Jeune adulte 04 Un appartement

 Jeune adulte 04

Un appartement


J'étais littéralement pétrifié de voir ça. Joshua lubrifiait généreusement le cul de son copain. Ils étaient tous les deux à moins d'un mètre de moi. L'un puis l'autre me jetaient un regard et me lançaient un grand sourire. Je voyais Joshua prendre position, je me rappelais la douleur que j'avais ressenti quelques instants plus tôt. Puis sans prévenir Joshua poussait sa bite bien raide contre le cul d'Alex.


Alex poussait un cri, un long gémissement qui semblait être un gémissement de plaisir. Je devinais son cul se dilater, ça me faisait presque peur, et la queue de Joshua s'enfonçait lentement mais fermement, glissait lentement mais avec force. Alex tournait le visage vers moi et je voyais une grimasse se dessiner sur son visage.


Dans mon corps, dans mon cœur et dans ma tête c'était la panique. Étonnamment dans ma cage, c'était calme. Je ne pensais plus du tout à ma bite. Elle s'était ratatinée, et à cet instant, la cage semblait bien trop grande pour elle. Je ressentais la douleur de nouveau et je me demandais comment il faisait pour supporter ça le pauvre Alex. Il n'avait fallu que quelques secondes pour que le ventre de Joshua ne s'écrase contre les fesses d'Alex. 


Joshua terminait avec un coup de bassin qui semblait particulièrement violent. J'aurais hurlé moi, je me serais sauvé, c'est d'ailleurs ce que j'avais failli faire. Ensuit Joshua poussait, il exerçait une forte pression contre les fesses d'Alex qui faisait une telle grimace que je ne pouvais pas deviner si c'était agréable ou douloureux. On s'habitue peut être à la douleur ?


Joshua faisait une pause, il ne bougeait plus son bassin, il se penchait sur le dos de son camarade qui tournait la tête en arrière, ils s'embrassaient alors. Ils échangeaient quelques mots que je n'entendais pas. Joshua embrassait et mordillait le dos de son camarade qui gémissait puis se retirait totalement. Alex à poussé un cri.


Joshua me montrait sa queue, je la trouvais encore plus grosse, et c'est ça qu'il lui avait enfoncé dans le cul. Sans prévenir Joshua recommençait ça. De nouveau avec un geste très rapide il s'enfonçait de nouveau dans le cul d'Alex, puis commençait à lui limer le cul, lui arrachant des gémissements de plus en plus forts.


Et là ça devenait fou dans ma tête, Joshua se retirait puis s'enfonçait puis recommençait. Ses mouvements étaient amples, très amples, par moment sa queue ressortait totalement, il l'enfonçait alors de nouveau avec force. Par moment il faisait claquer son ventre contre les fesses de son camarade qui râlait de plaisir, qui râlait fort.


Ma cervelle était en feu, je ne comprenais plus rien de ce que je voyais. Moi, à la place d'Alex je serais mort. Lui, il aimait ça il gueulait … '' Vas y défonce moi le cul !''. Il bandait, je pouvais voir sa queue relevée contre son ventre. Lui aussi en avait une grosse. 


Puis Joshua accélérait, son mouvement perdait en amplitude mais gagnait en vitesse. J'avais le vertige. Pendant de longues minutes, de très longues minutes Alex s'en prenait plein le cul. Son visage était rouge et exprimait une grimace, une grimace terrible, il respirait fort, il crispait les dents, et quand il ne respirait pas bruyamment il ne respirait pas. Il tenait le coup le pauvre, j'avais mal au cul de le voir ainsi.


J'avais peut être mal au cul mais je dois avouer que ça m'excitait, sauf que ma queue ne se manifestait toujours pas. Elle avait disparu, la trouille, elle avait sans doute trouvé une sortie à la cage et s'était sauvée. Enfin c'est l'impression que j'avais. J'aurais voulu être à sa place, à la place d'Alex je veux dire mais dans un même temps j'avais peur, j'avais une peur bleue de me retrouver à sa place. 


Les vas et viens de Joshua dans le cul d'Alex changeaient encore, le rythme restait soutenu, très rapide mais ils augmentaient en amplitude, de nouveau sa queue de Joshua ressortait puis revenait bien à fond mais il le faisait très rapidement maintenant. A chaque fois qu'il s'enfonçait totalement, son ventre claquait contre les fesses d'Alex, il claquait fort, sec, avec régularité et étaient accompagnés par les gémissements de la victime.


Joshua gémissait à sont tour, il gueulait et ses cris se joignaient à ceux que poussait déjà son partenaire Alex. Joshua jouissait, il éjaculait dans le cul d'Alex, ça durait son plaisir durait dans le temps. Je ne me souvenais déjà plus qu'on pouvait éprouver autant de plaisir en éjaculant.


Quand il se retirait quelques instants plus tard, un filet de liquide bland coulait du cul d'Alex qui éjaculait à son tour en poussant des cris de plaisir. Ça je ne m'y attendais pas. On peut donc jouir en ce faisant ainsi défoncer le cul. J'étais retourné.


Joshua se laissait tomber sur le fauteuil, Alex se laissait tomber sur le tapis en corde sur le sol, puis se retournait sur le dos, il ne bandait plus du tout, il venait d'éjaculer mais déjà il ne bandait plus. Ils étaient tous les deux complètement essoufflés. Ils récupéraient. 


Moi aussi je manquais d'air, je regardais ma cage avec l'impression qu'elle allait être vide … En fait non, ma queue prenait toute la place, elle s'était transformée en grosse molle, enfin quand je dis grosse c'est une manière de parler. Elle était vraiment molle par contre et n'exerçait aucune pression contre les barreaux.


J'étais retourné par ce que je venais de voir. 


Alex avait pris du plaisir et peut être plus que simplement du plaisir, il avait pris son pied. Je ne comprenait pas comment ça pouvait se faire, j'avais aussi une violente envie de connaître ce plaisir, j'avais envie de prendre sa place mais je n'y croyais pas … Je savais parfaitement que je  n'y survivrait pas.


Ils voulaient discuter et me demandaient mon avis, ce que je pensais de ce spectacle … Le problème c'est que je n'arrivais plus qu'à répondre avec des mots monosyllabiques. C'est pas ce qui se fait mieux pour discuter … 


C'est là que j'ai réagi, l'heure avait tourné, il fallait que je m'en aille. Je vous jure, arrivé à ce niveau je n'avais plus du tout envie de partie mais je n'avais pas le choix. Je me rhabillait rapidement et au moment ou j'allais sortir, Alex me demandait si ils me reverraient !


– Sûr …


C'est tout ce que je parvenait à articuler. 


Dans l'ascenseur je profitais des miroirs pour m'assurer que j'étais présentable, qu'on ne voyait, que je n'avais aucune trace de ce que je venais de vivre … Oui je sais, comme si le fait de voir deux mecs s'envoyer en l'air devait froisser mon pantalon ou mon blouson … Finalement à par ma tension artérielle, rien de devait laisser le moindre signe anormal …


Mais je pense que j'aurais certainement affolé un médecin qui m'aurait pris ma tension à ce moment …


Il fallait que je rentre chez moi, mais ça allait, je n'étais pas encore en retard. Je rentrais à la maison en marchant et c'est sans même m'en rendre compte que je me mettais à courir. Là ma queue se réveillait, là je réagissais de ce que je venais de voir. J'avais l'envie de faire demi tour et de leur demander de m'enculer, comme ça, comme des brutes, comme s'ils me violaient. Des idées stupides traversaient mon esprit, on survit bien à un viol. Alors pourquoi ne pas leur demander de m'attacher et d'abuser de moi. J'avais tellement envie de connaître ce qu'avait ressenti Alex, et comme j'avais peur et je savais que je ne le supporterais pas … Je me disais que si on m'attachait je serais bien obligé de tout encaisser, de tout subir, je n'aurais plus le choix.


Si ma queue s'était calmée un peu plus tôt, là elle se réveillait avec une grande violence. Elle ne semblait pas avoir envie de se calmer, heureusement rien ne se voyait, je pouvais le vérifier à chaque vitrine. Au moins de ce côté, tout allait bien.


J'avais faim, et j'ai mangé comme un goinfre ce soir là. Au moins mes émotions ne m'avaient pas coupé l’appétit.


Dans notre milieu, les hommes jeunes, après le passage à l'âge adulte ( quand ils portent un dispositif de chasteté ) ont pour habitude de quitter la maison de leurs parents. Pour moi ça allait faire un an, il serait bon d'y penser, il n'y avait pas d'urgence mais il fallait y penser … 


Pour mon frère c'était différent, surtout pour nos parents. En effet il avait fait le passage, il portait désormais un dispositif de chasteté mais il avait à peine plus de seize ans. Et nos parents ne voulaient en aucun cas le laisser livré à lui même, même si devant la loi il était adulte. Ils avaient donc longuement réfléchi au problème et me faisait une étonnante proposition.


Je pourrais avoir mon propre appartement mais je le partagerais avec lui, on s'entend très bien, par conséquent on pourrait donc habiter ensemble. Ils prévoyaient de nous louer une appartement de grande taille, je pourrais veiller sur lui, le guider, j'étais plus vieux, j'allais avoir dix neuf ans …


L'idée ne me déplaisait pas. C'est vrai que je m'entends bien, on s'entend bien, et vivre dans notre appartement, débarrassés de nos parents. Je savais que l'idée lui plairait. Il portait le dispositif deux ans plus tôt que prévu et me prenait comme exemple. 


On lui en parlait, il évitait de sauter au plafond en criant de joie, mais c'était pour ne pas alarmer nos parents. Il était pour, je ne m'inquiétait pas, c'est un garçon charmant qui ne se fait pas remarquer, et qui est plutôt sage pour un adolescent de son âge. 


C'était décidé on s'installerait ensemble dès qu'ils auraient trouvé un appartement.


Justement, il y en avait mais quand j'ai vu ou … J'ai failli avoir un malaise. 


– Vous savez les enfants cette ancienne friche industrielle qui a été si bien rénovée il y a quelques années ? Commençait notre père.

– Alors pas du tout ! Répondait mon frère Yohan.

– Et toi Nathan, ça ne te dit rien ?

– Non, je ne vois pas … Répondais-je.

– Mais si il y a quelques semaines je t'avais envoyé payer une facture, les animateurs qui organisaient l'anniversaire de Yohan y vivent. 


J'avais bien compris dès le début mais je ne voulais pas y croire. J'étais troublé, je revoyais les deux animateurs et je n'allais pas dire que je les connaissais bien, au sens biblique tu terme …


– Oui peut être bien … Répondais-je.

– Et bien, c'est une belle réussite au niveau réhabilitation, les appartements sont spacieux, vous pourrez recevoir un peu de monde, il y a trois chambres par appartement qui sont en duplex. Une grande cuisine, salon, enfin j'espère que vous saurez tenir un tel appartement. 


Yohan et moi nous regardions, je voyais dans ses yeux une véritable joie à l'annonce de cette proposition. J'ai bien cru qu'il allait craquer et hurler de joie. Ça n'aurait pas rassuré nos parents qui auraient peut être changé d'avis. 


On visitait les lieux quelques jours plus tard. C'était génial, un grand couloir central traversait le bâtiment sur toute sa longueur, la hauteur de plafond était de plus de six mètres. De chaque côté des portes et des petites fenêtres, un peu comme des façades. La porte ouvrait sur un appartement avec un étage, une très belle terrasse qui donnait sur la rue intérieure, puis des arbres et enfin le mur entièrement vitré. On était dans une serre. 


Depuis la terrasse je regardais en bas et de là je voyait Alex et Joshua, du deuxième étage je les reconnaissait facilement. Je les revoyais comme ils étaient la dernière fois que je les avais rencontré. Ce jour que je n'oubliais pas, ce jour auquel je pensais régulièrement. Alex penché en avant et Joshua qui l'enculait. Je revoyais sa queue entrer et ressortir du cul d'Alex et comme ce jour j'avais une envie incroyable de pouvoir prendre sa place. J'avais oublié un peu la douleur, enfin j'avais complètement oublié la douleur que j'avais éprouvé au moment ou Joshua avait tenté de m'enculer. Ma queue se réveillait, heureusement que ça ne peut pas se voir, mes parents et mon frère étaient là. L'agent immobilier aussi, enfin j'étais pas seul. Je bénissais ce dispositif qui garantissait ma discrétion. Là encore je me demandais comment les dix pour cent des hommes qui ne portent pas ce dispositif faisaient pour vivre.


Ma queue hurlait, protestait silencieusement et mon regard était naturellement attiré vers la braguette des deux agents immobiliers. Et là encore je ne sais pas si je me faisais du cinéma ou pas mais, j'étais sûr qu'ils ne portaient pas le dispositif. Là j'en était sûr, ce n'était pas un repli de tissus. Le plus petit en particulier, on pouvait parfaitement distinguer la forme de sa queue, il ne devait même pas avoir de sous vêtements. 


Cette vision m’enflammait la cervelle. Je sais ça devient une habitude. Les deux mecs en bas qui habitent en haut, les deux agents immobiliers … Mais il y a combien de mecs qui ne portent pas ce genre dispositif ? De puis quelques temps je ne rencontrait plus que des hommes comme ça. Il ne pouvait pas y avoir que des déviants dans ce monde !


Je me sentais presque mal. Une semaine plus tard mon frère et moi aménagions dans ce superbe appartement. Je pensais à nos deux voisins du toit terrasse et je me demandais combien il pouvait y avoir de  déviants dans ce lotissement.


A suivre 




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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