Nostalgie 01 Le jour ou j'ai dit oui

 Nostalgie 01

Le jour ou j'ai dit oui



J'avançais sur le terrain, rien n'avait changé, pourtant ça faisait combien … Dix ans ? Non ! Presque quinze !


A cette époque tout le monde me disait que j'avais un avenir, un très bel avenir plein de médailles. En sport, j'étais bon, j'étais très bon même. On m'avait prévu un emploi du temps particulier, j'avais un coach personnel. C'était un prof de l'école qui avait quelques médailles dans différentes compétitions. Il me prenait en main tous les après midi. Il était plus tout  jeune, il devait avoir au moins trente cinq ans.


J'en avais pas la moitié !


Tout le monde pratiquait une activité physique, aussi on avait l'habitude de se retrouver sous les douches. Les vestiaires n'avaient pas changé. Je retrouvais mon ancien placard. 


Des souvenirs me revenaient. Je revoyais mon pote julien, quand il ressortait de la douche il faisait toujours le mariole, en plus il aimait bien se balader à poil, il était un peu exhibitionniste tout de même. A cette époque nous ne portions pas de ... personne ne portait ce genre de dispositif que tous les sportif portent aujourd'hui.


Jérémy Brosso commençait à faire parler de lui. Il gagnait des médaille et on nous expliquait que s'il était si bon, c'était à cause de ce dispositif de chasteté, c'était tout nouveau à l'époque. On allait découvrir ce dispositif mais à cette époque, comme je vous le disais, personne n'en portait.


Un jour, je devais avoir dix sept ans, mon coach est venu me voir.


– Tu sais Toby, il faudrait passer à la vitesse supérieure.

– Tu es marrant coach mais  je m'entraîne tous les jours, je ne sors presque pas, je me donne totalement et …

– Tu as entendu parlé de '' Brosso '' ?


Mon sang s'est glacé dans mes veines. Tous le monde savait qui c'était.


– Oui mais non enfin tu n'y penses pas coach. 

– Tu sais Toby, ce dispositif n'est pas nouveau en fait. On le connaît depuis des années. En mon temps déjà certains sportif en portaient. 

– Je croyais que ça venait juste d'être inventé.

– Oh que non ! Mais c'est vrai que les modèles récents, ceux que Brosso a inventé sont bien plus confortables.

– Enfin on dirait que tu t'y connais.  Je rigolais en disant ça.

– Je n'aime pas parler de ce que je ne connais pas.


On était dans les vestiaires et on était seul. Il baissait son pantalon et me dévoilait son secret. Il portait un dispositif PK, un modèle récent. 


– Ça c'est nouveau mais je portais déjà à l'époque un dispositif plus ancien. Celui-ci est bien plus confortable. Tu peux me croire. Je le porte depuis sa sortie.

– Oui bon d'accord, tu le portes depuis six mois et alors, tu crois me démontrer quoi ?

– Quand j'ai commencé à porter ce genre de dispositif j'ai vu mes performances sportives augmenter en trois mois. Quelques années plus tard j'étais aux jeux Olympiques. Deux médailles.


Je l'écoutais, je savais tout cela. Toute l'école savait que nous avions un ancien champion Olympique. Par contre personne ne savait qu'il portait un dispositif de chasteté. Il était marié, il avait deux enfants, un garçon et une fille plus jeunes que moi tous les deux.


– Oui mais coach. C'est bien beau tout ça mais .

– Il faudra peut être que tu fasses le choix. Tu sais Toby, tu es bien meilleur que moi. Tu as un potentiel énorme, tu ne devrais pas le dilapider en passant tes soirées à te branler.

– Tu exagère là coach. Pourquoi tu dis ça …

– J'ai eu ton âge !


Il avait prononcé cette dernière phrase sur un ton sec. 


– Et puis tu sais, c'est très agréable à porter de nos jours, de mon temps c'était pas le cas. Mais déjà ça en valait la peine. Réfléchis à ce que je viens de te dire.


Je restais dubitatif, il me demandait de porter un dispositif de chasteté. Il est pas un peu fou là le coach, j'ai juste dix sept ans et j'ai plus envie de passer mes soirées à me tripoter et à me branler que de me retrouver avec une cage sur ma queue.


Les jours passaient, tout allait bien. Je me retrouvais avec mes camarades sous la douche. Julien se baladait à poil, comme d'habitude, il embêtait tout le monde. Il était décontracté Julien … Mais c'est vrai qu'on était entre nous et que nous avions l'habitude de nous voir à poil. 


Il venait me voir. 


– Tu sais Toby, j'ai entendu le coach qui parlait de toi …

– Et ? 

– Et il voudrait te voir faire des progrès …

– Bon ça va j'ai compris. Il voudrais que je porte un dispositif de …

– C'est cool ça ! J'aimerais bien te voir comme ça !

– Ça m'aurais étonné. Et toi, tu en porterais un tel dispositif ?

– Grave oui mais c'est chère ! Et puis de toutes façons c'est pas à moi qu'il vont proposer ce genre de truc.


Je haussais les épaules et me préparait pour la suite. Il faut savoir que Julien à l'habitude de dire n'importe quoi, lui avec un tel dispositif sur la queue, c'était à mourir de rire. Mes camarades avaient terminé leur entraînement mais moi je jouait les prolongations. J'étais loin d'avoir fini. Comme je vous disait j'avais un programme spécial.


Le coach arrivait.


– Allez Toby, tu n'es toujours pas en tenue, mais qu'est-ce que tu fais, tu n'est pas en train de te branler au moins.

– Si coach, il se branlait tout à l'heure, je l'ai vu … 


C'était Julien, c'était toujours Julien. J'étais à poil, rapidement j’enfilais ma tenue et suivait le coach. Il savait nous pousser jusqu'à nos limites et même un peu au delà sans pour autant nous fâcher, il savait y faire. Bon il ne me suivait plus, au niveau des performances je veux dire, j'étais bien meilleur que lui mais c'était normal, lui comme je vous disais, il était vieux.


– Tu sais Toby, monté comme tu es tu devrais vraiment mettre un de ces dispositif de chasteté, ça te détendrait et tu pourrais te focaliser sur ton travail. 

– Ah ouai, je vois ! Sous prétexte qu'il a une grosse bite, lui il y a droit. Braillait Julien.


Il était toujours à poil, et nous suivait jusqu'à la porte et même un peu au delà. Il arrivait sur le terrain, il était toujours à poil et se faisait remarquer.


– VA ZY TOBY ! VA ZY TOBY … T'est le meilleur et c'est toi qui a la plus grosse. 

– Mais arrête donc de te faire remarquer espèce de bourrique et vas t'habiller tu es tout nu. Lui lançait le coach.

– Hiiiiiiiiiiiiiiiii ! Je suis tout nu. S'exclamait Julien.


Puis il mettait ses mains devant son sexe et courait vers les vestiaires en criant … '' Ne regardez pas, ne me regardez pas, je suis nu ! ''


– C'est une pièce celui là ! Faisait remarquer le coach !

– Et lui coach, tu ne crois pas qu'il devrait porter un dispositif aussi ?

– C'est une idée. Mais tu as pensé à ce que je t'ai proposé ?

– Bon là je suis chaud, pas besoin d'échauffement, cinq tour de terrains à un rythme moyen pour commencer … C'était la seule réponse que je lui donnais.


Le coach me regardais partir, il ne rajoutais rien. Arrivé au cinquième tour j'entendais une voix … '' VA ZY TOBY ? VAS ZY TOBY … T'es le meilleur et c'est toi qui a la plus grosse … ''. Bein  oui, c'était Julien, il s'était rhabillé, et il s'en allait. Il portait son sac de sport par dessus son épaule. Il rigolait, il me faisait un signe de la main.


– Il a raison, c'est toi qui a la plus grosse. Et à une époque on disait que ça ne pouvait que te distraire encore plus …

– Ah ouai, et toi coach elle était grosse comment ? Je n'attendais pas de réponse mais …

– Vingt deux centimètres.


Là je regardait le coach, je n'en faisait pas plus de vingt et un.


On terminait la séance de sport, une heure de plus que les autres, tous les soirs. Je me retrouvais sous la douche. 


– Tu ne prends pas de douche coach. Il avait sa propre douche pour des raisons de convenances.

– Plus tard. 


Il me regardait de loin, il était au fond de la salle. Je prenais bien mon temps, j'aime pas être pressé quand je me détends moi. Je me retournais vers lui. 


– Et tu avais une queue plus grosse que ça ?

– A peu de choses près, à ce niveau il n'y a pas de différence. 

– Et ça donne quoi maintenant ?

– Bein maintenant ça donne …


Il baissait son pantalon de sport, puis il retirait ses vêtements et venait me rejoindre sous la douche. 


– Moi je ne rentrerais jamais dans un truc pareil. Il avait une cage de toute petite taille.

– J'ai réduit !

– Et ça s'est fait tout seul.

– Par étapes …


J'étais surpris par la réponse, il m'expliquait, il avait procédé par étapes, comme il disait, régulièrement il mettait une cage plus petite puis encore plus petite …


– Et ce n'est pas douloureux ?

– Il ne faut pas forcer, il faut laisser le temps.


On terminait la douche, on s'essuyait, on ne parlait pas …


– Alors tu y penseras ? Me demandait-il en se dirigeant vers les vestiaires.


Il disparaissait quelques instants, revenait avec son sac qui contenait des vêtements propres. Puis on continuait à discuter. Il se montrait ostensiblement, il ne prenait pas la peine de se cacher et je ne prenais pas la peine de cacher que je le regardais avec une grande curiosité. 


Il s’exhibait et j'en faisait de même. Je me séchait la queue, je me l'essuyais longuement, elle pendait lourdement entre mes cuisses. La situation pouvait paraître douteuse mais en fait tout était normal. Une douche après une séance de sport, les vestiaire, deux homme se rhabillaient …


– Je vais organiser, une équipe, tu voudrais y participer ?

– Je trouve que j'en fait déjà beaucoup !

– Tu seras avec des camarades de ton âge, et ça ne se rajoutera pas à ton temps d'entraînement.

– Dans ce cas là c'est d'accord !


On se quittait, jusqu'au lendemain. 


Sur la route je retrouvais Julien. Il allait se promener.


– Alors tu as dit oui ?

– Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi ? Lui répondais-je sur un ton agacé et désagréable.

– Mais enfin, je te demande si tu seras des nôtres dans le groupe de sport et tu as vu comment tu me réponds …

– Excuse moi mais le coach il m'agace. Il insiste. Oui j'en serai !


Le lendemain on se retrouvait tous, comme prévus, on serait cinq. Il y aurait Vincent, Julien, William et Marc. J'arrivais en premier et le coach, une fois de plus me demandait de bien réfléchir à sa proposition. Là il m'agaçait vraiment.


– C'est d'accord, bon c'est d'accord mais à une condition … On porte tous un de ces trucs, tout le monde est d'accord et je suis d'accord.


Je pensais qu'avec Marc et Julien, c'étaient de gros branleurs, j'étais tranquille, ils n'accepteraient jamais. J'aurais mieux fait de me taire à cet instant.

Julien avait dit oui. Enfin Julien avait dit …


– C'est d'accord coach j'en suis mais à une condition, c'est tu ne dises pas que j'ai accepté mais que tu m'as obligé ! 


C'est tout Julien ça. Et pour ce qui est de Marc, l'idée venait de lui, de sa mère pour être plus précis. Elle l'avait surpris plusieurs fois à se masturber et ne voulait plus que ça se reproduise.


C'était bien de gros branleurs, ces deux là, et c'est justement ce qui justifiait qu'on le leur propose et qu'ils acceptent. 


Dans les jours qui suivaient le coach contactait une association religieuse  paroissiale qui se mettait à promouvoir le port du dispositif de chasteté. Avec les fonds prévus par l'école, on pouvait équiper tout le petit groupe, ça ne coûtait rien à personne. 


Moins d'une semaine plus tard je me demandais si j'avais bien fait d'accepter.



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

INDEX

                       Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'ACC...