Comme prévu Ep05
Ah les filles , ah les filles
Je ne suis rentré que le lendemain et je me suis fait engueuler.
– Alors maintenant tu découches !
C'est ma mère qui a le plus gueulé. Mon père ne cachait pas qu'il était très mécontent, mais il semblait se dire …
'' Bah ! Laissons le faire, d'ici peu il sera sous clé et il restera tranquille … ''
Ma mère était donc scandalisée mais mon père préférait me laisser tranquillement découvrir la vie pendant le peu de temps qu'il me restait de liberté. Je les ai entendu parler, ma mère et lui. Je l'ai entendu, il a pris ma défense. Finalement tout s'est bien terminé.
Je reprenais mon boulot et comme des vacances arrivaient on me proposait de travailler à plein temps, la nuit. Vous imaginez bien que j'ai dit oui. J'avais passé les seize ans, j'avais l'âge pour qu'on me mette une cage à bite, je pouvais travailler la nuit. Au moins au niveau de la légalité, c'était clair !
Il y avait un avantage, mes parents ne regardaient plus à quelle heure je rentrais la nuit, ils ne me disaient plus rien non plus si je ne rentrais pas. Quelquefois je dormais sur place.
Enfin, en général, ces nuits là je ne dormais pas beaucoup. On traînait entre nous, toutes les boites de nuits, nous étaient ouvertes. On était sur une île mais je vous jure que pour ce qui est des boites de nuits on était bien fourni. Il y avait la route depuis le continent, puis on était une zone touristique, il y avait toujours des gens de passage.Le bar restaurant ou je travaillais marchait bien, toute l'année. Un autre allait ouvrir, c'est dire et les deux boites de nuit étaient toujours pleine le weed-end . Même en hiver, pendant la saison, c'était tous les jours.
Vous deviez imaginer que je vivais dans coin perdu. C'était par perdu mais c'était tranquille. On pouvait sortir toute la nuit sans risquer de se faire agresser, on ne fermait pas la porte de la maison quand on sortait. J'aimais de plus en plus mon village.
Ce week-end avait très bien commencé, le vendredi soir se terminait en boite. Il y avait mon pote Tony, il travaillait avec moi et ne portait pas non plus le fameux dispositif.
Il y avait Dyana, c'était pas son vrai nom mais c'est pas bien grave. Je n'ai jamais su comment elle s'appelait, elle venait du continent, elle n'habitait pas bien loin, un pont à passer et elle arrivait. Elle sortait le week-end, on s'est vite habitué à la voir tous les vendredis soir. Avec ses copines elles formaient un petit groupe, elle rigolaient toujours entre elles et c'est cette semaine qu'elle nous invitaient à les rejoindre à leur table.
J'étais avec deux camarades du restau, on a un peu picolé, on a rigolé, on s'est fait dragué. Tout se passait bien avec beaucoup de légèreté, jusqu'au moment ou Katia glissait sa main sur la cuisse de Jess.
– Et nous avons là un jeune homme qui ne cède pas à la mode ! S'exclamait alors Katia.
Dyana plongeait sa main à son tour et confirmait. Mais plus discrètement c'est Serena qui s'approchait de moi. Elle glissait sa main sous ma chemise.
– Et moi j'ai aussi une jolie surprise. Rajoutait-elle.
– Mais on a de la chance ce soir ! S'exclamait Dyana.
– Et il est comment ? Demandait Katia à Serena. Puis rajoutait . Mais là tu es sur son nombril ma chérie, c'est pas là qu'il faut tâter.
Je pouffais de rire, je n'avais pas vraiment envie de les repousser et donc je retournais mon visage vers Serena et l'embrassait. Une main glissait entre mes cuisses et me faisait sursauter .
– Mais c'est que là c'est du sérieux ! S'exclamait Katia. Ne me dis pas que c'est le jeune homme dont tu nous avait parlé.
– Et bien si ! Répondait Serena sur un ton très satisfait en passant un bras sur mon épaule.
Elles se sont bien sûr un peu calmées, mais continuaient leurs commentaires. De toutes façons, il y avait beaucoup de bruit et personne ne pouvait entendre ce qui se disait à notre table. Personne n'a rien vu d'ailleurs, sauf peut être Ralf,
Ralf c'était le serveur de cette boite, je le connaissais depuis pas très longtemps , il était sympa. Très élégant, il avait remarqué qu'il y avait surtout des femmes le vendredi. Il portait une tenue très élégante, une chemise blanche, et un pantalon bien ajusté mais on devinait que lui, portait une dispositif de chasteté.
Il s'approchait pour nous servie et les mains de mes camarades féminines ne se privaient pas de lui caresser les fesses.
– Allons mesdemoiselles , allons, vous savez qu'il n'y a rien à espérer ! Leur faisait-il remarquer.
– On sait lui répondait Dyana, on te retrouve à la fermeture ?
– Avec plaisir ! Lui répondait-il.
Je regardais la scène sans trop comprendre. Il n'y avait rien à attendre, je me demandais ce qu'espérait Katia. C'est vrai qu'il avait un très beau corps, une belle silhouette, fine, élégante et musclée. Mais c'est un peu juste. Enfin je veux dire qu'on ne peut pas faire grand chose, là ça se voyait qu'il portait une cage à bite Le petit Ralf. Et ça se voyait sous son pantalon très ajusté.
On passait rapidement à autre chose, souvent je regardait dans la salle, et je remarquais que tous les serveurs de cette boite devaient porter une cage à bite. Je me disais que finalement j'avais de la chance. Moi j'étais pas obligé mais dans cette boite c'était pas la même chose. Sans doute à cause des nombreux clients et clientes venant du continent. Je ne comprenais pas vraiment les règles, comment tout ça fonctionnait.
Moi je ne portais pas de cage de chasteté, on ne m'y incitait même, pas et ça ma plaisait ça car justement je ne voulais pas la mettre. Heureusement la loi était formelle, on ne pouvait pas me contraindre par force, on pouvait par contre m'y encourager, m'y inciter. Il y avait en fait plusieurs moyens de contrainte.
Pour moi c'était non, et ça le resterait, enfin c'était ce que j'avais décidé. Le plus dur serait de convaincre mes parents pour qu'ils me lâchent la grappe, qu'ils me laissent tranquille. Pour le moment c'était bon, la cage était trop chère mais il faudrait bien un jour y venir.
En attendant que ce jour n'arrive, je pensais à autre chose. On a dansé, on a un peu picolé, on a beaucoup rigolé. Tony a disparu vers la fin de la soirée, lui et une superbe blonde ont disparus ensemble. On ne s'est pas inquiété pour lui.
Nous attentions tranquillement sur le parking jusqu'au moment ou Ralf arrivait avec une allure triomphale. Il avait changé de pantalon, on prenait deux voitures et on faisait route vers la résidence secondaire d'une des dames qui était avec nous.
Je ne lâchais pas Serena, c'était ma copine.
– Tu es fidèle mon trésor ? Me demandait-elle.
– Mais bien sûr m'amour ! Lui répondais-je instantanément.
– Et tu n'as jamais eut envie de … une autre femme .
– Beuh non, ça va, pour l'instant ça va. Mais pourquoi tu me demande ça ?
C'est vrai que là je ne savais plus trop quoi dire, elle m'embarrassait aussi à me demander des trucs pareil .
Il ne fallait pas bien longtemps pour se retrouver sur le continent. Un pont à traverser et on arrivait.
Ces sont les filles qui ont commencé. Serena était à côté de moi, elle passait sa main sous ma chemise et caressait doucement ma peau. Ses doigts étaient doux, et me faisaient réagir. Depuis un moment je bandais, ça avait commencé avant que nous ne sortions de la boite. Ça se voyait, Serena l'avait remarqué, Sa main s'attardait sur mon sexe, elle appuyait sur mon pénis et commençait à s'en amuser.
Dyana et Katia nous faisaient un strip-tease. Mes deux camarades regardaient avec beaucoup d'attention. Les deux femmes étaient un peu délurées, ça ne m'étonnait pas vraiment. Elles rigolaient fort et nous dévoraient des yeux. Katia s'est tout d'abord dirigée vers Ralf. Je me suis dit '' ça devient intéressant ''
entièrement nue, Katia s'approchait de Ralf, il se relevait et la prenait dans ses bras. Je m'amusais, je savais que Ralf ne pourrait pas faire grand chose avec sa cage à pénis et je jubilais, je bandais et je jubilais.
Katia lui ouvrait la chemise, il la caressait doucement du bout de ses doigts avant de la prendre dans ses bras. Son torse écrasait les seins de la dame, ils s’enlaçaient avec force et à l'instant ou il se relâchaient au moment ou ils se séparaient, les doigts agiles de Katia ouvraient le pantalon de Ralf et son pantalon tombait rapidement sur ses pieds.
Le farceur n'avait pas mis de sous vêtements et se montrait dans toute sa splendeur dans son dispositif de chasteté. Katia lançait un regard dans ma direction et prenait la position, comme pour lui faire une gâterie.
Avec beaucoup de douceur et une certaine agilité, elle passait la main sur le dispositif de mon camarade, je le voyais frémir, il me regardait et me souriait avec un sourire coquin.
Et là j'ai pas compris ce qui se passait, j'ai vu son dispositif tomber sur le sol, je n'avais pas vu Katia lui ouvrir , je n'avais pas vu la clé et je pouvais alors deviner qu'il n'y avait pas de serrure.
C'était un dispositif fictif, il ne se verrouillait pas.
J'ai éclaté de rire et c'est à ce moment que Serena s'est penchée sur moi, m'a ouvert le pantalon et sans attendre a pris mon gland dans sa bouche.
Je regardait en face de moi et je voyais Katia faire la même chose à mon pote Ralf. Il lui caressait les cheveux et doucement il appuyait sur sa tête. Elle prenait sa queue avec douceur, avec envie, elle aimait ça.
Ralf avait une petite bite, enfin comparé à moi, il en avait une petite. Mais c'est vrai que c'était souvent le cas . C'était même toujours le cas.
Serena aimait particulièrement ma bite, je lui caressait moi aussi les cheveux. Ma main glissait sur son dos, elle était nue elle aussi. Je tournais la tête vers ma gauche et je retrouvais Jess, il était avec Dyana. Elle aussi était nue, lui juste torse nue, mais son pantalon ne devait pas tarder à tomber à son tour.
Nous étions six, trois jeunes hommes et trois très belles femmes un peu plus âgées. Mais magnifique. Chacune cajolait son chacun.
Serena me couvrait de baisers, sa langue passait et repassait sur mon gland, c'était intense. Je croisait les regards de mes partenaires masculins, c'était la première fois que je me retrouvais avec eux dans une telle situation. Ce n'était pas désagréable, bien au contraire, mon excitation était à son comble et mon érection ne retombait pas.
Nous étions tous les trois très en forme et les filles étaient très chaudes. Leur peau était brûlante et douce.
Chacune glissait contre chacun de nous, Serena se glissait sur moi, me glissait en elle. Je la caressais, je la couvrais de baisers. Ma langue glissait sur son corps, sur ses seins, sur son cou, sur ses épaules et elle s'écrasait sur moi. Je sentais mon gland s'écraser en elle, je sentais les caresses de son corps, de tout son corps.
Autour de moi il n'y avait plus que des gémissements de plaisir, des caresses de douceur. Des déhanchements musculaires, des convulsions. Et le plaisir montait.
Nous nous agitions, chacun ne s'occupait plus que de sa partenaire. Chacune ne se préoccupait plus que de son partenaire. C'étaient des cris de plaisir qui raisonnaient dans la salle maintenant.
Chacun à joui à son tour, chacun à crié, les filles comme les hommes. Puis le calme est revenu.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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