Anniversaire 02 Le soir

 Anniversaire 02 Le soir



En fin d'après midi, on était à quatre dans le jardin à taper dans un ballon. On s'arrêtait souvent pour répondre aux questions des deux petits jeunes qui découvraient ce que ça fait que d'être sous clé.


– Franchement Terry, c'est vraiment rien cette histoire. Tu vois, là je porte depuis plusieurs heures ce dispositif de chasteté et … Rien … Aucune gène, tout se passe bien … Me répétait mon frère plusieurs fois. 

– Attend demain, lui répondait Will, tu ne diras peut être pas la même chose.


Moi, je rigolais, je le trouvais marrant le grand Mathias. C'était un grand maintenant,mon petit frère. Nos parents avaient décidé de nous laisser entre garçons, ils savaient que les deux plus jeunes auraient besoin de parler et que les plus vieux pourraient jouer leur rôle de guide, ils pourraient leur faire partager leur expérience. Les plus vieux c'étaient mon pote Will et moi.


Will portait lui aussi un dispositif de chasteté, on l'avait mis le même jour mais chacun dans notre famille. S'il n'en avait pas porté il n'aurait pas été accepté à la petite fête, il y a des règles de convenance à respecter. On nous laissait donc, comme prévu pendant le repas, la dépendance du fond du jardin. Une petite maison composée d'une grande salle en rez de chaussée et de deux chambres. Il y avait largement assez de place pour nous trois. Ma mère nous apportaient un repas froid, on mangerait quand on le voudrait et on nous laissait tranquille jusqu'au lendemain. Personne ne viendrait nous déranger.


On continuait à taper contre un ballon pendant un moment, toujours en s'arrêtant régulièrement pour discuter. Là on voyait monter comme une inquiétude dans la tête de nos cadets. Ils son mignons tout de même, ils commençaient à réagir et arrivé en fin d'après midi ils ne pensaient plus qu'à une chose …


Les branleurs … Enfin je voulais dire les anciens branleurs … Je suis moqueur tout de même. 


On finissait par se retrouver dans la maison, on avait bien sûr avec nous la nouvelle console de jeux qu'avait reçu mon petit frère mais le cœur n'y était pas. On jouait pendant quelques instants et soit mon frère, soit son copain s'arrêtait.


– Allez on se met tous à poil et on mange ! Lançait Will à un moment et il retirait ses vêtements.


Là je sentais ma queue qui se révoltait. Elle grossissait rapidement, enfin elle essayait au moins, et elle poussait avec une force incroyable contre les barreaux de la cage. C'était sans grand résultat sauf peut être pour moi, j'étais le seul à me rendre compte de quelque chose mais c'était surtout désagréable. 


Je voyais Will, son dispositif se relevait avec des mouvement saccadés. Il était sous pression le pauvre. J'étais dans le même état, je retirais mes vêtements également. 


Mon frère et son copain nous regardaient, on voyait comme un désarroi dans leurs yeux, on sentait comme un léger malaise. Ils échangeaient un regard, ne réagissaient pas tout de suite. Puis mon frère se levait s'éloignait dans la chambre au premier et revenait un peu plus tard, il s'essuyait, il venait de prendre une douche froide, ça n'avait duré que quelques minutes, il était à poil.


– Ça marche pas ! Disait-il. Ça marche pas, je pensait que ça me calmerait mais je bande toujours et je vous jure les mecs … 


On pouffait de rire. Il avait lui aussi ce dispositif qui se relevait par saccades en suivant le rythme cardiaque. À chaque battement de son cœur, il se relevait. 


– C'est pas cool ça finalement, tu en pense quoi Samy ?


Samy se relevait et retirait ses vêtements, il nous montrait … Il était dans le même état. Moi et mon copain Will on avait un peu plus l'habitude mais c'était pas plus glorieux de notre côté.


On ne viendrait pas nous déranger ! Ça valait mieux on était tous à poil assis en tailleur en cercle au milieu de la salle principale. Et on parlait. On bandait tous et ça se voyait. La peau ressortait par les trous d'aération et faisait des bulle, c'était très désagréable.


– Et c'est souvent comme ça ? Demandait Samy.

– Ça dépends des jours … Répondait Will.

– C'est pas une réponse ça ! S'exclamait mon frère.

– Pourtant c'est vrai, ça dépend des jours … Répondais-je en rigolant.

– Câlin ! Répondais-je en prenant mon frère dans mes bras.


Il ne bronchait pas …


– Et tu trouves ça drôle ? Me répondait-il. Et maintenant c'est pire.


Will était plié de rire, il s'était laissé tombé sur le dos et rigolait tout ce qu'il savait. Je lâchais mon frère qui commençait à râler.


– Et on en a pour combien de temps déjà ? Demandait mon frère Mathias.

– Nul ne le sais, certains ne l'ont jamais retiré. Répondait Samy.

– Bon il ne faut pas désespérer les mecs, on peut s'amuser tout de même ! Expliquait Will, en s'installant juste dans mon dos. 


Il refermait alors doucement avec beaucoup de tendresse autour de moi. Les deux plus jeunes n'en revenaient pas, ils ouvraient de grands yeux ! Will m'embrassait alors avec beaucoup de douceur dans le cou, il me caressait le torse et rapidement ses mains en venaient à me caresser les couilles.


– Et c'est permis ça ? S'exclamait Mathias.

– Tant que tu portes un dispositif de chasteté, et que tu restes discret … Il n'y a aucune faute. Répondais-je.


Samy et Mathias restaient là, l'air idiot, la bouche ouverte à nous regarder. On voyait qu'ils n'étaient pas à leur aise mais ce n'était pas à cause de Will et de moi. Enfin si, c'était bien à cause de nous mais c'était parce que ça les excitait tout ça pas parce qu'ils étaient choqués. 


Il apprenait cette règle qui est une règle élémentaire, avec un dispositif de chasteté il n'y a pas de faute. Mais jusqu'à quel point ?


Je tournais la tête et je donnais un baiser à Will. 


– C'est à ça que tu pensais quand tu disais, '' les affranchir '' ? Demandais-je à Will.


Il me faisait oui de la tête et me donnait un autre baiser en me caressant. Je me laissais aller et m'appuyait sur Will. Il écartait et allongeait ses jambes et moi assis entre ses jambes, je le laissais me caresser. Ses caresses étaient douces. Par moment il me tripotait les couilles plus ou moins fort. Je le laissais faire, je lui caressais son bras, une cuisse.


– Mathias, tu t’assoies comme moi. Tu te met à ton aise et toi Samy tu t'installes comme fait Terry … et tu fais un câlin à ton copain.


Là ils étaient sonnés les deux petits. Mais après de nombreuses hésitations ils finissaient par obtempérer. Ils se laissaient aller, ils finissaient par se laisser aller. Même les baisers. 


– Je ne voudrais pas dire les gars, mais moi, ça ne me calme pas vraiment ! Me disait Mathias qui était dans les bras de son ami.

– Fais comme moi ! Lui répondais-je.


Et là je me retournais sans prévenir et je prenais mon amis Will, je le repoussais en arrière, il s'allongeait sur le dos, je m'allongeais sur lui et ce n'était plus que câlins et baisers. 


Mon frère et son pote restaient tétanisés. 


– Heu, moi ça ne me dérange pas de faire pareil ! Bafouillait Samy.


Mon frère semblait hésiter, il regardait Samy, il nous regardait. On voyait qu'au niveau de sa cage, c'était la tension maximum. Sa queue tentait de se relever et repoussait la cage. Mais le dispositif est adapté, il se relevait mais n'allait pas bien loin. Sa queue ne parvenait pas à en sortir, elle ne parvenait qu'à repousser la cage de quelques centimètres à peine.


Pendant quelques instants Will et moi avions complètement oublié nos deux camarades. La fièvre montait, mes mains, ses mains se promenaient sans limite sur le corps de l'autre. On roulait l'un sur l'autre, on se caressait. Je couvrais son corps de baisers, il me rendait chacun de mes baisers.


Quand on se retournait vers nos deux jeunes camarades, on les retrouvait enlacés l'un dans l'autre. Ils se serraient l'un contre l'autre, ils se caressaient, ils s'embrassaient, il se faisait des câlins. Mais ils étaient encore timides au niveau des partie intimes.


On leur donnait l'exemple, aussitôt je massais et tripotait les couilles de mon copain Will. Il s'allongeait sur le dos et écartait largement les jambes, il s'offrait à mes caresses. Nos deux camarades nous regardaient faire avant de nous suivre. 


Mathias faisait preuve d'une certaine maladresse mais il y mettait du cœur et déjà on les sentait un peu plus à l'aise, un peu plus détendus. Je prenais un tube de gel, lubrifiais le cul de Will et y glissait un doigt, un autre suivait.


Je voyais mon petit frère froncer les sourcils, il ne comprenait pas tout à fait ce que je faisais. Je donnais un baiser à Will puis me retournant ver mon frère, je le prenais par la main et le tirait vers moi. 


C'est à mon frère que faisais un gros câlin. Je le sentais s'abandonner dans mes bras. Il me rendait mes baiser, ses lèvres étaient douces, ses baisers étaient chauds.


– Tu avait déjà pensé à ça ? Lui demandais-je.


Il me faisait oui de la tête et m'embrassait de nouveau mais avec encore plus de tendresse. Will et Samy nous regardaient avant de se décider à nous imiter. Quand je caressait les couilles de Mathias je remarquais à quel point il était tendu de ce côté. Il sursautait un peu au début puis rapidement faisait comme moi, il me tripotait les couilles à son tour.


De nouveau je reprenais le gel lubrifiant, je m'étais arrêté là avec Will. Mon frère s'allongeait sur le côté et me laissait faire. Je lui lubrifiais généreusement le cul. Puis j'y glissait un doigt. Je le sentais se contracter et sursauter, un deuxième doigt suivait.


Là je sentais son corps se décontracter, se détendre, il se laissait aller, il devenait tout mou. Je lui massait la prostate. 


De son côté Will lui aussi, montrait à Samy comment il fallait procéder. Samy gémissait de plaisir et je le voyais s'allonger sur le ventre et écarter les cuisses.


On procédait avec douceur, lentement on leur massait la prostate. C'était une grande découverte pour nos cadets, ils semblaient vraiment apprécier. C'est un moment ou on ne se demande pas si c'est permis, c'est tellement bon, tellement agréable qu'on ne se pose pas de question. 


On était maintenant bien installé. Samy et Mathias allongés sur le tapis, sur le ventre les jambes bien écartées et Will et moi à genoux entre leurs jambes deux doigt bien enfoncés dans leur cul, à leur masser la prostate en rythme. 


On y allait doucement, longuement, mais avec force. Puis on faisait une pose. Une caresses sur leurs fesses et on reprenait. 


Samy et mon frère se regardaient, je pouvais voir le visage de Mathias de profil, il avait un large sourire et son visage ne cachait pas son plaisir. Son copain Samy était dans le même état. La première fois que j'ai retiré mes doigts de son cul, Mathias a voulu se relever en me disant : '' C'est délire ton truc, c'est … '' . J'appuyais sur le haut de son dos de l'autre main et j'y retournais. 


– C'est pas fini … Lui disais-je.


Je remettais ça, de nouveau de glissais deux doigts que j'agitais contre sa prostate. Là il a gémi de plaisir. Samy gémissait aussi. Je sais par expérience que Will fait ça très bien, et je connais son dévouement, si, si je déconne pas, il est très attentif au plaisir qu'il donne. Il est très bon aussi et plus d'une fois il m'a littéralement fait grimpé au rideaux.


Entre nos mains nos cadets se tordaient de plaisir, on marquait une pause puis on reprenait. Les cris de plaisir devenaient plus forts à chaque fois qu'on reprenait. On faisait durer, les mouvements de nos doigts devenaient plus forts, plus fermes mais juste un peu plus. Puis on faisait une pose …


Au bout d'un moment qui semblait durer depuis des heures, les deux jeunes tremblaient, ils gémissaient, ils étaient pris de convulsions par moment. Là je vous jure qu'ils prenaient leur pied. Il jouissaient, ils jouissaient peut être même plus qu'il n'avaient jamais joui auparavant.


Ça fait partie du contrat, on ne leur avait pas dit mais ça fait partie du contrat. Ils ne nous reprocheront pas l'oubli. 


Au moment ou mon frère était pris de convulsions incontrôlables qui duraient il poussait de véritable cris, des gémissements de plaisir qui duraient eux aussi. C'était le signe qu'il jouissait, c'est à ce moment qu'il éjaculait, il s'était bien vidé les couille la nuit précédente mais il est jeune et il ne faut pas longtemps pour récupérer à notre âge.


Il a juté abondamment, j'ai arrêté de bouger mes doigt, il glissait déjà sa main pour me retenir, il ne bougeait plus. Je retirai mes doigts. Quelques instants plus tard c'est Samy qui jouissait, lui aussi il ne le faisait pas en silence, lui aussi il jutais avec force. Will retirait ses doigts et ne le touchait plus. 


Will et moi nous installions sur le canapé et on regardait avec un certain plaisir le résultat de cette séance d'initiation. Mon frère Mathias et son copain Samy étaient allongé sur le sol, inerte, récupéraient de leurs émotions.


Ils finissaient par se retourner sur le dos, ainsi on pouvait constater qu'ils avaient joui, ils laissaient sur le tapis une large trace de sperme. On pouvait constaté que contrairement à nous, eux étaient détendus maintenant.


Les branleurs …


Après on est passé à table, Will et moi bandions comme des fous, nos queues étaient sous pression, mais en fait elle l'était depuis le matin, depuis qu'on avait vu nos cadets mettre leurs dispositifs de chasteté, cette excitation sexuelle nous la portions avec nous depuis des heures et on décidait de la porter encore un peu avant de leur montrer encore un autre moyen de se donner du plaisir … 




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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