ET TOUJOURS EN ÉTÉ 03 SARAH

ET TOUJOURS EN ÉTÉ 03
SARAH


On prenait notre temps, on prenait le temps de vivre, surtout le dimanche. Les hommes s'étaient réunis de leur côté de la terrasse, plus à l'ombre juste en face de la grande porte fenêtre c'était le coin des femmes.

Déborah et Sarah restaient avec leur mère, ce qui ne les empêchait pas de jeter vers nous des regards réguliers.

Bien sûr nous étions du côté des hommes, ils parlaient de la récolte, de la propriété, des prix des marchandises … Enfin de tout un tas de trucs qui ne nous intéressaient absolument pas. On faisait toutefois semblant de s'intéresser tout en tournant régulièrement les yeux vers les deux jeunes filles.

On les connaissait depuis toujours mais c'est vrai qu'on les voyait moins depuis quelques années et elles étaient devenue de belles jeunes femmes. Elles avaient deux ans d'écart, la plus âgée, Sarah, était un peu plus vieille que moi. Déborah elle, était un peu plus jeune que Samuel. Personne ne s'était concerté mais il semblait évident que j'épouserais Sarah et que mon cousin lui épouserait sa sœur … 

Nos deux familles gardaient des contactes réguliers on les retrouvait tous les dimanche après l'office, quelquefois chez eux, souvent chez nous. On était plus proche du village. La propriété de nos amis était moins importante que la notre mais restait de belle taille. En plus en amont de la rivière, les deux propriétés se touchaient ce qui en cas de rapprochement serait pratique. 

Un peu plus tard Mamata apparaissait discrètement au bout de la terrasse, elle faisait un signe à ma mère.

Ma mère : Et bien je pense qu'il va être l'heure de passer à table, si vous voulez bien entrer et prendre place. 

Un peu plus d'agitation et de bruit, les femmes en premier se dirigeaient vers la salle à manger, les hommes traînaient un peu et terminait leur verre. Il y avait autour de la table comme une agitation calme, tout le monde prenait place dans un grand mouvement de masse mais sans précipitation.

Mon cousin était à ma droite et juste en face de nous, Sarah et Deborah. On pouvait discuter entre nous, tout le monde était placé de manière à se sentir à l'aise. Nous étions en bout de table, entre jeunes.

Après le repas nous nous promenions longuement en compagnie de nos jeunes voisines dans les jardins, on leur proposait un petit tour en barque.

Tout était en retenue, même le temps semblait se retenir. La chaleur était moite, il n'y avait pas de vent, dans chacun de mes mouvement je sentais la toile de ma chemise sur mon corps, le coton est d'un contacte agréable surtout avec cette chaleur. Et je sentais aussi ma queue, moitié dure, moitié molle qui se balançait entre mes jambes, mes couilles qui roulaient contre mes cuisses. Je ne sais pas si c'était la présence de mon cousin ou des deux jeunes filles qui me donnait des envies. Mais c'était comme un appel de la part de ma queue, un désir, une manifestation discrète, sauf pour moi. Mais je contrôlais la situation.

Nous revenions pour nous rafraîchir sur la terrasse, les hommes étaient dans la bibliothèque et fumaient, les femmes étaient dans le jardin sous le kiosque, elles prenaient le thé, nos deux amies partaient retrouver leur mère.

Mon cousin s'effondrait sur une chaise et s'installait les jambes allongées. Du regard je parcourait tout son corps, depuis son sourire, celui des mauvais jours, celui qu'il fait quand il prépare un mauvais coup, jusqu'à ses pieds. Je m'attardais sur son torse, sa chemise le mettait très en valeur puis juste sous sa ceinture, un bosse visible laissait deviner qu'il ne portait pas non plus de sous vêtements. Ce n'était pas juste une bosse mais une forme allongée, discrète mais visible. 

Il suivait mon regard, et c'est à ce moment qu'il choisissait de contracter sa queue et je voyais la bosse soulever le tissus de son pantalon. Ça me faisait rire. On surveillait que personne ne nous voyait. J'avais rapidement la même réaction que lui. Je terminais ma limonade et rapidement me levais, il me suivait quelques secondes plus tard. On se retrouvait au grenier. 

Au moment ou on y arrivait on bandait ferme, je ne contrôlais plus rien mais là je ne le tentais plus. J'entrais en premier, il refermait la porte derrière lui et s'approchait de moi. Je le prenait dans mes bras, je ne sais pas si c'était sérieux avec des invités dans la maison, mais pourquoi devrait-on se priver si on a là à porté de la main ce qui nous rend heureux.

Nous nous embrassions avec passion, il refermait ses bras sur moi, je le couvrais de baiser dans le cou, sur l'épaule après avoir pris soin de lui ouvrir la chemise. Je glissais une main sur son torse, mon bassin appuyait contre le sien et je sentais qu'il bandait. Il relevait la tête en arrière et me laissait lui caresser le torse, il me laissait l'embrasser sur les tétons, j'en profitais pour les lui mordiller d'une manière à la fois ferme et tendre. Il gémissait de plaisir et me caressait les cheveux. 

Si au début nos ébats étaient timides et réservés, avec le temps nous connaissions chacun de mieux en mieux le corps de l'autre et nous nous donnions l'un à l'autre de plus en plus fort, avec de moins en moins de réserves.

Je prenais de plus en plus de plaisir à sentir ses muscles rouler sous sa peau quand je le caressais. J'aimais sentir ses vibrations, entendre ses gémissements de plaisirs quand je lui mordillais les tétons ou embrassais le reste de son corps.

Sa chemise était maintenant totalement ouverte, je promenais mon visage sur tout son torse, tout son ventre, ses épaules et avec mes lèvres, je lui donnais des caresses d'une extrême tendresse. Ma langue participait aussi et mes dents le faisaient trembler sans pour autant lui faire mal. 

Par moment avec des gestes rapides qu'il semblait ne pas vraiment contrôler, il me prenait le visage entre les mains, me retenait et m'embrassait frénétiquement. Il se serrait alors contre moi et me couvrait de baiser sur mon front, mes yeux, me suçait le lobe des oreilles, pour terminer sur mes épaules.

J'étais comme un fou qui en voulait, qui voulait son corps et je me dégageait et tombais à genoux devant lui. On aurait dit le poteau d'une tente qui se dressait devant lui tant il bandait. J'ouvrais son pantalon et pendant qu'il tombait sur ses chevilles je prenais sa queue dans ma bouche. Il voulait me retenir je ne le lui permettais pas et en un seul mouvement j'écrasais  mon visage contre son ventre. Sa queue s'écrasait, elle, au fond de ma gorge.

Il tremblait, il gémissait, c'étaient de petites plaintes qui auraient pu faire penser à un sanglot, mais je vous garantis qu'à ce moment il n'avait pas envie de pleurer. Il me caressait les cheveux avec des mouvements rapides et je le sentais retenir son bassin. 

Par moment il y avait comme un coup de bassin qui partait mais qu'il retenait. Je sentais ses cuisses se contracter, c'était le seul moyen qu'il avait trouvé pour se retenir. Ses gémissements devenaient plus bruyants. Il tremblait il voulait écarter mon visage mais c'est moi qui résistait, je voulais sa queue, je la voulait en entier et à chaque fois que j'avançais ma tête vers lui elle s'écrasait au fond de ma gorge. 

Samuel : Attends ! Vas y doucement !

Je calmais mes ardeurs mais c'était juste pour faire le durer le plaisir, je le sentais, il était sur le point de jouir.

Je glissais une main dans mon pantalon, je bandais ferme, j'ouvrais mon pantalon et me masturbais. Sa queue était toujours dans ma bouche, juste son gland, et je le caressais très doucement avec la langue maintenant. Il respirait fort mais je sentais ses cuisses se détendre. 

Le plaisir montait, ma queue se relevait maintenant et mes caresses la faisaient réagir. Après un moment de calme je reprenais des mouvements plus vifs. J'appuyais de nouveau mon visage contre son ventre et poussais mon visage contre lui. Sa queue me rentrait dans la gorge, quelques mois plus tôt j'aurais vomi mais là je me régalais.

On entendait un bruit. On restait tétanisé de peur d'être surpris, on ne bougeait plus !

Ma tante : Samuel, Jonathan … ? Vous êtes ici ?

On ne faisait plus le moindre bruit, on ne respirait plus, on ne bougeait plus.

Ma tante : Nos amis vont nous quitter, si vous êtes là vous pourriez descendre les saluer … 

J'avais sa queue dans ma gorge, je ne pouvais plus respirer, il éjaculait. Je me retenais et ne bougeais pas, j'avalais ... Ma tante s'éloignait.

Samuel : Non de dieu ! On a eu de la chance ma mère a bien failli nous surprendre. 

Il retenait avec force ma tête contre lui.

Samuel : Wouah ! C'était bon ! Je crois que ça n'a jamais été aussi bon ! 

Je relevais les yeux et n'en pouvant plus, j'étouffais, je tentais de me dégager. C'est seulement à ce moment qu'il me lâchait. Je bandais comme un fou.

Samuel : Tu t'imagines si ma mère nous avait surpris dans cette position ?

Il rigolait. Nous entendions de nouveau sa mère nous appeler elle était à un étage plus bas maintenant.

Samuel : Bon ! On ferait mieux de descendre !
Moi : Mais, mais, mais …

Il se rhabillait, j'en faisait de même mais je vous jure que ma queue elle ne voulait pas se cacher, elle protestait, je respirait fort, mon cœur battait vite. Je n'avais pas joui moi et cette affaire ne m'avait pas calmé. 

Mon cousin ne s'inquiétait pas de moi, il était présentable et se glissait vers l'échelle au fond du grenier et en quelques instants se retrouvait au rez de chaussée, sur la terrasse sans que personne ne puisse savoir d’où il venait. J'étais près de la fenêtre et je les entendais. 

Ma tante : Ah tu es là trésor, je te cherchais partout, tu n'aurais pas vu Jonathan, vous êtes toujours ensemble d'habitude ?

Moi je tremblais, j'avais refermé mes vêtements, il ne restait plus que cette bosse, ce mat qui se dressait devant moi et repoussait la toile de mon pantalon. Je me concentrais et reprenais le contrôle, ce n'était pas facile mais au bout un moment ma queue rentrait dans le rang. Elle se soumettait à ma volonté, et si elle refusait de redevenir une petite molle discrète elle se transformait en moyenne molle qui ne se faisait plus trop remarquer. 

Je m'en assurait dans un miroir avant de descendre. Je prenais le grand escalier puis le petit à partir du premier étage. J'arrivais à mon tour et personne ne pouvait deviner que je venais du même endroit que mon cousin.

C'est pas facile tous les jours ! Vous pouvez me croire !

C'était une pression effroyable et jouissive que j'éprouvais dans ma tête, ma queue n'attendait qu'une occasion, une caresse, un contacte avec un objet comme le bord de la table par exemple pour se manifester de nouveau et échapper à mon contrôle. Je me concentrais, respirait lentement et c'est la tête qui avait le dernier mot. 

Je saluais nos invités, tout particulièrement Sarah. Quand elle me faisait la bise le bout de son ombrelle appuyait que ma bite et j'ai bien cru qu'un révolte incontrôlable allait exploser à ce moment. Je gardais le sourire et parvenais à garder le contrôle. 

Tout est en retenue ici, et même si le temps semble se retenir je ne vous dis pas ce que moi à cette seconde je devais retenir … Mon cousin, ce farceur, semblait lire dans mes pensées. C'est vrai qu'on se connaît depuis tellement longtemps, il avait son sourire, celui qu'il fait quand il prépare un mauvais coup !

Nos voisins repartaient, on leur faisait de grands gestes. Puis, avec l'autre farceur je partais faire un tour dans le jardin, nous descendions vers la rivière. Au détour d'un buisson, il s'approchait de moi et d'un geste vif me prenait par le cou, me tirait vers lui et me donnait un baiser sur la bouche. Ma queue se relevait, il le remarquait et en riait.

On traînait, on discutait, je bandais, il rigolait. Ou nous étions on pouvait nous voir depuis la maison, je me retenais donc de tous gestes déplacés. Lui le farceur il était maintenant tout à fait détendu et s'amusait de me voir dans cet état.

Les ombres s'allongeaient, l'eau de la rivière prenait la couleur du ciel et devenait noire. On regardait les étoiles se lever.

Samuel : Elle te plaît bien la petite Sarah ?
Moi : J'ai trouvé que tu regardais beaucoup Déborah !
Samuel : Je vais l'épouser ! Je lui ferais douze enfants, dix garçons et deux filles.
Moi : Deux filles seulement ?
Samuel : S'il y en a trop ça fait beaucoup de bruit !
Moi : Tu abuses. Et si ça ne marche pas comme prévu. Imagine que tu lui fasses deux garçons et dix filles. 
Samuel : Ne parles pas de malheur !
Moi : Je te préviens tu ne resteras pas sous ce toit si tu me fais une famille pareille !
Samuel : Je te signale que ce toit c'est aussi le mien !
Moi : Oui mais moi je veux être tranquille, et c'est vrai que dix filles ça fait beaucoup de bruit.

On rigolait …

Samuel : Et toi, avec Sarah ?
Moi : Deux garçons, c'est l'idéal et deux filles, c'est un maximum !
Samuel : Tu crois que nos fils seront aussi proches les uns des autres que nous le sommes ?
Moi : J'espère bien que non ! C'est totalement inconvenant ! Tu imagines si ça se savait ?

J'étais enfin détendu, ma queue avait fini par se calmer, elle pendait lourdement derrière la toile de mon pantalon, mes couilles roulaient contre mes cuisses. C'était agréable mais sous contrôle. On revenait vers la maison il faisait nuit, nos serviteurs nous préparaient un repas léger pour mon cousin et moi sur la terrasse. La familles soupait toujours ensemble mais le dimanche soir on se permettais un peu de détente et on oubliait le protocole.

Plus tard dans la nuit, je me glissais dans la chambre de mon cousin en passant par notre terrasse. Ma queue se manifestait de nouveau. Il dormais déjà, je ne l'ai pas réveillé et je me suis retiré et me suis branlé dans mon coin.



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

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