Tou big tou cage 01/10 Un peu de liberté

 Tou big tou cage 01/10

Un peu de liberté




Oui je sais ! Mon accent en anglais est un peu suspecte il faudrait que je le retravaille. Mais je tenais à garder à cette histoire, traduite d'un texte anglais imaginaire, son titre original.


Bon j'arrête de dire des conneries, promis.


Comme vous le savez tous, sous l'influence de cette société ( la PK Compagnie ) d'une puissance économique gigantesque, qui ramènerait d'autres entreprises comme Microsoff au niveau d'un artisanat de quartier, de plus en plus d'hommes portaient désormais un dispositif de chasteté dès l'âge de seize ans. Ça représentait largement plus des deux tiers des jeunes hommes. Un nombre non négligeable de ces jeunes étaient étudiants et une fois leurs études terminées il gardaient le dispositif. 


C'était une obligation s'ils désiraient travailler pour la PK Compagnie, mais aucune loi ne l'obligeaient, en tous cas sur la majorité de la planète. Le port d'un tel dispositif était un choix personnel. C'était de bon goût, certes. C'était bien vu également. Le porteur était respecté car il était le témoin courageux d'une morale indiscutable … Enfin vous voyez ce que je veux dire, on en parle dans tous les journaux. Vous tombez forcément sur cette propagande au moins une fois par  jour. 


Arrivé à l'âge de faire carrière il devait rester pas loin de la moitié des hommes verrouillés dans un dispositif de chasteté ( oui je sais, mais les statistiques, c'est plus ce que c'était ! ) … Les modèles PK sont parfaitement bien étudiés, et ne se sentent même pas, '' Vous découvrirez enfin le plaisir d'être nu sous vos vêtements … '' ils disent … C'est la prochaine campagne publicitaire il parait …


Les modèles sont disponibles dans toutes les tailles … Depuis la taille standard 1 à la taille standard six … Les modèles les plus demandés vont du trois au cinq … Mais la PK Compagnie nous propose des tailles plus grandes, faites sur mesure au prix d'un modèle standard … Pour eux, tous les hommes doivent y passer …


Alexandre s'était résigné, il avait porté le dispositif, comme tous les étudiants ( ou presque ) sans interruption depuis bientôt six ans. Il allait passer son diplôme et avait déjà postulé pour une place dans une des filiales de la PK. Il supportait très bien le dispositif, c'était préférable avec sa candidature, il se préparait à continuer à le porter pendant … plus longtemps … La durée n'était pas définie et souvent non limitée dans le temps.


Il connaissait parfaitement les frustrations que cela entraînait, il connaissait très bien ces moyens de détentes, ces soirées entre amis, ces gadgets qui sortent des tiroirs quand plusieurs hommes suffisamment complices se retrouvent, ces jouets qu'ils utilisent dans le privé. C'était ce que la frustration provoquait. Personne ne s'en plaignait. Il avait lui aussi appris à apprécier ces caresses, ces câlins virils. Il se trouvait particulièrement bien dans la position du passif, il n'aimait par porter le gode ceinture, il préférait que ce soit son partenaire qui le porte.


Pour lui porter un gode ceinture lui rappelait trop qu'il ne pouvait pas disposer de sa queue. Elle était là pourtant, et elle était de belle taille. Il avait même eut un dispositif sur mesure, il l'avait choisi ajusté-confort, cette option garantissait qu'elle ne diminuerait pas en taille, sa queue je veux dire. Et la frustration par contre, elle, ne diminuait pas. Et même après six ans. Oui même après six ans la frustration montait souvent très haut.


Il avait essayé à plusieurs reprise de porter un gode ceinture pour s'amuser avec son camarade du moment. Mais la frustration était trop forte. Tout voir, tout faire, deviner le plaisir qu'on prodigue, sentir le corps de son partenaire vibrer sous le plaisir avant de se contracter de se raidir de se cambrer puis finalement parvenir à l'orgasme. Et ne rien ressentir soi même. Être la cause de ce plaisir et en être privé était une sensation trop frustrante pour lui. 


Aussi quand il acceptait ce rôle, c'était vraiment pour faire plaisir. 


En plus il savait, même s'il ne pouvait plus le constater depuis quelques années, qu'il en avait une grosse. Il avait choisi avec sagesse le modèle ajusté-confort. Le modèle ajusté, ne réduisait pas non plus la taille de la bite mais il fallait quelques temps pour qu'elle reprenne sa taille initiale quand le porteur le retirait, surtout s'il l'avait gardé pendant une longue période. Dans son cas il savait, la PK le certifiait, il ne faudrait que quelques semaines pour que sa queue retrouve sa taille initiale. 


Il y avait aussi ceux qui portaient le modèle ajusté-serré. Ceux là réduisaient la taille de leur pénis. Oh, pas d'une manière définitive ou alors partiellement. Mais le jour ou il décidaient de retirer le dispositif il leur faudrait beaucoup plus longtemps avant de retrouver leur taille de départ. Ceux là aussi avec le temps portaient souvent une taille plus petite, puis plus petite encore … 


Nous en connaissons tous un qui dans une soirée nous lance … '' Je portais une taille cinq ! Maintenant je porte une taille trois et je ne vous dis pas comment c'est confortable … ! ''.


Je vois que vous aussi vous avec souvent entendu ce genre de commentaire. Ceux là en général ne la retire pas, j'en connais un qui est descendu de trois tailles, il portait une taille cinq et il est maintenant rendu à une taille deux … ! Quand il nous raconte ça en soirée, en général il se fait applaudir …


Bref pour en revenir à notre ami Alexandre. Lui ne jouait pas à ce jeux, il gardait sa taille confort et sa frustration.


Plusieurs classes parmi les étudiants venaient de passer leur examen de fin d'étude. Alexandre se retrouvait au restaurant avec quelques uns de ses amis. La discussion était vive.


– Ça y est je suis libre ! Déclarait Régis !

– Moi aussi ! Rajoutait Daniel !


Quelques acclamations répondaient à ces déclarations. 


– Vous avez de la chance les gars. Rajoutait Alexandre. Mes dernières épreuves ne se passent que dans deux semaines …

– Et après ça va être la grosse branlette … Lui criait Régis.


Le serveur de ce restaurant approchait …


– S'il vous plaît les jeunes, un peu plus de discrétion, vous êtes dans un lieu publique … 


D'un geste très professionnel il ramassait les assiettes, essuyait une cuillère puis avec frappait fermement contre la bosse qu'il avait au niveau de son entre jambe. C'est un bruit métallique qui se faisait entendre …


– C'est discret ! Rajoutai Réjis.

– Taille ? Demandait Daniel.

– Taille deux ! Répondait le serveur.

– Petite bite ! Concluait Daniel.

– Au départ je portais une taille cinq ! Répondait le serveur.


Les trois garçons applaudissaient en criant … '' Wouééééé ! Il a perdu trois tailles … Wouééééé ! ''


– Bon c'est fini les jeunes … Heureusement  qu'il n'y a pas trop de monde ce soir … Faites un peu moins de bruit, vous serez mignons. 


La fin de la soirée se passait tranquillement. Ils rentraient un peu plus tard et se retrouvaient chez Alexandre.


– Allez fait voir ta bite ! Lançait Daniel à Régis.


Régis ne se faisait pas prier et baissait son pantalon. Sa queue pendait lourdement entre ses cuisses. Les deux autres garçons ne regardaient qu'elle. Daniel retirait sa chemise sans que personne ne réagisse puis retirait lui aussi son pantalon. 


Le voyant faire Régis faisait de même et au bout de quelques instants seul Alexandre avait encore ses vêtements. Régis commençait à bander. Les deux garçons étaient bien membrés. Il portaient tous les deux une taille cinq, et on ne pouvait même pas imaginer qu'ils avaient porté une cage de chasteté pendant six ans.


Alexandre regardait ça, il avalait sa salive, on pouvait deviner sa frustration. Il retirait ses vêtements lui aussi.


Seul Alexandre ne bandait pas. En tout cas, dans son cas ça ne se voyait pas. Pour les autres c'était autre chose. Les trois jeunes hommes se prenaient dans les bras. Chacun caressait les autres, ils s'embrassaient et Alexandre en venait tout naturellement à caresser les queues de ses camarades. Sa queue se révoltait dans sa cage. Il se mettait à genoux puis commençait à sucer l'un puis l'autre. 


Il avalait la queue de ses camarades, une à la fois bien sûr, ils étaient plutôt bien montés. Mais il passait de l'une à l'autre. Eux se caressaient et s'embrassaient tout en retenant et en guidant la tête d'Alexandre. Il était vraiment en manque Alexandre. Il portait son dispositif depuis six ans et c'était long, surtout qu'il ne savait pas quand il le retirerait. Peut être après son examen, si son stage lui en laissait le temps. Mais si c'était pour seulement quelques jours, ça n'en vaudrait pas la peine. 


– Qui m'encule ? Demandait Alexandre.


Sans répondre Daniel s'asseyait sur le fauteuil et écartait les cuisses. Alexandre s'installait pour lui sucer la queue pendant que Régis se lubrifiait la queue. 


– Ça fait un moment que j'ai pas fait ça ! Déclarait Régis sur un ton satisfait. 

– Tu n'as jamais fait ça. Lui répondait Daniel !

– Si je l'ai fait !

– Bon au lieu de frimer, encule le donc qu'on en parle plus.


Il prenait position, et peut être à cause de l’excitation provoquée par la longue abstinence il poussait, un peut trop fort peut être. En un mouvement raide, il poussait sa queue bien à fond dans le cul d'Alexandre. Il se lâchait, il s'était retenu depuis tellement longtemps, il n'avait pas l'intention de se retenir plus longtemps. 


Alexandre gémissait et par réflexe voulait relever la tête mais Daniel le retenait des deux mains et appuyait bien pour que sa queue rentre bien à fond. Le visage d'Alexandre s'écrasait sur le ventre de Daniel, il avait une grosse queue dans la gorge qui l'empêchait même de gémir ou de râler. Il avait aussi une grosse queue dans le cul qui lui donnait envie de râler et de gémir.


Il se tordait dans tous les sens, enfin autant qu'il pouvait bouger. Il ne tentait pas vraiment de se dégager, enfin si un peu quand même. 


Régis lui limait le cul maintenant avec force, ils se lâchait vraiment, heureusement qu'Alexandre était entraîné, c'est bien tout de même les godes.


Daniel ne lui lâchait la tête que quand il sentait qu'Alexandre manquait d'air. Il relevait alors la tête rapidement et reprenait son souffle, en effet là il manquait d'air. Régis accélérait ses mouvements et c'est lui qui commençait à râler maintenant.


– Je vais pas tenir, je vais pas tenir longtemps ! S'exclamait Régis.


Il continuait à limer le cul d'Alexandre de toutes ses forces. Daniel se branlait avec vigueur, il respirait fort.


Un cri de plaisir, deux ou trois coup de bassin particulièrement puissants annonçaient que Régis jouissait dans son cul. Une giclée de sperme sur le visage annonçait que Daniel jouissait lui aussi.


Alexandre a pris du plaisir, il ne faut pas en douter mais c'est pas  pour cela qu'il n'était pas frustré.


Plus personne ne bougeait. Alexandre se retrouvait allongé sur le tapis, ses deux camarades vautrés sur un fauteuil avaient un sourire ravi. 


– Ça fait du bien. Déclarait Daniel.

– Tu ne t'étais pas branlé depuis que tu as retiré ton dispositif ? Demandait Régis.

– Je ne l'ai retiré que cet après midi. Et toi ?

– Moi pareil mais moi je me suis branlé aussitôt … Enfin ça fait du bien tout de même !


Ils regardaient Alexandre qui ne disait plus rien.


– Vous avez de la chance les mecs, moi je ne sais pas quand je vais le retirer. On m'a dit que je risquais de partir en stage dès lundi.

– Ça ne vaut pas la peine dans ce cas. Lui répondait Daniel.

– Tu ne le retireras peut être jamais. Lui faisait remarquer Régis !


Sans rien dire Daniel s'allongeait sur le corps d'Alexandre, l'embrassait et le retournait sur le ventre. Il lui refermait les cuisses, posait ses genoux à l'extérieure de ses cuisses, s'allongeait et le pénétrait. Là, il a gueuler Alexandre.


– Enfoiré, dans cette position ça fait mal ! Râlait Alexandre.


Mais Daniel n'en tenait pas compte, il s'enfonçait bien à fond, Alexandre râlait et respirait fort mais ça ne devait pas lui faire si mal que ça, il râlait mais il ne tentait pas vraiment de se dégager. 


C'était Daniel qui maintenant lui limait le cul, et il y allait avec force, sans aucune retenue. Alexandre râlait plus fort, la position était bien moins confortable pour lui et la queue de Daniel était de belle taille également. 


Les coups de bassins devenaient violents et rapides, Alexandre serrait les dents et les poings mais laissait faire, il jutait, il jouissait enfin, c'était violent mais il jouissait. Daniel jouissait lui aussi, puis de nouveau plus personne ne bougeait. 



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast  


2 commentaires:

  1. très prometteur ce début d'histoire !!!

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  2. Et là on se demande comment ça va se finir cette histoire, dispositif permanent ? ...

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