L'HÔTEL DU DESERT EP 17 : Le camping

 L'HÔTEL DU DESERT

EP 17 :  Le camping



Après cette séparation déchirante … Oui enfin bon, un peu triste tout de même. Mais c'est un peu normal, ils avaient passé de bons, de très bons moments ensemble …


Ils descendaient plein Sud, là ou il fait moins froid l'hiver. 


Avec ce petit boulot que Brice et Johnny avaient trouvé, les finances étaient au mieux. C'était pas prévu mais grâce à ça, ils avaient fait des économies. Ça leur permettrait de prolonger le voyage.



Ils se relayaient au volant et roulaient. Le jour il faisait plus doux et la nuit était moins froide.


Ils roulaient encore une journée complète. Le jour il faisait plus chaud et la nuit était plus douce. 


Ils roulaient, ils roulaient et descendaient plus loin vers le Sud. Les journées devenaient chaude et les nuits  devenaient torrides …


Brice et Johnny suivaient la côte, ils évitaient les grandes villes. Régulièrement ils s'arrêtaient, ils s'assuraient que la plage était tranquille et couraient vers l'eau en se déshabillant et en jetant leurs vêtements derrière eux, ils plongeaient. Ils nageaient un moment, s'amusaient comme des fous, s'arrosaient puis quand ils revenaient vers la voiture il récupéraient un à un les vêtements qu'ils avaient jeté derrière eux en rigolant. 


Une semaine avait passée, ils s'étaient retrouvés entre eux, la nuit il dormaient dans la voiture, ils s'étaient confectionné un petit nid douillet. La nuit c'est blotti l'un contre l'autre qu'ils s'endormaient. 


Il n'y avait plus de plage dans la région ou ils arrivaient, c'était joli tout de même, il y avait des falaises, des rochers et par endroit quelques petites criques  avec de toute petites plage de galets.


Un soir, ils étaient installé sur des rochers et regardaient ver le large.


– Tu crois qu'on va voir le rayon vert ?  Demandait Johnny

– Il faut que le ciel soit parfaitement pur. Répondait Brice.

– Et il n'est pas parfaitement pur l'horizon ?

– J'ai l'impression qu'il y a comme une saloperie, une cochonnerie au niveau de l'horizon.


Johnny regardait très attentivement et en effet il y avait comme un défaut. Il allait chercher la carte routière, qui était perdue quelque part au fond de la boite à gants. Il revenait vers Brice.


– Je crois que j'ai trouvé ce que c'était que cette cochonnerie dont tu parles. C'est une île !

– Une île ! Ah ouai ! Ça fait rêver ça, si on allait voir … 


Dès le lendemain matin il partaient à la recherche du moyen pour aller sur l'île. Il trouvaient rapidement mais pas question d'y aller en voiture, ils trouvaient un parking gardé, c'était plus prudent, sans voiture leur voyage se terminait et c'est donc avec un sac à dos bien plein qu'ils montaient dans le bateau. La traversée ne durait pas très longtemps, et dès leur arrivée ils se mettraient à la recherche d'un endroit pour dormir, ils vaut mieux ne pas attendre le soir.


On leur avait dit qu'il y avait plein de campings, le gars qui leur avait dit cela l'avait fait en rigolant. En effet il y en avait plein, pour être précis, il n'y avait rien d'autre d'ailleurs. 


A peine avaient-ils posé le pied sur le débarcadère qu'un mec en tenu fleurie leur tombait dessus, il portait une de ces chemises décorée de motifs fleuris, un short pareil, c'était ridicule. Il commençait par les engueuler.


– Ça fait huit jours qu'on vous attend les gars, il faudrait savoir ce que  vous voulez. Vous voulez travailler ou pas ? Il faudrait savoir !

– Mais qui tu es toi ? Lui répondait Brice.

– Bien le comité d'accueil. Vous recevez tous les touristes comme ça ici ? Rajoutait Johnny .

– Heu ! Vous n'êtes pas les deux saisonniers que j'attends depuis une semaine ?

– Ah non ! Répondait Brice. Johnny faisait non de la tête et ne cachait pas sa mauvaise humeur. Il n'avait pas apprécié cette manière d'être reçu.


Le ton baissait et l'inconnu leur présentait des excuses, il s'appelait Jonas. Il dirigeait un camping. Un truc très bien équipé et d'un certains standing et il attendait deux saisonniers qui auraient du arriver déjà depuis une semaine. Il était un peu tendu surtout que la saison allait commencer. La moitié des places étaient déjà occupées et le gros de la clientèle allaient arriver.


Jonas voyant que les saisonniers n'étaient toujours pas là proposait à Brice et à Johnny de les emmener quelque part. Eux ne savaient pas ou ils allaient, ils suivaient. 


Sur la route, ils discutaient entre eux et arrivé au camping c'était réglé, Jonas leur avait proposé un boulot, juste pour la saison, à nos deux amis. Tout le monde était d'accord. Au bureau on réglerait le problème de la voiture, Jonas connaissait très bien le patron du parking et on signerait le contrat pour deux mois. C'est cette durée qui avait convaincu Brice et Johnny, il pourraient continuer leur voyage après, deux mois au même endroit ce n'était pas trop long.


Jonas les laissait juste à l'entrée du camping, garait la voiturette et les faisait entrer, Brice et Johnny le suivaient et le voyait retirer sa chemise fleurie et dans un même mouvement son short également, il se retrouvait à poil. 


Ils se regardaient sans comprendre. Jonas se retournait vers eux.


– Et bien les gars, qu'est ce qui ne vas pas ?

– Bêêh … Répondait Johnny .

– Vous pouvez vous mettre en tenue vous aussi.


Nos deux amis restaient tétanisés, visiblement surpris.


– J'ai rien contre l'idée mais … Rajoutait Brice .

– Mais vous êtes sur une île naturiste là les gars, vous ne le saviez pas ? Rajoutait Jonas.

– Ah ouai ! C'est ça alors ! S'exclamaient Brice et Johnny en cœur.


Quelques instants plus tard, ils étaient à poil. Ils ne sont pas vraiment puritains ces deux petits jeunes, mais vous vous en doutiez déjà. Au contraire même ils aimaient bien se retrouver dans cette tenue. Jonas les orientait ensuite vers une cabane, un groupe de cabanes en fait ou logeaient les employés. 


– Deux par chambres pas plus, plus ça deviendrait scabreux. Et non mixtes, c'est une obligations juridique. Rajoutait Jonas.

– Sinon ça fait désordre ! Rajoutait Johnny.

– Oh mais je vous rassure les jeunes, très vite ça devient désordre. Mais bon tout le monde est adulte, moi je respectes les règles juridiques … Après chacun fait comme il veut !


La chambre était confortable, le mobilier était réduit au stricte minimum, on n'y faisait pas la cuisine, c'était juste un endroit pour dormir. Même la douche était à l'extérieur, douches ouvertes, très ouvertes, tellement ouvertes qu'il n'y avait même pas de murs … Au moment ou ils ressortaient de la chambre une voix féminine les interpellait.


– Ça y est Jonas, ils sont arrivés ? Huit jours de retard et tu ne les as même pas virés. On a décidément un bon patron ici !

– C'est pas eux, ces deux là passaient par là, je leur ai proposé le poste. Et voilà.


Jonas faisait les présentations, C'était Isabelle qui serait leur voisine pour les deux mois à venir. Elle avait les cheveux long, un corps très mince et élégant, une petite poitrine, petite mais ferme qui se tenait bien. C'est isabelle qui prenait la relève et leur faisait visiter les lieux. Ils auraient à servir au bar, au restaurant, assurer l'entretient des installations, accompagner et guider les nouveaux clients, participer aux animations … 


Et tout ça sans avoir à porter le moindre vêtement pendant les deux mois à venir... Ça ne leur déplaisait pas du tout cette affaire. 


Le reste de la journée on leur faisait visiter les lieux. On les présentait à l'équipe. L'ambiance avait l'air agréable, tout le monde était détendu, et partout, absolument partout des couilles qui pendaient, des bites qui se balançaient des fesses en tout genre et des seins qui dansait à chaque mouvements de leurs porteuses.


Dès la soirée Brice servait au bar, il en avait maintenant l'habitude. Johnny était sollicité pour assurer l'entretient et la maintenance des équipement, tous les clients ne regardaient que lui, pardi pour des raisons de sécurité il était habillé, un bleu de travail.


Et je ne vous dis pas mais pour se faire remarquer, dans un tel endroit, il faut s'habiller. A poil, personne ne vous remarque. Surtout qu'il est mignon le Johnny.


Isabelle l'observait avec une totale impudence le soir quand il venait se changer, quand devant sa cabane il se déshabillait avant de passer à la douche. Elle le suivait sans se poser de questions. Il laissait couler l'eau sur lui quand une voix féminine lui demandait.


– Tu veux pas me frotter le dos ? 


Il sursautait, il ne l'avait pas entendu approcher, il se retournait, il avait son savon à la main et un large sourire sur le visage. Il n'y avait personne dans le coin à ce moment. Ils étaient nus tous les deux, l'eau fraîche coulait sur eux, elle était là, elle lui tendait un savon, elle était magnifique avec un large sourire. 


Un peu comme dans un rêve il lui prenait le savon des mains, elle lui tournait le dos et sans penser à rien, sans penser, tout simplement peut être même. Il lui caressait le dos, depuis les épaules jusqu'à ses fesses. Sa main glissait avec fluidité et glissait encore. Il débordait un peu et sa main se glissait entre les fesses d'Isabelle, un énorme paquet de mousse de savon se formait.


La main remontait et de nouveau débordait, elle glissait sur le côté puis sur le sein d'Isabelle qui lui répondait en caressant cette main.


Il ne l'a pas vu venir, mais bon tout était arrivé si subitement, rien n'était prévu mais Isabelle était tombée dans les bras de Johnny, ce n'était plus le dos qu'il caressait mais son ventre, ses seins, ses épaules et rapidement sans penser à mal, un peu comme par distraction il lui caressait le sexe.


Sa queue se relevait entre les cuisse d'Isabelle, là c'est elle qui la lui caressait, il l'embrassait sur l'épaule, dans le cou, sur la joue et quand elle tournait la tête ils s'embrassaient avec passion.


Elle se retournait vers Johnny, et à son tour elle le prenait dans ses bras. Ce n'était plus que caresse câlin, échange de tendresse. La queue de Johnny se relevait avec force entre leurs deux ventres, bien ferme, bien dure, bien droite.


Johnny soulevait alors Isabelle qui s'accrochait à son cou et passait les jambes autour de ses reins. Elle prenait position et il la laissait redescendre légèrement c'était pour l'empaler sur son sexe. Elle gémissait à ce moment, elle se retenait avec force, refermait ses cuisses, refermait ses bras autour du coup de Johnny ses jambes autour de ses hanches et l'embrassait avec passion en frémissant de plaisir.


Il passait ses mains sous les fesses d'Isabelle, puis les bras sous ses cuisses et la retenait ainsi. Elle faisait un poids plume et c'était un plaisir partager. Elle écrasait ses seins contre la poitrine de Johnny et gémissait, son visage écrasé contre son corps. 


Avec des mouvements à la fois ferme, doux et parfaitement contrôler il la soulevait, la laissait retomber puis la soulevait de nouveau. Elle cambrait ses reins à chaque mouvement et à chaque mouvements recevait la queue de Johnny dans son ventre.


Les deux ventres se caressaient l'un l'autre et le sexe d'Isabelle frottait contre Johnny, surtout qu'à chaque mouvement elle refermait et resserrait les cuisses avec toute sa force.


Pendant de longues, de très longues minutes les deux corps se confondaient et se mélangeaient. Johnny n'éprouvait nullement de reposer sa conquête. Elle ne le demandait pas, elle ne cachait pas qu'elle se sentait très bien dans cette position. 


Les mouvements s'accéléraient, la fièvre montait entre eux, il gémissait également même s'il restait très concentré pour ne pas tomber. Mais Johnny est au sommet de sa forme et Isabelle n'est pas bien lourde, ce n'était pas un exploit pour lui.


Leurs respirations se synchronisaient, elles étaient fortes et rapide entrecoupées de gémissements qui étaient de plus en plus forts et ressemblaient par moment à des cris de plaisir. 


Des râles de plaisir de la part de Johnny quand il s'enfonçait dans le corps d'Isabelle, des gémissement d'un même plaisir pour Isabelle quand elle recevait Johnny en elle. Elle penchait la tête en arrière, ses cheveux flottaient sous l'eau fraîche qui coulait toujours sur eux. Tout reposait alors sur les jambes et sur les bras de Johnny.


Elle jouissait sans le cacher, elle criait presque, ne se retenait qu'à peine, au risque de se faire repérer, de se faire entendre de loin. Il la suivait et lui aussi jouissait, il éjaculait en elle. Suivait un instant de perte de contrôle de la situation puis se reprenant, Isabelle reposait ses pieds sur le sol, Johnny la retenait contre lui encore quelques instant, puis ressortait d'elle. Sa queue encore gonflé de désir retombait entre ses cuisse.


Ils échangeaient encore quelques câlins, quelques baisers puis terminaient de se laver l'un l'autre. Isabelle rigolait, elle avait un large sourire de satisfaction.


– Il va être l'heure de passer à table. Disait Isabelle.


Ils se séchaient rapidement puis Johnny suivait Isabelle. Juste derrière le restaurant il y avait le réfectoire pour les employés, ça se faisait en plusieurs services par roulement. Le restaurant était ouvert et la salle était déjà bien pleine. Presque la moitié des places du camping étaient occupées.


Brice était déjà là, il venait d'arriver, Johnny se joignait à lui, Isabelle allait rejoindre ses copines un peu plus  loin. 



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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