L'ordonnance 04 Au chalet

 L'ordonnance 04

Au chalet



Le Lieutonel riait de bon cœur en voyant l'embarras de son jeune secrétaire ( on peut aussi dire son ordonnance ). Maintenant Willy bandait ferme, sa queue se relevait bien plaquée contre son ventre.


Oui c'était étonnant, Willy avait une grosse queue, une très grosse queue mais elle marchait bien, il bandait ferme au point que quand il bandait, sa queue se relevait fièrement à la verticale et se plaquait contre son ventre. Et c'est précisément ce qui lui arrivait à ce moment.


Juste à côté de lui, le Lieutonel rigolait doucement. Il se retournait vers Willy le prenait pas les épaules et le retournait, toujours en rigolant, et lui massait les épaules. 


– Ça va te détendre bonhomme.


Le Lieutonel savait faire, et Willy se détendait, ça lui décontractait la nuque, il se laissait aller, c'était très agréable, vraiment très très agréable.


Mais sur son érection, ça n'avait aucun effet … 


– Allez, tu me fais pareil. C'est agréable non ?


Willy se retournait, le Lieutonel aussi et Willy lui massait les épaules à son tour, ce n'était pas aussi facile qu'il l'avait cru. Les mains de Willy sont plus petites, les épaules du Lieutonel sont bien plus larges et surtout il fait quarante centimètre de plus en hauteur. 


Willy se sentait tout petit avec ce géant devant lui. Il se laissait distraire et ses mains descendaient toutes seules sur le dos du Lieutonel, sur le côté de son dos, et le massage se transformait en caresses. Ce qui ne semblait pas déplaire à l'officier.


Au moment ou le corps de Willy se collait contre celui de son chef, ou ses bras caressaient son ventre, son torse, ou ses mains glissaient contre les muscles de ses bras, au moment ou une main glissait sur le bas de son ventre et lui caressait son dispositif de chasteté, ( oups ), c'est à ce moment que Willy réagissait à ce qu'il faisait. C'était son chef, un officier qui était là, devant lui, à poil, sous la douche … Et c'était son chef que Willy tripotait.


Il se ressaisissait aussitôt, se redressait et retirait ses mains. Il se sentait gêné le pauvre Willy, il s'était laissé aller. Il était confus le pauvre et une fois de plus il ne savait plus ou se mettre.


Le Lieutonel se retournait.


– Mais pourquoi tu arrêtes, tout avait très bien commencé ? Lui demandait le Lieutonel, il continuait en regardant la queue de Willy. Là c'est bien moi qui te fait cet effet !


Le Lieutonel prenait alors la queue de Willy dans la main, lui caressait les couilles. Willy était tétanisé.


– Si tu veux que j'arrête tu le dis. Sinon tu fais pareil.


Willy hésitait quelques secondes puis caressait les couilles de son chef. Elles formaient deux boules bien fermes, et bien rondes. Ce contact l'excitait encore plus. Le contact avec cette cage à bite de petite taille, il portait une taille un. C'était la plus petite.


Avec son autre main, Willy caressait le ventre, le bas ventre de son chef qui continuait à lui caresser la bite.


– Tu as raison, ce serait dommage de mettre cette queue en cage. Elle est superbe, et en plus elle fonctionne bien.


En disant cela, le Lieutonel s'accroupissait et la prenait dans la bouche. Willy était tétanisé de voir sa queue disparaître dans la bouche de son son chef,il faisait ça bien. C'était doux, c'était chaud et humide. Il ne sentait pas les dents mais juste quelque chose de très doux sur son gland, c'était le fond de sa gorge. La queue de Willy s'enfonçait jusqu'au fond de la gorge de son chef. Il l'avait avalé en quelques secondes.


Le visage du Lieutonel s'écrasait sur le ventre de Willy. Willy lui caressait les cheveux, il les avait courts, très court, qui respectaient scrupuleusement le règlement. 


Le lieutonel reculait sa tête,la queue de Willy ressortait et il avait envie de crier de plaisir tant c'était fait avec douceur. Le Lieutonel rabaissait cette queue à l'horizontale pour pouvoir la prendre dans la gorge mais quand elle ressortait elle se relevait avec force et venait frapper le ventre de son propriétaire.


Suivaient de nouveau des caresses de la main, de la langue et de nouveau cette queue disparaissait dans la gorge de ce suceur imprévu.


Le lieutonel était penché sur son jeune ordonnance. Les quarante centimètres de différence se faisaient remarquer, il le prenait dans ses bras et le soulevait avec une incroyable facilité. Il était d'une force herculéenne le boss.


Willy s'accrochait en passant ses bras autour de son cou. Ses pieds étaient maintenant loin du sol, le Lieutonel posait ses fesses sur le rebord du lavabo, Willy passait ses jambes derrière le dos de son partenaire, sa queue se relevait entre eux et, alors que Willy se retenait son boss le masturbait.


Ils prenaient le temps de se faire plaisir. Le plaisir ce serait surtout pour le petit Willy. Ils s'embrassaient avec passion. 


Au bout d'un moment ils se calmaient un peu. Willy ne comprenait plus rien mais suivait le mouvement. Ils se savonnaient joyeusement l'un l'autre, se shampooinaient en rigolant et c'est tout propre tout beaux qu'il se dirigeaient vers la chambre après s'être sécher. 


Le lit était à la taille du boss qui faisait plus de deux mètres de haut. Il s'emparait du petit Willy, le jetait sur son lit et il paraissait tout petit au milieu de ce lit gigantesque et là même allongés, les deux hommes ne faisaient pas la même taille. 


Mais même le plus petit était costaud, et si le plus grand s'allongeait sur lui de tout son poids il ne parvenait pas à l'écraser, et encore moins à le casser. Il était solide le petit Willy. Mais c'est lui qui prenait la position dominante.


Il ressemblait à un jouet entre les bras du Lieutonel le petit Willy. Un beau jouet je ne dis pas le contraire mais il était tout petit et le géant le soulevait comme il avait envie. Il terminait allongé sur le dos les jambes bien écartées, son boss la tête entre ses cuisse lui suçait la queue avec expertise. 


Willy ne comprenait toujours pas comment il pouvait avaler sa queue jusqu'à la garde. Elle était énorme et c'était la première fois qu'on lui faisait ça. Oui bon, ce n'était aussi que la deuxième fois qu'un mec lui suçait la queue. Les filles il n'avait jamais essayé. Le premier c'était Lionel, le secrétaire qu'il allait remplacer. 


Le Lieutonel relevait la tête et lui lançait … '' Prend moi ! ''


Ça aussi c'était nouveau pour Willy, ça aussi il l'avait déjà fait mais une seule fois. Il se relevait, l'officier s'allongeait sur le ventre et écartait bien les cuisses.


Il y avait tout ce qu'il fallait, le gel lubrifiant était dans le tiroir de la table de nuit. Willy en mettait une bonne dose et prenait position. Il caressait le dos de son partenaire. Il avait le souffle fort. Le Lieutonel avait lui aussi le souffle fort mais parvenait à se décontracter. 


Willy poussait, son partenaire soupirait avant de gémir. Son anus se dilatait rapidement, Willy était surpris d'une réaction aussi rapide. Il manquait d'expérience à cette époque le petit Willy, il ne l'avait fait qu'une seule fois. Là, son partenaire était plus âgé et plus expérimenté. Il se détendait et la queue de Willy s'enfonçait rapidement.


'' Oui ! Vas y défonce moi le cul !'', lui criait son partenaire. Willy faisait bêtement ce qu'on lui demandait et poussait fort. D'un coup sa queue s'est enfoncée bien à fond et son ventre s'est écrasé sur les fesses de son boss.


Il râlait de plaisir le boss. '' Ne bouge plus là, c'est trop, tu est trop gros, ne bouge plus''. Willy obéissait et ne bougeait plus. Il était allongé sur le dos de son partenaire qui finalement le prenait bien, il avait pris d'un coup la queue du petit Willy qui maintenant il l'embrassait et le mordillait sur les épaules et en attendant il ne bougeait plus.


Le Lieutonel respirait fort, au bout d'un moment il rajoutait... '' Vas y recommence, enfin continue. ''. Willy obéissait, il commençait par donner un coup de bassin et arrachait à l'officier des cris de plaisir et se retirait. Il faisait tout ça avec douceur et lenteur. Il ressortait toute sa queue, son partenaire continuait à gémir et rajoutait , '' Oh oui, c'est bon, oh que c'est bon … ''. 


Willy marquait une pose, en profitait pour lubrifier encore un peu et reprenait. Il enfonçait sa queue d'un mouvement rapide et violent. Il avait compris que son partenaire pouvait encaisser et était demandeur, alors il s'exécutait comme le bon petit soldat qu'il était.


Il donnait un coup violent contre les fesses de son chef puis recommençait, il s'enfonçait, se retirait de plus en plus vite. À chaque fois il donnait un coup violent qui, à chaque fois arrachait un cri de plaisir à son partenaire. C'était un cris de plaisir qui devait également contenir un peu de douleur. Ce nouveau partenaire était moins étroit que le premier et Willy mettait plus de temps à venir. 


Il faisait durer en faisant des pauses. Il s'enfonçait bien à fond, continuait à écraser son ventre contre les fesses de son partenaire puis ne bougeait plus. Son partenaire le Lieutonel couinait un peu fort à chaque fois puis râlait de plaisir. 


Willy reprenait, ses mouvements devenaient violents, il sentait son partenaire vibrer entre ses bras et il ne se sentait plus capable de se retenir plus longtemps. Il jouissait, il criait de plaisir, il jutait et surtout il ne contrôlait plus ses gestes.


Son partenaire ne contrôlait plus non plus ses gestes et lui aussi jutait. Ça faisait déjà un moment qu'il jouissait, maintenant il jutait, ça devait forcément se terminer comme ça.


Willy s'effondrait de tout son poids sur le corps de son partenaire. Il était mignon le petit Willy, il avait vraiment l'air d'un jouet posé sur le dos du géant. Mais il avait surtout une queue surdimensionnée logée bien à fond dans le cul de son partenaire. Il se sentait bien ! 


Je devrais dire. Ils se sentaient bien. Plus aucun d'entre eux ne bougeaient. Ils râlaient de plaisir, il se sentaient biens. La queue de Willy avait fini par prendre des proportions modestes, enfin un peu plus modestes, et avait glissé naturellement, elle pendait libre toute molle entre les cuisses de l'officier. 


Ils se laissaient aller en profitant de ce moment de douceur et de calme. Willy se laissait glisser juste à côté de son partenaire. Il se retrouvait sur le dos, ne savait plus quoi dire.


– C'était quelque chose dis donc ! Lui disait le Lieutonel en tournant la tête vers lui.


Willy le regardait et lui souriait.


– Tu vas rester à mon service. Au bureau il faudra éviter les familiarités, je continuerai à te vouvoyer, mais en dehors, quand on est entre nous, tu peux me dire '' tu '' toi aussi.

– Bein heu, je pense que je n'y arriverai pas, je préfère vous dire '' vous ''.

– C'est comme tu veux ! Lui répondait le Lieutonel. Je commence à avoir faim moi. Allez on se met en tenue et je t'invite au restau.


Willy se relevait, sa queue se balançait lourdement devant lui, elle restait toujours un peu plus grosse que d'habitude, il avait une grosse molle. Le Lieutonel le regardait avec avidité.


– Tu es vraiment bien monté toi, ce serait dommage de mettre une telle queue en cage. Je vais voir ce que je peux faire pour toi.


A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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