. Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.
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Gigolo 04
Et bientôt un mariage
Prévu le 04 04 2025
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Gigolo 04
Et bientôt un mariage
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Elle A aimé
C'était le début de l'été, il n'y avait pas grand monde sur la plage. Je me trouvais donc un petit coin tranquille et me déshabillais. Me déshabillais entièrement. Oui je sais je ne mets pas de maillot de bain mais c'est pas vraiment gênant, je ne me baigne pas, donc … De plus la plage que j'avais choisie était naturiste, ça veut dire que le maillot de bain n'y est pas obligatoire.
Je n'avais gardé que ma cage à bite. Oui mais ça c'est normal, il y a une clé et c'est pas pour rien.
Je me suis fait remarqué rapidement, des garçons, c'était amusant de voir leurs têtes. Certains même bandait à me voir, il y en avait un qui était bien monté, et il bandait ferme le bougre. Il était bien foutu, beau corps, belle gueule, beau cul, belle bite . Très belle bite.
Il s'est installé pas très loin de moi, bien en vue. Il me regardait, toujours avec cet air empreint de curiosité. Rapidement je passais à autre chose et me cachais derrière mes lunettes de soleil. Toutefois quand il se levait je ne loupais rien, il y avait sa grosse queue qui pendouillait lourdement ou qui se relevait bien fière, bien ferme devant lui selon sa forme ou son niveau d’excitation.
Il tournait alors la tête dans ma direction et me lançait un sourire complice. Je me régalais à le regarder aller et venir. Il s'est décidé à venir me rejoindre. Il s'est assis juste à côté de moi et on a discuté.
Quelques instants plus tard c'est une fille qui passait par là. Elle a d'abord remarqué Le gars qui était avec moi. Elle le connaissait et c'est avec un très large sourire qu'elle venait vers lui.
– Çà va Jonas ? Mais qu'est ce que tu deviens ?
Vous avez deviné, le gars s'appelait Jonas et comme il l'appelait Lydia, je devinais que c'était son nom. Je suis futé, non ?
Je me présentais pendant que la fille se déshabillait avant de se joindre à nous. Et c'est là qu'elle à vu mon truc. Vous savez, ma cage à bite ? Mais si je viens de vous en parler … Enfin quoi, si personne ne suit, moi j'arrête de raconter.
– Mais c'est quoi ce truc ? S'exclamait-elle.
– C'est rien, juste un truc pour faire joli. Lui répondait Jonas.
– Mais c'est un truc de fou ça. J'adore ! Continuait-elle.
Ensuite mes deux camarades continuaient à discuter et à me commenter sans me laisser le temps d'en placer une. L’atmosphère devenait plus détendue, il n'y avait rien de méchant de dit et la fille était marrante.
Nous sommes resté là un bon moment à discuter, on s'est levé pour aller se tremper les pieds. Je sentais les regards de tout le monde sur moi. Il y avait du monde sur le sable mouillé. De grands yeux s'écarquillaient à mon passage, d'autres me lançaient un sourire surpris ou amusé.
C'est vrai que j'étais bien accompagné. Il y avait un mec superbe qui avait une grosse bite et une fille magnifique qui avait une grosse poitrine.
Lydia avait un côté un peu vicieux, par moment quand elle parlait à Jonas elle s'approchait de lui, elle le frôlait et sa main caressait subrepticement le bas de son ventre et sa bite. Elle arrivait à la lui redresser.
Ça ne le dérangeait pas vraiment, il bandait, il était fier de sa queue et de son érection. Elle faisait la même chose avec moi, mais je n'avais pas la même réaction. Ma queue restait désespérément pointée vers le bas. La cage était très efficace, je bandais bien un peu mais j'étais le seul à m'en rendre compte. Seule la pression montait dans ma cage. C'était excitant et un peu stimulant, j'aime bien me sentir confiné dans une cage. J'aime bien sentir mes érections retenues avec force dans ce dispositif de chasteté. C'est frustrant mais la frustration fait parti du plaisir, j'étais aux anges.
Jonas exhibait fièrement son érection et moi je montrait avec un certain exhibitionnisme mes deux couilles qui pendouillaient sous ma cage à bite. Moi aussi j'étais fier. Peut être que seul, je n'aurais pas osé me montrer de cette manière mais on était trois et les deux autres attiraient aussi les regards.
On revenait nous allonger sur le sable, on continuait à discuter. Rapidement on en apprenait un peu plus sur chacun d'entre nous. Jonas était gay, Lydia était lesbienne et moi … Je ne vous dirai pas !
L'après midi avançait et Jonas nous quittait. Il avait rendez-vous nous avait-il dit, je restais donc seul avec Lydia. Elle s'allongeait à côté de moi. Mais quand je dis à côté, c'était vraiment à côté. Elle regardait ma cage.
– Je peux toucher me demandait-elle sans attendre la réponse.
Elle ma caressait les couilles avec une grande douceur. La tension avait baissé à ce moment mais ce contact me réveillait et de nouveau ma queue se retrouvait à l'étroit dans sa cage à nouveau devenue trop petite. Là elle s'en rendait compte et s'en amusait. Elle y mettait plus de force et me massait les couilles avec forces. Je ne cachais pas que j'appréciais.
Le soleil tournait dans le ciel.
– Je t'offre un verre me proposait-elle.
– Avec plaisir lui répondais-je.
On se relevait, je repassais mon pantalon, il était peut être très léger mais il m'habillait très bien. Elle attendait de sortir de la zone naturiste pour se rhabille, moi je restais torse nue.
Elle s'approchait de moi, me frôlait et me caressait le torse en déposant un baiser sur mon épaule.
– Tu me suis, me demandait-elle quand nous arrivions à la voiture.
je prenais ma voiture, elle prenait la sienne et je la suivais.
Je ne savais pas ou elle allait m’emmener, mais je suivais sans difficultés. Et puis je me disais, on verra bien. J'aurais bien sûr préféré suivre Jonas, surtout qu'il avait une belle grosse queue qui me faisait envie, mais j'avais bien envie de prendre un verre. Aussi, si Jonas n'est pas là, on fera sans .
A peine arrivée elle retirait le peu de vêtements qu'elle avait remis sur elle. Autant vous dire que ça ne prenait pas bien longtemps.
– N'hésite pas à te mettre à ton aise, j'aime bien voir tons truc et tes couilles qui pendent ! Me lançait-elle.
À moi non plus il ne m'a pas fallu bien longtemps pour faire tomber le pantalon. Sur sa terrasse sans vis-à-vis je me laissait tomber entièrement nu sur le fauteuil. Deux bières arrivaient puis elle disparaissait.
Quelques instants plus tard je l'entendait qui m'appelait. Entièrement nu je traversais son salon dirigé par sa voix. Elle était sous la douche.
– Tu devrais en profiter pour une douche de dessalage. Me disait-elle.
J'ai bien sûr compris qu'elle en voulait à ma chasteté, mais c'était une fille et en plus j'étais bien protégé. Je ne risquais rien. Aussi je me glissais sous la douche à côté d'elle. Aussitôt, elle me sautait presque dessus, et me caressait le corps. Je lui rendait la politesse, moi aussi je lui caressais le corps. Elle me tripotait tout particulièrement les couilles, ça elle aimait bien.
On s'est passé du gel moussant un peu partout sur le corps puis on s'est généreusement rincé. C'est débarrassés de notre surplus de sable et bien rafraîchis que nous sommes revenus sur sa terrasse, à l'ombre pour déguster notre bière.
Elle s'asseyait tout à côté de moi et me tripotait les couilles, j'écartais les cuisses pour la laisser faire. C'était une fille, c'est vrai mais ce n'était pas désagréable finalement. Elle aimait la douceur de ma peau, j'étais épilé, ça vade soi !
Elle aussi remarquez mais je n'étais pas vraiment fan de ses partie intimes, n'oublions pas que c'était une fille. Mais pour le reste de son corps, je dois bien avouer que je le trouvais moi aussi très doux à caresser, je ne m'en privais pas . Mais enfin, c'est elle qui avait commencé !
– Et qu'est ce que tu peux faire avec ce truc sur ta queue ? Me demandait-elle.
– Avec ma queue pas grand chose, mais il y a le reste …
Elle se levait et revenait quelques secondes plus tard avec un gros gode dans la main. Il y avait même des bretelles !
– C'est pour toi ça ? Demandais-je, un peu incrédule.
– Non, le gode est bien trop gros pour moi, c'est pour toi !
À sa réponse je faisais des yeux tout ronds. C'était un gros gode.
Elle me repoussait en arrière, me faisait des baisers un peu partout, continuait à me caresser les couilles, et finalement enfilait les bretelles et se fixais le gode, bien comme il faut.
– On se retourne, à quatre pattes ! M'ordonnait-elle.
Un peu surpris, je m'exécutais. C'était un gros gode. J'aurais préféré la grosse queue de Jonas mais bon, un autre jour peut être. Quelque chose me disait que ça viendrait.
Elle se penchait sur moi, me recouvrais de tout son corps, je sentais ses seins s'écraser sur mon dos et sa queue glisser entre mes cuisses et appuyer sur mes couilles. Elle faisait couler un liquide froid sur mon cul, elle continuait à me caresser les couilles d'une main et me glissait quelques doigts dans le cul. Ça glissait bien, elle avait mis la dose qu'il fallait de gel.
C'est donc sans attendre plus qu'elle glissait entre mes fesses son gode. Par moment on aurait cru que c'était une vraie queue. C'était un modèle réaliste, mais de grosse taille tout de même.
J'ai poussé un petit cri, une sorte de plainte au moment ou elle poussait ce gode dans mon cul. Ensuite je me suis un peu crispé, oh, pas le cul ça non il ne faut jamais serrer les fesses dans cette situation. Mais je serrais les dents. Je gémissais au moment ou elle s'enfonçait en moi. Là j'ai oublié que ce n'était pas un homme. J'ai commencé à prendre mon pied.
Elle poussait plus fort, plus vite , j'ai hurlé. Elle m'a fait mal. Je ne lui ai pas demandé d'arrêter, j'aime bien le sentir mais par moment elle y allait un peu fort, je continuais en gémissant.
Les coups devenaient plus rapides et plus violents, je tremblais sous ses assauts et je gémissais.
Elle se retirait.
– On se retourne sur le dos les quatre fers en l'air ! S'exclamait-elle.
En soupirant, je m'exécutais. Sur le dos les jambes repliées contre moi. Elle ne perdait pas de temps et revenait à la charge. Enfonçait son gros gode bien à fond en un mouvement décidé et rapide. Je râlais, c'était du plaisir mais pas que …
En me saisissant fermement les jambes elle me tirait vers elle et m'enfonçait son gode en même temps puis se retirait et recommençait. Je voyais ses seins gigote sous mon nez, par moment elle faisait une pause, se laissait retomber sur moi. Elle respirait fort, presque aussi fort que moi. C'était un petit instant de douceur, un petit instant d'un petit peu de douceur. J'avais un gros gode dans mon cul. Elle reprenait son souffle puis recommençait. C'est vrai qu'elle ne risquait pas de débander. Je sentais le plaisir m'envahir, il y avait un peu de douleur mais de plus en plus de plaisir.
Je finissait par trembler un peu comme un parkinsonien, mais en plus fort et en plus rapide. Je convulsais, elle râlait, je le sentais, elle prenait du plaisir. Moi je jouissais.
Nous avons finalement partagé un moment de plaisir intense. J'ai joui, elle aussi on était synchrone et quand j'ai hurlé, elle à crié. Elle a continué à s'agiter ainsi pendant un petit moment, j'en pouvais plus. Elle s'est soudainement laissé tomber sur moi.
Son gode en moi prenait toute la place et me dilatait toujours l'anus. C'était bon, vraiment bon. Sa peau était douce, et sa poitrine s'écrasait sur mon torse. Elle décrochait les lanières et les bretelles.
Puis elle s'est relevé, je suis resté là, un moment, toujours avec le gode dans le cul. Je ne bougeais pas, je respirais fort puis j'ai trouvé la force de me relever. Le gode à glissé en dehors de moi. Là j'ai joui de nouveau mais là j'ai éjaculé. J'ai gémi. Elle me regardait faire, elle semblait s'amuser.
Fin de l'épisode
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Prêté 03
François posait sa main sur ma joue, j'inclinais légèrement ma tête sur sa main. C'était une caresse douce et virile. Il avait une main forte mais douce. Il glissait son pouce dans ma bouche, je le suçais, un peu comme on suce une tétine ou quand on est plus âgé, un peu plus gros, une grosse bite par exemple.
Ses quatre camarades nous regardaient, ils avaient l'air amusé, comme si il y avait une cacherie. Je regardais François, il était bel homme et me plaisait bien, je n'avais aucune intention de lui résister. Je pouvais voir une belle grosse bosse qui apparaissait au niveau de son entre jambe.
Sans prévenir, par surprise il ouvrait son pantalon et il en sortait une grosse bite, bien longue et bien large. J'étais aux anges et sans attendre qu'il ne me le demande je plongeais mon visage dessus et la prenait dans ma bouche.
Je passais ma langue autour de son gland, il était circoncis, j'aime bien les queue qui le sont. J'étais gâté,il avait un gland large et lisse qui brillait à la lumière de la cheminée. Oui je sais mais j'ai eu comme un moment de poésie dans ma tête alors je le prenais dans ma bouche.
Il me caressait la tête, ses camarades s'étaient rapprochés. Il le déshabillaient, lui retiraient sa chemise et en relevant les yeux je découvrais un corps parfait, une très belle tablette de chocolat qui en avait aussi la couleur. Je pausait un baiser sur le bas de son ventre puis en revenait à sa queue.
J'appuyais mon visage contre lui, mes lèvres se refermaient autour de la base de son pénis et mon nez s'écrasait sur son ventre. Sa queue, pourtant de belle taille entrait totalement dans ma bouche et s'écrasait dans ma gorge.
Son pantalon tombait, je me retirais au moment ou il relevait les jambes pour le retirer totalement. Je lui caressait alors les cuisses, je glissais ma main sur ses couilles, sur sa queue qui se redressait toujours dans ma direction puis je la prenais de nouveau dans ma bouche.
Je sentais des mains qui se posaient dur moi, un peu partout. Sur ma tête, on me poussait en avant et la queue de François s'enfonçait, on me tirait en arrière et elle ressortait. Je ne contrôlais plus rien. Je me laissais faire. Des mains glissaient aussi sur mon torse, sous ma chemise, d'autre sur mes cuisses .
Les boutons de ma chemise sautaient un à un. Ma ceinture s'ouvrait aussi. On me caressait le torse et le dos au moment ou on me retirait ma chemise. Plusieurs mains glissaient dans mon pantalon, on m'ouvrait ma braguette. Je me retrouvais rapidement torse nue et un peu débraillé, mais je continuais à sucer mon partenaire François.
Il se penchait vers moi, me relevait en passant ses mains sous mes bras. Mon pantalon glissait sur mes chevilles. François s'en amusait, il en profitait pour mieux me regarder. Il n'avait pas encore vu ma cage à bite et au moment ou il l'a vue, il a pouffé de rire.
– Wouah ! Trop génial ce truc ! J'adore !
Je me retrouvais entièrement nu devant lui. Ses camarades continuaient à me caresser, leurs mains glissait sur moi, tout particulièrement sur les partie les plus intimes de mon anatomie.
François me prenait dans ses bras, me serrait fermement et m'embrassait. Les autres nous caressaient, je sentais leurs mains qui glissaient entre lui et moi, sur mon ventre, sur son ventre, sur mes couilles ou sur son sexe. Il bandait, moi j'aurais bien voulu à cet instant, oui, là j'aurais bien voulu. Il y a des moments comme ce jour là ou j'ai envie de retirer mon dispositif. Heureusement ça ne dure pas !
Des mains glissaient entre mes cuisses, entre mes fesses, un doigt glissait dans mon cul. Au début, ça résistait mais rapidement je sentais qu'on me passait du gel et là ça allait mieux, un puis deux doigts entraient et glissaient facilement en moi. Ils me dilataient le cul, me préparait à plus gros.
François me retenait, il me souriait, il était beau et je le désirais, je désirais qu'il me prenne, qu'il me défonce le cul. Toutefois je restais calme, je ne montrais pas mon impatience. Je savais qu'il n'y avait pas urgence, que tout viendrait au moment voulu.
Je me penchais encore en avant et de nouveau je prenais sa bite dans ma bouche, de nouveau je lui suçait généreusement la bite. Je le sentais tressaillir et je l'entendais gémir de plaisir. Il me donnait quelques coups de bassin qui m'allaient directement à la gorge. Avec ma langue je lui caressais la queue, son gland me caressait le fond de la gorge.
Il se retirait rapidement et m'ordonnait de me retourner.
Je pivotais sur moi même, toutes les mains qui me caressaient m'accompagnaient dans mes mouvements. Je me penchais en avant en m'appuyant sur le rebord d'un fauteuil. Sans que je sache qui en était responsable je me prenais alors une autre queue dans la bouche. Je suçais.
Au point ou j'en étais, je ne me posais plus de question. Si un morceau de peau passait à portée de main, je le caressais, si une queue portait à portée de bouche, je la suçais.
Et toujours ces mains qui me parcouraient le corps, toujours quelques doigts qui me lubrifiaient le cul. Je le sentais, je le devinais, les mains de François en faisaient partie. Puis je sentais ses mains me saisir par les hanches. J'aime bien sentir cette force virile et il était fort et virile.
Je sentais aussi son gland s'écraser contre mon cul, là c'est moi qui gémissais bien que j'avais la bouche pleine. Je ne sais pas lequel de mes hôtes en profitait pour s'enfoncer encore plus profond dans ma gorge, puis je ne gémissais plus, là je ne pouvais même plus respirer.
Il me tenait la tête bien fermement pendant que François poussait fort contre moi. Mon cul se dilatait, je me sentais pénétré par une masse très volumineux. Sa queue s'enfonçait rapidement, avec force. Je la sentais glisser sur toute sa longueur, il était décidé. Pour finir son ventre s'écrasait contre mes fesses et son gland s'écrasait je ne sais ou au fond de mes entrailles.
Il ressortait puis revenait, toujours aussi décidé. Il me dilatait le cul. C'était bon. Un autre gars me tripotait les couilles, un autre encore me caressait tout le corps et un me remplissait la bouche jusqu'au nombril. Un instant une image m'a traversé l'esprit. Je les imaginais se rencontrer quelque part au milieu de mon ventre. C'était de la folie.
Puis ils se sont énervé, l'un rentrait bien à fond pendant que l'autre ressortait, ensuite c'était le contraire. Je tenais le coup, je me laissais faire. C'était intense mais il y avait du plaisir, pas que certes, mais beaucoup de plaisir tout de même.
Le gars qui me limait la bouche se retirait, j'en profitais pour avaler ma salive mais ce moment de calme ne devait pas durer, un autre le remplaçait et à son tour il ne se retenait pas, il était bien monté aussi, à croire que j'étais tombé sur un nid de grosse queue.
C'est vrais que j'aime bien les grosses queue, mais là, j'aurais bien voulu un peu plus de calme. Aucun d'entre eux ne semblait vouloir m'en donner.
François se retirait. Il ressortait complètement, j'aurais presque pu respirer si seulement … Mais bon l'autre dans ma gorge ne me lâchait pas, il me tirait la tête contre lui, je suivais, c'est vrai que je n'avais pas vraiment le choix mais j'aurais pu me dégager, au moins essayer. Je n'ai rien fait. Je sentais mon cul se détendre, je récupérais sans doute.
C'est brusquement, avec force et même une certaine violence que François revenait à la charge. Il s'enfonçait brusquement, sans prévenir bien à fond. Je me suis contracter mais j'ai encaissé, je me suis laissé faire et le plaisir montait rapidement un peu plus que juste avant la pause. Là j'ai commencé à trembler. Il me limait ainsi avec force pendant un long moment, une autre bite passait dans ma bouche.
Un me pinçait les tétons, il me faisait presque mal, un autre me tripotait vigoureusement les couilles un encore appuyait sur ma tête. Je commençais à résister, à tenter de me dégager. Ils me laissaient un peu plus de liberté de mouvement un instant puis il me saisissaient de nouveau et tout recommençait. Ça faisait un long moment que j'étais la victime de ces cinq gaillards virils.
Je le sentais, je n'étais plus que leur jouet. On me tripotait, on me retournait, on m'enculait, on me remplissait la bouche. On faisait attention à moi, attention à ne pas me blesser, attention à ce que je ne manque pas d'air, que je puisse respirer.
C'est peut être à ce moment que j'ai remarqué que ce n'était plus François qui me limait le cul. Si mon doudou m'avait prêté, les bénéficiaire de ce prêt me partageaient.
Je ne sais pas, je n'ai pas pu voir, qui à commencé à jouir. Je me souviens d'une grosse queue juste devant mon nez, le gars se masturbait, je l'entendais respirer fort, je l'entendais pousser des gémissement puis finalement un cri de plaisir. Et je me prenais alors plusieurs giclées de sperme dans la figure, dans les yeux, sur le nez, sur les cheveux aussi.
Ensuite il m'enfonçait sa queue dans la bouche et je prenais les dernière gouttes de sperme dans la gorge, c'était bon. J'avalais et je recevais une autre queue dans le bouche. Je ne savais plus qui faisait quoi. Je ne voyais plus très bien ce qui se passait.
C'était un autre ou pas mais après une pause, encore une, on me limait de nouveau le cul et le plaisir montait encore plus, je gémissais. Je me prenait une autre giclée de sperme sur les cheveux, sur le dos, sur la figure. Puis une autre.
C'était des gémissements de plaisir qui s'entendaient et tous râlaient fort. Je me prenais encore quelques giclées de sperme, je me sentais couvert de sperme, je l'étais.
Je ne sais pas combien de temps ils se sont amusé avec moi. Mais je vous jure qu'ils se sont amusé. J'étais à quatre patte sur une sorte de tapis et je ne comprenais plus rien au moment ou la tension est retombée.
C'est très rapidement que tout se calmais, on me lâchait. Encore quelques caresses sur mon cul ou sur mon dos puis seules les caresses sur mes couilles. Il y en avait toujours un qui me tripotait les couilles, c'était pas toujours le même qui me tripotait les couilles depuis le début.
Ils rigolaient, il discutaient et je ne comprenais plus trop ce qui se passait ni ce qu'ils racontaient.
Brusquement sans prévenir je sentait quelques mains s'emparer de moi, me soulever et m'entraîner vers la salle de bain. On me posait sous la douche, je tenais à peine debout. Ils se serraient contre moi et me caressaient en me passant du gel douche un peu partout.
Un me nettoyait les couilles et un autre me lavait les cheveux. Je décidais de me laisser faire. Ce n'était finalement pas désagréable. J'avais joui, pas comme on le fait normalement avec la queue, mais j'avais joui. Le plaisir avait monté pendant un long moment puis tout mon corps avait tremblé et j 'avais joui avec tout mon corps. Un peu comme sous la douche à ce moment. Je n'avais pas éjaculé, enfin je ne pense pas mais là je vous jure que je n'était plus sûr de rien.
Je sentait toujours une infinie fatigue, mais je parvenais à tenir debout tout seul. On me lavait le cul en y glissant quelques doigts, je bandais toujours dans ma cage et ma bite était sous pression.
C'est à ce moment que j'ai éjaculé, j'ai joui de nouveau.
Ils ont terminé ma douche, m'ont couvert d'une serviette pour m'essuyer, m'ont généreusement frictionné et c'est finalement tout propre et tout sec que je me retrouvais dans le salon, à côté de la cheminée. Tout propre, tout sec et tout nu.
Je me sentais bien et je me suis rapidement endormi.
Quand je me suis réveillé le lendemain, j'étais dans les bras de François, il était endormi contre moi, nous étions sur le canapé, la température était douce, il y avait encore du feu dans la cheminée, quelqu'un l'avait rechargé pendant que je dormais. Je me sentais bien même si ne j'avais rien sur moi.
Puis tout le monde s'est réveillé, on m'a servi un petit déjeuner et on m' finalement rendu mes vêtements. Tout le monde s'est rhabillé, on m'a rhabillé. Ils continuaient à s'amuser avec moi, un peu comme une poupée qu'on habille .
C'est en fin d'après midi que François est passé pour me récupérer.
– Alors il a été sage ? Demandait-il à mes camarades
Tous répondaient oui, sans réserve et moi je hochait la tête de haut en bas pour confirmer. Ensuite on est reparti, je le suivais, sans oublier de saluer les autres. On avait échangé nos numéro de téléphone et je sortais avec un large sourire affiché sur ma figure !
FIN
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Jeune adulte 24
Un nouveau serveur
Thomas se chargeait d'habiller Simon, il n'avait selon lui rien de convenable à se mettre. Il lui trouvait un pantalon très moulant. Un truc très légèrement élastique qui lui faisait un cul, je vous dis pas ! Et de face c'était encore pire, on voyait tout. Une grosse boule entre les jambes et une grosse saucisse qui redescendait jusqu'à la moitié de sa cuisse. C'était impressionnant et terriblement excitant.
On peut aussi dire que c'était un peu effrayant. C'est vrai que rapidement il bandait. C'est normal et était tout jeune et il ne lui fallait pas grand chose pour bander. À cet âge, il devait pouvoir bander et baiser facile, je sais pas mais je dirais cinq ou six fois de suite. Aussi on peut dire sans se tromper que la veille au soir il n'avait pas dépensé tout son capital !
Il était en forme, quand Thomas m'a fait face j'ai pu voir qu'il était dans le même état. À voir Simon bander sans pouvoir se retenir, il a fait pareil. A part que lui sait parfaitement se contrôler, c'est un pro mais en fait il n'a même pas essayé de se retenir. Il me faisait un sourire satisfait, penchais la tête en avant et se regardait son entre jambe.
Je regardais ça un peu dépité. Je mettais moi aussi un pantalon moule boule mais moi ne n'avait pas les mêmes attributs à exposer au travers du tissus. On pouvait toutefois voir très nettement ma cage à bite.
Un instant je me disais que cette tenue que je portais aurait du avoir du succès, elle mettait bien en évidence la présence de la cage à bite et cette communauté en était tellement fière. Ça faisait une belle grosse bosse sur laquelle se dessinait tous les détails du dispositif, alors que chez mes camarades on distinguait parfaitement la grosse saucisse qui s'étalait jusque sur la cuisse.
– On ne va pas tout de même sortir comme ça ? S'exclamait alors Simon en se voyant dans un miroir.
– Et pourquoi pas ? Lui répondait Simon en se glissant contre lui dans le dos et en lui caressant les couilles au travers de son pantalon.
Le contact de sa main faisait réagir Simon, il semblait bander un peu moins fort et brusquement son érection reprenait de la force et de nouveau, c'est une énorme queue bien ferme et bien dessinée qui apparaissait juste derrière sa braguette.
– Non mais c'est fini ! M'exclamais-je. Un peu de tenue enfin que diable. On va sortir en boite on aura tout le temps pour ça sur place .
Ils ont pouffé de rire.
– Tu as raison, mon doudou !Me répondait Thomas. Tu as toujours l'esprit pratique. Allez on se calme on baisera tout à l'heure !
Et c'est comme cela qu'on est sorti. Simon hésitait entre une certaine fierté de se montrer ainsi et une certaine gêne. Thomas adorait cette situation et moi je n'avais rien à cacher, je sortais en dernier et fermais la porte.
Simon ne disait rien dans la voiture. Il gardait ce sourire un peu surpris ! Il était ravi. Son côté exhibitionniste qui n'avait jamais pu s'exprimer était enfin totalement libéré. C'est vrai que son pantalon ne cachait rien. Aucun de nos pantalon ne cachait quoi que ce soit.
Pour le reste nous portions une chemise juste au corps qui elle non plus ne cachait rien. Tous nos muscles se dessinaient sous la fine étoffe très bien ajusté. Vous savez ces vêtements nous mettaient très en valeur, pas pour une soirée mondaine, pas pour une sortie au temple mais une sortie en boite,et surtout dans la boite ou nous allions, c'était la tenue idéale. On allait se faire remarquer !
Simon regardait partout à la fois. Pour lui, tout était nouveau. Le mec baraqué à l'entrée qui lui aurait fait peur mais qui, ce jour là le regardait avec un large sourire. L'ouvreuse, c'est comme ça qu'on avait surnommé Dimitri, avec ses allure très délicates et maniérées. Dimitri regardait Simon avec beaucoup d'attention.
– C'est un garçon ou une fille ? Me demandait Simon à propos de Dimitri.
– Tout à fait ! Répondais-je.
Simon ne semblait pas vraiment satisfait de ma réponse mais il faisait avec. On lui a fait faire le tour de la boîte, on l'a présenté à tout le monde. Ce qui l'a le plus surpris, c'est la back-room, surtout quand on lui a dit ce qui s'y passait …
Mais c'était la bonne humeur et tout le monde rigolait à voire la tête que faisait Simon.
Ensuite tout le monde s'est mis à vaquer à ses occupations. Brice préparait le bar, la petite Dimitri préparait les vestiaires, oui je sais je dis la petite mais c'est affectueux.
Et un peu moqueur aussi j'en conviens.
La soirée avançait doucement et la salle , prête à recevoir ses clients prenait ses couleurs, les lumières s'allumaient et la musique commençait doucement. À dix heures il n'y avait personne, à onze heures la salle était pleine et on entrait encore. Le spectacle sur scène commençait.
Tout doucement, l'ambiance montait. D'abord le public était autorisé à monter sur la scène. Certains se mettaient torse nue, c'était les plus chauds. Peu à peu les professionnels montaient à leur tour et tout doucement repoussaient le public, là scène c'était pour eux. Pour les clients il y avait une très belle piste de danse.
La musique semblait devenir plus forte d'un coup et toute l'équipe commençait le spectacle. Simon ouvrait des yeux tout rond, les corps s'exhibaient, oh pas encore nus mais ça ne devait pas durer.
Un groupe de plusieurs danseurs se lançait. Il dansaient synchronisés, tous avaient le sourire. Les chemises sautaient l'une après l'autre, puis c'étaient les pantalons et pour finir c'était … bein ce qui restait.
Ils se retrouvaient entièrement nus, ils continuaient à danser, le spectacle était magnifique, Simon avait les yeux pétillants, émerveillés. Les corps de nos animateurs étaient superbes, élégants, sveltes et finement musclés. Ils étaient tous très bien montés et leur queue pendaient et se balançaient là encore avec délectation pour les yeux.
J'imaginais Simon là, sur la scène, il était très beau et il n'aurait pas dépareillé avec nos camarades. Je me disais qu'il faudrait que je lui en parle. En attendant je me préparais à monter sur scène. Ce serait une scène habillée, mais Thomas, lui devait terminer à poil. Et surtout petit détail, histoire de rigoler on n'avait pas prévenu Simon.
L'ambiance montait rapidement, puis suivait une pause, la musique résonnait et prenait toute la place et tout le monde bougeait, remuaient et criait. Plus tard une autre pause spectacle, j'étais encore sur scène et quand j'en descendais je retrouvais Simon derrière la bar, il était passé de l'autre coté et apprenait le métier. Il semblait bien s'entendre avec notre bar man officiel, Eric .
Je les ai vu échanger quelques baisers, Eric ne loupait pas une occasion de toucher Simon. Quand il passait derrière lui, il passait une main sur le torse, discrètement ou distraitement. Par moment la main descendait même un peu plus bas, bien plus bas même. Il caressait l'entre jambe de Simon qui bandait. Ça se voyait, tout se voyait très bien. Mais ça ne dérangeait personne !
Vous savez, dans ce genre d'endroits, on ne va pas se formaliser parce que deux garçons s'embrassent ou se pelotent devant tout le monde. On n'est pas comme ça nous !
La soirée continuait dans la bonne humeur, dans la joie et dans énormément de bruit, de la musique, des chants, des cris. Oh il n'y avait pas de bagarre, les cris c'était pas ça, les cris c'étaient juste des cris de joie de plaisir, on dansait, on applaudissait le spectacle … Enfin bref, il y avait de l'ambiance.
Le spectacle le plus chaud approchait. Quand je dis le plus chaud, c'est bien le plus chaud. Le spectacle porno .
D'abord un danseur montait sur scène et commençait à se déshabiller en remuant dans tous les sens et en tortillant son cul, ensuite j'intervenais avec l'air de mettre trompé de porte. D'abord surpris, je m'offusquais, je voulais repartir mais on me renvoyait sur la piste. Plusieurs de mes camarades apparaissaient et faisaient semblant de me repousser.
Le strip-tease était terminé et c'est magnifiquement nu que le gars qui m'avait précédé me regardait, il bandait et se tortillait, il faisait tourner sa queue façon hélicoptère. Je regardais ça l'air faussement horrifié, je mettais mes mains devant mes yeux mais j'écartais les doigts. Le public n'était pas dupe et rigolait tout ce qu 'il savait !
Ensuite, toujours en faisant le con, je m'approchais du gars et tendait une main vers son pénis. Il était juste énorme, je parle du pénis là pas du mec, mais vous aviez compris. Je le tripotais quelques instants et brusquement je tombais à genoux devant lui. Le ton changeait, j'ouvrais la bouche et je prenais sa queue dans ma bouche. Là je ne jouais plus les timides, je jouais les gourmands. C'était d'autant plus facile pour moi que justement je suis du genre gros gourmand.
Bon je rigole.
La foule m'encourageait, elle scandait mon nom et moi je suçais. Je prenais cette grosse bite bien à fond. De profil, toute la salle pouvait me voir, tout le monde pouvait voir cette queue disparaître dans ma gorge, sans trucage. Je savais bien contrôler ma respiration et j'écrasais mon visage sur son ventre. Le mec était très beau, Tony était très beau, sa queue n'était pas la seule chose qu'il y avait de beau, tout le reste l'était également. En fait je me régalais, j'en avais l'air mais je n'en avais pas que l'air. Je me régalais réellement, je prenais un réel plaisir à sucer des hommes bien montés sur scène, devant tout le monde.
Il avançait son bassin vers moi, il me donnait des coups, il écrasait son ventre contre mon visage. Tout ce que je parvenais à faire à ce moment c'était avaler sa queue et pousser des sons gutturaux. Mais il y avait tellement de bruit que personne ne pouvait entendre.
Mon partenaire d'action me relevait et d'un geste me retournais, je m'appuyais contre un pilier. J'étais encore tout habillé.
Mon partenaire passait ses mains sur moi, un peu comme s'il me fouillait ( bon ça c'est une idée à lui ) et en même temps me faisait tomber ma chemise, il me caressait alors doucement le dos, il se penchais contre moi. Une main glissait sur mon ventre, il devait faire des grimaces tout le monde rigolait en nous regardant.
Avec précision il m'ouvrait mon pantalon et le faisait tomber sur mes chevilles. Puis il me tripotait les couilles en montrant bien à tout le monde ma cage à bite. Il écartait mon pantalon et m'écartait les jambes. Je me plaçais de manière à ce que tout le monde puisse bien me voir.
Il me tripotait les couilles, tout le monde l'encourageait. Il me lubrifiait le cul et en un mouvement rapide me défonçait le cul en regardant bien en face le public qui était là devant moi. Je pouvais voir l'air réjoui de tous ces voyeurs. D'ailleurs à ce sujet je me demande si finalement le mieux n'est pas de jouer les exhibitionnistes devant une bande de voyeurs. À moins que le pire ne soit de payer pour jouer les voyeur devant une bande d'exhibitionniste qui se font payer .
Mouais, je vous laisse réfléchir à cette idée.
Mon partenaire me limait le cul au rythme des encouragements. J'en prenais plein le cul mais j'aimais ça. Il se retirait en criant et revenait avec force, là c'est moi qui criait. Et les spectateurs nous accompagnaient en hurlant également . Pendant de longues minutes il me défonçait le cul. Bien comme il faut, sans aucune hésitation, sans aucune pitié .
Vous savez c'était pas la première fois que je prenais mon pied sur scène mais il faut bien se dire que tout ça, c'est du boulot !
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Gigolo 03
Un peu d'espoir
Là, François sentait comme un froid. Elle avait tout vu, ou au moins elle avait tout compris. Maintenant elle regardait vers le cœur.
Pour ceux qui auraient loupé l'épisode précédent, la scène se passe dans une église et François vient de sauter une belle blonde dans un confessionnal. C'est banal, c'est vrai, enfin pour lui c'est banal. Il n'est pas vraiment très croyant et puis il s'en moque de la pauvre Madame Sophia de la tronche. Mais ce n'était pas le cas de son veuf.
Simon était effondré. François n'en revenait pas, il n'y croyait pas non plus remarquez, il savait qu'il y avait surtout des larme de joie chez son ami Simon. Le bougre héritait d'une très grosse somme.
François s'imaginait à la place de son ami, cette idée lui arrachait quelques larmes, et si en plus il pensait que lui n'était pas marié, là je vous jure qu'il pleurait. Il devait se demander combien de temps allait durer son calvaire.
Madame la Comtesse se retournait vers lui avec ce regard de juge sévère. Mais son visage s'éclairait quand elle voyait une larme, une vraie larme, couler sur sa joue. Elle ne connaissait pas la véritable cause de cette larme et des suivantes remarquez, sinon elle n'aurait peut être pas apprécié. Elle pensait naïvement que cette larmes était la marque d'une grande sensibilité. Elle était crédule, mais bon vous savez …l'amour ...
C'est la vie, c'est l'amour, le désir, le plaisir, elle était accro, juste accro. Elle savait que son François ne lui était pas fidèle, mais elle s'en moquait, enfin pas tous les jours …
Ce jour là, c'est une larme qui a réconforté Madame, juste une larme qui l'a conduite à regarder son amant avec tendresse. La seconde précédente elle l'aurait frappé, elle avait comme une envie de meurtre mais là, elle avait elle aussi envie de pleurer et de le prendre dans ses bras. Ça ne l'aurait pas déranger lui, mais elle si. On était dans une église que diable !
Elle lui prenait la main.
Le reste de la cérémonie se passait sans problème.
À la fin toute l'assemblée se levait et sortait dans l'ordre et se rassemblait devant l'église. On parlait de la défunte, on se souvenait, la très belle blonde que François s'était enfilée pendant la messe passait, elle poussait un fauteuil roulant avec à son bord un très vieux monsieur, presque momifié mais qui avait beaucoup d'allure avec ses vêtements de luxes. Un signe de la part du vieux monsieur et elle s'arrêtait.
Le vieux monsieur saluait la Comtesse.
– Je vous présente ma femme lui dit-il en montrant de la main la belle blonde. N'est-elle pas magnifique, je suis un sacré veinard, ha si seulement j'avais, ne serais-ce que, trente ou quarante ans de moins.
– Allons, je te trouve en pleine forme, tu nous enterrera tous. Lui répondait la Comtesse.
– Il faudra vous dépêcher de mourir alors. Lui répondait le vieux monsieur, je fête mes cents ans la semaine prochaine. J'espère que vous viendrez.
– Sans faute, nous avons reçu les invitations. Lui répondait la comtesse.
Le corbillard avançait lentement et toute cette foule le suivait. Le cimetière n'était pas bien loin, à cette vitesse il ne fallait pas plus d'une demie heure.
Simon marchait en premier, il ne faut pas oublier que c'était lui le plus concerné, c'était lui l'héritier. Il était en larme. François se rapprochait de lui pour le réconforter.
– Mais comment tu fais, tu es en larmes depuis le début de la cérémonie ?
– Mais je suis malheureux, je suis veuf. L'aurais-tu déjà oublié ?
– Veuf je veux bien, malheureux j'ai plus de mal à le croire !
– Ne me fais pas rire s'il te plaît, ce n'est ni le moment, ni l'endroit !On nous regarde, imagine ce que les gens penseraient de moi si je pouffais de rire ?
A cet instant François a bien failli pouffer de rire lui. Mais il a réussit à se retenir.
Simon et François marchaient l'un à côté de l'autre la tête penchée en avant et le pas lent.
Tout le monde s'arrêtait à la tombe, on descendait le cercueil, on lançait quelques fleurs, quelques poignées de terre puis on rebouchait tout ça pendant que tout le monde se rendait en discutant au domicile de la défunte ou son veuf organisait une petite sauterie de recueillement !
Je sais pas si j'ai bien dit les choses là ?
Enfin ! Simon savait organiser les soirées, c'est lui qui organisait les fêtes et elles étaient très appréciées. Bien sûr tout le monde à repris les voitures, c'était pas la porte d'à côte, enfin pour y aller à pied en tous cas. François prenait les commandes de la Rolls, quelques passagers au passage et tout ce monde se retrouvait à la maison de la défunte, pardon, je voulais dire du veuf .
Il y avait du champagne, n'y voyez là aucune provocation mais il y avait toujours du champagne à ses petites fêtes. Personne n'était déçu. Rapidement on oubliait la raison de cette réunion. Vous savez dans ce milieu, les absents ont toujours tort. Et il y av ait une absente, bon, c'est vrai qu'elle était morte .
Toutefois certains déploraient son absence. Si le vieux monsieur centenaire que nous avons vu un peu plus tôt avait toute sa tête, ce n'était pas le cas de tout le monde. Il y en avait qui étaient gâteuses et pourtant bien plus jeunes … Enfin c'est la vie !
François laissait sa maîtresse discuter avec ses amies et saluait les autres invités, il retrouvait la belle blonde qu'il avait connue un peu plus tôt, à l'église. Il se promenait dans le jardin, c'était un grand jardin avec plein de recoins très agréables et une petite maison décorative, elle était du genre ' cabane en bois ' mais à l'intérieur c'était tout le confort. Il s'approchait de la porte quand une main qui passait dans son dos lui prenait le poignet.
Il sursautait, c'était une jeune femme, très belle. Sans rien dire elle l'entraînait à l'intérieur de la maison et fermait la porte au verrou une fois à l'intérieur.
Toujours sans rien dire elle se collait contre François, lui écrasait sa poitrine généreuse contre lui en le prenant dans ses bras. Au cas ou vous auriez encore un doute, je vous annonce que François n'est pas du genre farouche, il bandait déjà quand leurs lèvres se rencontraient.
D'un geste expert elle lui ouvrait sa chemise, l'en débarrassait avant de s'attaquer à son pantalon. En quelques instants il se retrouvait entièrement nu. Elle s'accroupissait à ses pieds, et lui prenait sa queue dans la bouche. Il respirait fort, c'était la deuxième fille qu'il tenait dans ses bras en moins de deux heures. Heureusement pour lui, il était jeune et il ne lui fallait pas grand chose pour bander. C'est justement ce que la Comtesse de Kikidi aimait chez lui.
Il avait une très grosse queue et il savait s'en servir. La petite, qu'il n'avait jamais vu était une grosse gourmande. Ils étaient fait pour s'entendre. Il n'avait pas d'argent, elle était pauvre. Ils se ressemblaient sur ce point mais c'était là une point qui ne pouvait que les séparer mais sans pour autant s'interdire de se faire plaisir. L'époux de la petite était un cadre supérieur d'une entreprise importante. Pas très vieux certes mais pas non plus très riche.
Elle entraînait François vers le lit, se laissait tomber dessus et tout naturellement François tombait sur elle. Il caressait le corps de la fille avec le sien, il aimait ce genre de contact, ça le changeait de sa vieille.
Il lui caressait le corps avec ses bras, ses mains et sa bouche. Pendant qu'il la mordillait doucement il glissait plusieurs de ses doigts entre ses cuisses, elle se laissait faire et l'encourageait en les écartant. Son corps se cambrait, il passait un bras sous ses reins et la soulevait et c'est ainsi qu'il la pénétrait.
Elle refermait ses jambes dans le dos de son partenaire, elle gémissait et l'invitait à continuer, à ne pas se retenir. Elle le tirait vers elle. Il glissait sa grosse queue bien à fond en elle. Elle poussait un cri de plaisir, il ressortait avec vigueur et revenait bien à fond avec encore plus de force.
Ensuite il la limait avec application. Il variait la vitesse, plus lentement plus amplement. Il se retirait complètement puis revenait très vite, très fort bien à fond. Il la saisissait, la retenait contre lui. Et dans un mouvement rapide et précis se retournait, il l'entraînait avec lui et elle se retrouvait assise sur lui.
C'est elle qui imprimait le mouvement . Elle se relevait et se laissait retomber pendant de longues , de très longues minutes. Avec ses seins elle caressait le corps de son partenaire. Il ne cachait pas son plaisir, il ne cachait pas qu'il aimait bien cette situation.
Elle s'agitait un peu plus et encore un peu plus, lui respirait plus forte, elle s'agitait encore plus. Il se laissait aller et ne tentait plus de résister ou de se retenir. Ils étaient absents depuis un moment et on pourrait le remarquer.
François s'abandonnait dans un moment de délire et de plaisir, il jouissait, il éjaculait et se laissait tomber en arrière, sur le dos. Elle continuait quelques instants, des caresses, des baisers puis elle se relevait. Il ne lui fallait que quelques secondes pour se rhabiller et se retrouver présentable de nouveau. Il était toujours nu, toujours allongé sur le dos .
Au moment de sortir, elle se retournait, jetait un regard sur son corps, lui lançait un baiser et ressortait.
François prenait son temps avant de se rhabiller, il y avait un grand miroir dans cette petite maison de campagne, il ajustait sa tenue. La fille était partie depuis un moment, il n'aurait pas voulu qu'on les voit sortir en même temps.
C'est tranquillement et serein qu'il ressortait de la maison et retournait voir les invités. Il retrouvait sa maîtresse qui le regardait avec un regard tueur.
On ne saura pas comment elle était au courant de ce qui venait de se passer mais elle était au courant. François ne saura jamais qui lui a raconter.
– Tu t'es bien amusé mon amour ? Lui demandait la comtesse sur un ton glacial.
– J'ai, heu, fait le tour du jardin, il y a un joli bassin … et …
– Je parle du petit pavillon de l'autre côté, c'est un coin discret …
– Ah , je ne connais pas !
François d'habitude très décontracté était tout rouge de gêne. Il sentait qu'il y avait un malaise.
Il n'a pas bougé pendant le reste de la journée. Souvent il regardait en direction de la Comtesse qui, c'était évident lui faisait la gueule.
Il n'y avait personne autour de la petite maison, comment avait-elle deviné ? Se demandait François.
Le soir réservait une très grosse surprise pour François !
Ils étaient rentrés tôt. Madame la comtesse, semblait retenir quelque chose, elle semblait vouloir dire quelque chose mais ne savait pas par quoi commencer.
Elle se lançait !
– Tu as décidé de me quitter ?
– Non mon amour ! Répondait-il instantanément.
– Tu as décidé de me quitter ! J'ai quelque chose à te proposer.
Il la regardait sans répondre.
– Un mariage, mais un mariage sous contrat qui me donnera les moyens de te couper les vivre si tu recommences.
François pesait chaque mot qu'il entendait.
– Ensuite une rente, confortable, je connais tes goûts de luxe.
'' du Fric '' se disait François dans sa tête.
– Une petite voiture de sport rouge italienne, rien que pour toi.
Une Ferrari, se disait François. Sans comprendre ou elle voulait en venir.
Elle s'était éloigné vers le buffet et en revenant continuait.
– Mais il y aura une condition !
Concluait-elle en posant sur la table une cage à bite de grosse taille, c'est vrai que François était bien monté !
A suivre
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