Avec Marc 02

 Avec Marc 02



J'avais étonnement bien récupéré, déjà le lendemain de cette soirée je me sentais bien. Je me sentais vidé, pendant un petit moment je m'étais senti rempli comme jamais mais les jours qui suivaient je me sentais vidé, un peu comme une volaille, comme je vous disais. Mais je me sentais bien.


Je n'ai pas revu Marc tout de suite, j'avais oublié de vous donner son nom peut être, et bien voilà qui est fait, il s'appelle Marc. Je ne le revoyais que presque deux semaines plus tard, il venait me saluer. Je le regardais m'approcher et je pensais à sa bite. Je vous jure que depuis que je l'avais vue, j'y pensais souvent. J'y pensais chaque fois que je le regardais, je me demandais si quelqu'un savait comment il était monté.


Si ça intéressait quelqu'un déjà. Je me demandais aussi comment étaient les autres hommes présents. Ouai ! Enfin ça c'était quand je voyais Marc, il me retournait la cervelle depuis l'autre jour. Ma queue ne savait pas comment réagir, je ne bandais pas vraiment mais je sentais ma queue qui bougeait dans sa cage. Mon cul aussi manifestait, et de nouveau je me sentais tout drôle un peu comme une volaille juste avant d'être vidée, juste avant cette fois.


On a discuté une bonne partie de la soirée. Je ne pensais qu'à une chose, je n'attendais qu'une chose. Avant tout je cachais mon impatience, j'avais un peu peur de passer pour un gros obsédé du cul et de sa bite. Je vous rassure, vous qui me lisez je ne suis absolument pas un gros obsédé du cul et de sa bite. Bon du cul je ne dis pas … Mais de sa bite ! Certainement pas, enfin sauf en sa présence. Sinon de la bite peut être mais particulièrement de sa bite, non …


Enfin je suis un peu obsédé quand même !


Mais enfin j'aimerais bien vous y voir vous, en présence d'un mec qui serait monté avec une véritable trompe d'éléphant. Parfaitement, surtout que quand on y a goûté on en redemande. Parfaitement … Donc nous sommes d'accord.


Quand on est sorti c'est lui qui m'a demandé …


Tu me payes un verre chez toi ?


C'est avec un large sourire que  je lui répondait, '' Avec plaisir !''.


En fait je n'attendais, je n'espérait que ça. Mais en même temps je me sentait tout drôle dans mon ventre, un peu de panique, une certaine angoisse, je savais ce qui m'attendait cette fois.


La panique montait ou alors c'était une certaine impatience … Je ne sais pas vraiment, une impatience de se faire exploser le cul ? On aurait du mal à y croire ! Une certaine panique serait plus logique .


Déjà je sentais mon cul se dilater jusqu'à des proportions anormales. Je sentais mes entrailles se faire dilater jusqu'à exploser. Je me sentais déjà tout drôle et complètement retourné.


J'allais ouvrir un canette quand sans prévenir il me saisissait et bloquait contre le mur. Je le laissais faire. Il m'embrassait puis me disait direct … '' Suce ! '' en me regardant droit dans les yeux. Et il avait l'air sérieux.


Je m’accroupissais sans attendre et sans le faire répéter, je lui ouvrais son pantalon, il me caressait les cheveux pendant ce temps. Il ne s’impatientait pas, il était ou au moins il semblait très calme. Je sentait cette grosse matraque dans son pantalon. Avec les doigts je la caressait, elle était déjà bien ferme, et n'était pas plus petite que la dernière fois.


Mon cul semblait paniquer, j'avais la trouille. Pour pouvoir sortir un truc aussi gros, il fallait ouvrir en grand le pantalon. Ouvrir la braguette ne suffisait pas, il fallait aussi baisser le pantalon. Je le faisais tomber sur ses chevilles. Sa queue se relevait, toujours à l'horizontal. Il n'avait sans doutes jamais bandé à la verticale, elle était trop grosse. Mais elle était bien ferme.


Je glissais son gland, son gland minuscule dans ma bouche. En fait son gland n'avait rien de ridicule sauf si on le comparait au reste de son membre viril. Son gland faisait bien plus de quatre centimètres de large. Mais juste après sa queue devenait plus large et encore plus large.


Au début ça rentrait tout seul mais rapidement ça coinçait. Ça devenait tellement large que plus rien ne rentrait. Ma mâchoire n'ouvrait pas assez. Sa queue était plus large au milieu de sa longueur, beaucoup  plus large. Il n'y avait aucune chance que ça rentre plus loin. 


Il le savait, il ne poussait pas, il était conscient de la situation. Personne n'avait jamais réussi à lui prendre la queue dans la bouche, personne ne lui avait jamais fait une gorge profonde. Celui qui aurait réussi à se la rentrer dans la gorge n'aurait pas survécu, il serait mort étouffé.


Je lui massais sa queue sur toute sa longueur, je suçais la première moitié, en fait un peu moins, que je parvenais à prendre dans ma bouche. Je faisais facilement le tour de son gland avec les doigt puis je ne parvenais plus à en faire le tour au milieu de sa queue et pour terminer je parvenais à faire le tour de sa queue à sa base. 


Elle n'était pas seulement large, étrangement large, elle était aussi anormalement longue. Elle faisait plus de vingt centimètres de long.


– Alors, pas trop peur de te prendre mes vingt quatre centimètres dans le cul.


Pour seule réponse j'avalais ma salive tout en continuant à le masturber. Je le sentais frémir, je le sentais trembler quand je passais la paume de la main sur son gland. Il poussait aussi quelques gémissements de plaisir.


– Tu fais ça mieux qu'une femme. Me disait-il.

– Elles n'y connaissent rien ! Enfin c'est ce qui se dit.

– Et comment tu le saurais, tu as essayé.

– Bein non mais … C'est ce qui se dit en tous cas !


Il rigolait à ma réplique et reprenait.


– Bon ! On ne va pas y passer la nuit. A poil, je vais t'enculer.


C'est en tremblant que je me relevais, il retirait rapidement ses vêtements, je le regardais se dénuder. Il avait un beau cul, ça, je ne l'avais pas remarqué la dernière fois. Son corps était mince mais il y avait cette matraque effrayante là, au milieu de sa silhouette, ça faisait tout drôle, tellement c'était disproportionné.


Il était nu, je n'avais pas bougé.


– Si tu ne réagis pas je te fais un trou dans ton pantalon avec ça ! Me disait-il en prenant sa queue dans sa main.


Je tremblais toujours et je me déshabillais, j'étais moins rapide, beaucoup moins rapide.


– J'espère que tu as toujours ton truc de l'autre  jour.


Je le regardais. Il rigolait, je devais avoir l'air bête. 


– Mon truc ?

– Ton truc, oui, c'est ça qui m'excite le plus chez toi. 

– Ah oui !


Il fronçait les sourcils en me regardant. Je baissais mon pantalon et il pouvait alors remarquer que oui, en effet, j'avais toujours mon truc.


Il me faisait alors un large sourire vicieux.


Je me retrouvais à poil, il regardait ma cage de chasteté. J'avais l'impression qu'il bandait un peu plus. Comme il bandait à l'horizontal on ne voyait pas vraiment s'il bandait plus ou moins. Sa queue était trop lourde pour pouvoir se relever totalement, ce qui ne l'empêchait pas de bander ferme.


Moi c'est sa queue que je regardais fixement. J'étais comme hypnotisé, fasciné, mais j'avais la trouille. Je me penchais contre un fauteuil, il n'avait rien dit mais il me semblait que … Comme je venais de le sucer généreusement c'est ce qu'il restait à faire. 


Au passage je jetais un œil vers lui, il souriait, toujours avec ce petit sourire malicieux. Il me caressais le ventre jusqu'à ma cage, il tripotait les couilles .


– Tu peux pas imaginer comme ça m'excite ce truc.

– Tu en veux un ?

– Non ça c'est pas pour moi.


Il n'attendait pas pour me lubrifier le cul et c'est sans ménagement qu'il me glissait un puis deux doigt dans le cul. Il les enfonçait bien et les agitait avec force. Il prenait place derrière moi et s'il prenait son temps c'était uniquement pour s'assurer que j'étais bien lubrifié.


Mon cœur et mon estomac se retournaient. J'avais la trouille.


La dernière fois il y avait l'effet surprise, autant que celui de la nouveauté.  Là il n'y avait plus de surprise mais quelques souvenirs douloureux. C'est vrai que je l'avais senti passer. 


Et là c'était son gland que je sentais glisser doucement entre mes fesses. Il glissait doucement et s'introduisait doucement dans mon cul. Là c'était très agréable, très doux, et ça glissait tout seul.


Puis j'ai senti que ça devenait plus large. Là ça résistait, là ça faisait mal, là je sentais mon anus se dilater. Il ne devait pas s'être enfoncé bien profond mais déjà je le sentais, il était très large à cet endroit. Vraiment très large. Et il continuait à pousser.


J'ai gémi, et ce n'était pas que de plaisir. Il s'est retiré, m'a laissé reprendre mon souffle et est revenu à la charge. Là il s'est enfoncé un peu plus profond. J'ai gueulé.


Il ne bougeait plus, il poussait sans forcer, mais il continuait à exercer une pression. Quand je me détendais un peu il poussait plus fort et je sentais mon cul se dilater un peu plus. J'avais l'impression que ça allait craquer, que ça allait déchirer. Là, ça commençait à me faire mal, en tous cas, je sentais que ça allait faire mal. J'avais la trouille.


Il continuait à pousser et brusquement mon cul à lâché, c'est à la fois une certaine douleur et un intense plaisir que j'ai ressenti à ce moment. Sa queue est rentrée entièrement, son bassin s'écrasait sur mes fesses, je manquais d'air et je poussais un cri.


Il me serrait contre lui. Je me sentais bien. C'était un truc de fou, je me sentais bien à ce moment. J'avais une matraque dans le cul, un truc long comme le bras, j'aurai du me sentir un peu embarrassé, mais je me sentais bien. À ce moment j'ai joui comme jamais. J'ai éjaculé abondamment.


Il s'en ai rendu compte, il est devenu un peu plus tendre, plus câlin. Ça j'aime bien ! 


Il appuyait sur mon dos pour me maintenir penché contre le dossier du fauteuil et lentement se retirait. Je râlais, il se retirait totalement, il me laissait quelques instants pour que je récupère puis sans prévenir revenait et s'enfonçait à nouveau.


Il s'enfonçait jusqu'à la garde, je le sentais passer c'était terrible mais ça passait, ça passait mieux que la première fois puis il terminait en me limant généreusement.


Je hurlais, je gueulais mais il faut bien l'avouer, c'était surtout du plaisir.


C'était un plaisir incroyable, je jouissais même si j'avais quand même la trouille. Ce que je ressentais était fort, très fort, presque trop fort. Par moment j'avais envie de lui crier d'arrêter, je me contentais de crier. J'en voulais encore. Mon cœur allait exploser, ma tête était en feu et mon cul allait déchirer d'un instant à l'autre … C'était le pied !


Je ne sais pas combien de temps ça a duré mais il l'a fait dure longtemps. J'en pouvais plus mais je ne voulais pas lui dire d'arrêter, surtout pas. J'étais content de sentir cette queue énorme en moi. Ça me faisait bien un peu mal mais j'en voulais encore, j'en voulais toujours. 


Cent fois j'ai voulu l'implorer de se retirer, mille fois je luis criais '' Encore défonce moi le cul. ''. 


Quand il s'est retiré, il m'a lâché et je suis tombé sur le sol. J'étais comblé, en vrac mais comblé. Il débandait rapidement, il retrouvait son souffle et s'asseyait juste à côté de moi.


Tu sais, tu es un bon coup !

Mois ?

Oui, tu suce bien, tu as un cul accueillant et en plus je craque de te voir avec ce truc sur la bite.

Ouai ! C'est cool ! J'étais un peu retourné.

Par contre je veux absolument que tu le gardes … Tout le temps … 


Je lui souriais, on se prenait dans les bras et on se faisait un câlin. De nouveau la trouille me prenait. Et si il avait envie de remettre ça, j'étais pas sûr de survivre, de nouveau j'avais la trouille de me prendre sa queue dans le cul, j'avais peur qu'il ne me fasse mal. 


Mais si il le voulait, je le laisserais faire.


On à pris une douche, on s'est laver l'un l'autre, je ne pouvais pas m'empêcher de m'amuser avec sa queue, il ne se retenait pas de me tripoter les couilles et de me glisser un ou deux doigts dans le cul. Ça rentrait tout seul et c'était bon. Mais j'avais encore cette trouille au fond de mon estomac.


On a dormi tendrement enlacé. 


Le lendemain, je lui préparait un petit déjeuner au lit. Et sur le plateau, juste à côté de la tasse de café j'avais laissé négligemment les clés de mon dispositif.



A suivre




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