Comme prévu Ep04
Un petit boulot
C'est donc finalement avec un large sourire qui allait d'une oreille à l'autre que je rentrais chez moi. C'était l'heure de passer à table, mes parents étaient là et me recevaient avec le sourire.
Je me souviens , je me suis dit , '' Là Ça craint ! ''.
mon père avait un large sourire, pas aussi satisfait que le mien et il faut bien se dire que moi j'étais aux anges ! Je ne pensais qu'à la voisine Serena, elle était magnifique, elle avait uns silhouette de rêve et je ne réagissait pas vraiment comme il fallait. Enfin je veux dire comme d'habitude.
J'ai un peu paniqué, je me suis demandé si mes parent n'allait pas remarquer quelque chose, mais ils étaient eux aussi aux anges mais pour des raisons qui me paraissaient plus obscures. Je ne comprenais pas, il y avait quelque chose que je ne comprenais pas !
Mon père me cachait quelque chose, ça ne faisait aucun doute. Je me sentais bien, et je gardais mon sourire.
– Il faudra travailler ! Me disait simplement mon père.
Je le regardais, je tournais mes yeux vers ma mère, elle aussi avait l'air contente, satisfaite.je ne réagissais pas, en fait je ne comprenais pas vraiment ce qu'il voulait dire, de quoi il parlait ni ou il voulait en venir.
– Tu sais trésor, ce ne sera que pour la saison …
– C'est bien ! Répondais-je.
– Tu es d'accord alors ? Me demandait ma mère toute contente de ma réaction ou plutôt mon absence de réaction.
– On t'a trouvé un petit boulot, oh c'est pas trop dur, ne t'inquiète pas.
– On t'a trouvé un boulot de serveur dans un restaurant bar. Terminait ma mère.
Je les regardais l'un puis l'autre, je commençais tout doucement à comprendre, mais il y avait encore des lacunes dans ce qu'ils me racontaient. Je les écoutais et j'assemblais les morceaux.
– C'est un endroit très convenable. Me disais ma mère.
– Il faudra que tu te comportes bien. Surtout que tu ne portes pas de dispositif PK ( Purity Keeper , c'est la société qui fabrique les dispositifs de chasteté, je dis ça au cas ou il y en aurait qui ne connaissent pas )
– C'est pas la peine de le dire à tout le monde, continuait-il.
– Surtout que tu seras le seul . Concluait ma mère.
Ensuite ma mère nous invitait, mon père et moi, à passer à table.
Je remettais les idées en place. Un petit boulot, serveur dans un restaurant-bar, job d'été ou job étudiant … ça devait être quelque chose comme ça. Après tout c'était pas une mauvaise idée ça. Ça me ferait un peu d'argent de poche, je trouvais l'idée excellente, et mon sourire s'élargissait encore un peu plus. Je pensais … permis de conduire, une petite moto, des fringues, et je pourrais même inviter Serena au restau.
Finalement j'étais content de ce programme. Mes parents étaient soulagé que j'accepte sans faire de difficultés de travailler et de participer à payer mes études.
Mon père s'était procuré un catalogue de la PK, on y trouvait tous les nouveau modèles aux couleur de la nouvelle mode. Je regardais ça, j'y croyais pas, il y avait tout un tas de modèle du plus simple au plus fantaisiste. Tous reposaient sur le même principe mais certains avaient une sorte de bouclier ,amovible ou pas, avec un décoration, et de toutes les couleurs.
Je remarquais que c'était le catalogue des dispositifs faits sur mesure. C'était pas les moins chères. Et c'est très naïvement que je ne faisais aucun rapprochement entre ce catalogue et le fait que mes parents m'avaient trouvé du boulot.
Mais quand je dis aucun rapprochement, vraiment aucun. Une vrai nouille, en fait je pensais toujours à Serena. Cette fille , je l'avais dans la tête. C'était ma première petite amie, enfin je ne sais pas si je peux présenter les choses comme ça, c'est vrai quoi elle avait l'âge d'être ma grand mère … Enfin ma mère … enfin ma grande sœur. Elle avait tout de même le double de mon âge, plus de trente ans et elle était mariée, enfin presque, elle avait été mariée pour être exact.
J'ai pas très bien dormi cette nuit là, j'ai rêvé à Serena, je me réveillais puis je me rendormais et je rêvais encore à Serena, puis je me réveillais … Et comme ça toute la nuit.
Plusieurs jours plus tard, mes parents m'emmenaient au bar restau qu'ils m'avaient trouvé. C'était un endroit sympathique placé dans un quartier discret. Mais une fois la porte franchie, c'était un vrai palace enfin je veux dire que c'était très classe, lumineux et luxueux. Une grande salle de bar et une salle à manger de très belle taille.
L'ambiance était feutrée, une moquette épaisse réchauffait l’atmosphère. C'était un endroit ou on pouvait se sentir bien.
On me présentait à l'équipe du bar. L'équipe du restaurant n'était pas encore arrivée, puis mes parents me laissaient, on me faisait alors visiter les lieux.
Je commençais le jour même. J'ai fait quelques service à table et rapidement j'y prenais goût.
C'était sympa, surtout que les clients étaient surtout des clientes …
J'ai vite été surpris de voir qu'il y avait très peu d'hommes dans la salle de bar. Les femmes se retrouvaient par groupe d'habituées. Il y avait un petit groupe à la table du fond, cinq jeunes femmes qui rigolaient bien entre elles.
Quand je m'approchais pour les servir, elles ne disaient plus rien mais je sentais leurs regards qui parcouraient mon corps.
Je ne sais pas d’où cela pouvait provenir, mais depuis que je fréquentais Serena je ne voyais plus les femmes de la même manière, même les vieilles . Enfin les plus vieilles, plus vieille que moi quoi, enfin un peu plus vieilles mais pas trop non plus. L'autre voisine en face de chez moi par exemple ne me faisait aucun effet, peut être parce qu'elle était un peu plus âgée , enfin beaucoup plus. Oui bon elle en avait soixante cinq. Mais elle était très bien et faisait des gâteaux absolument merveilleux.
Mais ce groupe de cinq femmes était amusant. Les regards s'échangeaient entre elles et moi, ils devenaient plus insistants, plus réguliers. J'étais le petit nouveau du bar et elles m'avaient remarqué !
J'étais rapidement dans mon élément, je me sentais tout à fait à mon aise. Et rapidement on se mettait d'accord le patron et moi pour la saison d'été.
– Après la saison. Me disait mon père. Tu pourras te payer le dispositif de chasteté de tes rêves et tu pourras valider ton inscription à la PK Scool.
Oui bon, c'était pas mon projet ça, la PK Scool. Il ne l'avait pas encore compris. Mais comment lui dire, comment le dire à mes parents, je me disais que ma mère comprendrait mieux que mon père mais je n'en étais même pas sûr.
Bon en attendant je gagnais du fric, je recevais aussi de l'argent de poche, c'était le pourboire, et j'étais tellement mignon qu'on m'en donnait plein. Il ne m'a pas fallu bien longtemps avant que j'ai suffisamment d'argent pour me payer le dispositif mais ça, je ne l'ai dit à personne. Le soir après le boulot je me payais des petites sorties avec mes camarades de boulot.
C'est lors d'une de ces soirées que j'ai appris que je n'étais pas le seul à travailler dans ce bar et à ne pas porter de cage de chasteté.
On en parlait tranquillement, à une table d'une boite de nuit et mes deux camarades avec qui je travaillais tous les jours m'avouaient en rigolant qu'ils ne portaient pas le dispositif de chasteté. J'en revenais pas. La soirée se prolongeait et la nuit était bien avancée quand nous décidions de rentrer.
J'approchais de chez moi et je passais devant la maison de la voisine. J'hésitais quelques instant et je décidais finalement d'y rentrer. Elle ne ferme jamais la porte de derrière, c'est par là que je passais. Je faisais très attention à ne pas faire de bruit, comme un voleur. Je ne voulais rien voler mais je ne voulais pas non plus … En fait je ne sais pas ce que je ne voulais pas. Je me pressais en silence avec un petit gargouillis dans l'estomac. J'allais faire une surprise à Serena.
J'entre ouvrais la porte de sa chambre, il y avait un lumière très diffuse et très légère, ce n'était pas l'obscurité totale. Elle était là allongée sur le dos, sa tête douillettement posée sur son oreiller et les bras en croix. Elle dormais profondément. Il ne m'a fallu que quelques secondes pour retirer mes vêtements, tous mes vêtements. Ma grosse queue se redressait immédiatement avec vigueur.
Je m'approchais doucement de Serena me penchais vers elle et déposais avec douceur mes lèvres sur les siennes.
Je la sentais frémir, elle répondait à cette invitation, je sentais sa langue glisser sur mes lèvres et ma queue durcir encore plus.
Elle ne semblait pas se réveiller mais elle refermais ses bras sur moi. Elle était comme somnambule. Elle gémissait à peine. J'avais l'impression qu'elle me murmurait quelque chose mais elle gardait les yeux fermés.
Je me laissais aller, je la serrais encore plus fort dans mes bras, au risque de la réveiller. Là je ne m'en inquiétais plus. Je sentais ses bras se refermer autour de moi avec force.
Je l'embrassais, puis je la couvrais de baisers. Elle me rendait chacun de mes baisers, elle m'embrassais sur les lèvres, sur les joues, sur les épaules, le torse et son visage descendait lentement le long de mon corps et arrivait enfin sur mon sexe.
Ça ne faisait plus aucun doute, elle ne dormais plus.
Elle me prenait la queue dans la bouche et je sentais sa langue qui tournait tout autour avec douceur. Le plaisir montait tout de suite, pas jusqu'à l'explosion, pas encore, il était encore tôt, pour nous il était même très tôt.
Je lui caressais les cheveux, j'appuyais sur sa tête, mais j'appuyais tout doucement, je ne voulais pas l'étouffer. Elle répondait avec plaisir à chacune de mes stimulations, à chacune de mes caresses.
Quand son visage se relevait et que mes lèvres de nouveau retrouvaient les siennes, je sentais son corps chaud contre le mien, ses seins s'écraser contre mon torse.
Elle m'enjambait, plaçait ses jambes de chaque côté de mon bassin et lentement, avec une grande douceur s'empalait sur moi. Là c'est moi qui gémissais.
Elle me glissait en elle, se penchait sur moi et m'embrassait. C'est encore elle qui imprimait le premier mouvement, elle se relevait puis se laissait retomber, de tous son poids. Elle était légère, je la sentais à peine.
Je continuais en imprimant à mon tour le mouvement, je relevais mon bassin, soulevais alors Serena qui se cambrait et gémissait. Elle se laissait retomber quand je me relevais et inversement. Les mouvements devenaient de plus en plus rapides. Il devenaient même violents par moment, elle aimait et moi je ne vous dis pas, j'adorais.
Son corps menu, délicat, doux, tendre pour moi tout seul, était à ma disposition rien que pour moi. quand je le voulais, comme je le voulais.
Je ne sais pas si c'est l'alcool que j'avais bu, j'avais un peu picolé. Je ne sais pas pourquoi elle m'a laissé faire mais elle ne m'a pas repoussé, elle a seulement râlé très fort au moment ou ma bite glissait entre ses fesses et disparaissait en elle. Je sentais son corps se contracter, ses reins se relever. Je me sentais bien là ou j'étais, c'était simplement génial même si je ne comprenais pas comment elle pouvait se prendre ma gosse queue dans le cul.
Mais c'est vrai que là, je n'avais pas vraiment de référence pour faire une comparaison, Serena était ma première copine.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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