L'ordonnance 05 On rempile

 L'ordonnance 05

On rempile



Il ne fallait pas bien longtemps à Willy pour s'habiller mettre sa tenue de sortie, vous savez l'uniforme de sortie. Le Lieutonel arrivait et le voyant ainsi.


– Non mais ça va pas ça, on est en vacances et tu t'habilles comme si on allait au boulot. Habille toi bien, en civil !


Willy se changeait rapidement, il ne pouvait pas se défaire de ce sourire qui s'était accroché à son visage depuis un moment. Il était content Willy, on le serait à  moins.


La journée, on était au début de l'après midi, se continuait dans un super restaurant haut de gamme. À l'entré, l'employé du restaurant à failli tiquer mais reconnaissant l'officier qui accompagnait Willy, il ne disait rien.


– Il va falloir t'acheter un costume, sans moi ils ne t'auraient pas accepté ici. On verra ça plus tard.


Il n'était pas tard dans l'après midi quand ils sortaient du restaurant. L'officier emmenait son ordonnance Willy faire les magasins, il fallait l'équiper. Un smoking complet et tout ce qu'il fallait. Quand ils ressortaient l'officier donnait ses consignes, il parlait sur un ton doux, pas particulièrement autoritaire. Il expliquait simplement et clairement ce que Willy aurait à faire. 


Il préparerait le petit déjeuner puis le matin serait occupé aux affaires courantes, le courrier par exemple et un peu de musculation. En fin matinée il préparerait le repas. Un restaurant livrerait un repas tout prêt, Willy n'aurait qu'à préparer la table et ensuite faire la vaisselles, il y avait tout ce qu'il fallait dans la cuisine, ça ne devait pas l'occuper bien longtemps. 


Le reste de la journée il aurait quartier libre. L'officier lui donnait plusieurs cartes d'abonnement qui lui ouvraient toutes les activités de la station de ski, depuis les remonte-pentes, la piscine, les installations sportives, le cinéma …


Willy n'en revenait pas.


– J'ai mes habitudes ici ! Lui expliquait l'officier.


Pour des raisons pratiques tous les lits dans la maison était à la taille de son propriétaire, ça lui semblait normal, c'était bien, c'était très confortable mais Willy se trouvait un peu perdu au milieu d'un lit de deux mètres vingt de large sur deux mètres cinquante de long … L'officier aimait bien partager des moments de tendresses mais préférait dormir seul. 


Le soir ils discutaient, Willy racontait ses journées, il s'amusait le petit il pouvait aller ou il voulait, ça ne lui coûtait rien. Pour lui tout était gratuit. Il remarquait la présence d'une boite de nuit et le jour même il demandait l'autorisation de sortir le soir.


L'officier pouffait de rire …


– Mais on n'est pas à la caserne là, tu peux sortir le soir si tu veux, demain c'est samedi et tu as quartier libre jusqu'à lundi matin.

– Week-end ? Comme dans le civil ?

– Tu as tout compris là … 


Ce soir là Willy a passé une bonne partie de la nuit dehors. Il était bien sûr venu s'assurer que le Lieutonel n'aurait pas besoin de lui avant de sortir. Dans la boite de nuit il faisait chaud, l'ambiance était festive l'alcool coulait à flot.


Des filles tournaient autour de Willy, je vous ais pas dis qu'il était vraiment très mignon ? Oui donc vous comprenez pourquoi il était courtisé. Mais voyant que c'était un militaire, ça n'allait pas plus loin. Tout le monde sait que les militaires avec les fonctionnaires , les religieux et les employés de la PK portent un dispositif de chasteté ( La PK c'est l'entreprise qui fabrique ce genre de dispositif ). Il n'y avait pas que les mecs qui venaient ici pour s'envoyer en l'air. 


Willy en ressortait un peu dépité. Boh, ce n'était pas vraiment les filles qui l'intéressaient, il se disait qu'il essayerait un jour pour voir. S'il en trouvait une qui n'aurait pas trop peur en le voyant à poil, '' Ça doit pouvoir se trouver ! '' se disait-il … Les mecs aussi ça devait pouvoir se trouver, bon ce soir il n'avait pas sorti sa bite, un moment c'est pas l'envie qui lui manquait, mais bon il avait eu la sagesse de se retenir … Il était ivre. Il lui fallait presque la largeur de la route pour revenir à la maison, il passait devant une première fois, puis une seconde fois et c'est seulement à la troisième fois qu'il finissait pas la voir, la maison.


Il entrait sans faire de bruit, c'est toujours en essayant de ne pas faire de bruit qu'il tombait dans l'escalier et ne comprenait pas pourquoi il était brusquement revenu au premier étage. Il ne s'est pas fait grand mal, je vous rassure, je vous disais bien qu'il était solide. 


Il n'avait pas bu beaucoup mais c'est un sportif et s'il est endurant au marathon, comme il ne boit jamais, il ne l'est pas vraiment à l'alcool. Il n'avait pas bu beaucoup mais ça avait suffi. 


L'officier ne dormait plus quand il l'a vu entrer dans sa chambre.


Willy posait son doigt devant ses lèvres et lui faisait.


– Chuuuuut ! Il ne faut pas réveiller le chef. Il doit dormir.


On était en vacance et le chef est cool, surtout pendant les vacances justement. Le chef le regardait, il avait l'air amusé.


Willy jetait son blouson dans un coin de la pièce en disant '' … verra ça demain … Hips  !'' . Puis c'est le reste des ses vêtements qui suivaient. Il terminait nu, entièrement nu. Il bandait ferme, il ne contrôlait plus rien de ce côté, il bandait, il s'approchait, se prenait les pieds dans le tapis et s'écroulait sur le lit. Le Lieutonel le recevait dans ses bras. Le soulevait et le tirait contre lui.


Willy refermait ses bras autour de son boss, ils s'embrassaient.


– Toi tu sais je crois que je vais t'enculer hard moi de soir ! C'était la seule fois ou il a dit tu à son Lieutonel.


En réponse l'officier lui caressait le corps, tout le corps, il y allait tout doucement au niveau de son sexe pour commencer et y revenait, peu à peu  il insistait plus sur son sexe, sa bite énorme, ses couilles, sa queue, ses cuisses, sa queue …


Il finissait par la prendre dans la bouche et en lui massant les couilles le suçait avec expertise. Willy prenait ses aises et s'installait sur le dos pendant ce temps. Il passait une main derrière la tête de l'officier et en appuyant dessus bien fort, il lui balançait de violents et rapides coups de bassin. L'officier recevait la queue du petit Willy bien au fond de la gorge, il encaissait mais le petit Willy continuait il lui burinait la bouche.


S'il n'avait pas bu il aurait été un peu plus réservé.


Willy se lâchait, il se relevait et les jambes écartées, il burinait son chef  avec force. Willy debout, le Lieutonel à genoux devant lui à se prendre cette queue énorme, à encaisser des coups de bassins violents. Willy lui retenait la tête entre les mains, et c'est avec un regard furieux que Willy se lâchait. 


Ça durait, ça durait longtemps. Ensuite Willy repoussait son partenaire sur le lit, ils s'allongeait dessus et le caressait, il frottait son corps contre le sien dans une caresse une sorte de câlin viril, un corps à corps qu'il avait bien l'intention de gagner. Même si à côté de son partenaire il avait l'air d'un ouistiti.


Les deux hommes se caressaient, se glissaient l'un contre l'autre, se frottaient l'un contre l'autre avec force. Ils s'embrassaient partout ou un bout de peau se présentait et ils étaient nus … 


le Lieutonel était très attentif au désir de son ouistiti, pardon je voulais de son petit partenaire. S'il le poussait, même légèrement, dans un sens, il suivait. Il finissait par se retrouver sur le dos, les jambes bien écartées et bien relevés. Son cul était offert au plaisir du petit bonhomme. 


Willy, c'est lui le petit bonhomme, se plaçait entre les cuisse de son partenaire, se lubrifiait, généreusement puis enfonçait sa queue bien à fond, sans aucun ménagement, avec force. Il terminait par un violent coup de bassin bien convaincu.


L'officier à crié de surprise, il a encaissé mais il à crié et rapidement il râlait de plaisir, il râlait fort. Willy se lâchait et lui limait le cul avec détermination. Il semblait vouloir se venger, il semblait vouloir le pousser jusqu'à la limite du supportable, il voulait le faire crier et, à ce moment, peu lui importait s'il faisait un peu mal à son partenaire.


Il lui limait le cul, il ralentissait faisait une sorte de pause, échangeait un gros câlin puis reprenait. Il n'arrivait pas à jouir, le petit Willy, c'était un des effets de l'alcool. Le Lieutotenel jouissait et criait de plaisir, il jutait, il éjaculait, il jutait quelques giclée de sa semence puis continuait à juter abondement.


Willy continuait à s'énerver, il limait avec toutes ses forces. Son corps était mince mais musclé et on pouvait voir ses muscles qui s'agitaient, qui se contractaient. Il était en sueur le beau Willy mais ne lâchait rien. Il continuait à s'énerver. 


Le Lieutonel avait des gestes incohérent, ils s'agitait, il gesticulait, il criait de plaisir, il jutait toujours. C'est à ce moment que Willy à lâché, il jutait, il jouissait, il éjaculait dans le cul de son officier, de son chef ...


Quand il ouvrait les yeux, Willy avait un peu mal aux cheveux. Il avait l'impression de les entendre pousser, chacun individuellement. Il regardait autour de lui, il était allongé dans un lit, il reconnaissait rapidement la chambre de son chef, il n'y avait personne à côté de lui et, peu à peu les souvenirs lui revenaient.


Il se sentait confus de la soirée précédente. Il aurait voulu disparaître dans un trou de souris mais la maison était bien tenue et il n'y en avait pas. Il se levait et c'est à ce moment que le boss, le Lieutonel arrivait et le voyait là, entièrement nu au milieu de sa chambre.


– Et bien tu étais en forme hier soir. Ça t'a réussi de sortir en boite. Tu descends, j'ai préparé le petit déjeuné.


Willy avait l'air un peu perdu.


– Viens comme tu es, on est entre nous, et dans la maison, personne ne peut nous voir.


Willy suivait, il trouvait finalement très agréable de se balader à poil, de sentir sa queue se balancer librement, il en profitait, déjà il devinait que cela ne durerait pas. Mais il avait envie de ce poste. 


Il pensait à Lionel qui l'avait prévenu, il lui laisserait le temps d'apprécier ce poste de travail avant de remettre en cause son contrat et de l'inciter à porter un dispositif de chasteté. 


Ils on pris leur petit déjeuner ensemble, le reste des vacances s'est continué de la même manière, à plusieurs reprises, avec son boss, il a remis ça. Son boss le Lieutonel aimait bien sa queue, la queue de Willy était particulière, grosse et belle et il savait d'instinct s'en servir à la perfection. Il savait donner du plaisir à celui qui serait capable de se la prendre bien à fond dans le cul.


Arrivait le jours du départ, Willy était content de son séjour et résigné. Si on lui proposait de porter un dispositif il accepterait. Si c'était le prix à payer pour garder son poste auprès du Lieutonel il accepterait. Il ne ferait plus de gardes, plus de corvées, les week-end libres, quartiers libres le soir, chambre personnelle … Il y avait plein d'avantage à dire oui. C'est ce qu'il ferait.


Ce problème s'est réglé quelques temps après son retour au bureau. Lionel était parti, il héritait de sa chambre et de son bureau. On l'avait formé rapidement mais ce boulot n'avait rien de très compliqué. Les jours avaient passé et un matin c'est un petit colis qui arrivait au bureau. Ils le réceptionnait, grâce au  logo 'PK Compagnie' marqué bien en évidence dessus il en devinait le contenu. 


Il avait compris que c'était là son dispositif de chasteté qui arrivait, comme il s'y attendait, il avait été fait sur mesure. Il était inutile de le cacher, ça se saurait, tôt ou tard ça se saurait et dans ce cas les relations avec son chef risquaient de changer. 


Il apportait le petit colis à son boss avec le reste du courrier. 


– Ah ! Je l'attendais, assieds toi ici, ça te concerne.


Sans protester, la tête basse Willy s'asseyait et avec un pincement de cœur il regardait ce qui se passait. C'était bien un dispositif de chasteté, dans la main de son chef il semblait énorme. Le chef jouait avec, l'ouvrait, le refermait, s'assurait que tout était conforme. 


– Tu peux baisser ton pantalon !


Willy s'exécutait, il n'en menait pas large. Il acceptait mais sans conviction. Il prenait l'anneau principal, y passait ses testicules et la queue, il ne bandait pas. Ça dépends des gens, il y en a qui bandent à mort et d'autres non. 


Le Lieutonel lui donnait la cage.


– Elle devrait être à ta taille, ils font rarement des erreurs de mesure.


Elle était à la bonne taille, c'est toujours le cas avec la PK, sa queue tenait dedans, elle était étroite mais juste comme il fallait. Willy avait une grosse boule dans son estomac. Le Lieutonel lui faisait signe d'approcher.


Il manipulait la cage de Willy, il s'assurait que tout allait bien puis actionnait un petit dispositif discret, ça faisait clic. Willy soupirait, l'officier le regardait dans les yeux. 


– C'est verrouillé !

– Je vois. Répondait Willy.


De nouveau le Lieutonel actionnait le petit dispositif, relevait la tête.


– Et là c'est ouvert. Disait'il à Willy en lui faisant un large sourire.


Willy ne comprenait pas tout de suite. Il n'y avait pas de verrous. Le dispositif ne fermait pas d'une manière définitive.


– Tu ne montres surtout à personne que tu peux ouvrir le dispositif à volonté et personne ne te diras rien. Il y a une petite erreur dans le dossier, c'est tellement rare à la PK que personne ne vérifiera. Un petit secret qui te garantira une certaine tranquillité. Ça aurait vraiment été dommage de mettre en cage une queue pareille. Et elle me plaît trop.


Finalement il était cool le boss, Willy a travaillé pendant cinq ans auprès de cet officier, qui nommé Adjiral le gardait à son service … 


Et devinez, à la fin de son contrat, et bien, il a rempilé le petit Willy !


FIN


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


2 commentaires:

  1. je me demande lequel des deux a été le plus heureux à la fin, le petit Will ou son chef ... ?

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  2. On peut en effet se poser la question Mecobagne, mais une chose est sûre le petit Willy n'est certainement pas mécontent de cette fin ...

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