Antoine 05 Conclusion dramatique

 Antoine 05

Antoine : Conclusion dramatique



  Cette petite histoire pleine de rebondissements, vous en conviendrez, nous montre que le père, Antoine, et le fils, Philippe ne se ressemblent pas et ne se sont jamais ressemblé.


Antoine jusqu'à ce jour s'était toujours montré un garçon puis un jeune homme sans histoires, sans caprices et pas compliqué … En tout cas en apparence. 


Philippe, son fils qui ne viendra au monde que bien plus tard, on le connaît et lui s'est toujours montré un peu moins ordonné dans sa tête, mais finalement peut être pas plus compliqué à gérer … 


Mais pour le moment c'est Antoine qui inquiétait tout le monde, dans l'hélicoptère qui les ramenaient. Djé essayait de parler à son fils. Antoine avait le regard fermé, le visage hermétique, on sentait comme une colère ou un malaise. Djé s'inquiétait réellement.


Il faisait de nombreuses tentatives de pour communiquer mais Antoine restait muet.


– Que dirais-tu Antoine si je te proposais de terminer tes vacances chez tes oncles ?


Finissait pas proposer Djé. Ho, ne vous méprenez pas il ne voulait pas se débarrasser de son fils mais il savait combien Antoine aimait aller chez ses oncles. Il y était très libre et tout le monde était aux petits soins pour lui.


C'était sans doute la bonne proposition à faire, Antoine retrouvait le sourire. On faisait alors route vers la maison de la plage. Djé avertissait son frère de son arrivée, il connaissait déjà la réponse et entendait les cris de joie de son beau frère Bob. Oui, tout le monde adorait Antoine, et ses oncles Luc et Bob se faisaient tout de suite une joie de le recevoir. Sans attendre ils faisaient préparer sa chambre.


Antoine était reçu très chaleureusement. Djé décidait de rester pour la nuit, on le logeait aussi. L'après midi était bien avancé et la soirée approchait. A table Antoine restait muet sur son aventure mais semblait tout à fait à son aise, il était détendu, décontracté. C'est vrai que là, il était dans sa famille.


Il est allé se couché tôt, très tôt. Et le lendemain bien reposé, il avait retrouvé le sourire, il se levait tôt également il déboulait comme une furie dans la cuisine pour son petit déjeuner, le cuisinier lui avait fait un cake rien que pour lui … Je vous le disais, ici tout le monde était aux petits soins pour lui !


Il déboulait ensuite dans la piscine, y faisait quelques plongeons avant de partir faire le tout du parc en vélo. Comme tout le monde dans la famille il était très sportif. 


Plusieurs jours ont passé ainsi. C'étaient maintenant les vacances bonheur.


Puis un soir, après une journée bien remplie, il s'était endormi sur un transat à côté de la piscine, il avait traîné dans le parc tard et c'est seulement quand les hombres des arbres avaient envahies tout l'espace qu'il était revenu, il avait regardé se levé l'étoile du berger et après avoir trouvé cette petite étoile qui indique le Nord, il s'était installé dans un coin et s'était endormi.


C'était quelques murmures qui le réveillaient. Il y avait deux hommes dans la piscine, ils nageaient lentement l'un à côté de l'autre et par moment se frôlaient, se touchaient. 


Antoine ne les reconnaissait pas tout de suite, il connaissait tout le monde ici mais la lumière était au minimum. Tout était calme, les deux silhouettes s'approchaient l'une de l'autre puis … semblaient s'enlacer. Antoine avait l'étrange impression d'avoir déjà vu ce genre de situation.


Les deux silhouettes se séparaient et ressortaient de la  piscine. De profil Antoine pouvait voir qu'un des deux hommes bandait, un seul d'entre eux portait un dispositif de chasteté. Antoine était scandalisé. Mais comment une telle chose pouvait être possible. Tout le monde portait un tel dispositif, dans le monde d'Antoine tout le monde portait ce dispositif en permanence. Lui même portait un tel dispositif depuis très jeune mais c'est vrai que dans son cas il n'y avait aucune contrainte, c'était son choix.


Il se souvenait, il se souvenait bien et il se souvenait que personne ne l'avait obligé, c'était un choix personnel, et il était totalement libre. Il se souvenait qu'il n'avait même prévenu personne à l'époque, de peur qu'on ne le lui interdise. Il était trop jeune !


Il restait perdu dans ses pensées et il ne comprenait pas comment c'était possible qu'un employé travaillant pour la PK Compagnie pouvait ne pas porter un tel dispositif. A la maison, chez son père, tout le monde sans exception en portait un. 


Là c'étaient bien des employés de ses oncles mais un d'entre eux ne portait pas le dispositif. 


Les deux silhouettes s'approchaient l'une de l'autre. Maintenant Antoine les reconnaissait. Deux hommes qui faisaient le service, l'un d'entre eux lui avait même préparé un gâteau, l'un était le cuisinier et l'autre avait préparé sa chambre. 


Les deux hommes se prenaient dans les bras, s'embrassaient avec passion. Un des deux bandait et il ne faisait pas semblant. L'autre s'accroupissait et commençait à lui sucer la queue. Le premier gémissait tout de suite de plaisir, là non plus il ne faisait pas semblant. Il faisait nuit noire et les deux hommes savaient qu'ils ne seraient pas dérangés.


Au bout d'un moment qui semblait avoir duré des heures le cuisinier se relevait, il regardait son partenaire dans les yeux, puis de nouveau ils se prenaient dans les bras. De nouveau ils s'embrassaient, se caressaient, les corps glissaient l'un contre l'autre. Le cuisinier tournait sur lui même, ce n'étaient pas les caresses de son partenaire qui le faisait tourner mais quand il se trouvait le dos contre son amant il ne bougeait plus.


Le valet de chambre, celui qui bandait, retenait alors son amant, le repoussait en avant. Il se penchait en avant s'appuyait sur une chaise pendant que l'autre lui lubrifiait le cul. L'autre avait une belle érection, il se lubrifiait la queue et sans prévenir d'avantage la lui enfonçait rapidement et fermement dans le cul.


Dans les secondes qui suivaient l'ambiance douce et câline avait disparue, c'était brusquement plus violent. Le valet de chambre limait le cul du cuisinier avec force et violence. Il s'enfonçait bien à fond en faisant claquer son ventre contre les fesses de son partenaire. Il râlait sous l'effort, se retirait totalement avec la même volonté. Il marquait une petite pose et reprenait toujours avec la même détermination. 


C'était violent. Il retenait son partenaire par les hanches et le tirait vers lui tout en poussant sa bite dans son cul. Il ne faisait pas semblant, les coups portés étaient réels. Le cuisinier râlait maintenant, il râlait avec force, il criait, par moment il hurlait et en redemandait.


Antoine était sans voix. Ce qu'il voyait ne lui plaisait pas. Il ne parvenait pas à comprendre que ce qu'il voyait comme étant de la violence et de la douleur pouvait être subis par un homme, pouvait être demandé par cet homme.


Il était retourné le pauvre Antoine, il se demandait comment on pouvait faire subir des coups pareils à son partenaire. Ce n'étaient pas des cris de plaisir, c'était de la douleur et si la douleur devenait un plaisir c'est que … Ces deux là devaient être de vrais malades.


C'est tout ce qu'Antoine pouvait comprendre de ces réaction.


Le cuisinier s'effondrait sur le sol quand son camarade le lâchait, il continuait à gémir puis se reprenait. Pendant ce temps son partenaire le regardait, il devait avoir un sourire que Antoine interprétait comme une marque de sadisme.


Antoine était sous le choc, il ne trouvait rien de normal à cette relation entre deux hommes. Le cuisinier qui était effondré sur le sol se retournait et s'allongeait sur le dos, il écartait les jambes. Son camarde s'allongeait sur lui, lui relevait les jambes et avec une certaine dextérité enfonçais sa queue dans le cul du premier.


Il soulevait en même temps les jambes de son partenaire, lui posait les chevilles sur ses épaules et sans attendre il recommençait à lui limer le cul. Avec violence, avec vigueur, il poussait de toutes ses forces, accélérait le mouvement et faisait claquer son ventre sur les fesses de son camarade.


Le Cuisinier encaissait, il hurlait et en redemandait.


Antoine s'était ratatiné sur lui même. Et pendant des  heures, Antoine qui n'osait pas bouger devait supporter ce spectacle. Il était retourné, scandalisé le pauvre Antoine. En tous cas il n'était pas excité, ça par contre pas du tout.


Les deux hommes terminaient enfin leurs ébats, ils avaient bien pris leur temps pour se faire plaisir. Le valet de chambre avait hurlé au moment ou il avait éjaculé, il avait joui bruyamment et là il était allongé sur son camarade, il se laissait tomber sur le côté. Plus personne ne bougeait, Antoine ne respirait même plus. 


Les deux hommes se sont levé et son parti prendre une douche à deux, c'étaient maintenant des éclats de rire qu'Antoine entendait. Pour lui c'étaient deux malades, ils ne pouvaient qu'être totalement dégénérés. Mais comment peut on éprouver du plaisir dans ce qui n'est rien de plus qu'un acte de violence. Un des partenaire portait une cage, ça c'est normal mais il y en avait aussi un qui n'en portait pas et là … C'était peut être là le problème. 


'' Tous les hommes devraient porter une cage de chasteté '' se disait Antoine et là il se souvenait …


Un jour il l'avait vu, son oncle Bob ne portait pas de dispositif de chasteté. Et brusquement l'image de son oncle Luc, qui lui portait un dispositif, et celle de cet oncle Bob qui dormaient dans le même lit.


Il imaginait ses deux oncles faire ensemble ce que ces deux employés venaient de faire. Il imaginait se oncles se livrant à cette gymnastique décadente, et indécente. Il se demandait lequel des deux criait le plus fort, il se demandait si en ce moment …


Les deux  employés étaient partis, Antoine perdu dans ses pensées se rendait dans sa chambre. La maison était paisible et silencieuse. Il se changeait, il se sentait sale, il se sentait mal. Lui si prude. La '' pruditude '' ce n'était pas de la théorie, ce n'était pas un principe abstrait, c'était du sérieux et pour lui c'était tout les jours, à chaque instant.


Mécaniquement Antoine se changeait, il ne savait plus vraiment ce qu'il faisait et ce n'était pas son pyjama qu'il mettait.


Toujours comme un somnambule il se dirigeait vers la chambre des ses oncles. Il entrait sans frapper et là il les voyaient, ils dormaient tous les deux l'un à côté de l'autre.


Chez lui, même ses parents ne se livraient pas à ce genre de proximité. Il ne savait pas que son père avait un amant et que sa mère avait une maîtresse. Soyez gentils ne lui dites pas, surtout pas, ça ne simplifierait pas la situation …


Ses deux oncles dormaient, ils étaient torse nue et Antoine devinait que sous les couvertures ils devaient être nus, complètement nus. Là Antoine à vu rouge et il s'est mis à crier, à hurler comme un fou. 


Ses deux oncles ont sursauté, ils ne s'attendaient pas à ça et la suite, vous la connaissez.


Plus personne ne comprenait ce qu'il lui arrivait. Lui toujours calme, pondéré, réfléchi. Luc et Bob on voulu le faire parler, lui faire dire ce qui n'allait pas et une fois de plus Djé s'est vu obligé de venir chercher son fils en hélicoptère. C'est uniquement au moment ou on lui a dit que son père était en route qu'il s'est calmé.


Le valet de chambre est arrivé mais Antoine s'est mis à hurler encore plus fort quand il l'a vu, aussi celui-ci a préféré repartir.


Dans  l'hélicoptère il dormais paisiblement, Djé était mort d'inquiétude, et commençait à vraiment s'alarmer sur l'état de santé de son fils. Plus personne ne comprenait rien. Le psy, de ce côté ils ont tout ce qu'il faut à la PK, va mettre des mois avant de comprendre et de faire parler Antoine. Alors que Isidor Péna lui sera mis au courant dans les jours qui vont suivre. Finalement il n'est pas si simple que ça à suivre le jeune Antoine. 


Et c'est depuis ce jour là qu'Antoine a changé de comportement vis à vis de ses oncles, ils n'y sont pour rien mais malgré les années Antoine n'a pas changé.


Heureusement son fils serait moins compliqué, bien moins compliqué mais ça par contre ce ne sera pas l'avis d'Antoine …



Fin ( probable )



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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