Acteur porno 05 Le spectacle tourne

 Acteur porno 05

Le spectacle tourne



C'est dans la semaine qui suivait que René contactait Louis. Comme on pouvait s'y attendre, il lui avait tapé dans l’œil autant qu'il avait tapé dans le cul de Benoît notre beau Louis, alias Rock Hard … 


Apprenant que Louis travaillait à 'La Capote En Glaise' il débarquait en grandes pompes. Il y a ses entrées. Lui et Léo, le patron de la boites on fait leurs classes ensemble, ce sont de vieux compagnon de régiment … ( comme on dit )


Il arrivait avec Benoît et ils étaient très bien reçus. Toute l'équipe de la boite venait leur faire la bise, chacun leur tour. Plus de la moitié de l'équipe avait travaillé pour les productions 'René Porno Vidéo' et tout le monde connaissait René et son époux Benoît. 


Benoît comme à son habitude s'installait au pied de la scène, aux premières places et se commandait une bouteille de champagne. Il n'a rien loupé du reste de la soirée, pas même la troisième bouteille de champagne , la deuxième non plus, remarquez. Benoît n'est pas du genre à louper une bouteille qui passe. 


René discutait longuement avec son vieux pote, Léo. Il avait un projet de film, il en produisait en général un par semaine donc ça n'avait rien d'extraordinaire. Il voulait Louis dans le rôle principal. 


– Il n'y a aucun problème, mon petit René. Si Louis est intéressé par le job, je lui trouverai des créneaux horaires, comme d'habitude. Pour qu'il puisse tourner.

– J'étais justement venu lui proposer un rôle. Rajoutait René.

– Il est bien, tu sais, le jour ou je l'ai reçu il avait gros gode dans le cul, il est venu avec, il est reparti avec …

– Ah je comprends mieux ou il était passé ce gode …

– Tu vois bien que c'est pas moi qui l'avait perdu ton gode. Rajoutait Benoît qui avait toujours une oreille qui traînait partout. 


Puis prenant Léo  et le barman en témoin. 


– Je ne vous raconte pas la comédie qu'il m'a fait. Il m'a reproché d'avoir perdu le gode, tu ne peux pas imaginer comment il me traite Léo, je te jure on n'a pas une vie facile … Enfin pour lui oui mais …

– Je lui avait juste demandé s'il n'avait pas vu le gode … Rajoutait René. C'est tout.


Puis Benoît repartait vers sa table en gémissant, mais avec une nouvelle bouteille dans la main.


– Il ne change pas celui là ? Faisait remarquer Léo.

– Comme tu dis. 


Un peu plus tard Louis montait sur scène, il faisait son spectacle, son partenaire était à moitié allongé sur le sol, il faisait la manche. Louis le repoussait du pied, mais je ne vous ai pas déjà raconté. Bon passons à la suite. Ils étaient très applaudis, un gros succès à chaque fois, ils faisaient comme d'habitude le tour de la piste de danse, se faisaient longuement tripoter. Louis avait très vite compris qu'il gagnait plus en agissant ainsi. 


Il retrouvait son patron au bar et le producteur René ... Les trois hommes discutaient un moment. Louis était très content de voir qu'il pourrait tourner tout en travaillant ici. C'était une bonne nouvelle ça pour lui. Il avait la certitude de pouvoir ainsi arrondir ses fins de mois d'une manière très confortable. 


Puis il reprenait le service torse nue, il aimait bien montrer son corps le très beau Louis, il avait tout ce qu'il faut comme muscles pour faire tourner la tête de n'importe quel homme normalement constitué, n'importe quelle femme aussi mais là on s'en moque un peu … 


Un peu plus tard c'était de nouveau le tour de Louis de remonter sur scène, il débutait il n'avait que deux petites pièce à  jouer. 


Au milieu de la scène on avait disposé une chaise, sur son dossier une chemise blanche négligemment posée là. Louis entrait sur scène, il était très applaudi puis plus un bruit, il réajustait son pantalon, il portait un pantalon en étoffe légère, un pantalon de costume, il prenait avec des gestes élégants la chemise et se glissait dedans, il était de nouveau applaudi. 


Il sont bizarres dans cette boite de strip-tease, il applaudissent les mecs qui se rhabillent maintenant, enfin bon passons.


Louis prenait bien le temps d'ajuster sa chemise, c'est vrai qu'elle était belle sa chemise, un autre homme habillé en costume moins prestigieux, un costume de valet, c'était Mat, arrivait il tenait dans sa main une cravate. 


Louis le laissait ajuster sa cravate, il lui souriait et en même temps lui tripotait les couilles. Le valet ne bronchait pas et laissait faire, il continuait avec le plus grand soin, il réajustait la chemise, la ceinture, le pantalon, la braguette et lui tripotait les couilles à son tour.


Louis le prenait dans ses bras son partenaire et l'embrassait. Il ouvrait son gilet, suivait la chemise et celui qui jouait le rôle du valet se retrouvait torse nue. Louis lui caressait le corps avec douceur. C'était un moment très doux, il n'y avait plus de bruits dans la salle.


Le Valet ouvrait la chemise de Louis, et finalement la lui retirait la cravate aussi. Les deux corps se caressaient l'un l'autre, se frottaient l'un contre l'autre. Ils étaient là debout au milieu de la scène, et partageaient un moment de pure tendresse, de pure douceur.


Les mains du valet se glissaient dans le pantalon de Louis, et finissaient par l'ouvrir. Bien sûr Louis ne portait pas de sous vêtement et montrait des fesses magnifiques et des jambes superbes quand son pantalon tombait sur ses chevilles.


Louis rendait la politesse à son partenaire, ils repoussaient leur pantalon plus loin Louis prenait la queue de son camarade dans la bouche, ils étaient alors sur le manège, c'est une partie de la scène qui tourne sur elle même. 


Louis suçais longuement la queue de son partenaire, toute la salle pouvait admirer sa dextérité. La queue de Mat, celui qui jouait le valet s'appelait Mat, s'enfonçait avec une incroyable facilité dans la gorge de Louis. Mat écartait bien les jambes et Louis pouvait passer ses bras entre ses cuisses pour lui caresser les fesses et le bas du dos.


Mat prenait la tête de Louis entre ses main, la retenait avec force et lui donnait des coups de bassins dans la figure. Ça devenait un peu plus violent mais ça restait encore raisonnable. Louis encaissait sans broncher.


Mat appuyait sur la tête de Louis à chacun de ses coup de bite dans sa gorge, c'était moins raisonnable et un peu plus violent. Louis attrapais Mat par les hanches et le retenant bien il appuyait son visage contre son ventre avec force. La queue de Mat disparaissait totalement dans la gorge de Louis. Pourtant il était était très bien monté. 


Louis se relevait brusquement puis serrait avec force son partenaire dans ses bras, ils échangeaient un baiser puis c'était Mat qui prenait la position et suçait avec la même fougue la queue de Louis. 


Au premier coup d’œil il était difficile de savoir lequel des deux avait la plus grosse. C'est vrai qu'il avaient tous les deux beaucoup de tallent. Chacun des deux avalait la queue de l'autre sans difficulté. 


D'un geste vif Louis retournait Mat. Dans la salle c'étaient des cris. Louis poussait en avant son partenaire qui s'appuyait sur le dossier de la chaise. Louis se lubrifiait, ce n'étaient plus que cris et hurlement dans la salle. 


Brusquement Louis enculait avec force son partenaire Mat hurlait et se redressait. Louis donnait un nouveau coup de bassin bien fort, bien violent. Il passait un bras autour du cou de Mat, il le redressait ainsi contre lui, et continuait à lui défoncer les fesses. Sa queue entrait, sortait, de plus en plus vite. 


Mat pour se redresser devait cambrer le dos, la position n'était pas idéal pour se prendre la bite de Louis dans le cul. Pourtant elle entrait, elle entrait facilement, Louis ne jouait pas les tendre et les coups qu'il portait étaient réels, violents et réels. 


Mat agitait les bras, il jouait les victimes paniqués, il tentait de se dégager en convulsant mais Louis continuait à lui buriner le cul sans aucune pitié et quand ça résistait, il forçait tout simplement, il forçait et sa queue entrait bien à fond. 


Mat gémissait fort maintenant, il gémissait plus fort à chaque coup porté. Le ventre de Louis s'écrasait contre les fesses de Mat, qui ne pouvait plus résister et suppliait. Dans la salle Le public était en transe, plus personne ne savait si c'était réel, si c'était joué, s'ils faisaient semblant ou pas. La seule chose qui était sûre c'est pour ce qui est de bien rentrer à fond, la queue de Louis rentrait bien à fond. 


C'était l'effet manège, la piste tournait et entraînait les deux artistes qui de ce fait pouvaient être vus sous tout les angles depuis toute la salle. 


Il y avait aussi une petite table basse sur la scène. Louis la plaçait d'un geste au milieu du manège. Il tirait son partenaire par le bras et l'installait sur le dos sur la table, il lui relevait alors les jambes, les repliait contre don partenaire qui gémissait et le pénétrait de nouveau en un mouvement rapide et violent.


Puis il lui labourait littéralement le cul. Il frappait fort, à fond. Très fort et bien à fond. Son ventre claquait contre les fesses de Mat. 


La scène durait, la scène était longue jusqu'au moment ou Louis décidait d'en finir. Il se retirait alors se masturbait quelques seconde, pas plus et jutait abondamment sur le ventre de son partenaire. 


Mat n'avait pas joui, enfin ça on n'en sait rien il avait le sourire, Louis avait joui lui, ils étaient tous les deux en sueur. Louis se relevait, tendait la main à son partenaire pour l'aider à se relever et c'est à poil qu'ils faisaient le tour de piste et saluaient avant de disparaître derrière les rideaux au fond de la scène.


La salle était en délire. 


René applaudissait. 


– J'ai comme l'impression qu'on a une futur vedette. Disait René à Léo.

– Tu as raison, je vais tout faire pour le garder. 



Le premier tournage proposé à Louis ne tardait. C'était en dehors de ses horaire de travail. C'était organisé. Et pendant les mois qui suivaient Louis, alias Rock Hard devenait célèbre dans le milieu.


Il était apprécié pour les coups de bite qu'il savait donner, mais encore plus par les coups de bite qu'il pouvait encaisser. Un soir, sur scène il s'est fait défoncer le cul à six reprises. 


Il fallait se rendre à l'évidence, il était passif. Il jouait les actifs car monté comme il était on le lui demandais mais il était passif. Gaétan le savait depuis  un moment, entre eux Louis était toujours passif, ce qui ne dérangeait pas Gaétan qui, lui, préférait de loin être actif.


Un an plus tard il était surnommé ' l'étalon passif ' il se spécialisait dans les rôles de celui qui se fait défoncer le cul. Il ne disait jamais non à un queue, même de grosse taille, surtout de grosse taille. Il s'était installé avec Gaétan qui assistait à tous les tournages. Il aimait bien voir son doudou se faire défoncer le cul, et il aimait bien lui faire subir la même chose le soir, entre eux … 


Avec le boulot et le plaisir, Louis se faisait bien défoncer le cul en moyenne quatre à cinq fois par jours. Il était toujours partant, il était insatiable, infatigable. 


A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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