Trois mecs rigolards

 Trois mecs rigolards



Ça faisait longtemps en fait que je les connaissais. Mais c'est vrai qu'on ne s'était jamais rapprochés les uns des autres. Ils étaient trois et se ressemblaient, on aurait dit trois frères. Je me suis toujours demandé si au moins deux d'entre eux n'étaient pas cousins germains.


Il y avait Mathias, un grand bond, bien carré, avec une allure sportive.


Lucien, cheveux châtain clair,  le teint légèrement bronzé, et un sourire ravageur.


Robin, il avait un petit air vicieux dans le regard celui-là. 


Ils avaient tous les trois un visage d'ange, et on ne pouvait que leur faire confiance. Toujours très bien habillés, il avaient l'air bon chic, bon genre. Je ne voudrais pas dire du mal d'aucun d'entre eux, ils étaient très gentils mais un peu coquins tout de même, et quelquefois ils aimaient bien s'amuser au dépend des autres. C'est en tous cas ce qui se disait. Ils avaient l'air trop présentable pour être correcte. En fait ils étaient juste un peu taquins. 


Ce jour là, je ne sais pas pourquoi, je m'étais retrouvé avec eux, au milieu de leur groupe. Comme je vous disais, je les connaissais de longue date mais je ne m'étais jamais rapproché d'eux. Oh il n'y avait jamais eu le moindre problème, ils n'étaient pas du genre à en créer. Ils ne faisaient pas d'histoire, ne posaient jamais de problème. Ils étaient tous les trois d'une famille aisée et n'avaient pas intérêt à poser des problèmes. Ils aimaient bien rigoler c'est tout. 


On s'était retrouvé par hasard sur une petite plage, il faisait très chaud. On avait joué à un jeux de balle, à quatre c'est mieux. Finalement ils étaient sympas, C'est Mathias qui nous invitait tous à venir nous détendre et nous rafraîchir chez lui. Il habitait le quartier, au dessus de la plage, pas très loin d’où nous étions. 


Peu après on se retrouvait donc sur la terrasse,  juste derrière sa maison, il y avait un jardin magnifique et complètement privatif et sans vis à vis. On discutait en sirotant une boisson aux fruits.


Il y avait une sorte de terrasse couverte avec un jeux de ping-pong, à cet endroit il était protégé s'il venait à pleuvoir. 


– Et si on faisait un strip-pong ? Lançait Mathias.


Les yeux de Robin semblaient s'allumer, et un large sourire amusé éclairait le visage de Lucien. Moi je ne comprenait pas vraiment ce qu'il racontait. 


Robin et Lucien se relevaient d'un mouvement rapide et se dirigeaient en rigolant vers le jeu.


– Je vais te plumer ! Lançait Robin à Lucien sur un ton de menace amusé.

– C'est toi qui va te retrouver sans rien sur le dos.


Ils étaient bon  joueurs, je ne comprenais toujours pas trop à quoi ça consistait leur jeu. Le premier qui marquait un point s'exclamait.


– Allez, tu retires un truc.


Il ne fallait pas bien longtemps pour qu'ils se retrouvent tous les deux en maillot de bain. Là ça devenait sérieux. Ils voulaient gagner, tous les deux voulaient gagner. Robin perdait le point, et c'est en rigolant qu'il retirait son maillot de bain. Lucien retirait le sien aussi, ils rigolaient de bon cœur.


– A vous maintenant ! Nous lançait Robin.


Mathias rigolait.


– Ils sont un peu fou. Moi j'ai pas besoin de jouer au ping-pong pour me mettre à poil. Me disait-il.


J'étais torse nue et n'avais sur moi que mon pantalon, j'avais discrètement retiré mon maillot de bain juste avant de quitter la plage, il était mouillé et c'était plus confortable. J'hésitais à participer mais je ne voyais pas vraiment comment je pouvais y échapper.


Oh ce n'est pas que  j'avais honte de montrer mes fesses. Oh ça non. Je n'avais pas non plus  peur de mettre à bander et de  ne plus rien contrôler. Ça ne risquait pas, j'avais un dispositif de chasteté PK Sécure, très discret, il était totalement invisible même sous un maillot de bain. Ils n'avaient rien remarquer mais à poil on le voyait bien.


Et ça, ça me gênait un peu, c'était un petit secret. Personne n'était au courant, pas même mes parents. 


– Vous savez les gars, ça risque d'être rapide, je ne sais pas jouer à …

– Mais c'est pas grave, c'est  juste pour rigoler.

– Et en plus je n'ai que mon pantalon sur moi …


Mathias se retrouvait en maillot de bain en quelques secondes.


– On est à égalité maintenant. Un vêtement contre un vêtement.


On commençait. Mathias lançait la balle, elle passait juste à côté de moi sans que j'ai le temps de réagir. Il pouffait de rire.


– Bon on va dire faux départ, allez on recommence.


Le second départ n'était pas meilleur. Je m'agitais et brassais beaucoup d'air mais sans parvenir à toucher la baballe.


Les deux autres guignols rigolaient tout ce qu'ils savaient en me voyant faire. Je m'inquiétais un peu, je savais comment ça allait se terminer cette affaire mais je ne savais pas comment ils allaient réagir.


Mathias rigolait tellement qu'au troisième départ, oui je sais le départ a été difficile, c'est lui qui loupait la balle. Là, j'étais moi aussi plié de rire. 


– Allez, bon de tous façons on sait comment ça va se terminer tout ça. Déclarait Mathias en retirant son maillot de bain.

– A poil, a poil, a poil. Scandaient les deux autres.


J'étais un peu gêné, mais je m'exécutais. Je me disais que finalement je n'avais plus qu'à assumer. Après tout c'était un choix personnel, et on voyait de la pub pour ce genre d'objet un peu partout depuis quelques temps maintenant.


C'est de dos qu'ils me voyaient baisser mon pantalon. Je leur montrais d'abord mes fesses, puis quand je me retrouvais nu, entièrement nu, je me retournais. Là ils me regardaient tous les trois la bouche ouverte, ils n'avaient pas l'air malins. Puis c'est un sourire amusé qui apparaissait sur leurs visages.


Je gonflais le torse, l'air de rien, tout était normal finalement. Et je reprenais ma place sur le fauteuil de la terrasse. 


– Alors là, ça me troue le cul ! S'exclamait Mathias.

– On n'y aurait jamais pensé. Rajoutais Lucien.

– J'y crois pas. Continuait Robin.


Suivait un moment de silence, je ne savais plus quoi dire et je ne vous cacherai pas que c'était là un long moment de solitude. 


– Bon il n'y a plus rien à boire,  je vais chercher du jus d'orange bien frais.


Mathias se levait et c'est là que j'ai remarqué qu'il bandait. Les deux autres aussi bandaient.


– Désolé bonhomme mais on ne va pas se retenir, même si toi tu ne peux pas nous suivre. Me lançais Robin en écartant bien les cuisses et en me montrant sa bite bien raide, bien droite.


Lucien commençait à se caresser la queue en me regardant, c'est lui qui maintenant avait un regard un peu vicieux maintenant. Je sentais ma queue pousser de toutes ses forces contre les barreaux de la cage. J'avais le souffle court et je tremblais. 


Robin s'amusait de voir le spectacle, moi qui était en manque et son camarade qui se masturbait. Il finissait par en faire de même. Lui aussi il se masturbait en me regardant. Mathias revenait avec une grande carafe de jus d'orange bien frais. Il s'installait en face de moi, et se masturbait tranquillement en me regardant droit dans les yeux.


Je ne baissais pas le regard et brusquement sans prévenir je me levais, m'approchais de lui, me penchais et prenais sa queue dans ma bouche. Il me laissait faire. Les autres ne bougeaient plus, plus un geste, plus un bruit, même pas un murmure.


Ils regardaient la scène.


C'est la main de Mathias qui me caressait les cheveux, il appuyait doucement sur ma tête. J'avalais sa queue, il gémissait et quand je relevais les yeux je voyais son visage tétanisé, il avait la bouche ouverte et n'avais pas l'air vraiment malin. Il se laissait faire je le suçais.


Ça durait un moment, combien de temps, je ne sais pas. Ça me semblait long mais c'était peut être court. Les autres nous regardaient, ils bavaient d'envie. ''À moi, à moi …'' . S'exclamait Robin.


Je me retournais vers lui. Et à son tour je lui donnais le petit plaisir qu'il attendait. 


– D'habitude c'est moins facile. Finissait par dire Lucien.


Je comprenais que depuis le début, ils avaient prévu, ils espéraient bien que ça se termine comme ça. C'était gagné. 


Je suçait avec beaucoup d'attention la queue de Robin. Quand je relevais la tête, mon regard croisait le sien, il avait un petit regard vicieux et un petit sourire surpris et incrédule.


Une seule chose était totalement sure, il aimait !


Je sentais une main qui me caressait les fesses, me les écartait et commençait à me taquiner l'anus avant de descendre sa main vers mes couilles, qu'il me tripotait vigoureusement. C'était le troisième larron qui entrait dans le jeux. 


Il me tirait par les couilles pour m'obliger à me retourner vers lui. Il me montrait sa queue que je prenais aussitôt dans la bouche. Les trois garçons commençaient à discuter entre eux. Les commentaires arrivaient les uns après les autres. 


– Celui-là, il est chaud du cul !

– Plus le choix pour lui, il ne peut plus vraiment se faire plaisir!

– On va s'occuper de son cul …


C'est à ce moment que je sentais quelque chose de froid sur mon anus. Juste après, un ou deux doigt entraient en force. Deux doigts, ce n'est pas trop gros, ça passait tout seul. Surtout que le gel était efficace. Ça glissait tout seul.


Je passais d'une queue à l'autre, j'en suçais une puis la suivante et la dernière enfin avant de recommencer. C'est chacun son tour qu'ils me glissaient un ou deux doigt dans le cul, trois peut être …


Puis c'est avec les deux mains qu'on me saisissait par les hanches. Je sentais une forte pression contre mon anus puis la pression augmentait jusqu'au moment ou il lâchait. À ce moment mon cul s'ouvrait, et je me sentais envahi. C'était une forte douleur que je ressentais, j'aurais voulu le repousser, j'aurais voulu crier. Mais je laissais faire, je me laissais faire.


C'était Mathias qui avait lancé les festivité, il s'enfonçait totalement et son ventre venait frapper contre mes fesses. C'était bon, tellement bon, malgré la douleur et j'en redemandais, oui j'en redemandais. Il me limait alors le cul comme  il convient, de plus en plus vite, de plus en plus fort.


Dans ma bouche les deux autres garçons se succédaient. Je passait de l'un à l'autre, ils ne se retenaient plus et les caresses sur mes cheveux du début devenaient une contrainte forte. Chacun me retenait la tête et enfonçait sa queue bien à fond, jusqu'à la garde.


Mathias se lâchait, ses mouvements devenaient vraiment violents et il finissait pas juter dans mon cul. Il se retirait s'essuyait reprenait sa place en soupirant et se servait un grand verre de jus d'orange. Un de ses camarades le remplaçait sans attendre, je ne sais même plus lequel c'était. 


Celui là y allait sans aucun ménagement, il ne me faisait pas mal, j'étais bien dilaté, ça glissait tout seul et le plaisir devenait encore plus intense. Son ventre claquait contre mes fesses. Il se retirait avec vigueur puis revenait avec force, de toute sa force, avec toute sa violence. Il faisait durer le  plaisir. Je relevais la tête et gémissais, le troisième lascar se servait un verre de jus de fruit. J'en réclamais un.


Robin me retenait alors par les hanche, je me relevais et je buvais le verre bien frais d'un trait. J'avais encore la queue de Robin dans le cul. Ensuite je me laissais retomber, il ne bougeait pas, lui aussi se désaltérait avant de reprendre sans prévenir.


Le plaisir montait, c'est tout mon corps qui tremblait maintenant. Je sentais un flot léger de sperme qui devait couler de ma cage. Je n'éjaculais pas vraiment, je jutais, ma main me le confirmait. Je l'ai senti me saisir de toute ses forces et il concluait avec quelques coup de bassin particulièrement puissant. Il jutais en moi. 


Il se retirait et allait rejoindre son camarade Mathias pendant que le dernier prenait place. J'avais envie de mettre fin à la séance, je n'en pouvais plus mais personne ne me demandait mon avis et je me retenais de le donner. J'ai encaissé, encore une fois, j'ai encaissé.


Il est entré en force, et là c'était l'explosion de plaisir. J'ai joui, je ne sais même pas si j'ai éjaculé ou pas. Mais j'ai pris mon pied comme jamais. C'était terrible, il a fait durer le plaisir pendant je ne sais combien de temps, des heures et des heures … En fait probablement moins, bien moins, mais j'ai eu l'impression que ça avait duré des heures. Des heures de plaisir, je gémissais de plaisir, je criais de plaisir avant de hurler de plaisir. 


Quand il m'a enfin lâché je me suis effondré sur le sol. J'étais mort, mort de plaisir, j'en pouvais plus mais je me sentais bien.


Ces trois guignols n'en étaient pas à leur coup d'essais, mais ils m'ont dit que  j'avais été le meilleur coup et leur plus facile. Ils ne s'y attendaient pas, ils étaient fascinés par mon dispositif. 


On s'est revu par la suite et si l'un d'entre eux me proposait un jour une petite partie de ping-pong, j'acceptais toujours avec plaisir, même si je savais qu'on ne toucherait pas à la raquette. 



FIN


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


1 commentaire:

INDEX

                          Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'...