup apprécié son assiduité, Quand ils ont fini par comprendre, ils ont beaucoup moins bien apprécié.


Sous le bureau il arrivait à être discret, il n'était même pas en fond de classe. Tous ses camarades, enfin plus de la moitié de la classe pouvaient le voir faire. Personne n'osait faire comme lui, il se disait que ce serait marrant mais bon … 


Au début il sortait juste le bout de la queue, il était circoncis, il se massait doucement puis vigoureusement le gland avec le bout des doigts. Puis, avec le temps il est devenu plus téméraire, il sortait tout le matos. Il ouvrait en grand sa braguette et c'est la bite et les couilles à l'air qu'il s'astiquait joyeusement le manche. 


Si le prof relevait la tête ou se retournait, il ne bougeait plus et faisait semblant d'écouter avec attention. Il avait même quelquefois l'audace de lever la main ; non pas celle-là, l'autre ! Il posait alors une question et le prof appréciait sa participation au cours. 


Un jour, il venait de se branler pendant un long moment et il sentait le plaisir monter. Les autres élèves du cours avaient beaucoup de mal à se concentrer sur ce que disait le prof … Enfin , les autres élèves du cours n'essayaient même plus de se concentrer sur ce que disait le prof … Celui-ci retournait la tête sans prévenir.


Tout le monde se mettait au garde à vous. Juste avant, tous les regards allaient vers Jérémy mais la seconde suivante ils allaient tous vers le professeur. Comme à son habitude Jérémy avait été le plus rapide. Son souffle devenait plus fort mais il contrôlait le petit, il contrôlait même très bien.


Il tenait bien serrée dans sa main sa queue qui n'avait pas l'intention de se faire discrète. Il était petit mais costaud et malgré son jeune âge, il était déjà bien formé. Il s'était bien lubrifié avec sa salive et continuait par distraction à se caresser le gland avec son pouce. 


Il levait la main, voilà, l'autre comme je disais. Posait une question qui bien sûr était en rapport avec le cours, c'est un branleur, c'est pas un idiot. Et prenait l'air concentré en écoutant la réponse. C'est à ce moment qu'il y a eu un mouvement de pouce de trop. Vous connaissez tous ça. Un coup de poignée de trop et on ne contrôle plus rien. Lui c'était juste une caresse de son pouce. Il pensait pouvoir contrôler mais à cet instant le contrôle lui échappait.


Le prof à vu son visage de déformer, se transformer. Une grimace apparaissait. Le prof s'est d’abord inquiété puis Jérémy ne pouvait plus retenir un gémissement, normal à ce moment il voulait parler et son cerveau ne pouvait plus contrôler à la fois la tentative de dire quelque chose et le cris plaisir qu'il parvenait en général à dissimuler. La situation échappait à son contrôle. Il a éjaculé à plus d'un mètre de son bureau … 


C'était la première fois qu'il se faisait chopper !


Dans un premier temps il s'est fait virer du cours. Il s'est fait engueuler, je ne vous raconte pas. Ses parents on été avertis. On lui a fait la morale. Il faisait l'innocent le pauvre petit. '' Pas ma faute, c'est la faute aux hormones. Et puis c'est pas si grave … '' Il disait !


Le directeur ne l'entendait pas sur ce ton. Il s'est fait consigné en salle de classe après les cours pendant plusieurs semaines, ainsi que les week-end. Mais il savait s'y prendre pour amadouer son monde. Il fera certainement de la politique plus tard … 


Par défi pour lui-même il a continué, il a continué sans se faire remarquer et quand le directeur le faisait venir dans son bureau, quelques temps plus tard, pour s'assurer que ça lui avait passé. Pour lui expliquer que se masturber à son âge, ce n'était pas bien grave mais qu'il fallait choisir un endroit discret, il s'était déjà masturber plusieurs fois pendant les cours. Seuls les profs n'avaient rien vu. 


L'affaire était réglé, la sanction appliquée, on passait à autre chose et le lendemain notre petit ami Jérémy se retrouvait dans le couloir, devant le bureau du directeur. Il s'était fait choppé encore une fois. 


Cette fois c'était par Mme Léquère. Elle avait quitté le tableau, et Jérémy était très embarrassé. Il était au bord de l'explosion de plaisir. Avec sa main il retenait sa bite, sous le classeur. Oui voilà, cette fois-ci c'était l'autre main. Bein oui il est droitier aussi quand il écrit … Voilà vous avez compris le problème, il n'a que deux mains. Remarquez tel qu'on le connaît le petit il n'aurait certainement rien contre l'idée de se faire aider, mais vous reconnaîtrez qu'en cours de math, ça ferait désordre. 


Donc Mme Léquère, voyant son élève encombré, à voulu lui venir en aide, son classeur allait tomber sur le sol et avant que ça ne se produise, elle le rattrapait. C'était une nouvelle caresse de trop de son pouce ? c'était ce contact qui le frôlait ? C'était parce que la main qui passait à quelques millimètre de sa queue n'était pas la sienne … En tout cas, c'était ballot !


Il a éjaculer sans prévenir, même lui n'a rien vu venir, et c'est la robe de Mme Léquère qui en a fait les frais. Elle était scandalisée.


Non mais vous vous rendez compte, elle une vrai jeune fille. Enfin c'est ce qu'on dit dans ces cas là … Elle est devenue toute pâle dans un premier temps, puis toute rouge et là elle a hurlé. 


Il faut aussi rajouter que presque toute la classe à pu voir la scène. Plus ou moins bien mais tout le monde était retourné pour suivre ce que disait la prof. Jérémy s'est retrouvé dans le bureau du directeur avec son professeur, qui était à la limite des larmes. Et qui à bout de nerf passait aux toilettes pour tenter de faire disparaître cette souillure sur sa robe. Bien sûr elle n'a pas terminé son cours et on ne l'a pas revu du reste de la journée. 


Jérémy s'est fait consigné de nouveau, on l'a installé au premier rang avec un bureau très léger, Un truc très simple, juste un plateau sur pieds qui ne pouvait rien cacher, aucune activité douteuse. Mais ce petit gars est tellement manipulateur et il sait tellement bien se faire pardonner ( je vous le dis, il devrait faire de la politique ) qu'il finissait par retrouver sa place initiale, au milieu de la classe juste à côté du radiateur … L'hiver approchait et il était temps !


Il était repéré mais il avait l'air tellement mignon que la méfiance des professeurs ne durait pas. Mais là nous étions arrivé au milieu du dernier trimestres. Les parents du jeune Jérémy avaient bien sûr été averti de chacun de ses faux pas mais le directeur leur avait dit qu'il gérait la situation. Là, il se rendait bien compte qu'il ne gérait pas. Surtout qu'il apprenait par des bruits de couloir que s'il s'était fait chopé à six reprise, il ne s'était fait choppé qu'à six reprise. Il réitérait cette petite farce au moins deux fois par semaines. 


C'est simple, il n'y avait que sous les douches après le sport qu'il était sage. Pardi, il s'était branlé au moins deux fois pendant le sport après, ça allait mieux !


Auprès de ses camarades c'était la star, certains auraient bien aimé faire comme lui mais il fallait quand même être gonflé, lui il l'était, les autres moins !


C'est vrai quoi à son jeune âge il risquait quoi ? Qu'on lui coupe les couille ? Certainement pas ! C'est pas vraiment dans les mœurs de la société que je dépeint. Non il ne risquait absolument rien de ce côté. Qu'on le chasse de l'école ? Enfin soyons sérieux, ce n'est pas en interdisant à un enfant l'éducation qui lui permettra de grandir qu'on va l'aider à grandir justement ! 


On avait parlé d'un traitement hormonal. Il devait être là le problème mais le médecin s'était mis à hurlé. 


– Enfin un traitement hormonal vous n'y pensez pas ! Bien sûr, le problème serait réglé tout de suite mais cela nuirait à son développement physique et psychologique. Je m'y oppose formellement ! Ce n'est pas une pathologie, c'est juste un branleur !


La situation était bloquée. 


Ce jour là la seule chose qui mettait tout le monde d'accord c'est qu'il fallait trouver une solution. Les parents du jeune Jérémy étaient là. On avait fait venir un juriste, un psychiatre, un médecin, un spécialiste de la PK, vous savez, un de ceux qui étudient les effets sur le psychisme et sur le corps des porteurs de dispositifs de chasteté … Mais si ! Vous avez du en rencontrer, ce sont ceux qui vous posent tout un tas de questions quand vous vous rendez dans une de leurs boutiques … Surtout que justement la société PK qui fabrique ces dispositifs finance cette école … 


Ça discutait sec dans le bureau, mais dans le couloir Jérémy se balançait sur sa chaise en balançant ses pieds et en dodelinant de la tête. On le faisait entrer. Pour commencer il recevait de la part de son père une gifle mémorable qui claquait très fort. Celle là on a du l'entendre jusqu'à l'autre extrémité de l'université voisine. Le père se faisait réprimander aussitôt par le psychiatre, gentiment, mais réprimander quand même.


On donnait alors la parole à Jérémy.





N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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